Acq (Pas-de-Calais)
Acq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Acq | |||||
Salle des fĂȘtes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Alain Bartier 2020-2026 |
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Code postal | 62144 | ||||
Code commune | 62007 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Acquois | ||||
Population municipale |
805 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 166 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 20âČ 54âł nord, 2° 39âČ 27âł est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 145 m |
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Superficie | 4,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Arras-1 | ||||
LĂ©gislatives | 2e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-acq.fr | ||||
Les habitants de la commune sont appelés les Acquois.
La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 108 712 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie
La commune est traversée par la riviÚre Scarpe, cours d'eau naturel non navigable de 26,8 km qui prend sa source dans la commune de Tincques et se jette dans la Scarpe canalisée au niveau de la commune de Saint-Nicolas[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[2].
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Zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :
- le coteau boisĂ© de Camblain-l'AbbĂ© et de Mont-Saint-Ăloi. Cette ZNIEFF est composĂ©e de bois plus ou moins pentus. Dans le bois dâĂcoivres, une couche gĂ©ologique du LandĂ©nien continental affleure au sommet, avec un sol constituĂ© de sables fins et de blocs de grĂšs, grĂšs qui a Ă©tĂ© exploitĂ© dans le bois dâĂcoivres[3] ;
- la haute vallĂ©e de la Scarpe entre FrĂ©vin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallĂ©e du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, dâune superficie de 702 hectares et d'une altitude variant de 60 Ă 115 mĂštres, s'inscrit dans un rĂ©gion agricole, dans une plaine dĂ©nudĂ©e avec deux vallĂ©es verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[4].
Urbanisme
Typologie
Acq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [5] - [6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (90,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (74,3 %), prairies (14,3 %), zones urbanisĂ©es (9,2 %), forĂȘts (2,2 %)[10].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[11].
Toponymie
Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Asc en 1104, Aesc en 1154 dans le cartulaire du chapitre d'Arras, Aesch entre 1154 et 1159 dans le mĂȘme cartulaire, Asch 1220[12], Ack au XIIIe siĂšcle[13], Aasc en 1258[14], Aasch en 1261[15], Asck en 1305[16], Asq en 1430[17], Asques en 1570[18] - [19].
Du germanique ask (frĂȘne)[20].
Histoire
Acq est cité une premiÚre fois en 862, au sujet d'un combat entre Bauduin de Fer, forestier de Flandre et les troupes du roi de France Charles le Chauve (Juxta Ascum).
Bauduin avait enlevé Judith, la fille de Charles le Chauve, son suzerain. Vaincu par son vassal, certaines personnes avaient regardé les deux grandes pierres, plus connues sous le nom de Pierres Jumelles comme un trophée en souvenir de la victoire de Bauduin.
Acq est citĂ©, une seconde fois, en 1269, pour une exĂ©cution judiciaire qui dĂ©montre les rivalitĂ©s entre les diffĂ©rents pouvoirs sur une mĂȘme commune.
Les gens du comte de Saint-Pol avaient brûlé la maison d'un criminel et le lendemain, ce fut au tour des gens du comte d'Artois de brûler deux autres maisons afin de ne pas laisser empiéter ses droits.
Acq a toujours Ă©tĂ© la propriĂ©tĂ© des seigneurs d'Ecoivres : les d'Oisy (jusqu'au dĂ©but du XVIe siĂšcle), les Longueval, les Soissons-Moreuil. Puis en 1670, la seigneurie d'Acq ainsi que celle d'Ecoivres furent vendues Ă Antoine-Guillaume Mathon, Ă©cuyer, receveur des Ătats d'Artois. En 1743, le dernier Mathon mourut en laissant trois filles. L'une d'elles, Jeanne Mathon, Ă©pousa Alexandre François Ignace de Brandt de Galametz dont le fils Ă©tait seigneur d'Ecoivres Ă la RĂ©volution[22].
Lors de la bataille de l'Artois (mai-juin 1915), un des affrontements de la PremiÚre Guerre mondiale, Acq, située à l'arriÚre du front, accueille des soldats relevés du front, par exemple en juin 1915. Pendant cette période de cantonnement,les troupes restent en cantonnement d'alerte, récupÚrent, se livrent à des opérations de nettoyage de leurs équipements et suivent des périodes d'instruction, d'entrainement à la marche. On retrouve également des soldats qui bivouaquent à Wanquetin, Frévin-Capelle[23].
Des troupes sĂ©journent dans les mĂȘmes lieux au dĂ©but septembre 1915, peu de temps avant la 3e bataille de l'Artois[24].
- L"armée britannique du 4th Royal Tank Regiment
- âŠdans une cour de ferme d'Acq.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton d'Arras-1.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxiÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[27].
Population et société
Les habitants de la commune sont appelés les Acquois[28].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].
