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Belloy-en-Santerre

Belloy-en-Santerre est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Belloy-en-Santerre
Belloy-en-Santerre
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Laurent Potier
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80080
Démographie
Gentilé Belloyens
Population
municipale
148 hab. (2020 en diminution de 5,73 % par rapport à 2014)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 02″ nord, 2° 51′ 22″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 86 m
Superficie 5,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Belloy-en-Santerre
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Belloy-en-Santerre

    Géographie

    Description

    Belloy-en-Santerre est un village rural picard du Santerre situé sur le plateau éponyme, au sud de Péronne et à km de Chaulnes.

    Le territoire communal est limité à l'ouest par l'Autoroute A1 et au sud par l'ex-route nationale 29 (actuelle RD 1029), connectées par la sortie no 13 de l'autoroute.

    La Gare TGV Haute-Picardie jouxte le territoire communal et, en 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 59, Harbonnières - Péronne)[1].

    Le relief de la commune est plat[2]. Son sol est composé de terre franche (le limon des plateaux) et de terre sableuse[2].

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune[2].

    Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominants de sud-ouest et de nord-est[2].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Présentation

    La commune présente un habitat groupé.

    Le village détruit totalement pendant la Grande Guerre a été reconstruit durant l'entre-deux-guerres.

    Typologie

    Belloy-en-Santerre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,1 %), forêts (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    On trouve plusieurs formes pour désigner Belloy dans les textes anciens : Beeloith (1163), Beeloi (1191 et 1214), Badolitum Baala d'après Louis-Paul Colliette, Beloy[10].

    Le nom Belloy proviendrait du latin bidolidum, composé de betula, bouleau et du suffixe etum, ensemble de végétaux[11].

    Le Santerre est une région naturelle de France située au cœur de la Picardie, et de l'actuelle région Hauts-de-France.

    Histoire

    Antiquité

    Une photographie aérienne prise par Roger Agache en 1967 au Bois Defroidures à Belloy-en-Santerre montre la présence de substructions d'une villa gallo-romaine à longue cour rectangulaire orientée au sud[12]. L'ex-route nationale 29, qui traverse la commune d'ouest en est sur une longueur de 2,3 km, est l'ancienne voie romaine qui reliait Amiens à Vermand[13].

    Moyen Âge

    La première mention d'un lieu nommé Belloy date du Moyen Âge.

    Le village de Quiévillers existe au XIIIe siècle, à l'est de Belloy ; il disparaît avant 1648.

    Époque moderne

    Le château de Belloy-en-Santerre est reconstruit au XVIIIe siècle[10].

    Circonstriptions d'Ancien Régime

    Sous l'Ancien Régime, Belloy-en-Santerre dépendait du bailliage et de l'élection de Péronne, de la généralité d'Amiens, du doyenné de Péronne et du diocèse de Noyon[10].

    Époque contemporaine

    M. de Rivery, fils de Françoise Morel de Foucaucourt, émigre en Angleterre pendant la Révolution française. Rentré clandestinement en France, sous la Terreur, il est arrêté, condamné à mort et guillotiné. À sa mort, la terre de Belloy revient à la famille Morel de Foucaucourt[10].

    À la fin de l'épopée napoléonienne, la commune est occupée par les Cosaques pendant la Campagne de France de 1814 et les Cent-Jours de 1815.

    Au terme de la guerre franco-allemande de 1870, les habitants de Belloy doivent verser aux troupes allemandes des réquisitions en argent et en nature. Plusieurs jeunes gens de la commune participent aux combats[2].

    • L'ancienne église avant la Première Guerre mondiale
    • Façade latérale
      Façade latérale
    • Le chœur
      Le chœur
    • Chapiteau
      Chapiteau

    Première Guerre mondiale

    Au début de la Première Guerre mondiale, fin août 1914, l'arrivée de réfugiés venant de Belgique et le repli des régiments de cyclistes et de chasseurs venant du front, incitèrent la population de Belloy à évacuer les 27 et 28 août. Il ne resta dans le village que 24 habitants sur 250. Les Allemands arrivèrent le 29 août.

    Après la bataille de la Marne, une partie des habitants revint au village (environ 200 personnes). Le 24 septembre, ce fut le retour de l'armée allemande qui occupa le village jusqu'au 8 juillet 1916. La population dut verser des contributions de guerre en argent (3 000 francs, une grosse somme alors) et en nature (bétail, lait, etc.).

    En juillet 1915, le maire de la commune, Gaston Granger est déferré devant le conseil de guerre allemand sous prétexte de désobéissance et déporté en Allemagne ainsi que quatre jeunes gens de Belloy.

    Le village avait été miné par les Allemands qui s'étaient retranchés dans des abris bétonnés. deux cents mitrailleuses allemandes étaient prêtes à riposter en cas d'attaque[14].

