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Bondues

Bondues est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Bondues
Bondues
Le château de la Vigne (ou Château Aronio).
Blason de Bondues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Patrick Delebarre
2020-2026
Code postal 59910
Code commune 59090
Démographie
Gentilé Bonduois
Population
municipale
9 759 hab. (2020 en diminution de 1,94 % par rapport à 2014)
Densité 748 hab./km2
Population
agglomération
1 053 636 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 50° 42′ 08″ nord, 3° 05′ 38″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 53 m
Superficie 13,05 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lille-2
Législatives 9e circonscription du Nord
Localisation
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Bondues
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Bondues
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Bondues
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Bondues
Liens
Site web http://www.ville-bondues.fr/

    Géographie

    Description

    Bondues est située à km au nord de la ville de Lille, en Flandre romane.

    L'altitude de la commune de Bondues est comprise entre 18 et 53 m, sa mairie se situant à 35 m d'altitude environ[1].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 695 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 12 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bondues est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[18] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (58,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,6 %), terres arables (37,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (14,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 4 063, alors qu'il était de 3 790 en 2014 et de 3 665 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 95,8 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 3,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bondues en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,8 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Bondues en 2019.
    Typologie Bondues[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 95,8 90,6 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,6 1,6 9,7
    Logements vacants (en %) 3,6 7,8 8,2

    Voies de communication et transports

    La ville est desservie par quatre lignes de bus des transports en commun de la métropole Lilloise, Ilévia.

    • Ligne 89
    • Ligne 86
    • Ligne L91
    • Ligne Z4

    Toponymie

    Noms anciens : Bundues, 1130, cartulaire de Notre-Dame de Bourbourg. Fondues, charte du Tournoi d'Anchin, 1096 (Miraeus). Bondiues, cartulaire de l'abbaye de Loos, 1163. Bonduy, Bondue, documents divers.

    Bonduwe en flamand[25].

    Histoire

    Antiquité

    Les vestiges de poteries domestiques et de tuiles romaines retrouvées à Bondues attestent de ses origines gallo-romaines.

    Moyen Âge

    Au Ve siècle, pour repousser les attaques des peuples francs, on élève à Bondues un fort avec une tour solide et élevée, appelé Fort du Pot-de-Fer. Il se maintient pendant sept cents ans. Un cabaret du Pot-de-Fer, érigé sur ses ruines, est aujourd'hui disparu[26]. Au XIIe et au XIIIe siècle, Bondues nous est connu par ses fabriques de draps et d'estamets.

    La région est éprouvée lors de la guerre de Flandre, notamment lors des campagnes de Philippe IV le Bel qui campe à plusieurs reprises dans la région et livre bataille aux Flamands sur la châtellenie de Lille. Les opérations militaires touchent directement la région et en 1315, le roi de France Louis X campe avec son armée à proximité de la ville. Menacée par la famine et bloquée par la Lys en crue, son armée bat finalement en retraite. La ville est par la suite durement touchée par la politique de rétention de grains envers les marchés flamands, exercée par Louis X afin d'étouffer économiquement la région insoumise.

    Quelques épisodes ont marqué la vie de Bondues et l’un des plus célèbres concerne celui de « l’Ost boueux », qui voit en cette nuit du 11 septembre 1315, le roi de France Louis X, dit le Hutin, se décider à quitter son campement qu'il occupe sur le mont de Bondues, du côté des Ravennes, et de fuir ces Flamands qui le harcèlent depuis 15 jours.

    Dès cette période de l'histoire, Bondues est le siège d'une seigneurie symbolisée par un château.

    Quatre maisons de noble origine ont possédé le château de Bondues :

    1° La famille dite de Bondues, attestée en 1096 jusqu'en 1415 ;
    2° La famille de Hames, depuis 1415 jusqu'à la seconde partie du XVIe siècle (Robert de Hames trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[27]) ;
    3° La famille Bournonville, depuis cette dernière époque jusqu'en 1719 ;
    4° La famille Dubosquiel, depuis 1719 jusqu'à nos jours.

