Ecques
Ecques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Ecques | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | CA du Pays de Saint-Omer | ||||
Maire Mandat |
Brigitte Merchier 2020-2026 |
||||
Code postal | 62129 | ||||
Code commune | 62288 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Ecquois | ||||
Population municipale |
2 178 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 173 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 40âČ 15âł nord, 2° 17âČ 14âł est | ||||
Altitude | Min. 25 m Max. 80 m |
||||
Superficie | 12,59 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Fruges | ||||
LĂ©gislatives | 8e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.mairie-ecques.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
La commune est située à 250 km de Paris, à 64 km de Lille, à 50 km de Calais et Boulogne-sur-Mer, dans la vallée de la Melde et au pied du plateau d'Helfaut (milieu naturel remarquable).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est drainée par quatre cours d'eau :
- la Melde du Pas-de-Calais, d'une longueur de 15,29 km, qui prend sa source dans la commune d'Helfaut et se jette dans le bras de décharge de la lys oduel au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[1] ;
- le ruisseau du bois fauchez du ravin d'ecques, d'une longueur de 9,97 km, qui prend sa source dans la commune de Dohem et se jette dans le Lauborne au niveau de la commune[2] ;
- le Lauborne, d'une longueur de 3,46 km, qui prend sa source dans la commune et qui se jette dans la Melde du Pas-de-Calais au niveau de la commune[3] ;
- le Chùteau de Laprée, d'une longueur de 1,85 km, qui prend sa source dans la commune et qui se jette dans le Lauborne au niveau de la commune[4].
La commune abritait plusieurs puits artĂ©sien, dont au moins neuf alimentaient naturellement (sans pompe, avec un dĂ©bit de plus de 1 m3/h) les cressonniĂšres de M. Basseur, puis Ă la suite du creusement d'un forage, par l'entreprise Bonduelle (en 1970)[5]. La plupart des puits avaient le mĂȘme exutoire, le Lauborne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[6].
ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000
|
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : les BruyĂšres d'Ecques, dâune superficie de 59 hectares et d'une altitude variant de 31 Ă 61 mĂštres. Cette ZNIEFF est une petite colline surplombant la vallĂ©e de la Lauborne et qui se compose dâargile de Louvil et de tuffeau de Saint-Omer, surmontĂ©e de sables et de grĂšs dâOstricourt. On y trouve la lande mĂ©sophile Ă callune commune et la bruyĂšre cendrĂ©e[7].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la moyenne vallĂ©e de lâAa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallĂ©e de lâAa et ses versants reprĂ©sentent un remarquable ensemble Ă©cologique associant des habitats trĂšs diffĂ©rents constituant des complexes de vĂ©gĂ©tations souvent complĂ©mentaires[8].
Site Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels dâintĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les Ătats Membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[9].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les pelouses, bois acides à neutrocalcicoles, landes nord-atlantiques du plateau d'Helfaut et le systÚme alluvial de la moyenne vallée de l'Aa d'une superficie de 389 hectares et répartis sur 14 communes[10].
Urbanisme
- Une entrée de la commune.
- La place.
Typologie
Ecques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [11] - [12] - [13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14] - [15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), prairies (9,3 %), zones urbanisĂ©es (6,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,1 %), forĂȘts (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,9 %)[16].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[17].
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 77, D 189 et D 201 et est limitrophe de la sortie no 4 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[18].
Transports
La commune se trouve à 12 km, au sud, de la gare de Saint-Omer, située sur les lignes de Lille aux Fontinettes et de Saint-Omer à Hesdigneul, desservie par des trains TER Hauts-de-France[19].
Les transports, notamment scolaires, sont assurés par Mouvéo, le service de transports en commun de l'agglomération de Saint-Omer.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes suivantes : Hescha en 1088 ; Escha en 1123 ; Esca en 1139 ; Eca vers 1140 ; Ekae en 1159 ; Eska en 1179 ; Heka en 1181-1185 ; Heska en 1190-1198 ; Eske en 1225-1227 ; Elske en 1254 ; Eska en 1270 ; Ekes au XIIIe siÚcle ; Esque en 1505 ; Esk en 1560 ; Esques-lez-Westecques en 1679[20] - [21] ; Ecque en 1793 et Ecques depuis 1801[22].
