Montcavrel
Montcavrel est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Montcavrel | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Jean Paul de Longueval 2020-2026 |
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Code postal | 62170 | ||||
Code commune | 62585 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montcavrellois | ||||
Population municipale |
396 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 59″ nord, 1° 48′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 11 m Max. 131 m |
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Superficie | 9,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Berck | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Course, un cours d'eau d'une longueur de 24,72 km, affluent droit du fleuve côtier la Canche. La Course prend sa source dans la commune de Doudeauville et se jette dans La Canche au niveau de la commune d'Attin. Elle traverse les communes d'Attin, Beussent, Bezinghem, Doudeauville, Enquin-sur-Baillons, Estrée, Estréelles, Inxent, Montcavrel, Neuville-sous-Montreuil, Parenty et Recques-sur-Course[1].
Montcavrel est le lieu de confluence de La Bimoise, cours d'eau d'une longueur de 8,7 km, un affluent de la Course[2].
- La Bimoise à Montcavrel.
Paysages
La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [3]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [4].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- la vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le périmètre de la ZNIEFF présente un réseau hydrographique complexe associant plusieurs cours d’eau (Course, Bimoise, Baillons, rivière des Fontaines…) et de nombreuses sources, ainsi que des plans d’eau d’origine artificielle (ballastières, cressonnières, piscicultures, mares de chasse)[5] ;
- la forêt et pelouse de Montcavrel. C'est l’un des rares grands massifs forestiers du Montreuillois. Il se situe dans le haut Pays d’Artois, dans un secteur de plateau densément disséqué par un réseau de vallées pérennes et de vallées sèches, à la charnière de trois bassins versants : la Baillonne au nord, la Course à l’ouest et la Bimoise au sud/sud-est[6].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[7].
Urbanisme
Typologie
Montcavrel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,7 %), prairies (16,3 %), forêts (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), zones urbanisées (4,8 %), eaux continentales[Note 5] (0,7 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Monkavrel et Mons Capri (1171), Mons Caprorum et Moncaverel (1186), Mons Capreoli (1206), Montcavrel (1224), Mons Caprinus (1232), Montkaverel (1250), Mons Caprelli (1257), Monkaverel (1286), Montikavrel (XIIIe siècle), Montquarrel et Mont-Chavrel (XIIIe siècle), Mont-Caveriel (1315), Mont-Cauvrel (1318), Mons Caverelli (1321), Moncaverele (1327), Monquavrel (1361), Monscapprinus, Montcapvrel ou Montcauverel (XVe siècle), Montcavrel (vers 1512), Le Mont-Caurel (1550), Moncaurel (1670), Montcavrel puis Mailly (XVIIIe siècle)[15], Montcavrel (1793), Montcavrel-Mailly, Montcavrel (1801)[16].
Cette dénomination s’est d’abord appliquée au château, puis à ses premiers possesseurs avant de désigner aux XVe et XVIe siècle le village installé au pied du site fortifié[17].
Il s'agit sans doute d'une formation toponymique médiévale en Mont-, au sens d'« élévation, colline », comme semble l'indiquer les formes latinisées, alors que les formes romanes primitives sont en Mon-. Il est suivi d'un élément cavrel ou caverel qui semble représenter un animal[18], d'après certaines latinisations (Capreoli), le nom du chevreuil en picard ou encore, d'après d'autres formes, celui du chevreau, anciennement cheverel en français, caverel en picard.
Homonymie avec Montchevrel (Orne, Montchevreil 1247)[18] de type normand méridional et Moncrabeau (Lot-et-Garonne, de monte Caprelli 1281)[18], forme francisée de l'occitan gascon.
Histoire
Jean de Montcavrel et Rasse de Montcavrel combattent et trouvent la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[19].
Ce qui suit est la reproduction in-extenso du texte figurant sur une plaque émaillée offerte au public et fixée sur un mur près de la mairie. L'auteur n'y est pas indiqué.
Montcavrel
D’Emy à Montcavrel
Le toponyme Montcavrel est lié au relief du site. Il dérive de l'appellation mons caprinus signifiant le mont des chèvres ou des chevreuils. Cette désignation s‘est d’abord appliquée au château, puis a ses premiers possesseurs avant de désigner aux XV° et XVIe siècles le village installé au pied du site fortifié.
Située à la périphérie de la commune, l'église présente son chevet aux habitations voisines donnant l’ impression de «tourner le dos» à ses paroissiens. Cette position excentrée est le témoignage de implantation primitive de l‘agglomération à l'opposé du village actuel.
