Roncq
Roncq (Ronk en néerlandais[1]) est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Roncq | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Rodrigue Desmet 2020-2026 |
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Code postal | 59223 | ||||
Code commune | 59508 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Roncquois, Roncquoise | ||||
Population municipale |
13 560 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 1 280 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
1 053 636 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 45′ 16″ nord, 3° 07′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 54 m |
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Superficie | 10,59 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Tourcoing-1 | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | www.ville-roncq.fr | ||||
C'est dans cette commune qu'a été ouvert le premier hypermarché Auchan de France en 1961.
Géographie
Roncq se situe au Nord de la métropole lilloise, et est limite de Bondues, Linselles, Bousbecque, Halluin, Neuville-en-Ferrain ou Tourcoing.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 18 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Roncq est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[18] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45 %), zones urbanisées (37,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Runch (1101-1105), Ronc (1209), Roncq (1793).
Histoire
Les origines
Elle est citée pour la première fois en 1055 sous l’orthographe "Runch". Le nom actuel apparaît en 1330 dans un registre de l’abbaye de Marquette.
Moyen Âge
La paroisse de Roncq se situe dans le quartier du Ferrain, qui appartient à la châtellenie de Lille. Elle dépend du diocèse de Tournai et du chapitre de Saint-Pierre à Lille pour toute question matérielles.
XIIe siècle
Baudry, évêque de Tournai, donna au commencement du XIIe siècle, l'autel de Roncq au chapitre de Saint-Pierre de Lille. Cette donation fut confirmée par une bulle d'Eugène III en 1148. Le village de Roncq et son église eurent à souffrir des troupes françaises commandées par La Noue, en 1579. Le château seigneurial de ce village n'existe plus.
XVe siècle
Jean de Norrent, seigneur de Roncq, combat et trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[25].
XVIe siècle
Au début de ce siècle, Georges de Hallewin en est le seigneur, mais en 1555 la seigneurie passe aux mains des Espagnols.
Les troupes françaises de La Noue, appelées en Flandre par le parti des Malcontents, campèrent à Roncq en 1579 et y commirent quelques désordres.
XVIIe siècle
En 1600, les Archiducs Albert et Isabelle sont accueillis par Charles de Croÿ, le seigneur des lieux.
En 1609, les habitants ont l’accord pour tisser des étoffes.
La ville devient française en 1668.
XVIIIe siècle
La fille de Jean Robert Cuvillon et de son épouse, Madeleine Françoise Cuvillon, dame de La Hamelle, épouse Albert François de Lannoy (1691-1719), né et mort à Lille, seigneur de La Deusle, bourgeois de Lille, fils de Jean Baptiste François Olivier de Lannoy, chevalier, seigneur de Salomé, bourgeois de Lille, grand bailli de Furnes et de Françoise Henriette de Tramecourt. Madeleine Françoise Cuvillon meurt le [26].
, augmentation de la terre de Roncq en comté sous le nom de comté de Wazières de Roncq par le Roi de France en faveur de Pierre Auguste Marie de Wazières, seigneur de Roncq et grand bailly de Lille[27] - [28]. La seigneurie de Roncq possède toute la justice seigneuriale, avec échevins et hommes féodaux[28].
La ville est envahie par les prussiens en 1792 et en 1793 la Bataille de Tourcoing touche la ville en 1794. Elle se soldera par une victoire française.
La population de Roncq en l'an était de 2578 habitants[29].
Entre 1750 et 1790, il y avait sur 292 mariages: 118 conjoints signant et 87 conjointes signant.
- En 1789, il y avait sur 18 mariages: 7 conjoints signant et 5 conjointes signant.
Sources : Histoire de l'enseignement primaire avant 1789 dans les communes qui ont formé le Département du Nord par le comte de Fontaine de Resbecq, publié en 1878.
Seigneurie de Roncq
Dans l'église de Roncq, figure le monument funéraire de la famille Wazières, seigneurs de Roncq. il est classé aux monuments historiques[30].