Ernest NĂšgre voit dans le nom d'Ecques le germanique aski « frĂȘne », qui est une formation que l'on retrouve dans quelques communes de la rĂ©gion : Acq, Ascq et Aix-en-Issart[20].
Ăcques en picard et Eske en nĂ©erlandais.
Histoire
Moyen Ăge
En 1159, l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer possĂšde une ferme Ă Houlle, laquelle devait des redevances Ă Walter, fils d'Hugues d'Ecques[23].
Plusieurs « terriers » anciens dont le « terrier d'Ecques »[24] daté de 1613 et d'autres comprenant des éléments généalogiques sont conservés dans le fonds d'archives locales de la bibliothÚque de la communauté d'agglomération de Saint-Omer[25]. Le plus ancien date de 1535 [26].
Temps modernes
Ecques était le siÚge d'une seigneurie principale portant le nom de la commune. à cÎté de celle-ci, existaient des fiefs donnant au détenteur le nom de seigneur comme le fief de Mussen.
Seigneurs de Mussen Ă Ecques
- François de Bacquelrode, écuyer, est seigneur de Mussen vers 1700. Il a épousé Antoinette Waresquiel. Leur fille Antoinette Albertine se marie le à Lille avec Claude François de WaziÚres, né à Marquette-lez-Lille en août 1676 (baptisé le ), écuyer et seigneur d'Hollebecque sur Marquette. Il est le fils de Jean André François de WaziÚres, chevalier, seigneur de Beaupré (sur Haubourdin), capitaine de cavalerie espagnole, bourgeois de Lille, échevin, mayeur, rewart (chargé de la police) de Lille, et de Marie Jeanne Henriette de Vicq. Claude François accÚde à la bourgeoisie de Lille le [27].
- Claude François Joseph de WaziÚres, écuyer, fils de Claude François et d'Antoinette Albertine de Bacquelrode, récupÚre la seigneurie de Mussen.Il nait à Marquette-lez-Lille le et meurt à Ecques le . Il épouse Jeanne ThérÚse Penant, fille de Martin et de Marie Joseph Lheureux. Née en 1698, veuve de de Nicolas Joseph Ogier, elle meurt le [28].
- François Joseph de WaziĂšres, Ă©cuyer, succĂšde Ă son pĂšre Claude François Joseph dans la seigneurie de Mussen. Il est le dernier seigneur du lieu en raison de la RĂ©volution française, qui supprime les titres de noblesse et/ou de fĂ©odalitĂ©. Il nait Ă Ecques le et meurt Ă BrĂȘme (Ă©migration française) le 3 juin 1793 ou 1797. Il Ă©pouse Ă Saint-Omer le Marie AngĂ©lique Louise Joseph de Vitry, fille de Philippe Hippolyte Joseph, seigneur de Malfiance (sur Reclinghem?) et de Marie Louise Françoise de Poucques. NĂ©e le , elle meurt le , Ă 76 ans. Leur fils Louis Jean Baptiste Joseph (1774-1853) va hĂ©riter du titre de comte de WaziĂšres et va habiter avec son Ă©pouse ThĂ©rĂšse Charlotte ThĂ©rĂšse Sion au chĂąteau du Vert-Bois Ă Bondues[29]. Le titre de comte de WaziĂšres va se transmettre jusqu'Ă Gaston Louis nĂ© Ă Douai en 1852; les de WaziĂšres restent prĂ©sents Ă Ecques jusqu'au milieu du XIXe siĂšcle[30]. Un descendant Jules Louis Joseph (1820-1880), nĂ© Ă Ecques, mort au VĂ©sinet, capitaine au 2e rĂ©giment de voltigeurs de la garde impĂ©riale (sous le Second Empire) a Ă©tĂ© chevalier de la LĂ©gion d'honneur, et membre de 3e classe de l'Ordre de Sainte-Anne de Russie[31].
