Inxent
Inxent est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Inxent | |||||
La mairie d'Inxent. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Dominique Bigand 2020-2026 |
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Code postal | 62170 | ||||
Code commune | 62472 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Inxentois | ||||
Population municipale |
160 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 42 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 32âČ 02âł nord, 1° 47âČ 03âł est | ||||
Altitude | Min. 21 m Max. 113 m |
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Superficie | 3,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Berck | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.
GĂ©ographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par trois cours d'eau :
- la Course, une riviĂšre d'une longueur de 24,72 km, affluent droit du fleuve cĂŽtier la Canche. La Course prend sa source dans la commune de Doudeauville et se jette dans La Canche au niveau de la commune d'Attin[1] ;
- le Beussent, petit cours d'eau naturel de 2,95 km, qui prend sa source dans la commune de Bernieulles et se jette dans la Course au niveau de la commune[2] ;
- la riviĂšre des fontaines, petit cours d'eau naturel de 3,32 km, qui prend sa source dans la commune de Beussent et se jette dans la Course dans la commune de Recques-sur-Course[3].
Paysages
La commune est situĂ©e dans le « paysage montreuillois » tel que dĂ©fini dans lâatlas des paysages de la rĂ©gion Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction rĂ©gionale de l'Environnement, de l'AmĂ©nagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [4]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se dĂ©limite : Ă lâOuest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donnĂ© naissance aux bas-champs ourlĂ©es de dunes ; au Nord par la boutonniĂšre du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formĂ© par la vallĂ©e de lâAuthie, et Ă lâEst par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage rĂ©gional, avec, dans son axe central, la vallĂ©e de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la CrĂ©quoise, la PlanquetteâŠ, offre une alternance de vallĂ©es et de plateaux, appelĂ©e « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particuliĂšrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucriĂšre, le blĂ© et le maĂŻs, et les plateaux entre la Ternoise et la CrĂ©quoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forĂȘt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lĂšs-Fressin, CrĂ©quy⊠[5].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallĂ©e de la Course Ă l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le pĂ©rimĂštre de la ZNIEFF prĂ©sente un rĂ©seau hydrographique complexe associant plusieurs cours dâeau (Course, Bimoise, Baillons, riviĂšre des FontainesâŠ) et de nombreuses sources, ainsi que des plans dâeau dâorigine artificielle (ballastiĂšres, cressonniĂšres, piscicultures, mares de chasse)[6].
Et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallĂ©e de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus prĂ©cisĂ©ment dans lâentitĂ© paysagĂšre des ondulations montreuilloises[7].
Urbanisme
Typologie
Inxent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (80,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (53,2 %), prairies (25,5 %), forĂȘts (12,6 %), zones urbanisĂ©es (8,7 %)[13].
La commune s'Ă©tend le long de la Course qui prend sa source Ă Doudeauville et se jette dans la Canche Ă Attin.
- La Course au fond du parc floral face Ă une auberge.
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[14].
Transport ferroviaire
La commune disposait d'une halte sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes (villa) Hainnessendae en 1042; Enessem en 1224; Ynesent en 1257; Ainessent en 1261; Hincssent en 1424; Inessent en 1488; Ynessent vers 1512; Iquessent en 1535; Inquessent en 1553; Inquechem en 1559; Inghessem en 1559; Inquessent en 1562; Ingsent en 1586; Inquesant en 1730, Inxent en 1789[15] - [16].
Tout comme pour Beussent, Inxent reprĂ©sente sans doute un nom de personne germanique fĂ©minin pris absolument, Ă savoir Hainsinda[16] et ce, en se rĂ©fĂ©rant Ă la forme la plus ancienne. Cependant, Maurits Gysseling qui n'a pas connaissance de la forme primitive assimile ce toponyme terminĂ© par -(x)ent aux autres noms de lieux locaux terminĂ©s par -(s)ent[18] et propose un germanique Aginas haim « maison des gens dâAgino », en rĂ©alitĂ© *Aginas haim, *haim « habitation, maison, foyer » Ă©tant l'Ă©tymon germanique occidental supposĂ© du vieux haut allemand heim, du vieil anglais hÄm, de l'ancien nĂ©erlandais et du vieux saxon hÄm. En effet, la plupart des noms de lieux des environs terminĂ©s par -(s)ent ont des formes trĂšs anciennes en -hem qui reprĂ©sentent l'appellatif toponymique germanique *haim (voir Hubersent, Tubersent, etc.).
Histoire
Inxent fut appelé Inxent sous la Chaussée au XVIIe siÚcle car « proche du chemin militaire des Romains » (la voie romaine allant d'Amiens à Boulogne-sur-Mer ou via Agrippa de l'Océan[19].
Un panneau émaillé destiné à l'information des visiteurs est fixé à l'entrée de l'église. Voici, in extenso, le texte qu'il contient :
« Inxent
Sous la protection de saint Antoine
....Une seigneurie et un chùteau sont attestés en 1350. Ils sont la propriété des seigneurs de Montcavrel, puis de leurs successeurs les De Monchy. D'abord nommée Innocent puis Inquessent, ce n'est qu'en 1792 que l'agglomération adopte le nom d'Inxent.
Ce village rue s'est installĂ© au bord de la Course au cĆur d'un paysage de fond de vallĂ©e composĂ© de pĂąturages, d'alignements de saules tĂȘtards et de peupleraies.