- Jean Robert Cuvillon (1665-1694), écuyer, est seigneur de Roncq, Vledrick, Crequillon. Il est le fils de Raphaël et d'Aldegonde Petitpas. Il nait à Roncq en décembre 1665 (baptisé le ), accède à la bourgeoisie de Lille le , est marguillier de La Madeleine, y meurt le , est inhumé dans le caveau des marguilliers. Il épouse à Lille le Marie Isabelle de Wazières (1674-1700), âgée de moins de 15 ans, dame de Hollebecque, fille de Jean André François de Wazières (fief sur Wambrechies), chevalier, seigneur de Beaupré (sur Haubourdin), capitaine de cavalerie espagnole, bourgeois de Lille, échevin, mayeur et rewart (chargé de la police) de Lille, et de Marie Jeanne Henriette de Vicq. Elle nait à Lille en août 1674 (baptisée le ) et meurt à La Madeleine le [31].
- Albert François de Lannoy (1691-1719), né et mort à Lille, seigneur de La Deusle, bourgeois de Lille devient seigneur de Roncq du fait de son mariage avec la fille de Jean Robert Cuvillon et de son épouse, Madeleine Françoise Cuvillon, dame de La Hamelle. Il est le fils de Jean Baptiste François Olivier de Lannoy, chevalier, seigneur de Salomé, bourgeois de Lille, grand bailli de Furnes et de Françoise Henriette de Tramecourte[31].
- François Eugène Dominique de Wazières (1697-1775), écuyer, est seigneur de Roncq, du fait de sa femme. Il est le fils d'Eugène Hyacinthe de Wazières, écuyer, seigneur de Beaupré, La Volandre, dit Le vicomte de Saint-Georges, capitaine au régiment d'Humières, bourgeois de Lille, et de Françoise de Lannoy. Il nait à Lille en août 1697 (baptisé le ), accède à la bourgeoisie de Lille le et meurt à Lille le , à 78 ans. Il épouse le sa cousine germaine (la mère de l'épouse et le père de l'époux sont frère et sœur) Madeleine Françoise Cuvillon, déjà évoquée ci-dessus, veuve de Jean Baptiste François Olivier de Lannoy. Madeleine Françoise Cuvillon nait vers 1693 et meurt le . François Eugène Dominique de Wazières veut se remarier en 1748 avec Marie Hélène Vincre, mais ce mariage fait scandale pour un motif religieux, puis est cassé. Marie Hélène Vincre a été enfermée à la prison de Lille sur l'ordre du roi donné à Versailles le [32].
- Pierre Auguste Marie de Wazières (1725-1781) est seigneur de Roncq après son père François Eugène Dominique. Il détient plusieurs biens de la famille : Beaupré, la Volandre, Gheluwebrouck (marais de Geluwe?), Tilloy-les-Hermaville, Tonquelle, Sainte-Marie-Kerque, La Mutte Saint-Georges, Clairbourdin, Landsbrigghe, etc., dit Le Vicomte de Langlé et de Saint-Georges. Il nait à Lille en octobre 1725 (baptisé le ), accède à la bourgeoisie de Lille le , est nommé bailli d'Halluin de 1760 à 1779, grand bailli de Comines, député des États de la Flandre Wallonne, créé comte de Wazières de Roncq en septembre 1768. Il meurt à Paris le , est enterré à Roncq. Il épouse d'abord à Béthune le Charlotte Joseph Ghislaine de Preudhomme d'Haillies, fille d'Antoine Joseph, marquis de Verquigneul et de Catherine Constance Eugénie de Dion, née en 1732, morte à Lille le . Il prend ensuite pour femme le Marie Thérèse de Carondelet, fille de Jean, baron de Noyelles, et de Marie Bernardine de Rasoir, née en 1738, morte à Boulogne-sur-Mer le [33].
XIXe siècle
- La population de Roncq en 1830 était de 2853 habitants dont 392 indigents et 30 mendiants.
- En ce milieu du XIXe siècle, il y avait à Roncq : 2 brasseries, 1 fabrique de sucre de betteraves, 3 moulins à huile et 3 moulins à blé.
