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Acq (Pas-de-Calais)

Acq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Acq
Acq (Pas-de-Calais)
Salle des fĂȘtes.
Blason de Acq
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté urbaine d'Arras
Maire
Mandat
Alain Bartier
2020-2026
Code postal 62144
Code commune 62007
DĂ©mographie
Gentilé Acquois
Population
municipale
805 hab. (2020 en augmentation de 11,96 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 166 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 20â€Č 54″ nord, 2° 39â€Č 27″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 145 m
Superficie 4,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Arras-1
LĂ©gislatives 2e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Acq
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Acq
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Acq
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Acq
Liens
Site web mairie-acq.fr

    Les habitants de la commune sont appelés les Acquois.

    La commune fait partie de la communautĂ© urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 108 712 habitants en 2019.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

    Hydrographie

    La commune est traversĂ©e par la riviĂšre Scarpe, cours d'eau naturel non navigable de 26,8 km qui prend sa source dans la commune de Tincques et se jette dans la Scarpe canalisĂ©e au niveau de la commune de Saint-Nicolas[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[2].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 789 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :

    • le coteau boisĂ© de Camblain-l'AbbĂ© et de Mont-Saint-Éloi. Cette ZNIEFF est composĂ©e de bois plus ou moins pentus. Dans le bois d’Écoivres, une couche gĂ©ologique du LandĂ©nien continental affleure au sommet, avec un sol constituĂ© de sables fins et de blocs de grĂšs, grĂšs qui a Ă©tĂ© exploitĂ© dans le bois d’Écoivres[3] ;
    • la haute vallĂ©e de la Scarpe entre FrĂ©vin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallĂ©e du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 702 hectares et d'une altitude variant de 60 Ă  115 mĂštres, s'inscrit dans un rĂ©gion agricole, dans une plaine dĂ©nudĂ©e avec deux vallĂ©es verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Acq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (90,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (74,3 %), prairies (14,3 %), zones urbanisĂ©es (9,2 %), forĂȘts (2,2 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Asc en 1104, Aesc en 1154 dans le cartulaire du chapitre d'Arras, Aesch entre 1154 et 1159 dans le mĂȘme cartulaire, Asch 1220[12], Ack au XIIIe siĂšcle[13], Aasc en 1258[14], Aasch en 1261[15], Asck en 1305[16], Asq en 1430[17], Asques en 1570[18] - [19].

    Du germanique ask (frĂȘne)[20].

    As en flamand[21].

    Histoire

    Acq est cité une premiÚre fois en 862, au sujet d'un combat entre Bauduin de Fer, forestier de Flandre et les troupes du roi de France Charles le Chauve (Juxta Ascum).

    Bauduin avait enlevé Judith, la fille de Charles le Chauve, son suzerain. Vaincu par son vassal, certaines personnes avaient regardé les deux grandes pierres, plus connues sous le nom de Pierres Jumelles comme un trophée en souvenir de la victoire de Bauduin.

    Acq est citĂ©, une seconde fois, en 1269, pour une exĂ©cution judiciaire qui dĂ©montre les rivalitĂ©s entre les diffĂ©rents pouvoirs sur une mĂȘme commune.

    Les gens du comte de Saint-Pol avaient brûlé la maison d'un criminel et le lendemain, ce fut au tour des gens du comte d'Artois de brûler deux autres maisons afin de ne pas laisser empiéter ses droits.

    Acq a toujours Ă©tĂ© la propriĂ©tĂ© des seigneurs d'Ecoivres : les d'Oisy (jusqu'au dĂ©but du XVIe siĂšcle), les Longueval, les Soissons-Moreuil. Puis en 1670, la seigneurie d'Acq ainsi que celle d'Ecoivres furent vendues Ă  Antoine-Guillaume Mathon, Ă©cuyer, receveur des États d'Artois. En 1743, le dernier Mathon mourut en laissant trois filles. L'une d'elles, Jeanne Mathon, Ă©pousa Alexandre François Ignace de Brandt de Galametz dont le fils Ă©tait seigneur d'Ecoivres Ă  la RĂ©volution[22].

