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Neuville-en-Ferrain

Neuville-en-Ferrain est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Neuville-en-Ferrain
Neuville-en-Ferrain
L'hôtel de ville.
Blason de Neuville-en-Ferrain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Marie Tonnerre-Desmet
2020-2026
Code postal 59960
Code commune 59426
Démographie
Gentilé Neuvillois
Population
municipale
10 126 hab. (2020 en diminution de 1,77 % par rapport à 2014)
Densité 1 639 hab./km2
Population
agglomération
1 053 636 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 50° 44′ 50″ nord, 3° 09′ 32″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 52 m
Superficie 6,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Tourcoing-1
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Neuville-en-Ferrain
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Neuville-en-Ferrain
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Neuville-en-Ferrain
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Neuville-en-Ferrain
Liens
Site web www.neuville-en-ferrain.fr

    Géographie

    Localisation

    Commune frontalière avec la Belgique (ville de Mouscron et Menin (section Rekkem) et, en France, limitrophe d'Halluin, Roncq et Tourcoing.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Neuville-en-Ferrain
    Halluin Menin
    (Drapeau de la Belgique Belgique)
    Mouscron
    (Drapeau de la Belgique Belgique)
    Roncq Neuville-en-Ferrain
    Tourcoing

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 693 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 18 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Voie de communication et transports

    Elle est au cœur d’un important nœud autoroutier comprenant l'A22.

    Urbanisme

    Typologie

    Neuville-en-Ferrain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[17] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].

    L'ancien village, qui a connu des modifications substantielles au cours des ans, subsiste néanmoins, développé autour du centre-ville et sur les axes menant à la ville voisine, Tourcoing, ou en direction d'Halluin dans la vallée de la Lys. À partir des années 1960, une majorité des terres agricoles a disparu au profit de nombreux lotissements. La population est très peu diversifiée.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (76,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (40,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (33,1 %), terres arables (23,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Histoire

    XIe siècle et XIIe siècle

    Fondation de la ville due au grand défrichement, aux progrès agricoles et à l’augmentation de la population de la région du Nord.

    XVIIe siècle

    En 1609, un acte autorise les habitants à fabriquer des ouvrages de bourgeterie (fabrication d'étoffe de laine en patois lillois). Le village devient français en 1668, avec le traité d’Aix-la-Chapelle

    XVIIIe siècle

    Sur Neuville-en-Ferrain, la Hamayde était le siège d'une seigneurie avant la Révolution française. Un des derniers titulaires du fief fut Romain Albert Ingiliard. Romain Albert Ingiliard (1702-1762), fils d'Édouard II Ingiliard, chevalier, seigneur des Wattines sur Linselles, de la Mairie, du Plouich à Pérenchies, de Fromelles, de Maisnil, bourgeois de Lille, et de Marie Catherine de Fourmestraux (1680-1723), est chevalier, seigneur du Plouich, de la Hamayde à Neuville-en-Ferrain. Il nait à Lille en septembre 1702 (baptisé le ). Il se destine d'abord à une carrière ecclésiastique : il est chanoine dans la collégiale Saint-Pierre de Lille. Puis il rentre dans la vie civile, devient contrôleur des États de Lille, bourgeois de Lille le . Inscrit au rôle des nobles de la province de Flandre par ordonnance du , marguillier de l'église Sainte-Catherine de Lille, il meurt à Lille le , est inhumé dans le chœur de cette église près du buffet des marguilliers. Il épouse à Lille le Catherine Françoise Cardon (1713-1763), dame du Bourg, fille de Jean-Baptiste, écuyer, seigneur du Bourg, et de Françoise Claire Wullems. Elle nait à Lille en novembre 1713 (baptisée le ) et y décéde le . Elle est enterrée dans l'église Sainte-Catherine, vis-à-vis le chœur, près du pilier de l'adoration. Le couple n'a pas eu d'enfants[24].