    Des tirs de l'artillerie française annonçant une attaque prochaine, la population de Belloy fut évacuée par les Allemands vers Brie, Saint-Christ-Briost et Vraignes-en-Vermandois. Ils y restèrent huit mois.

    Soldats du 128e régiment d'infanterie le 16 août 1916.

    Le 4 juillet 1916, la première ligne allemande fut prise par les soldats français à Dompierre-Becquincourt, Fay et Assevillers. Les soldats allemands se replièrent sur leur deuxième ligne fortifiée de Belloy-en-Santerre. Les fantassins du 35e corps d'armée et ceux du régiment de marche de la Légion étrangère montèrent à l'assaut, baïonnette au canon, sur un terrain découvert. Ils furent mitraillés à 300 m des lignes allemandes[15] - [16]. Néanmoins, malgré le nombre élevé de victimes (900 tués[17]) — Parmi eux figuraient le poète américain Alan Seeger, des Catalans dont Camil Campanyà i Mas, des Luxembourgeois...), les Français furent maîtres du terrain mais durent subir plusieurs contre-attaques. Le 8 juillet, les Allemands se replièrent[14].

    En mars 1918, au cours de la bataille du Kaiser, le front allié fut enfoncé par l'armée allemande et Belloy-en-Santerre fut une nouvelle fois occupée. À partir du 8 août, la contre-offensive des Alliés libéra Belloy et le Santerre définitivement.

    La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [18].

    Entre-deux-guerres

    Totalement en ruine[19], le village de Belloy-en-Santerre est à reconstruire. Pendant l'Entre-deux-guerres, la commune touche des dommages de guerre pour les biens communaux. Elle bénéficie aussi du soutien financier de ses parrain et marraine de guerre : le canton de Beaumont-le-Roger (Eure) et surtout la ville de Barcelone qui, en 1923, fait un don de 500 000 francs permettant ainsi de reconstruire la mairie et l'église, d'installer un réseau d'eau potable et l'électricité[14].

    Le , le conseil municipal de Belloy-en-Santerre, à l'unanimité, vota un don de 12 000 francs « destiné à soulager la misère à Barcelone » (à la fin de la guerre d'Espagne, la capitale de la Catalogne était tombée aux mains des troupes franquistes, le )[14].

    Le nom des deux grandes rues du village, la rue de Barcelone et la rue de Catalogne, rappellent cette amitié[20].

    Seconde Guerre mondiale

    Au début de la Seconde Guerre mondiale, la Drôle de guerre prend fin brusquement le avec l'attaque allemande aux Pays-Bas, au Luxembourg et en Belgique. Après la percée allemande à Sedan, une suite de revers des armées française et britannique entraîne une avancée rapide des armées allemandes.

    Le général Weygand, nouveau commandant en chef des armées françaises depuis le , parvient à constituer une ligne de front, la « Ligne Weygand », sur le cours de la Somme. Le 25 mai, le 2e bataillon du 117e régiment d'infanterie parvient à faire reculer les Allemands, à reprendre Belloy et à y installer une position défensive. Le village est bombardé par l'aviation et l'artillerie allemandes à de nombreuses reprises mais l'armée française tient bon jusqu'au 5 juin. Les soldats du 117e encerclés se rendent néanmoins le , en début d'après-midi[14].

    Belloy-en-Santerre est libérée le par l'armée américaine, et est décoré de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze le [21]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chaulnes[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

    Intercommunalité

    La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[23].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[24] - [25] - [26]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[27], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [28].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1915 Gaston Granger
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1971 1984 Aimé Degenne
    1984 mai 2020[31] Bernard Lictevout
    juillet 2020[32] - [33] En cours
    (au 31 novembre 2020)
    Laurent Potier

    Politique de développement durable

    Le « Parc éolien du haut plateau » de 9 aérogénérateurs est réalisé en 2020 et 2021 sur les communes de Barleux, Belloy-en-Santerre et Villers-Carbonnel. Sa puissance maximale est de 31 mégawatts[34].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2020, la commune comptait 148 habitants[Note 3], en diminution de 5,73 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    390384469451405425426408405
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    389404380376409376365360369
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    35534029990180189201193196
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    182159172169162167179179166
    2015 2020 - - - - - - -
    154148-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Belloy-en-Santerre et Estrées-Deniécourt disposent d'une équipe de longue-paume, un sport de raquette picard très pratiqué en France à l’époque médiévale, dont le terrain est rue Jules-Ferry[38] - [39]

    Autres équipements

    La salle communale..

    Économie

    L'activité économique de la commune repose essentiellement sur l'agriculture.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin, reconstruite dans l'entre-deux-guerres.
    • Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, près du bois Saint-Joseph. La première chapelle date de 1882, elle a été reconstruite en 1930, après la guerre[40].
    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Histoire locale.
      Histoire locale.