    À côté du fief principal, la seigneurie de Bondues, il existait d'autres fiefs faisant l'objet d'autres seigneuries, comme par exemple la seigneurie du Vert-Bois, à l'origine du château du Vert-Bois

    Temps modernes

    Comme partout ailleurs, dans la partie nord de la châtellenie de Lille, 1566 est l'année de la révolte des Gueux et de la furie iconoclaste . Un prêche se tient à la cense du vert-bois le 25 mai. Le curé est l'objet de railleries et quolibets. Le 2 juillet, l'église est mise à sac par les Huguenots[28]

    François Joseph Clément Dubosquiel, écuyer, est seigneur de Bondues vers 1770. Il a épousé Albertine Henriette Diedeman. Ils ont eu au moins un fils Henri Joseph Dubosquiel (1742-1824), né à Lille en décembre 1742 (baptisé le ). Henri Joseph est écuyer, seigneur d'Elfaut, bourgeois de Lille le , et meurt le , à 82 ans. Il a épousé à Lille le Anna Félicité Goudeman (1750-1779), fille de Pierre Romain Joseph Goudeman, seigneur d'Estevel, bourgeois de Lille, greffier criminel de la gouvernance de Lille, anobli par l'achat d'une charge de conseiller secrétaire du roi, échevin de Lille et de Thérèse Françoise Le Mesre. Anna Félicité nait à Lille en juillet 1750 (baptisée le ), est dame de Forestelle et meurt paroisse Saint-Eustache de Paris le , à 29 ans[29]. Louis Léonard de Beugny, autre seigneur de Bondues, bénéficie le d'une sentence reconnaissant son appartenance à la noblesse. Il avait obtenu le des lettres données à Versailles le nommant garde des sceaux honoraire du Conseil d'Artois[30].

    Jean André de Fourmestraux des Wazières (1612-1677), écuyer, est seigneur du Vert-Bois à Bondues et des Wazières (sur Wambrechies). Il est le fils d'André II de Fourmestraux des Wazières, marchand, seigneur de Beaupré (sur Haubourdin), des Wazières, bourgeois de Lille, échevin, rewart (responsable de la police), mayeur de Lille, anobli en 1623, nommé chevalier en 1642, et de Jeanne Deliot. Jean André nait à Lille en août 1612 (baptisé le ), accède à la bourgeoisie de Lille le , est créé chevalier en décembre 1641 par le roi d'Espagne Philippe IV notamment du fait d'avoir participé à deux campagnes militaires avec trois chevaux à ses frais derrière le cardinal infant Ferdinand d'Autriche (1609-1641) frère de Philippe IV[31] . Il obtient le la permission de s'appeler des Wazières , nom qui devient ensuite de Wazières. Il meurt à Lille le . Il épouse à Lille le Marie de Kessel, fille de Philippe, chevalier, seigneur de Milleville, et de Madeleine d'Appeltern. Marie de Kessel meurt le . Le couple est inhumé dans la chapelle des Frères mineurs de Lille[32]. Jean André a fait construire un premier château du Vert-Bois sur Bondues.

    Philippe Benoit Dominique de Wazières (1677-1724), seigneur de le Rive (sans doute sur Marquette-lez-lille), succède à son grand-père Jean André de Fourmestraux des Wazières dans la seigneurie de Vertbois. Fils de Jean André François de Wazières, chevalier, seigneur de Beaupré, capitaine de cavalerie espagnole, bourgeois de Lille, échevin, mayeur, rewart de Lille et de Marie Jeanne Henriette de Vicq, il nait à Lille en novembre 1677 (baptisé le ), devient capitaine de dragons au régiment de Poitiers, bourgeois de Lille le , député ordinaire de la noblesse des États de Lille, il meurt à Lille le .Il épouse à Lille le Marie Françoise Élisabeth de la Fonteyne (1688-1721), fille de Pierre François Gaspard, écuyer, et de Marie Agnès Miroul. Elle nait à La Madeleine en novembre 1688 (baptisée le ) et meurt à Lille le [33].

