Berny-en-Santerre
Berny-en-Santerre est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Berny-en-Santerre | |||||
L'église Saint-Vaast. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC Terre de Picardie | ||||
Maire Mandat |
Francis Leroy 2020-2026 |
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Code postal | 80200 | ||||
Code commune | 80090 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
151 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 56″ nord, 2° 51′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 87 m |
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Superficie | 4,43 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Péronne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Description
Berny-en-Santerre est un village rural picard du Santerre situé dans l'est du département de la Somme, à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Péronne, 32 km à l'ouest de Saint-Quentin et à 38 km à l'est d'Amiens.
L'autoroute A1 traverse le territoire communal, desservie par sa sortie no 13 et par l'ex-route nationale 29 actuelle RD 1029). La Gare TGV Haute-Picardie, sur la LGV Nord, est à proximité immédiate de la commune. La Gare de Chaulnes sur la ligne d'Amiens à Laon est également proche de Berny-en-Santerre. Les trains régionaux TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Tergnier ou de Laon s'y arrêtent.
Le paysage de la commune est celui d'un plateau quelque peu vallonné à l'est[1]. Le sol et le sous-sol de la commune de Berny-en-Santerre sont pour la majeure partie de nature argileuse et à l'est calcaire. On trouve également de la terre glaise à l'est[1].
Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique était située à la fin du XIXe siècle à 25 m en dessous du niveau du sol[1].
Le climat de la commune est tempéré océanique dit séquanien.
Communes limitrophes
Urbanisme
Présentation
La commune présente un habitat groupé.
Le village détruit au cours de la Première Guerre mondiale a été entièrement reconstruit pendant l'entre-deux-guerres.
Typologie
Berny-en-Santerre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,9 %), zones urbanisées (5,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Berni (1177.) ; Breny (1434-1435.) ; Bregny (1648.) ; Berny (1757.) ; Berny-en-Santerre (1836.)[9].
Il est possible que le nom du village provienne du vieux français Bernis (toile grossière)[10] - [11] ou du patois picard berny, un « endroit spacieux »[12].
Le Santerre est une région naturelle de France située au cœur de la Picardie, et de l'actuelle région Hauts-de-France.
Histoire
Antiquité
L'origine de Berny-en-Santerre remonterait à l'époque gauloise[13].
L'archéologie aérienne fait plus sûrement remonter l'existence du lieu à Antiquité : une photographie aérienne prise par Roger Agache en 1983 montre la présence de substructions d'une villa romaine[14].
Moyen Âge
La première mention du lieu nommé Berny date du Moyen Âge, dans un diplôme de Charles II le Chauve de 867[15].
Avant le milieu du XIe siècle, la seigneurie passa par alliance à la maison de Breteuil[1].
En 1090, des biens situés à Berny-en-Santerre furent parmi les premières donations faites à l'abbaye Saint-Vaast d'Arras puis à la prévôté de Mesnil-en-Arrouaise. L'abbaye Saint-Vaast garda la dîme et le patronage de la cure dépendante du doyenné de Curchy.
En 1214, Simon de Berni, seigneur du lieu devait l'hommage à Gautier, châtelain de Péronne[13].
Depuis des temps immémoriaux, c'est la coutume de Péronne qui était respectée[1].
Époque moderne
En 1589, Antoine de Berny était receveur général de la Ligue en Picardie.
Au XVIIIe siècle, la seigneurie de Berny-en-Santerre était aux mains de la Maison de Rouvroy de Saint Simon[13].
Première Guerre mondiale
Pendant la Première Guerre mondiale, le village se trouve en première ligne, particulièrement en pendant la bataille de la Somme de 1916[16]. Le 17 septembre 1916, Berny-en-Santerre est repris par la Xe armée française qui fait 1 400 prisonniers allemands. En 2016, le village a commémoré cette bataille en nomment sa place « place du 17-Septembre-1916 »[17].
En mars 1918, le village est repris par l'armée allemande au cours de la bataille du Kaiser. Il est définitivement libéré par les armées alliées en août 1918.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[18] et est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [19].
Seconde Guerre mondiale
Au début de la Seconde Guerre mondiale, les habitants de Berny sont évacués sur ordre de la préfecture de la Somme. Des combats de la bataille de France se déroulent sur le territoire communal[20].
