Vitry-en-Artois
Vitry-en-Artois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Vitry-en-Artois | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Osartis Marquion (siège) |
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Maire Mandat |
Pierre Georget 2020-2026 |
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Code postal | 62490 | ||||
Code commune | 62865 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vitryens | ||||
Population municipale |
4 732 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 252 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 19′ 35″ nord, 2° 59′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 41 m Max. 72 m |
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Superficie | 18,78 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Brebières | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | vitryenartois.fr | ||||
La commune est le siège de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 302 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Scarpe canalisée, cours d'eau d'une longueur de 67 km, qui prend sa source dans la commune d'Arras et se jette dans L'Escaut canalisée au niveau de la commune de Mortagne-du-Nord dans le département du Nord[1].
Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1] : la vallée de la Scarpe entre Arras et Vitry-en-Artois, d’une superficie de 1 632 hectares et d'une altitude variant de 43 à 62 mètres. Sur ce site alluvial inondable plus ou moins tourbeux on y trouve des sites remarquables : le marais de Vitry en Artois, le marais du pont à Rœux et le secteur des anciennes tourbières de Plouvain et Biache-Saint-Vaast[2].
Urbanisme
Typologie
Vitry-en-Artois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[6] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France par la population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,9 %), zones urbanisées (11,8 %), prairies (7,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), forêts (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes « Victoriacum villa publica quæ in suburbano Abrebatensis urbis sita est » (VIIe siècle) ; Victoriacu (VIIIe siècle) ; Victuriacum (XIe siècle) ; Vitri (1122) ; Viteri (1143) ; Vitris (1149) ; Vitreium (1188) ; Vitriacum (1192) ; Victreium (1194) ; Viteriachum (1207) ; Viteriacum (1210) ; Vittriacum (1279) ; Vittri (XIVe siècle) ; Vitteri (XIVe siècle) ; Vitri-en-Artois (XIVe siècle) ; Vitryacum prope Duacum (1407) ; Vitery (1408) ; Vuitry (1429) ; Vietri (1518) ; Vittry (1523) ; Vitry (1671)[13].
L'origine du nom de Vitry remonterait à un nom de personne gallo-romain Victorius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Victoriacum, « domaine de Victorius »[14]
Variante en -y de Vitrac. Du latin *Victoriacus → voir Victor et -ac, le mot fait aussi Vitray.
L’Artois est un pays traditionnel et une province du royaume sous l’Ancien Régime, ayant pour capitale Arras, aujourd’hui inclus principalement dans le département du Pas-de-Calais.
Histoire
Les recherches archéologiques indiquent que la ville existait bien longtemps avant l'époque de Jésus-Christ.
Des fouilles ont attesté la présence de vestiges de constructions rurales du Moyen Âge et de l'époque paienne[15].
Plusieurs rois (Clodion le Chevelu, Clotaire Ier, Sigebert Ier, Chilpéric) auraient vécu à Vitry-en-Artois[16], Sigebert Ier y étant assassiné sur ordre de Frédégonde reine de Neustrie, y compris un roi d'Espagne, lors de l'occupation espagnole.
De nombreuses familles de Vitry-en-Artois seraient arrivées à cette époque. Lors de l'attaque de Cambrai sur Vitry-en-Artois pour chasser les Espagnols (« guerre de Vitry »), les habitants se seraient cachés dans les souterrains qui allaient du château à l'église et à diverses maisons. Actuellement, de nombreuses maisons ont encore accès au souterrain par leur cave bien que la plupart en aient muré l'accès.
Vitry a donné son nom à une famille noble de l'Artois[17].
Avant la Révolution française, Vitry était le siège d'une seigneurie. En janvier 1756, la seigneurie de Noeu et la seigneurie vicomtière de La Barre sont réunies sous le nom de la terre de Vitry-de-la-Barre érigée en baronnie, relevant du château de Béthune. La terre de Noeu possède toute la justice seigneuriale, beaucoup de vassaux en relèvent qui doivent des revenus en argent, grains, volailles, etc.; elle possède un moulin à vent et droit de chasse au plomb. La terre de La Barre limitrophe de la première consiste en rentes d'argent, volailles, et possède la moyenne et basse justice seigneuriale[17].
Famille de Vitry
- François de Vitry est seigneur de Breucq, Lovoières et Tressenes. Il est fait chevalier par Philippe IV en mai 1645[17].
- Jean François de Vitry est fils de François de Vitry. Il épouse en 1683 Isabelle de Melun (maison de Melun).
- Barhélémy François de Vitry est fils de Jean François de Vitry.