    Parmi les autres fiefs situés sur Bondues, existe celui de la Deseure, détenu au début du XVIIe siècle par Jacques Flameng, seigneur de la Boutillerie, et de la Deseure, de la Phalecque sur Linselles, marié à Marguerite Fremault; leur fille Marguerite, épouse Hippolyte Petitpas II, seigneur sur Lesquin, Verlinghem, etc.[34].

    Époque contemporaine

    Terres à blé, les plaines alentour sont morcelées en fiefs qui possèdent leurs censes, leurs manoirs. Certains manoirs seront appelés châteaux, et plus récemment « folies ».

    Le fort de Bondues (appelé brièvement fort Lobau) est l'un des douze forts constituant la place fortifiée de Lille (système Séré de Rivières) construit entre 1878 et 1882 près du point de confluence de la Marque et de la Deûle, sur le bord de la route nationale 17 qui relie Lille à Menin et constituait principale voie de communication du secteur vers la Belgique. Paradoxalement, c'est aux troupes allemandes que le fort de Bondues sert pendant les deux guerres mondiales

    En 1907, la dernière diligence lilloise fait encore le trajet Lille-Bondues-Linselles[35].

    D’autres événements furent tragiques, comme celui des 68 résistants fusillés dans une cour du Fort de Bondues et sommairement ensevelis.

    Un mémorial depuis 1965, la Cour sacrée et une statue de Dodeigne en 1986 perpétuent leur mémoire, tandis que le musée de la Résistance, inauguré en 1997, témoigne de l’action des résistants.

    Voie 216 du Domaine de la Vigne

    À partir de 1960, le village de Bondues a attiré une nouvelle population qui, fortunée ou à l'aise, quittait les villes de Tourcoing, Roubaix ou Lille pour chercher la verte campagne. Albert Prouvost, grand industriel français y construisit le célèbre « Bois d'Achelles » et le très coté « Domaine de la vigne », prisé par les professions libérales et les grandes familles du Nord ; d'autres quartiers se sont aussi formés par la suite. Des grands patrons français résident dans ces quartiers, en toute discrétion.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Lille du département du Nord.

    Elle faisait partie de 1801 à 1964 du canton de Tourcoing-Sud, année où elle intègre le canton de Marcq-en-Barœul [36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Lille-2

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Nord.

    Intercommunalité

    Bondues est membre de la Métropole européenne de Lille, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1967 sous le statut de communauté urbaine et transformée en métropole en 2015, et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Tendances politiques et résultats

    La ville de Bondues présente une spécificité sur le plan politique : celle d'être la ville la plus à droite du département du Nord. Ainsi, lors du second tour des élections présidentielles de 2012, Nicolas Sarkozy a obtenu 81,21 % des suffrages dans la commune, alors que le département du Nord a voté majoritairement en faveur de François Hollande[37].

    Lors des élections municipales de 2014, la liste UMP menée par le maire sortant Patrick Delebarre est la seule candidate[38] et obtient la totalité des suffrages exprimés, avec 3 362 voix. Elle est donc élue en totalité.
    Lors de ce scrutin, 56,27 % des électeurs se sont abstenus et 12,38 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[39]

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste divers droite (DVD) menée par le maire sortant Patrick Delebarre[40] obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 045 voix (67,85 %, 28 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement celles menées respectivement par[41] :
    - Dominique Frete (DVC, 556 voix, 18,44 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
    - André Hibon (DVD, 413 voix, 13,70 %, 2 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 63,66 % des électeurs se sont abstenus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[42]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    janvier 1790 jnovembre 1791 Jacques François Delecourt 
    novembre 1791 mai 1792 Théodore Joseph Lehoucq 
    mai 1792 mai 1794 Jean Baptiste Decottignies 
    mai 1794 août 1795 Séraphin Isbled 
    août 1795 novembre 1795 François Leroux 
    novembre 1795 mars 1798 Gérard Vandebeuque
    mars 1798 novembre 1800 Frédéricq Delcourt 
    novembre 1800[43] septembre 1805 Pierre Joseph  Desrousseaux
    septembre 1805[44] mars 1808 {Philippe  Derain
    mars 1808 avril 1824 Colomban Chombart 
    avril 1824 octobre 1854 Albert du  Bosquiel
    octobre 1854 septembre 1865 Louis Casimir Lecat-Butin 
    septembre 1865 octobre 1876 Louis Lambelin 
    octobre 1876 octobre 1881 Désiré Dumont 
    octobre 1881 mai 1925 René d'Hespel  
    mai 1925 mai 1929  Léon Desbonnets
    mai 1929 juin 1941 Charles Muliez 
    juin 1941 décembre 1943 Lucien Breine 
    décembre 1943 janvier 1945 Achille Lefebvre 
    janvier 1945 mai 1945 Charles Muliez 
    mai 1945 juillet 1958 Achille Lefebvre 
    juillet 1958 octobre 1988 Paul Roussel[Note 8] - [45] - [46] Gendre de Léon Desbonnets
    Agriculteur, syndicaliste agricole
    octobre 1988 octobre 2006 Paul Astier DVD Démissionnaire
    octobre 2006 En cours
    (au 20 octobre 2022)
    Patrick Delebarre UMPLR[47] Retraité
    Conseiller communautaire délégué de la MEL (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[48]