La commune est située dans la zone des combats de la bataille de l'Aisne et de la Somme lors de la Seconde Guerre mondiale. En effet la commune, comme Fresnes-Mazancourt, Marchélepot, Misery, Licourt, Pertain et Villers-Carbonnel fait partie de la ligne Weygand dont la défense est confiée au 22e Régiment de Marche de Volontaires Étrangers (22e RVME)[21] - [22] - [23].
Du 4 au 7 juin 1940, les 2 500 hommes du régiment bloquent l'avance de l'armée allemande. Succombant sous le nombre des attaques d'infanterie, des panzers et des bombardements de l'aviation, de l'artillerie, 800 hommes sont faits prisonniers[22].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chaulnes[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.
Intercommunalité
La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[25].
Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[26] - [27] - [28]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[29], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [30].
Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[31].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2020, la commune comptait 151 habitants[Note 3], en diminution de 2,58 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
L'agriculture reste l'activité dominante de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Vaast : reconstruite dans l'entre-deux-guerres, œuvre de l'architecte Louis Duthoit[39].
- Monument aux morts : construit en 1926 par Louis Duthoit.
- L'église dans la verdure.
- Autre vue de l'église.
- Monument aux morts.
- Paneau d'histoire locale.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Galiot Mandat de Grancey, chevalier, dernier seigneur de Berny-en-Santerre (1731-1792), commandant de la Garde nationale de Paris, le , chargé de la défense du Palais des Tuileries.
- C'est à Berny-en-Santerre que sont arrêtés le 26 février 1820, par Vidocq des membres de la bande de voleurs et d'assassins surnommés les Chauffeurs du Santerre qui terrorisaient la région[40] - [41].
Pour approfondir
Bibliographie
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partiellesous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2)
- Henri Douchet « Fasol », L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), collection Jusant, Inval-Boiron, La Vague verte, 2014 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 059 - 4)
- Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4)
- Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2011, (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 035 -8).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- « Dossier complet : Commune de Berny-en-Santerre (80090) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Berny-en-Santerre », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Notice géographique et historique sur la commune de Berny-en-Santerre, rédigée par M. Pilet, 1898/99, instituteur, Archives départementales de la Somme
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 109 (lire en ligne sur DicoTopo)
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, 1868-1877, Archives départementales de la Somme, Amiens
- Lire en ligne l'ouvrage de Jacques Garnier sur le site des Archives départementales.
- Jules Corblet, Glossaire étymologique et comparatif du patois picard ancien et moderne, , p. 214.
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).
- « Villa gallo-romaine. », notice no ARR22_83801104ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 p. 95 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).
- « Septembre 1916 », La Grande guerre...au jour le jour (consulté le ).
- « Reprise du village par l'armée française le 17 septembre 1916 », Vivre le centenaire, sur http://www.somme14-18.com/ (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 30 octobre 1920
- Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2011, pp. 58-59 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 035 -8).
- 22e R.M.V.E. Marchélepot Fresnes-Mazancourt Misery
- MARCHELEPOT Il y a 75 ans, c’était la guerre dans le village
- La bataille de la Somme et de l'Aisne
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
- « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
- « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
- « Les maires de Berny-en-Santerre », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Francis Leroy se représente aux élections municipales à Berny-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À Berny-en-Santerre, il faudra compter avec Francis Leroy pour les municipales 2020. L’agriculteur de 49 ans se représente pour un troisième mandat, accompagné de sa liste actuelle, à l’identique ».
- Vincent Fouquet, « Berny-en-Santerre: troisième mandat pour Francis Leroy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 2008, Francis Leroy a été réélu pour la troisième fois mardi 26 mai en soirée ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4).
- Adrien Varloy, Les Chauffeurs du Santerre, 1907, réédition, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse Res Universis, 1991 pp. 62-87 (ISBN 2 - 87 760 - 476 - 4).
- Hubert Van Melkebeke, « Rosières-en-Santerre ravive l’affaire des chauffeurs du Santerre : À l’occasion de la pose d’une nouvelle plaque au calvaire de la guillotine, Michel Lefèvre, habitant de la rue de la Guillotine qui a milité pour qu’elle porte ce nom, rappelle la rocambolesque histoire de ceux qui chauffaient les pieds de leurs proies au XIXe siècle », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).