- La principale industrie des habitants consistait dans la préparation et le commerce du lin.
- Sur une superficie communale de 1 047 hectares, il y avait : 830 ha en labours; 149 ha en vergers ; 16 ha en prés ; 2 ha en bois ; 1 ha en étangs ; 11 ha en propriétés bâties ; 33 ha en routes et chemins et 1 ha en terrains incultes.
- La culture principale était le blé. Les autres cultures étaient : l'orge, le seigle, le colza, l'avoine, les fèves, les navets, les choux-cavaliers, les betteraves, les pommes de terre, les carottes, les olliettes, la cameline, le lin et le tabac[34].
Héraldique
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Les armes de Roncq se blasonnent ainsi :"D'argent aux trois lionceaux de sables armés et lampassés de gueules." |
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Économie
Au début du XIXe siècle l’activité principale de la ville est la fabrication de la toile de lin mais cette activité est touchée par la concurrence anglaise qui travaille avec de la matière première moins coûteuse importée de Russie. Les filatures modernes se développent à Roubaix et Tourcoing ce qui est fatal à la ville.
La commune de Roncq accueille un des plus gros hypermarchés de France (Auchan Roncq réalise un CA de 233 100 000 €uros est se classe 3e en France en 2017)[35], ainsi que le Centre International de Transports, importante zone industrielle et logistique située au Nord-Est du bourg et qui accueille de nombreuses entreprises ainsi que les équipements de services d'accompagnement.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[37] - [Note 8].
En 2020, la commune comptait 13 560 habitants[Note 9], en augmentation de 0,19 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 6 219 hommes pour 7 142 femmes, soit un taux de 53,45 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- l'annexe-mairie située rue Jules Cornard
- Le monument aux morts situé dans le cimetière du centre.
- Église Saint-Piat (1787 et de 1868 à 1874), elle fut détruite puis reconstruite par l'architecte tourquennois Charles Maillard. Elle était trop petite pour accueillir le grand nombre de paroissiens. Elle renferme des pierres tombales néo-romanes.Façade de l'église St PiatÉglise Saint-RochL'église St Piat depuis la place
- Chapelle Notre-Dame de l'Esprit Saint - Bâtie en 1988 par Monsieur André Lemahieu, également sculpteur de la statue de la Vierge Marie qui s'y trouve. Elle est située rue de la Briquetterie[42].
- Chapelle Notre-Dame des Champs - Reconstruction à l'identique d'une chapelle plus ancienne dont l'origine est située vers 1711 et qui servait de halte lors de la procession des rogations. Elle a été consacrée en aout 1988, à la fête de l'assomption. La statue qui s'y trouve est une œuvre du sculpteur André Lemahieu. Elle est située au carrefour de la rue de Latte et du Boulevard d'Halluin[42] - [43].
- Chapelle Notre-Dame de Grâce - Plus que centenaire, cette chapelle a été en partie détruite par un camion en 1970 et rénovée. Elle se situe au Blanc Four[44].
- Le château Tiberghien que fit construire en 1910 l'industriel textile de Tourcoing Louis Motte-Tiberghien dans un parc de 6 hectares. La propriété est achetée par la ville en 1946 et cette grande villa devient la mairie puis en 1975 l'école de musique.
- L'école de Musique
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Henri Bouckaert, (1870-1912), rameur, champion olympique aux Jeux de Paris 1900 y est né.
- Yohan Cabaye, (1986-), footballeur international français.
- Maurice Laverseyn, (1878-1971), Aumônier de l'Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem, Camérier secret de Sa Sainteté, Prélat de Sa Sainteté et Chanoine honoraire du Saint-Sépulcre.
- Vincent Ledoux (1966-), homme politique, député de la Dixième circonscription du Nord.