    Jumelages

    Plusieurs partenariats ont été noués, avec des villes de différents pays :

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Bondues relève de l'académie de Lille.

    La commune possède plusieurs établissements scolaires :

    • École Maxence-Van-Der-Meersch (maternelle et primaire publiques)
    • L'école des Obaux (maternelle et primaire publiques)[49]
    • L'Institution de La Croix Blanche (maternelle, primaire, collège et lycée privés)[50]
    • Écoles Sainte-Marie Saint-Joseph (maternelle et primaire privées)[51]

    Santé

    La ville de Bondues dispose d'une maison de retraite EHPAD, la résidence Albert-du-Bosquiel.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].

    En 2020, la commune comptait 9 759 habitants[Note 9], en diminution de 1,94 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3132 2542 3832 5732 8412 8512 9253 0273 028
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 1273 3753 3803 2943 2893 2063 2463 4473 146
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 1473 1133 3112 7462 8762 9793 1883 1613 310
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 5743 9616 7068 84010 28110 68010 1519 81610 046
    2020 - - - - - - - -
    9 759--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune.

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 4 756 hommes pour 5 205 femmes, soit un taux de 52,25 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[55]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,8
    8,4
    75-89 ans
    11,0
    17,3
    60-74 ans
    18,1
    22,4
    45-59 ans
    20,1
    15,8
    30-44 ans
    16,6
    16,0
    15-29 ans
    14,6
    19,6
    0-14 ans
    17,8
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[56]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Sports et loisirs

    • Clubs de football : Football Club Bondues (FCB) : le FC Bondues est né de la fusion entre le CJ Bondues et l'US Bondues en 2008. Le FC Bondues est le club de football de la ville de Bondues.
    • Le golf de Bondues (36 trous + practice) situé dans le domaine de la vigne
    • Autre club de tennis : le « Tub » (Tennis unis Bondues)
    • Parachutisme : École française de parachutisme Lille Bondues
    • Club de judo : USB (Union sportive bonduoise)
    • Club de pencak silat: Nord Perguruan Pencak Silat.
    • Club de basket-ball : Avenir Bondues Basket Club (ABBC) salle Alain-Poher
    • Deux clubs hippiques : le club hippique du Forest et le Cercle Hippique du Bois d'Achelles (CHBA)
    • Académie d'Escrime de Bondues
    • Une école de tir a l'arc

    Cultes

    Économie

    Le siège social et l'usine de Lamy Lutti sont à Bondues.

    La commune abrite l'usine de bonbons Lamy Lutti avec 600 salariés et un parc d'activités « Ravennes-Les Francs ».

