AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Inxent

Inxent est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Inxent
Inxent
La mairie d'Inxent.
Blason de Inxent
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Dominique Bigand
2020-2026
Code postal 62170
Code commune 62472
DĂ©mographie
Gentilé Inxentois
Population
municipale
160 hab. (2020 en diminution de 5,88 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 42 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 32â€Č 02″ nord, 1° 47â€Č 03″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 113 m
Superficie 3,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Berck
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Inxent
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Inxent
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Inxent
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Inxent

    La commune fait partie de la communautĂ© d'agglomĂ©ration des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

    Communes limitrophes d’Inxent
    Bernieulles Beussent
    Inxent Montcavrel
    Longvilliers Recques-sur-Course

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par trois cours d'eau :

    • la Course, une riviĂšre d'une longueur de 24,72 km, affluent droit du fleuve cĂŽtier la Canche. La Course prend sa source dans la commune de Doudeauville et se jette dans La Canche au niveau de la commune d'Attin[1] ;
    • le Beussent, petit cours d'eau naturel de 2,95 km, qui prend sa source dans la commune de Bernieulles et se jette dans la Course au niveau de la commune[2] ;
    • la riviĂšre des fontaines, petit cours d'eau naturel de 3,32 km, qui prend sa source dans la commune de Beussent et se jette dans la Course dans la commune de Recques-sur-Course[3].

    Paysages

    La commune est situĂ©e dans le « paysage montreuillois » tel que dĂ©fini dans l’atlas des paysages de la rĂ©gion Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction rĂ©gionale de l'Environnement, de l'AmĂ©nagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [4]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se dĂ©limite : Ă  l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donnĂ© naissance aux bas-champs ourlĂ©es de dunes ; au Nord par la boutonniĂšre du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formĂ© par la vallĂ©e de l’Authie, et Ă  l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage rĂ©gional, avec, dans son axe central, la vallĂ©e de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la CrĂ©quoise, la Planquette
, offre une alternance de vallĂ©es et de plateaux, appelĂ©e « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particuliĂšrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucriĂšre, le blĂ© et le maĂŻs, et les plateaux entre la Ternoise et la CrĂ©quoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forĂȘt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lĂšs-Fressin, CrĂ©quy
 [5].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallĂ©e de la Course Ă  l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le pĂ©rimĂštre de la ZNIEFF prĂ©sente un rĂ©seau hydrographique complexe associant plusieurs cours d’eau (Course, Bimoise, Baillons, riviĂšre des Fontaines
) et de nombreuses sources, ainsi que des plans d’eau d’origine artificielle (ballastiĂšres, cressonniĂšres, piscicultures, mares de chasse)[6].

    Et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallĂ©e de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus prĂ©cisĂ©ment dans l’entitĂ© paysagĂšre des ondulations montreuilloises[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Inxent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (80,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (53,2 %), prairies (25,5 %), forĂȘts (12,6 %), zones urbanisĂ©es (8,7 %)[13].

    La commune s'Ă©tend le long de la Course qui prend sa source Ă  Doudeauville et se jette dans la Canche Ă  Attin.

    • La Course au fond du parc floral face Ă  une auberge.
      La Course au fond du parc floral face Ă  une auberge.

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[14].

    Transport ferroviaire

    La commune disposait d'une halte sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes (villa) Hainnessendae en 1042; Enessem en 1224; Ynesent en 1257; Ainessent en 1261; Hincssent en 1424; Inessent en 1488; Ynessent vers 1512; Iquessent en 1535; Inquessent en 1553; Inquechem en 1559; Inghessem en 1559; Inquessent en 1562; Ingsent en 1586; Inquesant en 1730, Inxent en 1789[15] - [16].

    Enessem en flamand[17].