    Personnalités liées à la commune

    • En 1163, Guillaume de Beeloith (Belloy) appose sa signature sur une charte de l'abbaye de Corbie.
    • En 1214, Mathieu de Beeloith doit l'hommage à Gautier, châtelain de Péronne, et Robert de Beeloi à Gilles de Marquaix.
    • En 1415, Bertrand et Baudouin de Belloy trouvent la mort à la bataille d'Azincourt.
    • Au XVe siècle, Antoine de Belloy prend le parti de Jean II de Luxembourg-Ligny[10].
    • En 1516, Jean Tassart, seigneur de Belloy épouse Jeanne de Bar, fille du bailli de Honnecourt. En 1565, Jean Tassart a des possessions à Ennemain et Croix-Moligneaux. Il est l'un des signataires de la Ligue en 1576[10].
    • En 1592, Jacques de Belloy, chevalier est seigneur de Belloy-en-Santerre.
    • En 1616, Tassart de Belloy est un partisan du maréchal d'Ancre.
    • En 1667, Marie-Diane de Belloy est dame de Belloy.
    À la mémoire d'Alan Seeger..

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition, Paris, Chaulnes et ses environs, Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).
    • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4).
    • Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2011, (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 035 -8).
    • Henri Douchet « Fasol », L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), collection Jusant, Inval-Boiron, La Vague verte, 2014 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 059 - 4)

    Liens internes

    Liens externes

    • « Belloy-en-Santerre », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. Notice géographique et historique sur la commune de Belloy-en-Santerre, rédigée par M. Lebel, instituteur, 1898, Archives départementales de la Somme.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).
    11. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, P.U.F., 1969 p. 86
    12. « Villa gallo-romaine à longue cour rectangulaire orientée au sud. », notice no ARR22_678010791ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    13. « Voie romaine Amiens-Vermand », notice no ARR22_67801051ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    14. Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4).
    15. Benjamin Merieau, « Un arbre et des plaques pour les libérateurs de la commune : Une grande cérémonie a réuni environ 500 personnes lundi 4 juillet, pour le centenaire de la libération par la Légion étrangère », Il y a 100 ans, la Grande Guerre, (consulté le ).
    16. « Belloy en Santerre », Les circuits du bleuet, Santerre 2014-2018 - La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
    17. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, 7 mai 2015, p. 41.
    18. Journal officiel du 30 octobre 1920
    19. « Le champ de bataille de Belloy-en-Santerre en 1917 », notice no 19L01651, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    20. « Belloy-en-Santerre et la Catalogne », Actualité, Santerre 2014-2018, la mémoire de la Grande Guerre dans la Somme, (consulté le ).
    21. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ), p. 43.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    24. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    25. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    26. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    27. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    28. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    29. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    30. « Les maires de Belloy-en-Santerre », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    31. « Une double page se tourne à la mairie de Belloy -en-Santerre avant les Municipales : La cérémonie des vœux a été marquée par le départ concomitant du maire sortant et de la secrétaire de mairie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « L’élu a salué les personnes qui l’ont accompagné au cours de ces 36 années à la tête de la commune, et tout particulièrement Nadine Bachelet, déjà en poste quand Bernard Lictevout prit ses fonctions de maire en 1984 (...) Nadine Bachelet a travaillé dans plusieurs écoles avant de poser ses craies à Belloy-en-Santerre où, parallèlement, elle a effectué la fonction de secrétaire de mairie de Belloy de 1981 à 2019 aux côtés de deux maires, Aimé Degenne puis Bernard Lictevout ».
    32. « Laurent Potier est le nouveau maire de Belloy-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    33. Laurence Wilczewski, « À Belloy-en-Santerre, le maire ne se laisse pas abattre : Arrivé à la tête de la commune en juin, l’ex-conseiller Laurent Potier vit un début de mandat particulier », Le Courrier picard, 31/11/2020 (lire en ligne, consulté le ).
    34. Vincent Fouquet, « De nouvelles éoliennes vont sortir de terre à Barleux, Belloy-en-Santerre et Villers-Carbonnel », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Les sports picards toujours debout : Ballon au poing, longue paume, javelot tir sur cible… Ces sports, qui sont des spécificités picardes, font partie du patrimoine local. Et pourtant, ils ont souvent du mal à rester attractifs », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    39. « Longue-paume : L’équipe de Belloy-en-Santerre et Estrées-Deniécourt remporte le challenge Raynal à Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    40. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 239 (ASIN B000WR15W8).
    41. Vincent Fouquet, « Hommage au poète américain à Belloy-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    42. « Deux plaques mémorielles dévoilées à Belloy-en-Santerre : Elles sont désormais installées sur la façade de la mairie de Belloy-en-Santerre. Deux plaques mémorielles ont été dévoilées samedi 26 septembre, dans la matinée, lors d’une commémoration », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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