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Vaast
    • L'église Saint-Vaast, de style néo-roman, construite en 1893 par l'architecte roubaisien Paul Destombes, qui succédait à une première église dont l'autel, avec le personnat, est donné, en l'année 1171, aux grands vicaires de la cathédrale de Tournai (Jacques Legroux). Elle est détruite en 1579 par les Gueux, et brûlée en 1580 par la garnison de Menin, composée d'Écossais et de Français à la solde des rebelles des Pays-Bas ; reconstruite quelques années après, démolie en 1797, il n'en reste que la chapelle Saint-Vaast, chœur de l'église actuelle).
      L'église dispose d'un orgue romantique construit en 2004 par Yves Fossaert de 3 claviers de 60 notes et un pédalier de 32 notes et 25 jeux qui commandent environ 2000 tuyaux. Le buffet réalisé au XIXe siècle par Hedin est dans le style Cavaillé-Coll. Le titulaire est Jérôme Faucheur.
    Composition de l'orgue
    I. Grand-Orgue II. Positif III. Récit expressif IV. Pédale
    Bourdon 16'

    Montre 8'

    Flûte harmonique 8'

    Prestant 4'

    Quinte 2 2/3'

    Doublette 2'

    Plein-jeu VIrgs

    Bourdon 8'

    Salicional 8'

    Flûte 4'

    Cornet 5r.

    Trompette harmonique 8'

    Clairon harmonique 4'

    Flûte traversière 8'

    Viole 8'

    Voix céleste 8'

    Flûte traversière 4'

    Octavin 2'

    Basson 16'

    Trompette 8'

    Basson-Hautbois 8'

    Trémolo

    Flûte 16'

    Quinte 10 2/3'

    Flûte 8'

    Bombarde 16'

    Le musée de la Résistance au fort de Bondues.
    • Le fort de Bondues, également appelé Fort Lobau, est construit par le général Séré de Rivières entre 1877-1880. Aujourd'hui, il abrite le musée de la résistance à Bondues.
    • Le château du Vert-Bois, inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1962[58] ainsi que le parc qui l'entoure[59], construit en 1666 par le chevalier Jean-André de Fourmestraux de Wazières, seigneur du Vertbois, La Rive et Hacquebart, qui avait épousé en 1639 Madeleine de Kessel, fille de Philippe de Kessel constructeur du château de Wattignies en 1640.
      Propriété de la famille Prouvost, il conserve une importante collection de faïences et de mobilier napoléoniens ainsi qu'une collection de minéraux.
      La fondation Anne et Albert Prouvost est installée dans d'anciens corps de ferme du château.
    • Le château de Vert-Bois
    • Conciergerie.
      Conciergerie.
    • Façade principale.
      Façade principale.
    • Facette sud.
      Facette sud.
    • La ferme du Brabant.
    • Le château de la Vigne et son parc.
    • Ancienne Poste: 16 rue de la poste.
    • Calvaire et Chapelles
      • Calvaire du chemin du Christ - situé à l'angle du Chemin du Christ et de la rue René d'Hespel.
      • Chapelle Notre Dame - Située avenue du Général de Gaulle au niveau du Rond-Point du Fort.  Elle contient une statue de Notre-Dame de Lourdes.
      • Chapelle Notre-Dame de Bondues - À l'origine consacrée à Notre-Dame des Affligés par la famille Glorieux qui la fait ériger au début du XIXe siècle.  Elle est restaurée en 1939 par la famille Prouvost qui la rebaptise "Notre-Dame de Bondues".  Elle est située au rond-point de la chapelle au lait battu, son nom populaire car c'est en vendant du lait battu que les Glorieux avaient récolté les fonds pour sa construction.
      • Chapelle Notre-Dame de la Miséricorde.  dite "Chapelle du petit bonnier" car située à proximité de l'allée du Petit Bonnier et de la rue Henri Dunant.
      • Chapelle Notre-Dame des Ravennes - Inaugurée en l'an 2000, elle est située le long du chemin de la Croix Bouillette, au niveau de la rue Jean-Baptiste Lebas.
      • Chapelle Notre-Dame de la Treille - dite « chapelle du vœu ».  Elle est érigée à l'initiative de Marie Renée d'Hespel en 1915.  Elle est située rue René d'Hespel au niveau de la rue de la drève de la ferme de l'Hôtel.
      • Chapelle Saint-Andrew - Située à l'entrée du Golf de Bondues.  Saint Andrew étant le saint patron des Golfeurs.
      • Chapelle Saint-Roch - Située Avenue du Général de Gaulle et encastrée dans une maison, au niveau de la drève du château.
    • L'Aérodrome de Lille - Marcq-en-Barœul, un aérodrome de loisirs.
    • La nef de l'église Saint-Vaast.
      La nef de l'église Saint-Vaast.
    • Salles du Musée de la Résistance.
      Salles du Musée de la Résistance.
    • L'aérodrome Lille - Marcq-en-Barœul.
      L'aérodrome Lille - Marcq-en-Barœul.
    • Rang de maisons, 28 à 36 place de l'Abbé Bonpain.
      Rang de maisons, 28 à 36 place de l'Abbé Bonpain.
    • Circuit du Septembrion.
      Circuit du Septembrion.
    • Le presbytère
    • Ferme, 1224 avenue du Général de Gaulle.
      Ferme, 1224 avenue du Général de Gaulle.
    • Le golf.
      Le golf.

