Estréelles
Estréelles est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Estréellois.
Estréelles | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | CA des Deux Baies en Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Hubert Maquaire 2020-2026 |
||||
Code postal | 62170 | ||||
Code commune | 62315 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Estréellois | ||||
Population municipale |
346 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 109 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 29′ 59″ nord, 1° 47′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 5 m Max. 79 m |
||||
Superficie | 3,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Étaples - Le Touquet-Paris-Plage (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Berck | ||||
Législatives | 4e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
La commune, située dans le sud-ouest du département du Pas-de-Calais, se trouve dans la vallée de la Course et à 5 km au nord de la commune de Montreuil-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Course, un cours d'eau d'une longueur de 24,72 km, affluent droit du fleuve côtier la Canche. La Course prend sa source dans la commune de Doudeauville et se jette dans La Canche au niveau de la commune d'Attin[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc de type 5 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
|
Paysages
La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3] - [3]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy… [4].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] : la vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le périmètre de la ZNIEFF présente un réseau hydrographique complexe associant plusieurs cours d’eau (Course, Bimoise, Baillons, rivière des Fontaines…) et de nombreuses sources, ainsi que des plans d’eau d’origine artificielle (ballastières, cressonnières, piscicultures, mares de chasse)[5].
et une ZNIEFF de type 2[Note 5] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[6].
Urbanisme
Typologie
Estréelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [7] - [8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,9 %), prairies (30,7 %), zones urbanisées (10,1 %), forêts (7,1 %), eaux continentales[Note 8] (2,3 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Voies de communication
La commune est desservie par la route départementale D 127[14].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 5 km, au nord, de la gare de Montreuil-sur-Mer, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[15].
La commune disposait d'une halte sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes Strales en 1121 ; Estraielles de 1132 à 1135 ; Straeles en 1117 ; Estrieles et Estraheles en 1134 ; Estraeles en 1150 ; Straellae en 1169 ; Straheles en 1170 ; Straeles en 1173 ; Strahelae en 1177 ; Estraieles en 1227 ; Estrayelles en 1252 ; Estreel en 1263 ; Estrels en 1269 ; Estrayeles, Estraieles et Estraeles en 1311 ; Estreieles au XIVe siècle) ; Estraelles vers 1512 ; Estrielles en 1550 ; Estréelles en 1789[16], Estreelles en 1793 ; Etréelles et Estréelles depuis 1801[17].
Étymologie
- Le nom Estrées est un terme d'ancien français, issu du latin strata (via), qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à rupta (via) > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a été emprunté par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le néerlandais straat[18]). Le mot estrée a disparu du français à la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine[19], ici, la voie romaine, via Agrippa de l'Océan, dite Océane, reliant Amiens (Samarobriva) à Boulogne-sur-Mer (Gesoriacum), aujourd'hui ex. RN 7 et ex. RN 1
Histoire
Ce qui suit est la reproduction in-extenso du texte figurant sur une plaque émaillée offerte au public installée à proximité de la mairie. L'auteur n'y est pas indiqué.
Estréelles
Stratella
Niché au fond de fa vallée de la Course, Estréelles s‘étire le long de la rive droite de la rivière. Le village tire son nom de stratella qui évoque la voie romaine dite Océane reliant Amiens à Boulogne-sur-Mer. La présence romaine est confirmée par la découverte de monnaies et de fibules.
La paroisse d’Estréelles est attestée en 1134 date à laquelle l'autel est concédé par l'évêque de Thérouanne à l’abbaye de Saint-Josse-sur-Mer.
La Seigneurie d'Estréelles appartient d’abord à une famille de ce nom dont le plus ancien membre connu est cité au XIIe siècle. Elle passe ensuite aux Nazart et aux Hardenthun. Vers 1530, Françoise de Hardenthun épouse Francois de Louvigny. La seigneurie est transmise aux du Blaisel en 1634 puis au baron Victor Morand en 1862.
En 1567, Claude de Louvigny, seigneur d'Estréelles converti au protestantisme, fait construire une maison forte flanquée d'une tour à mâchicoulis et entourée d’un fossé à proximité de l’église. Elle sert de lieu de culte aux protestants des environs, qui, selon la tradition, attaquaient les paroissiens se rendant à la messe.