Révolution française et Empire
La commune, instituée par la Révolution française, absorbe en 1799 celle de West-Ecques[32]
Ăpoque contemporaine
Le village, durant la Seconde Guerre mondiale a été victime de plusieurs bombardements. En effet, il a pendant des mois représenté une menace pour Londres à cause des missiles lancés depuis l'actuel chùteau d'eau.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
Ecques était membre de la communauté de communes de la Morinie, créée en 1994.
Compte tenu de la réforme territoriale, la petite taille de cette intercommunalité lui imposait de se regrouper avec une ou des autres structures intercommunales[33] - [34].
C'est dans ce cadre qu'elle a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer (CAPSO), dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Aire-sur-la-Lys[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Ecques intÚgre le canton de Fruges[35].
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la huitiÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La commune administre une école maternelle et une école élémentaire[43].
Population et société
DĂ©mographie
Ses habitants sont appelĂ©s les Ecquois[44] et leur nom jetĂ© ou sobriquet est : chĂ©s agaches d'Ăcques (« les pies d'Ecques »).
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[46].
En 2020, la commune comptait 2 178 habitants[Note 7], en augmentation de 5,01 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 33,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). De mĂȘme, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 24,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 054 hommes pour 1 098 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
Le 14 juillet a lieu une course à pied : les Foulées ecquoises, suivie au soir d'un feu d'artifice sur le terrain de football de la commune et d'une marche aux flambeaux.
Le foyer rural fédÚre différentes actions sportives et culturelles (club de tir à l'arc, boules, bals folks, contes).
L'automne venu, l'association Alternative monte le festival de musique d'Ecqu'ouvertes depuis 2004[50].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Nicolas, dont il existe des traces depuis le XIIe siÚcle[51]. Elle héberge 15 éléments patrimoniaux classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques[52].
- Le monument aux morts[53]
- L'Ă©glise Saint-Nicolas.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- André Bertin (de) (1912-1994), coureur cycliste français, né dans la commune.
HĂ©raldique
Blason | CoupĂ© : au 1er d'azur Ă un soleil couchant d'or, au 2d de sinople Ă un Ă©pi de blĂ© feuillĂ© d'or posĂ© en bande ; Ă la divise du mĂȘme brochant sur la partition chargĂ©e d'une Ă©glise du mĂȘme issant d'un trait courbĂ© vers le chef, le clocher brochant sur l'azur ; le tout enfermĂ© par une bordure d'or chargĂ©e de dix feuilles de chĂȘne de sinople, deux affrontĂ©es en chef, trois montantes aux flancs et deux adossĂ©es en pointe[54]. |
|
---|---|---|
Détails | Adopté le . |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Ecques » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© de type 4 apparaĂźt comme une transition entre l'ocĂ©anique franc (type 5) et lâocĂ©anique dĂ©gradĂ© (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit dâune fine bande tandis qu'Ă lâOuest, cette transition s'Ă©largit jusqu'Ă atteindre plus de 150 km. Elle affecte Ă©galement le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne Ă l'Aveyron et le nord des PyrĂ©nĂ©es. La tempĂ©rature moyenne annuelle est assez Ă©levĂ©e (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilitĂ© interannuelle moyenne. Les prĂ©cipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, lâĂ©tĂ© Ă©tant assez sec. (Source : CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Melde du Pas-de-Calais (E3610750) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau du bois fauchez du ravin d'ecques (E3610820) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Lauborne (E3610800) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Chùteau de Laprée (E3610810) » (consulté le )
- rapport BRGM dec 1972, PDF, 35 pp
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « ZNIEFF 310013771 - Les BruyÚres d'Ecques », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013266 - La moyenne vallĂ©e de lâAa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
- « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du MinistÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le )
- « Natura 2000 FR3100487 - Pelouses, bois acides à neutrocalcicoles, landes nord-atlantiques du plateau d'Helfaut et systÚme alluvial de la moyenne vallée de l'Aa », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Omer », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Saint-Omer », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, GenÚve, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 731
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 130.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplÎmes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1159.
- Extraits du Terrier d'Ecques, Antiquaires de la Morinie
- SĂ©rie 2G qui regroupe les archives du chapitre de Saint-Omer, qui inclut divers cueilloirs et terriers de la proche campagne de Saint-Omer oĂč le Chapitre avait des possessions.