Jumelages
- Delbrück (Allemagne)
- Todmorden (Royaume-Uni)
- Sélinkegny (Mali) dans la commune rurale de Bafoulabé (région de Kayes), depuis le [45]
Culture
Façade de l'école de musique |
- La fête des madeleines (mars-avril) Supprimé en 2009
- La fête des moissons, supprimé également
- Deux marché aux puces en mai et en octobre
- Un cinéma de quartier associatif (Cinéma Gérard Philipe)
- L'événement musical "musique sous les étoiles" (fin juin) aux anciennes écuries. Supprimé en 2015
- L'événement musical jazz "Roncq nuit bleue" (début mai). Supprimé en 2014.
- La fête de l'école de musique (mi-mars)
- Une bibliothèque et artothèque municipale
- Une école de musique
- Exposition de voiture "La Rétromécanic".
- Création d'un pôle culture dénommé "La Source"
Gastronomie
- Le Crayeux de Roncq est un fromage produit à la ferme du Vinage, à Roncq.
- L'hippo est la bière roncquoise
Pour approfondir
Bibliographie
- Dany Delbecque, Roncq, Editions Alan Sutton, coll. "Mémoire en images", tomes 1 & 2
Le Club roncquois d'histoire locale a publié plusieurs livres sur Roncq :
- Les mémoires de Roncq (tome 1 Les six moulins, tome 2 La musique, tome 3 Les sapeurs pompiers)
- Fermes et moissons d'antan, tomes 1 & 2, 1985-1986
- Chapelle Notre-Dame des Champs, Roncq, 1987
- La vie quotidienne des Roncquois de 1910 Ã 1920, 1988
- Les cafés roncquois d'hier et d'aujourd'hui, 1991
- Si Roncq m'était conté : des origines à 1914, 2000
- Si Roncq m'était conté : de 1914 aux années 50, 2007
Il y a encore diverses publications sur Roncq d'origines diverses (liste non exhaustive) :
- Abbé Coulon, Histoire de Roncq, 1902
- Histoire de l école Saint Joseph : 1887-1987
- L'église Saint-Piat, Roncq, les Amis de Saint-Piat
- Michel Lemaire,
- "Roncq en 1900" publié en 1985
- "Plus d'un siècle de laïcité à Roncq" publié en 2009
- "Pages d'histoires roncquoises" publié en 2010
- "Pages d'histoires roncquoises" tome II publié en 2015
- Histoire de la Jeanne d'Arc : 1908-1998
- Si la Philharmonie m'était contée : 1920-1995
- L'ALACH : 1975-1999
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
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- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.105 (lire en ligne).
- Recueil de la Noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois par le Chevalier Amédée Le Boucq de Ternas - Édition 1884 - page 420 - disponible sur le site internet Gallica de la BnF
- Lettres d'érection en comté sous le nom de Wazières de Roncq - Archives du Parlement de Flandres, registre aux provisions no 13, f° 27 v° - disponible en lecture sur le site internet Gallica de la Bnf dans l'ouvrage suivant : La Société d'Études de la Province de Cambrai, Tome XII, Recueil des Généalogies Lilloises par Paul Denis du Péage, Tome I, pages 302 et suivantes
- Statistiques des conjoints et des conjointes signant leur acte de mariage à Roncq (arrondissement de Lille - diocèse de Tournai)entre 1750 et 1790 et en 1789.
- « Monument funéraire de la famille Wazières », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.289 (lire en ligne).
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.290-292 (lire en ligne).
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.291-292 (lire en ligne).
- Sources: Annuaire statistique du département du Nord par MM. Demeunynck et Devaux, Chez L. Danel, imprimeur du Roi et de la préfecture -1830-
- « Le Top 100 des hypermarchés de France en 2017 », sur MARKETING PGC, (consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926580/21599951
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Roncq (59508) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Francis Lebrun, Bernard Coutelle, Jacques Courtray et Bernard Devernay, « Circuit Pedestre : Niches et chapelles de Roncq » [PDF], sur http://journalparoissialroncq.nordblogs.com/ (consulté le ).
- « Rues de Roncq - Nord Eclair - CRRAI », sur roncq.free.fr (consulté le ).
- « Rues de Roncq - Sentier casier », sur roncq.free.fr (consulté le ).
- « Association de jumelage coopération Roncq-Sélinkégny » (consulté le ).