    Tout comme pour Beussent, Inxent reprĂ©sente sans doute un nom de personne germanique fĂ©minin pris absolument, Ă  savoir Hainsinda[16] et ce, en se rĂ©fĂ©rant Ă  la forme la plus ancienne. Cependant, Maurits Gysseling qui n'a pas connaissance de la forme primitive assimile ce toponyme terminĂ© par -(x)ent aux autres noms de lieux locaux terminĂ©s par -(s)ent[18] et propose un germanique Aginas haim « maison des gens d’Agino », en rĂ©alitĂ© *Aginas haim, *haim « habitation, maison, foyer » Ă©tant l'Ă©tymon germanique occidental supposĂ© du vieux haut allemand heim, du vieil anglais hām, de l'ancien nĂ©erlandais et du vieux saxon hēm. En effet, la plupart des noms de lieux des environs terminĂ©s par -(s)ent ont des formes trĂšs anciennes en -hem qui reprĂ©sentent l'appellatif toponymique germanique *haim (voir Hubersent, Tubersent, etc.).

    Histoire

    Inxent fut appelé Inxent sous la Chaussée au XVIIe siÚcle car « proche du chemin militaire des Romains » (la voie romaine allant d'Amiens à Boulogne-sur-Mer ou via Agrippa de l'Océan[19].

    Le panneau d'information.

    Un panneau émaillé destiné à l'information des visiteurs est fixé à l'entrée de l'église. Voici, in extenso, le texte qu'il contient :

    « Inxent
    Sous la protection de saint Antoine
    ....Une seigneurie et un chùteau sont attestés en 1350. Ils sont la propriété des seigneurs de Montcavrel, puis de leurs successeurs les De Monchy. D'abord nommée Innocent puis Inquessent, ce n'est qu'en 1792 que l'agglomération adopte le nom d'Inxent.
    Ce village rue s'est installĂ© au bord de la Course au cƓur d'un paysage de fond de vallĂ©e composĂ© de pĂąturages, d'alignements de saules tĂȘtards et de peupleraies.
    Cet environnement bucolique attire à Inxent les touristes et résidents secondaires dÚs la fin du XIXe siÚcle. Dans l'entre-deux-guerres, une famille d'industriels confie à l'architecte Louis Quételart la rénovation de la ferme d'Amour et la construction en vis-à-vis d'une villa baptisée Le Vert-Coteau. Elevée sur le versant de la vallée, cette demeure aux allures de cottage évoque l'architecture touquettoise et le style Quételart caractérisé par de vastes toitures, des doubles pignons et des oculi.
    Cet habitat de type balnéaire voisine des maisonnettes en torchis et pans de bois, à l'image de l'auberge située face à l'église de La Nativité.
    A l'intĂ©rieur, quelques objets de dĂ©votion rappellent que saint Antoine fait l'objet d'un culte toujours vivace dans la paroisse. NĂ© en Haute Egypte vers 251, saint Antoine se retire dans le dĂ©sert pour y vivre en ermite. Au XIe siĂšcle, ses reliques parviennent Ă  l'abbaye de Saint-Antoine-Viennois en DauphinĂ©. Cet Ă©tablissement est Ă  l'origine de l'ordre des antonins spĂ©cialisĂ©s dans l'accueil des malades souffrant des maladies contagieuses, notamment le mal des ardents ou le feu de Saint-Antoine, sorte d'Ă©pilepsie engendrĂ©e par l'ergot du seigle. DĂšs le Moyen Age, de nombreux foyers de culte se dĂ©veloppent en Boulonnais, en Picardie et dans les Flandres. Dans le Montreuillois, le pĂšlerinage d'Inxent reste vivace. Au cours d'une cĂ©rĂ©monie religieuse qui a lieu le dimanche le plus proche du 17 janvier, fĂȘte du saint, on dĂ©signe le roi de Saint-Antoine chargĂ© de prĂ©parer tous les offices religieux pendant l'annĂ©e et d'y faire la quĂȘte. Pendant la messe, le «roi descendant» transmet son sceptre Ă  l'effigie de saint Antoine au «roi montant». Le prĂȘtre bĂ©nit des petits pains rĂ©putĂ©s protĂ©ger les animaux des Ă©pizooties. La cĂ©rĂ©monie est suivie d'une procession dans la rue principale du village, menĂ©e par un enfant de chƓur et les deux rois. »

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune a fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du Montreuillois et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siÚge est basé à Montreuil.