    Lors de la bataille de l'Artois (mai-juin 1915), un des affrontements de la PremiÚre Guerre mondiale, Acq, située à l'arriÚre du front, accueille des soldats relevés du front, par exemple en juin 1915. Pendant cette période de cantonnement,les troupes restent en cantonnement d'alerte, récupÚrent, se livrent à des opérations de nettoyage de leurs équipements et suivent des périodes d'instruction, d'entrainement à la marche. On retrouve également des soldats qui bivouaquent à Wanquetin, Frévin-Capelle[23].

    Des troupes sĂ©journent dans les mĂȘmes lieux au dĂ©but septembre 1915, peu de temps avant la 3e bataille de l'Artois[24].

    • Seconde Guerre mondiale
    • L"armĂ©e britannique du 4th Royal Tank Regiment
      L"armée britannique du 4th Royal Tank Regiment
    • 
dans une cour de ferme d'Acq.
      
dans une cour de ferme d'Acq.

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Arras-1.

    Circonscriptions Ă©lectorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxiÚme circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1791 1797 Pierre Guislain GĂ©nel
    1797 1831 Albert Dufour
    1831 1833 Jean-Baptiste GĂ©nel
    1833 1863 Louis Bacqueville
    1863 1875 Nicolas Allart
    1875 1887 Louis Cuvellier
    1887 1917 Benoit Gernez
    1917 1929 Alexandre Wartel
    1929 1942 Armant Cuisinier Cultivateur
    1942 1971 Ernest Cuvellier
    1971 1989 George Lécuyer Commerçant
    1989 1995 Roger Follet Enseignant Ă  la retraite
    1995 mai 2020 Jean-Pierre Delcour Enseignant Ă  la retraite
    mai 2020[26] En cours
    (au 19 Avril 2021)
    Alain Bartier Ingénieur

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[27].

    Population et société

    Les habitants de la commune sont appelés les Acquois[28].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].

    En 2020, la commune comptait 805 habitants[Note 6], en augmentation de 11,96 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    250270282363424378411402432
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    444454459450450462494492512
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    507504451487434441409404399
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    394413412457511502456449691
    2017 2020 - - - - - - -
    769805-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  37,7 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 18,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 386 hommes pour 400 femmes, soit un taux de 50,89 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    0,5
    4,2
    75-89 ans
    8,0
    12,0
    60-74 ans
    11,3
    16,3
    45-59 ans
    16,2
    28,5
    30-44 ans
    27,0
    11,5
    15-29 ans
    11,3
    26,8
    0-14 ans
    25,8
    Pyramide des ùges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2019, dans la commune, il y a 293 mĂ©nages fiscaux qui comprennent 790 personnes pour un revenu mĂ©dian disponible par unitĂ© de consommation[Note 7] de 25 550 euros, soit supĂ©rieur au revenu de la France mĂ©tropolitaine qui est de 21 930 euros[35] - [36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La chapelle Notre Dame de Lourdes a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en style nĂ©o-gothique en 1883 par la famille Cuvellier en mĂ©moire de leur fille LedoĂŻsca morte Ă  vingt ans.
    • Une Ă©glise dĂ©diĂ©e Ă  Saint GĂ©ry. Cet Ă©difice religieux est une construction typique de la rĂ©gion de l’Artois. Ce bel Ă©difice rural en pierre blanche avec un larmier et un soubassement en grĂšs datant des XVIe et XVIIe siĂšcles, possĂšde un clocher Ă  tour carĂ©e.
    • Le chĂąteau d'Acq. PropriĂ©tĂ© privĂ©e, c'est un magnifique chĂąteau de style Louis quatorzien. Il se situe Ă  l'entrĂ©e de la commune de Villers-au-Bois.
    • La salle des fĂȘtes. L'ancienne Ă©cole privĂ©e Jeanne d'Arc, datant de 1899, fut rĂ©habilitĂ©e en salle des fĂȘtes[22].
    • Le monument aux morts[37].
    • Le Monument aux morts.
      Le Monument aux morts.
    • L'Eglise Saint GĂ©ry.
      L'Eglise Saint GĂ©ry.
    • La chapelle Notre Dame de Lourdes.
      La chapelle Notre Dame de Lourdes.