    La ville est envahie par les Prussiens en 1792 et en 1793 la bataille de Tourcoing touche la ville. Elle se soldera par une victoire neuvilloise en 1794

    La frontière, la contrebande de tabac, pétrole, café, chocolat, dentelles, animaux d’élevage et d’essence se fait de la Belgique vers la France mais aussi en sens inverse du fait de l'interdiction du parfum et de l’alcool en Belgique.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Neuville-en-Ferrain dans son canton et son arrondissement.

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1947 Georges Dhalluin PCF Président de la délégation municipale,
    puis élu maire
    1947 1953 Rodolphe Kesteloot SFIO
    1953 1959 Georges Ménart MRP
    1963 1977 Fernand Lecroart
    2000 Pierre Myter
    2000 mars 2014 Gérard Codron[25] SE
    mars 2014 En cours Marie Tonnerre LR Responsable marketing opérationnel
    Conseillère départementale du canton de Tourcoing-1 (depuis 2015)

    Jumelages

    La ville est jumelée avec Offenbach an der Queich en Allemagne depuis 1992. Ce jumelage concerne quatre communes regroupées (Offenbach, Bornheim, Hochstadt, Essingen) situées à environ 600 km de Neuville-en-Ferrain, la ville est aussi jumelée avec la communauté rurale Keur Madiabel au Sénégal depuis 2002.

    La ville possède aussi une charte d’amitié avec la ville de Sainte-Anne-des-Plaines dans la province du Québec au Canada.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[26] - [Note 8].

    En 2020, la commune comptait 10 126 habitants[Note 9], en diminution de 1,77 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3301 1921 3641 7202 0392 0652 2502 5762 644
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9043 4213 7123 9274 3244 2664 3994 3034 248
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 2744 2304 3993 9633 9064 1844 3094 0134 238
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2011
    4 2715 5538 0909 0409 8959 5279 4339 28610 266
    2016 2020 - - - - - - -
    10 37110 126-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 4 997 hommes pour 5 234 femmes, soit un taux de 51,16 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,3
    6,9
    75-89 ans
    9,2
    14,2
    60-74 ans
    16,8
    20,4
    45-59 ans
    20,5
    19,0
    30-44 ans
    19,4
    17,3
    15-29 ans
    15,0
    21,8
    0-14 ans
    17,8
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Enseignement

    Neuville-en-Ferrain fait partie de l'académie de Lille. Il y a plusieurs établissements scolaires :

    • Collège Jules-Verne.
    • Collège Saint-Joseph (privé).
    • École Saint-Joseph (privé)
    • École primaire Sacré-cÅ“ur (privé).
    • Groupe scolaire Lacordaire (privé).
    • Groupe scolaire européen Lamartine.
    • Groupe scolaire Ambroise-Paré.
    • Groupe scolaire Camille-Claudel.

    Sports

    La ville a une intense activité sportive (football, handball, tennis, tennis de table, basket-ball, taekwondo, judo, karaté...).

    Le handball notamment est bien représenté : l'équipe féminine des moins de 15 ans de l'amicale laïque a été sacrée championne d'excellence départementale.

    Le club de football (FAN 96) avec ses 700 licenciés est un des plus importants de la Région Nord-Pas-de-Calais.

    ses seniors À évoluent en division d honneur

    [réf. nécessaire]

    Économie

    Jusque dans les années 1880 le tissage à domicile domine, puis il est remplacé par le travail à l’usine. Actuellement, l'activité est dominée par l'industrie et le commerce de gros (présence d'une zone industrielle directement accessible depuis l'autoroute, sur l'axe Lille-Gand). Le commerce y est actif.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Quirin.
    • L'église Saint-Quirin (1500), en centre-ville. Elle est fermée en 1793 par le gouvernement révolutionnaire, démolie puis reconstruite entre 1860 et 1873. Elle est aussi occupée durant les deux guerres mondiales.
    • Le presbytère, près de l'église Saint-Quirin, demeure l'un des bâtiments remarquables de la commune. De construction XVIIIe siècle, il a subi plusieurs remaniements ; un « jardin de curé » subsiste à l'arrière, ultime morceau de jardins plus vastes que les plans de conception d'époque dessinent à la française. La façade est surélevée par rapport à la rue et dessine une espèce de quai ; cette élévation rappelle que par le passé, le presbytère était entouré d'une douve emplie d'eau.
    • La ferme du vert bois (XIXe siècle), qui est un exemple de ferme que l’on peut trouver un peu partout dans le Ferrain.
    • Les maisons de tisserands, qui datent du milieu du XIXe siècle. Elles servaient de lieu de travail et d’habitation.
    • L’église Sainte-Thérèse 1928, dans le quartier du Risquons-Tout (lieu-dit « Le Berquier ») limitrophe de la ville de Mouscron (Belgique), église créée pour faciliter l'accès des paroissiens à la messe, l’église de Neuville se situant à trente minutes de marche à pied.Ce quartier de NEUVILLE EN FERRAIN lieu de passage avec la ville de Mouscron en Belgique possédait un poste de douane important créé en 1815
    • Le Bourloire du cercle Saint-Joseph, 20, place Roger-Salengro, inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 2006[31].