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie du canton d'Étaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la RĂ©publique en ), en communes, cantons, districts et dĂ©partements[20].

    Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est rattachée au canton de Berck, qui est alors modifié, passant de 10 à 31 communes[21].

    Circonscriptions Ă©lectorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatriÚme circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008 2014[22] Jean-Claude Routier
    2014 En cours
    (au 24 mars 2022)
    Patrick Violier Cadre dans le secteur agricole[23] - [24]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[25] - [26]

    Équipements et services publics

    → Conseils pour la rĂ©daction de cette section.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Inxentois[27].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 160 habitants[Note 5], en diminution de 5,88 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    243242268322328303321305300
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    277261253245274269268294317
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    304278245247213214210226201
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    211190177170157158158171163
    2020 - - - - - - - -
    160--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  25,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 35,5 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 81 hommes pour 81 femmes, soit un taux de 50,00 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,2
    8,5
    75-89 ans
    12,3
    19,5
    60-74 ans
    29,6
    31,7
    45-59 ans
    24,7
    9,8
    30-44 ans
    11,1
    13,4
    15-29 ans
    12,3
    17,1
    0-14 ans
    8,6
    Pyramide des ùges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Économie

    → Conseils pour la rĂ©daction de cette section.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise de la nativitĂ©. Simple en apparence, sa construction en brique et en craie a fait l'objet de plusieurs remaniements qui ne permettent pas de la dater avec certitude[33].
    • L'Ă©glise au centre du cimetiĂšre communal et le monument au morts.

    Autres monuments

    • Un moulin partiellement brĂ»lĂ© en 1976.
    • Une auberge et un parc floral.
    • De nombreuses rĂ©sidences secondaires du dĂ©but du XXe siĂšcle.

    HĂ©raldique

    Blason de Inxent Blason
    D'argent à la barre d'azur chargée d'un poisson du champ, accompagnée, en chef, de saint Antoine et son porc de gueules et, en pointe, de deux arbres arrachés de sinople rangés en barre.
    DĂ©tails
    Le blason représente Saint Antoine, patron de la paroisse, et la riviÚre de la Course, symbolisée par la barre et le poisson.

    Adopté par la municipalité le .

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. La DREAL distingue, dans la rĂ©gion Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages rĂ©gionaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Beussent (E5410580 ) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - riviÚre des fontaines (E5410590 ) » (consulté le )
    4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : SynthÚse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    6. « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    15. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 210.
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 361b
    17. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    18. Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, p. 535 (lire en ligne)
    19. M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 405, lire en ligne.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    21. « Liste des communes composant le canton de Berck (6210) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Thomas Bourgeois, « Le bilan des maires Ă  Inxent, avec Jean-Claude Routier : « Il faut peut-ĂȘtre que j’appuie sur la pĂ©dale de frein » : VoilĂ  seize ans que Jean- Claude Routier est maire d’Inxent, un village de 174 Ăąmes dans la vallĂ©e de la Course. Il a consacrĂ© son dernier mandat Ă  la dĂ©fense d’un gros projet : la construction d’un groupe scolaire au sein du RPI. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    23. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    24. J.-C.L. (CLP), « Les projets du maire d’Inxent : crĂ©er un pĂŽle Ă©ducatif pour regrouper tous les Ă©lĂšves en un seul lieu : Patrick Violier, 56 ans, est maire d’Inxent depuis les derniĂšres Ă©lections. ChargĂ© de clientĂšle, comptable et conseiller de gestion dans le domaine agricole, cet Ă©lu sans Ă©tiquette souhaite animer son village. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
    27. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Inxent (62472) », (consultĂ© le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
    33. . « Plus de détails sur l'église de la Nativité d'Inxent » (Article sur Wikipasdecalais)
    34. La plaque commémorative de l'église d'Inxent
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.