    Patrimoine culturel

    Les "Pourcheaux" d'Acq (les pourceaux d'Acq) était un sobriquet attribué autrefois aux villages d'Acq.

    En patois artésien, un "pourcheau" désigne un porc, jeune ou adulte.

    Pendant la période révolutionnaire les Maire devaient assister à des réunions se tenant au chef-lieu du canton. Un jour le Maire d'Acq donna pouvoir à son collÚgue de Villers-au-bois pour le remplacer et voter à sa place. Ce jour il y eut de nombreux votes et chaque fois que le Maire de Villers-au-Bois votait pour son collÚgue d'Acq, il déclarait à haute voix, en patois: "Pour chaux d'Acq", ce qui veut dire: " Pour ceux d'Acq". L'expression eut un succÚs inespéré, l'auditoire faisant semblant d'entendre: "Pourcheaux d'Acq". Un pourcheaux d'Acq étant donc un habitant d'Acq[38].

    Une autre explication du sobriquet est que les habitants d’Acq qui frĂ©quentaient les cafĂ©s buvaient trop de biĂšre et d’alcool, et devaient sortir souvent pour vomir leur trop plein[39].

    HĂ©raldique

    Acq
    Blason de Acq Blason
    D'azur semĂ© de fleurs de lis d'or, au lion naissant d'argent; Ă  la bordure rĂ©duite du mĂȘme[40].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallĂ©e moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallĂ©e de la SaĂŽne). Le climat reste ocĂ©anique mais avec de belles dĂ©gradations. Les tempĂ©ratures sont intermĂ©diaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  -5°C). Les prĂ©cipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en Ă©tĂ©, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportĂ©es Ă  l’ensemble français. La variabilitĂ© interannuelle des prĂ©cipitations est minimale tandis que celle des tempĂ©ratures est Ă©levĂ©e (Source : CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. DĂ©finition de l'unitĂ© de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de mĂ©nages de taille ou de composition diffĂ©rente, on divise le revenu par le nombre d’unitĂ©s de consommation (UC). Celles-ci sont gĂ©nĂ©ralement calculĂ©es de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du mĂ©nage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette Ă©chelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des Ă©conomies d’échelle au sein du mĂ©nage. En effet, les besoins d'un mĂ©nage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nĂ©cessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le mĂȘme niveau de vie.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - RiviÚre Scarpe (E2010600) » (consulté le )
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « ZNIEFF 310013280 - Coteau boisé de Camblain et Mont-Saint-Eloi », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    12. Dans un titres de Haute-Avesnes.
    13. Dans un chapitre de Saint-Barthélémy.
    14. Dans le cartulaire des chapelains d'Arras.
    15. Censier d'Arras.
    16. Dans une charte d'Artois.
    17. Dans les archives nationales.
    18. Abbaye de Saint-Vaast.
    19. Extrait du Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, par le comte de Loisne, 1907.
    20. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest NÚgre
    21. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    22. Communauté de communes de l'Artois
    23. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, , 9ebrigade, : J.M.O. 16 mars 1915-27 août 1915, p. 43-45, lire en ligne.
    24. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
    25. « Archinoë - Registres paroissiaux et d'etat civil », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ).
    26. Marcel Debove, « Acq : Alain Bartier succĂšde Ă  Jean-Pierre Delcour au poste de maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « C'est dans la salle des fĂȘtes qu'a eu lieu la rĂ©union d’installation du conseil municipal ce jeudi soir. Sans surprise, Alain Bartier a Ă©tĂ© Ă©lu maire Ă  l’unanimitĂ© ».
    27. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    28. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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