En 1572, peu après la Saint-Barthélemy, le «fort» est assiégé par la garnison de Montreuil-sur-Mer. En 1591, les biens de Claude de Louvigny sont confisqués par la Ligue. Le gouverneur de Montreuil obtient temporairement la jouissance de la maison forte. Le «fort » change de propriétaires au gré des mariages. Désaffecté, il fait Office de grange jusqu’en 1970, année de sa démolition. Le soubassement est conservé, sauvé de l’oubli par les propriétaires actuels.
L’église Saint-Omer conserve les traces de la générosité des seigneurs d'Estréelles. Le chœur est reconstruit en 1779 par les du Blaisel. En 1862, Caroline du Blaisel fait édifier la sacristie et la flèche d’ardoise qui remplace l'ancien clocher-mur. De 1884 à 1889, la baronne Morand finance une importante campagne de travaux. Les murs de la nef sont rehaussés d‘un mètre et percés de quatre fenêtres en plein cintre. les voûtes et la charpente sont remplacées. Une toiture d’ardoise est substituée à la couverture de tuile. L’église s‘enrichit d'un nouveau mobilier. Les travaux sont inaugurés le 13 décembre 1885 en présence du chanoine Queste, grand doyen de Montreuil.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais de la région des Hauts-de-France, depuis 1801[17].
Commune et intercommunalités
Estréelles était membre de la communauté de communes du Montreuillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Étaples[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Berck
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La commune administre une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 83)[25].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[26].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Estréellois[27].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2020, la commune comptait 346 habitants[Note 9], en diminution de 5,46 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 182 hommes pour 168 femmes, soit un taux de 52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le monument aux morts, commun avec Estrée[33].
- Le fort d'Estréelles, ancien temple protestant de la fin du XVe siècle, détruit en 1970, dont il ne reste que le soubassement constitué d'un damier en grès et silex taillés.
- Le temple protestant d'Estréelles, dit le Fort.
- Vu de face.
- Vu de côté.
- Depuis la vallée.
- Lors de sa destruction en 1970.
- Vue d'artiste.
- Article de presse.
- Vue du fort et de l'église.
- Le monument aux morts.
- L'église Saint-Omer autrefois dédiée à Sainte-Ide mère de Godefroy de Bouillon.
Héraldique
Blason | D'hermine au temple [de l'église reformée] de gueules, ouvert et ajouré de sable, posé en perspective[34]. |
|
---|---|---|
Détails | Le "temple du lieu" est en fait l'ancien fort d'Estréelles, où se pratiquait la religion réformée, effondré en partie en 1969 puis détruit en 1970. Le champ d'hermine est emprunté, lui, aux armes des derniers seigneurs d'Estréelles aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle : les Du Blaizel, qui portaient « d'hermine à cinq losanges de gueules mis en fasce ». Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Estrée-Cauchy » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le climat océanique franc de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la mer du Nord et l'ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l'ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et très homothermes : l'amplitude annuelle (moins de 13°C d'écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L'été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d'hiver. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Montreuil-sur-Mer », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 139-140.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
- Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32
- « Bilan du maire d’Estréelles, Dominique Szcepanski : « Je veux bien repartir, mais il faut peut-être aussi laisser sa place » : Élu depuis trente ans à la mairie d’Estréelles, Dominique Szcepanski fait le bilan de son troisième mandat, qui s’est déroulé « en harmonie avec le conseil municipal et le personnel communal ». », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Estréelles : Hubert Maquaire s’installe dans le fauteuil de maire : Après un premier mandat en qualité de conseiller à la mairie d’Estréelles, plus particulièrement responsable de la commission des finances, Hubert Maquaire vient d’être élu premier magistrat de la commune ce dimanche. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Les projets du maire d’Estréelles : « Je suis novice mais engagé dans ma fonction » : Hubert Maquaire est devenu maire par hasard il y a six mois. Il a dû être opérationnel au plus vite car pour des raisons de santé, l’ancien maire Dominique Szczepanski ne souhaitait plus se représenter. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
- « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estréelles (62315) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Les monuments aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).