- Barthélémy Hippolyte de Vitry, fils de Barthélémy François, chevalier de Saint-Louis, ancien capitaine de grenadiers dans les troupes du roi , seigneur de Noeux et de la seigneurie vicomtière de La Barre, bénéficie en janvier 1756 de lettres données à Versailles le faisant baron. Il a servi comme lieutenant-capitaine au régiment du Dauphin, a été capitaine de grenadiers, a assisté aux divers sièges et batailles des trois campagnes d'Italie en 1733, 1734 1735. Il a été blessé à la bataille de Guastalla. Il a ensuite servi en Allemagne et en Flandre, notamment au siège de Mons en Hainaut, où, ayant pris avec sa troupe un ouvrage à corne, s'y est maintenu malgré le feu redoublé des assiégés. Il a participé à la bataille de Rocourt le , y a perdu la moitié de sa compagnie et a été fait chevalier de Saint Louis. Il a été député des États d'Artois en 1753. Il a eu deux oncles morts au service, l'un à la bataille de Fredlinghen, l'autre au siège de Turin. Son frère, le chevalier de Vitry, est mort au service à la bataille de Fontenoy en 1745[17].
- Vers 1770, Philippe Hippolyte de Vitry, marié à Marie Louise Françoise de Poucques, est seigneur de Malfiance. Leur fille Marie Angélique Louise Joseph épouse à Saint-Omer le François Joseph de Wazières, seigneur de Mussen sur Ecques[18].
Le la gare de Vitry-en-Artois est mise en service par la compagnie des chemins de fer du Nord, lorsqu'elle ouvre la section d'Arras à la frontière de sa ligne de Paris à Lille et à la frontière belge[19] - [20].
Le , un décret modifie le nom de la commune de Vitry (Pas-de-Calais) qui devient Vitry-en-Artois[21].
Première Guerre mondiale
Lors de la Première Guerre mondiale, le village est bombardé dès le mois d'. Le , il est presque totalement détruit, seules cinq maisons étant « encore debout »[22].
La gare est reconstruite dans les années 1920 sur un modèle employé pour de nombreuses gares des alentours après la Première Guerre mondiale[23].
Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'aérodrome de Vitry en Artois a été le premier aérodrome réoccupé par un groupe français des FAFL en provenance d'Angleterre le . Ce jour est toujours commémoré tous les ans et une stèle à l'entrée de l'aérodrome rappelle l'événement.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Brebières.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2020, la commune comptait 4 732 habitants[Note 4], en augmentation de 2,31 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 254 hommes pour 2 422 femmes, soit un taux de 51,80 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
La braderie de la Pomme d'amour, qui a lieu à l'Ascension et est animée par la confrérie de la Pomme d'amour, créée en 2004 afin de promouvoir cette sucette anisée, friandise locale créée et produite par la confiserie Jeanne-d'Arc de Vitry, magasin créé en 1888 par Henri Douvrain[35].
Chilpéric, géant local.
Le marché de Noël, avec une douzaine de chalets et la présence d'artisans dans la salle polyvalente[36]
Médias
Outre la presse locale, il existe la Radio Scarpe Sensée, ancienne radio pirate devenue légale lors du premier mandat de François Mitterrand, et qui se concentre désormais sur le social, la culture et l'éducation des habitants du territoire[37].
Économie
En 2018, la commune dispose d'un commerce de centre-ville dynamique et attractif, ainsi que d'un marché hebdomadaire qui regroupe une quinzaine de commerçants[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château n'existe plus.
- L'église Saint-Martin, de style gothique et détruite en partie lors d'un bombardement allié en , fut reconstruite en 1923 par l’architecte, M. Mulard, selon les plans d'origine. Les piliers seront en grès poli de Saverne, et le bâtiment est en grès rose d’Alsace [39] - [40].
Le bâtiment est notamment remarquable par sa verrière historiée, qui reflète la politique de reconstitution des vitraux des églises du nord de la France détruites pendant le conflit[41].
Elle contient un orgue Cavaillé-Coll électrifié en 1970[42] - Le monument aux morts[43].
- La crypte des décapités de Munich, situé à la sortie de Vitry-en-Artois, en direction de Sailly-en-Ostrevent au lieu-dit « le Mont Métier », où reposent les cendres de neuf membres de l’organisation de Résistance mise sur pied par Georges Detrez et Désiré Facon arrêtés la nuit du 13 au . Vingt-huit personnes sont déportées et 9 d'entre-elles sont condamnées à mort par le Tribunal du Peuple nazi, et ont été décapitées et incinérées à Munich le .
Ramenées en France en 1947, les neuf urnes sont, quelque temps, exposées dans le chœur de l’église Saint-Martin, puis abritées dans le mémorial, inauguré le par le général de Larminat et le préfet Georges Phalempin[44]. - La gare ferroviaire de Vitry-en-Artois.