Montcavrel est né du déclin d'un bourg antérieur appelé tantôt «Ami», «Emy» ou «Emy-sous-Montcavrel». Cette localité disparue est évoquée dans la charte de fondation de l’abbaye d’Auchy en 1079. Au XIIIe siècle, celle-ci échange avec les religieux de Longvilliers la dîme d’Ami concédée par le séigneur de Montcavrel, contre la dîme de Brailly en Ponthieu. À cette époque, l'autel d’Emy appartient à l'évêque de Thérouanne. Le bourg est encore indiqué comme paroisse du doyenné de Frencq au sein du diocèse de Thérouanne vers 1512.
Selon la tradition, Emy s‘élevait près du hameau de Fordres, le long de la Bimoise, au sud ouest de Montcavrel. Le bourg aurait été détruit par les Anglais en 1544 qu cours du siège de Montreuil-sur-Mer interrompu le par le traité de Crépy conclu entre François 1er et Charles Quint à l’insu d'Henry VIII. Après la destruction, Antoine de Monchy, Seigneur de Montcavrel, favorise le retour des habitants et les installe dans un pré traversé par la Bimoise, à proximité du château,qui domine encore aujourd'hui le village.
Elevée au XVe siècle avec le concours financier des seigneurs de Montcavrel, l’église Saint-Quentin se distingue par la qualité de son architecture et de son décor sculpté de style gothique flamboyant. Elle a cependant subi les dommages des guerres du XVIe siècle et d’importants remaniements au siècle suivant. Réduit à un chœur et à un transept, l’édifice a perdu sa nef détruite avant 1715. Il est inscrit à l’inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1926.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune a fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du Montreuillois et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siège est basé à Montreuil.
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie du canton d'Étaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[16].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée au canton de Berck qui passe de 10 à 31 communes[20].
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Montcavrellois[26].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2020, la commune comptait 396 habitants[Note 6], en diminution de 3,18 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 194 hommes pour 212 femmes, soit un taux de 52,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Culture locale et patrimoine
Monument historique
- L'église Saint Quentin, dédié à saint Quentin, martyr du IIIe siècle, représentative de l'architecture gothique flamboyante dans l'ouest du département, est un édifice non achevé, commencé vers 1440, clos et couvert vers 1585. Des travaux sont réalisés à compter de 1688, comme les voûtes en bois avec clefs pendantes en bois. Elle a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [32] - [33].
L'église abrite de mombreuses pièces remarquables dont la plupart sont classées aux monuments historiques au titre d'objets.
- L'entrée.
- La face sud.
- Le chevet.
Héraldique
Blason | D'or au chevreuil de sinople, la tête de front ; au chef de gueules chargé de trois maillets d'or. |
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Détails | Armes parlantes (cavrel = chevreau / chevreuil).
Le chevreuil renvoie au nom de la commune, qui signifiait à l'origine le « mont aux chèvres ». Les chevreuils étaient inconnus dans le nord de la France et sont apparus tardivement dans le paysage local, après leur introduction, vers 1850, depuis la forêt de Crécy par le comte d'Hinnisdaël. Quant aux maillets, ils sont pris aux armes des De Mailly, anciens seigneurs du lieu, qui donnèrent leur nom à la commune avant la Révolution[39]. Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee :
- relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- relatif au canton, [lire en ligne]
- relatif à l'intercommunalité, [lire en ligne]
- relatif au département, [lire en ligne]
- relatif à la France, [lire en ligne]
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bimoise (E5410700) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007273 - Forêt et Pelouse de Montcavrel », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 258.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- http://www.wikipasdecalais.fr/index.php?title=Montcavrel Montcavrel sur wikipasdecalais.fr
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- « Liste des communes composant le canton », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Élise Chiari, « Le bilan des maires : à Montcavrel, Michel Leroy annonce « une gestion rigoureuse et saine malgré nos crédits » : Durant son deuxième mandat, Michel Leroy a mené plusieurs projets de front, comme la colossale restauration de l’église ou l’arrivée d’Internet dans la commune. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Montcavrel : Jean-Paul De Longueval, ancien premier adjoint, devient maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Les habitants du Pas-de-Calais - Gentilé », sur habitants.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montcavrel (62585) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « L'église Saint-Quentin », notice no PA00108353, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Anthony Berteloot, « L’église de Montcavrel n’a plus de nef, mais un chœur gros comme ça : L'église, monument remarquable de 1463, en forme de croix latine, a beaucoup souffert au temps des guerres, et les restaurations qu'elle a subies en 1586 et 1688, l'ont dépouillée de son caractère primitif », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Les fonts baptismaux », notice no PM62001068, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Plaque funéraire », notice no PM62007377, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Autel consacré à Jeanne d'Arc », notice no PM62007373, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Chaire à prêcher », notice no PM62007374, base Palissy, ministère français de la Culture
- « monument aux morts de Montcavrel », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Jacques Dulphy