En 2020, la commune comptait 805 habitants[Note 6], en augmentation de 11,96 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 18,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 386 hommes pour 400 femmes, soit un taux de 50,89 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La chapelle Notre Dame de Lourdes a été érigée en style néo-gothique en 1883 par la famille Cuvellier en mémoire de leur fille Ledoïsca morte à vingt ans.
- Une Ă©glise dĂ©diĂ©e Ă Saint GĂ©ry. Cet Ă©difice religieux est une construction typique de la rĂ©gion de lâArtois. Ce bel Ă©difice rural en pierre blanche avec un larmier et un soubassement en grĂšs datant des XVIe et XVIIe siĂšcles, possĂšde un clocher Ă tour carĂ©e.
- Le chùteau d'Acq. Propriété privée, c'est un magnifique chùteau de style Louis quatorzien. Il se situe à l'entrée de la commune de Villers-au-Bois.
- La salle des fĂȘtes. L'ancienne Ă©cole privĂ©e Jeanne d'Arc, datant de 1899, fut rĂ©habilitĂ©e en salle des fĂȘtes[22].
- Le monument aux morts[37].
- Le Monument aux morts.
- L'Eglise Saint GĂ©ry.
- La chapelle Notre Dame de Lourdes.
Patrimoine culturel
Les "Pourcheaux" d'Acq (les pourceaux d'Acq) était un sobriquet attribué autrefois aux villages d'Acq.
En patois artésien, un "pourcheau" désigne un porc, jeune ou adulte.
Pendant la période révolutionnaire les Maire devaient assister à des réunions se tenant au chef-lieu du canton. Un jour le Maire d'Acq donna pouvoir à son collÚgue de Villers-au-bois pour le remplacer et voter à sa place. Ce jour il y eut de nombreux votes et chaque fois que le Maire de Villers-au-Bois votait pour son collÚgue d'Acq, il déclarait à haute voix, en patois: "Pour chaux d'Acq", ce qui veut dire: " Pour ceux d'Acq". L'expression eut un succÚs inespéré, l'auditoire faisant semblant d'entendre: "Pourcheaux d'Acq". Un pourcheaux d'Acq étant donc un habitant d'Acq[38].
Une autre explication du sobriquet est que les habitants dâAcq qui frĂ©quentaient les cafĂ©s buvaient trop de biĂšre et dâalcool, et devaient sortir souvent pour vomir leur trop plein[39].
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Acq », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Acq » sur Géoportail.
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Le type 3 affecte lâensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallĂ©e moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallĂ©e de la SaĂŽne). Le climat reste ocĂ©anique mais avec de belles dĂ©gradations. Les tempĂ©ratures sont intermĂ©diaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă -5°C). Les prĂ©cipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en Ă©tĂ©, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportĂ©es Ă lâensemble français. La variabilitĂ© interannuelle des prĂ©cipitations est minimale tandis que celle des tempĂ©ratures est Ă©levĂ©e (Source : CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- DĂ©finition de l'unitĂ© de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de mĂ©nages de taille ou de composition diffĂ©rente, on divise le revenu par le nombre dâunitĂ©s de consommation (UC). Celles-ci sont gĂ©nĂ©ralement calculĂ©es de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du mĂ©nage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette Ă©chelle dâĂ©quivalence (dite de lâOCE) tient compte des Ă©conomies dâĂ©chelle au sein du mĂ©nage. En effet, les besoins d'un mĂ©nage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nĂ©cessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le mĂȘme niveau de vie.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - RiviÚre Scarpe (E2010600) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « ZNIEFF 310013280 - Coteau boisé de Camblain et Mont-Saint-Eloi », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Dans un titres de Haute-Avesnes.
- Dans un chapitre de Saint-Barthélémy.
- Dans le cartulaire des chapelains d'Arras.
- Censier d'Arras.
- Dans une charte d'Artois.
- Dans les archives nationales.
- Abbaye de Saint-Vaast.
- Extrait du Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, par le comte de Loisne, 1907.
- Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest NÚgre
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Communauté de communes de l'Artois
- Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, , 9ebrigade, : J.M.O. 16 mars 1915-27 août 1915, p. 43-45, lire en ligne.
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
- « Archinoë - Registres paroissiaux et d'etat civil », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ).
- Marcel Debove, « Acq : Alain Bartier succĂšde Ă Jean-Pierre Delcour au poste de maire », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « C'est dans la salle des fĂȘtes qu'a eu lieu la rĂ©union dâinstallation du conseil municipal ce jeudi soir. Sans surprise, Alain Bartier a Ă©tĂ© Ă©lu maire Ă lâunanimitĂ© ».
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Acq (62007) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Commune d'Acq, « Guide Communal 2021 "Acq" »
- « Les Pourcheaux d'Acq »
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).