    Il y avait, jusqu'à récemment, la ferme des Caudreleux construite au Moyen Âge et qui a été rasée en 2001 afin de laisser place à des terrains de tennis et à un espace public paysager. De l'ancienne ferme, subsiste le pont (rénové) enjambant une partie de la douve se trouvant originellement à l'arrière des bâtiments, auquel on accédait par un étroit passage entre le corps de logis et les bâtiments agricoles. Il reste aussi, isolé dans un espace herbeux, l'un des piliers de l'entrée de la cour, couvert de lierre.

    Une autre ferme remarquable a disparu ; située au lieu-dit « Le petit Menin », limitrophe de la commune de Roncq, on y accédait par un chemin pavé conduisant du quartier des Orions, à Tourcoing, vers le centre du village. Elle a été rasée après le rachat des terrains en vue de l'extension d'un centre commercial proche. Le porche, de construction estimée XVIIe siècle, conservait dans sa partie intérieure sa conception originelle dite « en rouges barres », alternance de lits de briques et de moellons calcaires. Un chaînage de grès ourlait l'entrée principale vers la cour intérieure. La façade du porche supportait une fleur de lys métallique sertie dans la brique, de même que le blason des Preud'homme d'Ailly, seigneurs de Neuville durant près de deux siècles (écu de sinople -vert- portant un aigle écartelé d'argent becqué et membré de gueules-bec et serres de couleur rouge. L'écu était surmonté d'un tortil, couronne baronnale autour de laquelle était passé en spirale un collier de perles).

    Patrimoine culturel

    • Le Géant Honoré de Noefville
    • Il existe un festival de la biographie qui a toujours lieu le dernier week-end de septembre.
    • Les fêtes d'été : les feux de la Saint-Jean (fin juin), la fête des craquelins (début juillet), le .
    • Un marché aux puces le 1er mai dans le centre-ville et un autre au Risquons-Tout début septembre.
    • Un orchestre d'harmonie s'appelant " La Renaissance".

    Équipement culturel

    • Une bibliothèque associative Bibliothèque pour tous (les anciennes bibliothèques paroissiales).
    • Il y a aussi à Neuville-en-Ferrain, une école de musique et des ateliers d'arts plastiques.

    Personnalités liées à la commune

    Noel Liétaer, (1908-1941) footballeur français, né à Neuville-en-Ferrain

    Pierre Michelin, (1937-) footballeur français, né à Neuville-en-Ferrain

    Robert Desmettre, (1901-1936) champion olympique de Waterpolo, né à Neuville-en-Ferrain

    Aymeric Lompret, (1988-) humoriste qui a passé toute sa scolarité à Neuville-en-Ferrain

    Florian Magnier, (1991-) Ambianceur de la fête des craquelins à Neuville-en-Ferrain et DJ a ses heures perdues

    Héraldique

    Les armes de Neuville-en-Ferrain se blasonnent ainsi : « D'or à trois bandes de gueules ».

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Neuville-en-Ferrain et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Neuville-en-Ferrain et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.84-86 (lire en ligne).
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    31. « Bourloire du cercle Saint-Joseph », notice no PA59000119, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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