    Toponymie d'origine chrétienne

    Au fil du temps, le christianisme a laissé son empreinte dans la toponymie de Bondues

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Bondues Blason
    D'or au franc-canton de sable
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Dervaux, Bondues : histoire de cette commune depuis son origine jusqu'à nos jours, Lille, L. Lefort, 1854 [lire en ligne sur NordNum]

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bondues », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. L'école de musique de la ville porte le nom de ce maire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « PLAN BONDUES - Plan, carte et relief de Bondues 59910 », sur www.cartesfrance.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bondues et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Bondues et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    26. « Boucle du Pot de Fer ».
    27. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
    28. Thérése Bonte, coll. « Mémoire en images »
    29. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.315-316 (lire en ligne).
    30. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 109, lire en ligne.
    31. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.299 (lire en ligne).
    32. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.287-288 (lire en ligne).
    33. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.289 (lire en ligne).
    34. Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 562-564.
    35. Cent ans de vie dans la région, tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 51.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Résultats du second tour de l'élection présidentielle de 2012 à Bondues
    38. Eric Turpin, « A Bondues, il n'y a qu'un seul candidat », France Bleu, (lire en ligne, consulté le ).
    39. Résultats officiels pour la commune Bondues
    40. « Bondues : derrière Patrick Delebarre, une liste fortement renouvelée et la volonté de passer le témoin », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
    41. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Résultats par commune - Nord (59) - Bondues », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le )
    42. « Les maires de Bondues », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    43. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
    44. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le )
    45. « Sur les traces des anciens maires : Paul Roussel à Bondues : Dans quelques semaines, nous allons voter pour élire de nouveaux maires qui pensent peut-être déjà à la trace qu’ils laisseront dans leur commune. En attendant, pourquoi ne pas regarder dans le rétroviseur et voir celle que leurs prédécesseurs ont laissée. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    46. André Caudron, « ROUSSEL Paul, Léon, Victor : Né le 8 février 1914 à Merville (Nord), mort le 27 avril 2002 à Estaimpuis (Hainaut belge) ; agriculteur ; animateur de la JAC (Jeunesse agricole catholique), président diocésain du MFR (Mouvement familial rural), président de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (1959) et de la Chambre d’agriculture du Nord (1970), membre du Comité économique et social régional (1974), maire de Bondues (Nord, 1958-1988). », Le Maitron en ligne, 21/3/2015 mis à jour le 26/9/2016 (consulté le ).
    47. « Le maire de Bondues Patrick Delebarre soutenu par En Marche… sans le savoir : La commission d’investiture du parti présidentiel a divulgué ce mardi une liste de candidats qu’elle soutenait officiellement pour les prochaines municipales. À la tête d’une liste « apolitique », le maire de Bondues Patrick Delebarre1/10/2019 en fait partie. Mais il n’était pas au courant », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    48. « Répertoire national des maires » [csv], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    49. Site de l'école Les Obeaux
    50. Site de l'Institution de La Croix Blanche
    51. Site des écoles Sainte-Marie Saint-Joseph
    52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    55. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bondues (59090) », (consulté le ).
    56. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    57. Site de l'église Betsaleel
    58. Notice no PA00107380, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    59. Notice no IA59001645, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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