- L’aérodrome de Vitry-en-Artois ou de Vitry-Brebières a accueilli, en 1944, le retour en France du Groupe de bombardement Lorraine. Cédé par l'Aviation civile à un syndicat intercommunal (SIVU) rassemblant Brebières et Vitry, il est géré par la communauté de communes Osartis Marquion. La ville de Brebières souhaitant créer un parc éolien, le conseil communautaire a décidé en de mettre fin à l'activité aérienne d'avions légers, pour laisser subsister celle des ULM[45].
- L'église Saint-Martin.
- Le monument aux morts.
- La gare.
La commune dans les arts
- 2020 : Une belle équipe, film réalisé par Mohamed Hamidi, acteur principal Kad Merad.
Personnalités liées à la commune
- Sigebert Ier, roi mérovingien, assassiné à Vitry-en-Artois en 575[46] - [47].
- Philippe de Vitry (1291–1361), prélat et compositeur, peut-être né à Vitry-en-Artois.
- Gilbert Mathon (1941-), homme politique français, né à Vitry-en-Artois.
- Fabien Lecœuvre (1958-), attaché de presse, chroniqueur télé et radio et auteur d'ouvrages sur la chanson française, né à Vitry-en-Artois.
Héraldique
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Les armes de Vitry-en-Artois se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Vitry-en-Artois », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Vitry-en-Artois » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Scarpe canalisée (E2--0110) (E2--0110) » (consulté le )
- « ZNIEFF 310013375 - La vallée de la Scarpe entre Arras et Vitry-en-Artois », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 390.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 727.
- Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public - 1992 - 214 pages (Jean-Marie Pesez, Archéologie de la maison paysanne).
- Page "Histoire" du site de la mairie
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 87, lire en ligne.
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.293-294 (lire en ligne).
- J.B. Richard (pseudo de Jean-Marie-Vincent Audin), Les Chemins de Fer par Richard : Chemin de fer du Nord. De Paris à la frontière de Belgique par Lille et Valenciennes... Itinéraire, etc, Paris, L. Maison, éditeur, , 49 + annexes (lire en ligne), « Itinéraire », p. 36.
- François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Les 80 premières lignes, 1828-1851, F. et M. Palau (réimpr. 2003) (1re éd. 1995), 217 p. (ISBN 978-2-9509421-0-4 et 2-9509421-0-5, BNF 35772084), « 3.11 Paris à Lille et Valenciennes », p. 119-120.
- J. B. Duvergier, « Table chronologique : 3 août », Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements, et avis du Conseil d'Etat,‎ , p. 487 (lire en ligne, consulté le ).
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- Notice STIENNE Louis par Christian Lescureux, version mise en ligne le 11 février 2015, dernière modification le 15 octobre 2016
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Géraldine Csizmadia, « Vitry-en-Artois: Parmi dix engagements, un espace sportif et du logement : Depuis sa réélection, Pierre Georget et son équipe municipale s’attachent à poursuivre le dialogue avec les habitants, dans les boîtes aux lettres, mais aussi sur internet. Il détaille les principaux chantiers du mandat qui débute, marqué notamment par la construction de logements, d’un Ehpad, d’un béguinage », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- Bruno Place, « L'interview du maire : « Le bonheur fleurit à Vitry », L'Observateur de l'Arrageois, no 650,‎ , p. 9.
- Bruno Place, « L'agenda de Vitry-en-Artois », L'Observateur de l'Arrageois, no 650,‎ , p. 9.
- Bruno Place, « La vie associative : de Loisirs à Scarpe Sensée », L'Observateur de l'Arrageois, no 650,‎ , p. 10.
- « Un bonbon fait la renommée de la ville : La Pomme d'amour fait connaître Vitry-en-Artois dans toute la France, grâce à sa confrérie et à la journée de l'Ascension qui la célèbre », L'Observateur de l'Arrageois, no 650,‎ , p. 8.
- Clochers.org
- 40000clochers.com
- « Vitry-en-Artois, église Saint-Martin », sur https://www.patrimoine-histoire.fr, (consulté le ).
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- Site "memoiresdepierre"
- Bruno Place, « Les richesses de la ville », L'Observateur de l'Arrageois, no 650,‎ , p. 8.
- Bruno Place, « Fini les avions, place aux ULM : La communauté de communes a décidé de fermer l’aérodrome de Vitry-Brebières. Le terrain est donc réservé aux ULM, disposant d'une piste réduite », L'Observateur de l'Arrageois, no 826,‎ , p. 7.
- Richard, Guide du voyageur en France, éd. Hachette, 1861.
- A. Bouthors, Coutumes locales du bailliage d'Amiens rédigées en 1507, éd. Société des Antiquaires de Picardie, 1853.