Aix-en-Issart
Aix-en-Issart est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Aix-en-Issart | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 7 Vallées | ||||
Maire Mandat |
Pierre Lafonte 2020-2026 |
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Code postal | 62170 | ||||
Code commune | 62018 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aixois | ||||
Population municipale |
273 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 28′ 39″ nord, 1° 51′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 125 m |
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Superficie | 10,1 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Les habitants de la commune sont appelés les Aixois.
La commune fait partie, de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019, et du Pays des Sept Vallées.
Géographie
Localisation
Aix-en-Issart est une commune construite le long du Bras de Bronne, rivière affluent de la Canche[1]. En amont se trouve Sempy, en aval Marant.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
Hydrographie
La commune est traversée par le Bras de Bronne, un cours d'eau naturel non navigable de 10,83 km qui prend sa source dans la commune de Saint-Michel-sous-Bois et se jette dans La Canche au niveau de la commune de Brimeux. Les communes traversées sont : Aix-en-Issart, Brimeux, Humbert, Marant, Marles-sur-Canche, Saint-Michel-sous-Bois et Sempy[1]. Un autre cours d'eau traverse la commune, le Vitrouval, d'une longueur de 2,59 km, qui prend sa source dans la commune d'Estrée et termine sa course au niveau de la commune de Marles-sur-Canche[2].
- La rivière bordée de saules (Vue n°1).
- La rivière bordée de saules (Vue n°2).
- Une petite chute.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc de type 5 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].
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Paysages
La commune est située dans le paysage montreuillois tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3] - [4]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [5].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Beaumerie-Saint-Martin comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 4] :
- la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin[6] ;
- les vallées de la Créquoise et de la Planquette. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d’Artois et le Ternois et constituent un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[7].
Urbanisme
Typologie
Aix-en-Issart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75 %), prairies (19,2 %), forêts (3 %), zones urbanisées (2,8 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ascium en 648, Ascio in pago Tervanense super fluvium Widolaci en 800 (cartulaire de Saint-Bertin) -elle constitue la localité la plus occidentale du pagus Tervannensis (Thérouanne)-, Ascia en 1042, Ays 1143, Aiz 1170, Aquœ au XIIe siècle, Aquosis au XIIe siècle, Ais en 1239, Ayse au XIIIe siècle, Ays-en-Lihart en 1337, Ays-en-Lyhart en 1341, Ais-en-Issart en 1429, Ais-en-Hishart en 1469, Aysen-Yhart en 1477, Ays-en-Hyhart en 1495, Ayx en 1507, Ays-en-Iissart en 1512, Aix-en-Hissart en 1518, Hays-en-Hishart en 1551, Ays-en-Ishart en 1553, Aix-en-Ysaart en 1559, Ays-en-Nisart en 1559, Aix en 1651[15] et Aix-en-Issart depuis 1801[16].
Albert Dauzat a vu dans Aix-en-Issart, un des nombreux Aix présents sur le territoire de l'ancienne Gaule et qui remontent à aquis, ablatif-locatif pluriel d’aqua « eau », d'où le sens global de « (lieu des) eaux (thermales) »[17]. Cette explication, selon Denise Poulet[Note 6], paraît difficilement compatible avec les attestations les plus anciennes. Maurits Gysseling suggère d'expliquer Aix-en-Issart par le celtique *Askjo- ou proto-germanique *Askja-, qui serait un dérivé locatif à partir de l'hydronyme Askā (germanique Askō)[18].
Selon Louis Ricouart, le déterminant complémentaire Issart représenterait une variante d'essart, terme signifiant « défrichement, clairière ». On devrait cependant avoir un *aquis in sarto, forme jamais attestée. Cependant, on pourrait rapprocher cet élément de Isseretius, nom du pagus que traverse l'Yser.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[21].
Population et société
Les habitants de la commune sont appelés les Aixois[22].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2020, la commune comptait 273 habitants[Note 7], en augmentation de 2,25 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 119 hommes pour 145 femmes, soit un taux de 54,92 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
Tous les ans, depuis le début des années 1990, Aix-en-Issart accueille en juillet le Festival des illuminés où se produisent sur scène divers groupes et musiciens francophones[28].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2019, dans la commune, il y a 108 ménages fiscaux qui comprennent 259 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 8] de 21 680 euros, soit légèrement inférieur au revenu de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[29] - [30].
Culture locale et patrimoine
L'église Saint-Pierre
L'église Saint Pierre d'Aix-en-Issart se compose d'une nef, d'une tour centrale et d'un chœur. La tour élevée au début du XIIe siècle, fut rehaussée de deux étages dans la deuxième moitié de ce siècle. Menaçant de s'écrouler en 1725, elle a été restaurée en 1741, millésime gravé dans sa muraille. La voûte du rez-de-chaussée de la tour, qui repose sur quatre colonnes aux chapiteaux sculptés, a été restaurée au XIXe siècle ainsi qu'une de ses colonnes. Le chœur est une construction du XIVe siècle, qui fut remanié à la fin du XVIIe siècle ou début du XVIIIe siècle, puis en 1881. La nef, du XIIe siècle comme la base de la tour, fut reconstruite en partie en 1779, comme en témoigne le graffite laissé par le maître maçon sur ses murs. Des travaux furent confiés à l'architecte Clovis Normand en 1868-1869.
Autres monuments
- Le château d'Aix-en-Issart, propriété de la famille Brasseur ; il fut détruit par les Allemands (1939-1945).
- Maison de maître du XIXe siècle, où se succédèrent plusieurs études notariales. Exemple typique de l'utilisation en taille de la pierre calcaire du pays.
- Le monument aux morts[31].
Personnalités liées à la commune
- François de Resty, qui fut chargé de négocier la capitulation de la ville de Boulogne en 1544.
- Jacques Vainet, qui fut abbé de Saint-André-aux-Bois de 1581 à 1606.
- Jean de Beaurain (1696-1771), géographe de Louis XV, mort à Paris en 1771.
Héraldique
Blason | D'or à la fasce ondée d'azur accompagnée de trois maillets de sinople[32]. |
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Détails | Le village eut pour seigneur les Mailly au XVIIIe siècle, ceux-ci portaient : « d'or à trois maillets de sinople ». La commune repris leurs armes en y ajoutant une fasce ondée d’azur pour évoquer l’étymologie du nom du village. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Aix-en-Issart », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Aix-en-Issart » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le climat océanique de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la Mer du Nord et l’ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l’ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et très homothermes : l’amplitude annuelle (moins de 13°C d’écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L’été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d’hiver. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Denise Poulet, professeur émérite de dialectologie picarde à l'université Charles-de-Gaulle, Lille III. .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de Bronne (E5410561) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Vitrouval (E5411020 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 7.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 7b.
- Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, p. 42 .
- « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Les projets du maire d’Aix-en-Issart : « L’urgence, c’est de rénover l’église » : Élu maire en décembre 2005, Pierre Lafonte entame son troisième mandat à Aix-en-Issart. Ce gérant de société de 61 ans, sans étiquette politique, a plusieurs projets dans sa musette, à commencer par la rénovation de l’église. », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aix-en-Issart (62018) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- É. A., « À Aix-en-Issart, le festival des Illuminés annonce son retour cet été : Après deux ans d’interruption en raison de la crise sanitaire, le festival des Illuminés a annoncé cette semaine, sur les réseaux sociaux, son très attendu retour en juillet à Aix-en-Issart. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « Monument aux morts d'Aix-en-Issart », sur Mémoires de pierres (consulté le )
- « 62018 Aix-en-Issart (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).