Cet environnement bucolique attire à Inxent les touristes et résidents secondaires dÚs la fin du XIXe siÚcle. Dans l'entre-deux-guerres, une famille d'industriels confie à l'architecte Louis Quételart la rénovation de la ferme d'Amour et la construction en vis-à -vis d'une villa baptisée Le Vert-Coteau. Elevée sur le versant de la vallée, cette demeure aux allures de cottage évoque l'architecture touquettoise et le style Quételart caractérisé par de vastes toitures, des doubles pignons et des oculi.
Cet habitat de type balnéaire voisine des maisonnettes en torchis et pans de bois, à l'image de l'auberge située face à l'église de La Nativité.
A l'intĂ©rieur, quelques objets de dĂ©votion rappellent que saint Antoine fait l'objet d'un culte toujours vivace dans la paroisse. NĂ© en Haute Egypte vers 251, saint Antoine se retire dans le dĂ©sert pour y vivre en ermite. Au XIe siĂšcle, ses reliques parviennent Ă l'abbaye de Saint-Antoine-Viennois en DauphinĂ©. Cet Ă©tablissement est Ă l'origine de l'ordre des antonins spĂ©cialisĂ©s dans l'accueil des malades souffrant des maladies contagieuses, notamment le mal des ardents ou le feu de Saint-Antoine, sorte d'Ă©pilepsie engendrĂ©e par l'ergot du seigle. DĂšs le Moyen Age, de nombreux foyers de culte se dĂ©veloppent en Boulonnais, en Picardie et dans les Flandres. Dans le Montreuillois, le pĂšlerinage d'Inxent reste vivace. Au cours d'une cĂ©rĂ©monie religieuse qui a lieu le dimanche le plus proche du 17 janvier, fĂȘte du saint, on dĂ©signe le roi de Saint-Antoine chargĂ© de prĂ©parer tous les offices religieux pendant l'annĂ©e et d'y faire la quĂȘte. Pendant la messe, le «roi descendant» transmet son sceptre Ă l'effigie de saint Antoine au «roi montant». Le prĂȘtre bĂ©nit des petits pains rĂ©putĂ©s protĂ©ger les animaux des Ă©pizooties. La cĂ©rĂ©monie est suivie d'une procession dans la rue principale du village, menĂ©e par un enfant de chĆur et les deux rois. »
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune a fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du Montreuillois et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siÚge est basé à Montreuil.
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie du canton d'Ătaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la RĂ©publique en ), en communes, cantons, districts et dĂ©partements[20].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est rattachée au canton de Berck, qui est alors modifié, passant de 10 à 31 communes[21].
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatriÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
â Conseils pour la rĂ©daction de cette section.
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants de la commune sont appelés les Inxentois[27].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[29].
En 2020, la commune comptait 160 habitants[Note 5], en diminution de 5,88 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 25,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 35,5 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 81 hommes pour 81 femmes, soit un taux de 50,00 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
â Conseils pour la rĂ©daction de cette section.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- L'église de la nativité. Simple en apparence, sa construction en brique et en craie a fait l'objet de plusieurs remaniements qui ne permettent pas de la dater avec certitude[33].
- le chĆur.
- Deux stations du chemin de croix surplombant un hommage funéraire[34].
Autres monuments
- Un moulin partiellement brûlé en 1976.
- Une auberge et un parc floral.
- De nombreuses résidences secondaires du début du XXe siÚcle.
HĂ©raldique
Blason | D'argent à la barre d'azur chargée d'un poisson du champ, accompagnée, en chef, de saint Antoine et son porc de gueules et, en pointe, de deux arbres arrachés de sinople rangés en barre. |
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Détails | Le blason représente Saint Antoine, patron de la paroisse, et la riviÚre de la Course, symbolisée par la barre et le poisson. Adopté par la municipalité le . |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee :
- relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- relatif au canton, [lire en ligne]
- relatif à l'intercommunalité, [lire en ligne]
- relatif au département, [lire en ligne]
- relatif Ă la France, [lire en ligne]
Notes et références
Notes
- La DREAL distingue, dans la rĂ©gion Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et dâinterface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages rĂ©gionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Beussent (E5410580 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - riviÚre des fontaines (E5410590 ) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : SynthÚse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 210.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 361b
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, p. 535 (lire en ligne)
- M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 405, lire en ligne.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « Liste des communes composant le canton de Berck (6210) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Thomas Bourgeois, « Le bilan des maires Ă Inxent, avec Jean-Claude Routier : « Il faut peut-ĂȘtre que jâappuie sur la pĂ©dale de frein » : VoilĂ seize ans que Jean- Claude Routier est maire dâInxent, un village de 174 Ăąmes dans la vallĂ©e de la Course. Il a consacrĂ© son dernier mandat Ă la dĂ©fense dâun gros projet : la construction dâun groupe scolaire au sein du RPI. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- J.-C.L. (CLP), « Les projets du maire dâInxent : crĂ©er un pĂŽle Ă©ducatif pour regrouper tous les Ă©lĂšves en un seul lieu : Patrick Violier, 56 ans, est maire dâInxent depuis les derniĂšres Ă©lections. ChargĂ© de clientĂšle, comptable et conseiller de gestion dans le domaine agricole, cet Ă©lu sans Ă©tiquette souhaite animer son village. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Inxent (62472) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- . « Plus de détails sur l'église de la Nativité d'Inxent » (Article sur Wikipasdecalais)
- La plaque commémorative de l'église d'Inxent