- conservé sous la cote 2.G.2317, date de 1613. Il est donc intéressant, car antérieur aux registres paroissiaux, qui débutent en 1626
- Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,â 1906-1909, p.289-293 (lire en ligne).
- Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,â 1906-1909, p.293 (lire en ligne).
- Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,â 1906-1909, p.293-294 (lire en ligne).
- Paul Denis du PĂ©age, « Recueil de gĂ©nĂ©alogies lilloises - tome I », Recueil de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes de la province de Cambrai, vol. 12,â 1906-1909, p.294-296 (lire en ligne).
- [Dossier LH//2749/81] « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Loi du 28 fructidor an VIII qui rĂ©unit la commune de Westecques Ă la commune d'Escques, canton de ThĂ©rouanne, dĂ©partement du Pas-de-Calais », Collection gĂ©nĂ©rale des lois et des actes du corps lĂ©gislatif,â messidor, thermidor et fructidor an vii, p. 542 (lire en ligne, consultĂ© le ) sur Google books.
- Marie Jansana, « IntercommunalitĂ© : la Morinie vit ses derniĂšres annĂ©es : La communautĂ© de communes de la Morinie sait quâau 1er janvier 2017, de par sa petite taille, elle disparaĂźtra. NĂ©anmoins, elle pense Ă lâavenir de ses habitants et poursuit les dossiers quâelle a lancĂ©s », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Marion Clauzel, « CommunautĂ© de communes de la Morinie : lâimpossible redĂ©coupage : La refonte des collectivitĂ©s territoriales fait causer au sein de la Morinie. MĂȘme si aucune dĂ©cision nâa encore Ă©tĂ© prise en conseil municipal, mĂȘme si on ne connaĂźt pas encore le seuil critique du nombre dâhabitants exigĂ© par la nouvelle rĂ©forme, les cartes sont bel et bien en train dâĂȘtre battues », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Décret n° 2014-233 du 24 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Pas-de-Calais, sur Légifrance.
- « Les maires de Ecques », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Bruno Delannoy (CLP), « Projets des maires, Yves Bertin Ă Ecques: deux mandats dâadjoint puis deux de maire avec la volontĂ© dâaider la commune : Lors des derniĂšres municipales, Yves Bertin a eu la surprise dâune opposition venue de son camp. Ă sa tĂȘte, Philippe Fardoux, lâancien maire, dont il fut lâadjoint, qui avait quittĂ© six ans auparavant « un poste trop prenant faute de temps ». Les Ecquois ont largement ratifiĂ© les propositions du sortant », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Bruno Delannoy, « Ecques : Brigitte Merchier Ă©lue maire aprĂšs le dĂ©cĂšs dâYves Bertin : Brigitte Merchier, premiĂšre adjointe, a Ă©tĂ© Ă©lue maire, mardi 3 fĂ©vrier, en remplacement dâYves Bertin, dĂ©cĂ©dĂ© le mardi 21 janvier. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21597855
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
- « Annuaire des Ă©tablissements de la commune », sur le site du ministĂšre de lâĂducation nationale et de la jeunesse (consultĂ© le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Ecques (62288) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- Bruno Delannoy, « Musique et culture sont des mots qui vont bien ensemble Ă DâEcquâouvertes. En douze ans, le Festival dâEcqâouvertes nâa pas pris une ride. De lâaveu de son programmateur, câest mĂȘme Ă chaque fois mieux. Il nâest pas le seul Ă le penser. La programmation de samedi 29 octobre a fait danser les foules. De quoi attendre avec impatience le treiziĂšme opus. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Bruno Delannoy, « Soixante pages pour dĂ©cortiquer lâhistoire de lâĂ©glise Saint-Nicolas, Ă Ecques Commune et agence dâurbanisme et de dĂ©veloppement de Saint-Omer ont prĂ©sentĂ© le petit dernier des « Focus ». Il est consacrĂ©, dans le dĂ©tail, Ă lâĂ©glise paroissiale Saint-Nicolas. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « ĂlĂ©ments patrimoniaux de la commune inscrits ou classĂ©s au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du MinistĂšre de la culture (consultĂ© le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « 62288 Ecques (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).