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Crépy-en-Valois

CrĂ©py-en-Valois est une commune française situĂ©e au cƓur de la vallĂ©e de l'Automne dans le dĂ©partement de l'Oise en rĂ©gion Hauts-de-France. Ses habitants sont appelĂ©s les CrĂ©pynois.

Crépy-en-Valois
Crépy-en-Valois
L'hĂŽtel de ville.
Blason de Crépy-en-Valois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du pays de Valois
(siĂšge)
Maire
Mandat
Virginie Douat
2021-2026
Code postal 60800
Code commune 60176
DĂ©mographie
Gentilé Crépynois
Population
municipale
14 365 hab. (2020 en diminution de 4,03 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 882 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 14â€Č 09″ nord, 2° 53â€Č 24″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 150 m
Superficie 16,28 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Crépy-en-Valois
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crépy-en-Valois
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
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Crépy-en-Valois
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Crépy-en-Valois
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Crépy-en-Valois
Liens
Site web crepyenvalois.fr

    Ville capitale de l'ancien Valois, CrĂ©py-en-Valois se situe au cƓur d'un bassin de 55 560 habitants (62 communes de la communautĂ© de communes du Pays de Valois)[1].

    GĂ©ographie

    Situation

    CrĂ©py-en-Valois est situĂ©e Ă  60 km au nord-est de Paris, au cƓur du Valois, rĂ©gion d'« openfield », domaine de la grande culture industrielle (cĂ©rĂ©ales, betteraves, olĂ©agineux, lĂ©gumes de plein champ).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
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    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

    La ville constitue la limite sud du domaine linguistique picard (contrairement au Nord de la France, le picard n'est plus parlé dans le Valois).

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Crépy-en-Valois
    SĂ©ry-Magneval Feigneux Russy-BĂ©mont
    Duvy Crépy-en-Valois Gondreville
    Rouville LĂ©vignen

    Hydrographie

    Étang au parc de Geresme.

    La commune est drainée par le ru des Taillandiers, affluent de la Sainte-Marie, affluent de l'Automne en rive gauche, et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise[2].

    Elle compte Ă©galement plusieurs Ă©tangs.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 724 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 717,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le dĂ©partement du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et Ă  45 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,6 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  12,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    CrĂ©py-en-Valois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de CrĂ©py-en-Valois, une unitĂ© urbaine monocommunale[19] de 15 090 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (45,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (53,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), zones urbanisĂ©es (21,7 %), forĂȘts (15,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (12 %), mines, dĂ©charges et chantiers (3,4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,6 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 6 744, alors qu'il Ă©tait de 6 492 en 2013 et de 6 055 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 94,1 % étaient des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 52,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 46,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crépy-en-Valois en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 54,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (54,6 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement à Crépy-en-Valois en 2018.
    Typologie Crépy-en-Valois[I 1] Oise[I 4] France entiÚre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 94,1 90,4 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 4,9 7,1 8,2

    Transports et déplacements

    La gare.

    La commune se situe Ă  proximitĂ© de la RN 2 et de l'A1. L'aĂ©roport Paris-Charles-de-Gaulle est accessible en environ 25–30 minutes en voiture.

    La commune est desservie par la gare de Crépy-en-Valois, située sur la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontiÚre) et desservie par les trains de la ligne K du Transilien (Paris-Nord - Crépy-en-Valois) ainsi que par ceux du TER Picardie (Paris - Laon).

    Depuis , la ville de Crépy-en-Valois dispose d'un service de bus gratuit dénommé Cypré, exploité par les Cars Charlot et composé de deux lignes desservant les lieux incontournables de la ville[26].

    Le pont Saint-Ladre, construit en 1929, est affectĂ© de signes de vieillissement susceptibles de mettre en cause sa soliditĂ©. En 2018, la circulation y a Ă©tĂ© interdite aux camions de plus de 3,5 tonnes[27]. Les travaux de rĂ©fection sont paralysĂ©s par un dĂ©saccord, entre la SNCF et le dĂ©partement de l'Oise, dont la justice est saisie[28] - [29]. Des travaux de rĂ©novation sont escomptĂ©s Ă  partir de 2024[30]

    Toponymie

    Crépy est attesté sous les formes Crispeium in Valesia (IXe siÚcle), Crispiacus, Crispinacum, Crispeiacum, Crespeium (1504), Crispiacum (1223), Chrispeyum, Crispeium sylvanectum, Crespy, Crépi, Crespi, Crespei[31].

    Bouillant est attesté sous les formes Bouillencum, Boullientum, Boilglant (IXe siÚcle), Boillant (1220), Bollant, Boilgland, Bouilland, Bouillant-Germinal (1794)[32].

    Mermont est attesté sous les formes Meromons (1108), Maromont (1162), Merimons (1163), Méremont (1836)[33].

    Histoire

    Antiquité

    Le site de Crépy-en-Valois a été probablement occupé par les Romains.

    Périodes médiévale et moderne

    Carte du pays de Valois, Hendrik Hondius II, 1620.

    À partir du Xe siĂšcle, CrĂ©py-en-Valois devient la rĂ©sidence des comtes de Valois, puissants vassaux des rois de France jusqu'en 1213, date Ă  laquelle le Valois est intĂ©grĂ© au domaine de la Couronne. DonnĂ© en apanage, il revient ainsi Ă  Louis d'OrlĂ©ans qui le transforme en duchĂ©.

    Aux XIe et XIIe siĂšcles[34], CrĂ©py-en-Valois (chĂąteau et bourg castral) se dĂ©veloppe bĂ©nĂ©ficiant de sa situation sur l'une des routes entre la Flandre et les foires de Champagne[35]. Mais, la citĂ© est touchĂ©e par la guerre de Cent Ans. Vers 1430, le chĂąteau primitif de CrĂ©py-en-Valois est assiĂ©gĂ© depuis le « Donjon » voisin dont il Ă©tait probablement sĂ©parĂ© par un fossĂ©. La chapelle attenante Ă  ce « Donjon » voit sa partie haute utilisĂ©e ; on y place des canons afin de tirer depuis les fenĂȘtres sur le chĂąteau[36].

    Par ailleurs, dĂšs le XVIe siĂšcle, Villers-CotterĂȘts est prĂ©fĂ©rĂ©e par les rois de France. La ville connaĂźt alors un lent dĂ©clin jusqu'Ă  la RĂ©volution française.

    PĂ©riode contemporaine

    Sous la Révolution française, la société populaire de Crépy est particuliÚrement active[37].

    Elle est chef-lieu de district de 1790 Ă  1795[38].

    Les installations marchandises de la gare de Crépy-en-Valois et l'usine de meubles, vers 1906.
    Vue gĂ©nĂ©rale de la gare Ă  la mĂȘme Ă©poque, avec l'usine Clair.

    Il faut attendre l'arrivée du chemin de fer en 1861 et de la construction de l'usine d'ameublement Clair en 1873[39] pour que la ville retrouve une vitalité économique. La ville connaßt un essor remarquable sous l'Úre du maire Gustave Chopinet (mayorat, 1888-1918). En 1902, le conseil municipal se divise sur fond de querelles religieuses au point qu'il est dissous par le conseil des ministres, le [40].

    PremiĂšre Guerre mondiale

    Gustave Chopinet est pris en otage avec une dizaine d'autres Crépynois le au moment de l'invasion allemande. Son acte de bravoure lui vaut d'obtenir la légion d'honneur en 1917. La ville souffre particuliÚrement des bombardements allemands en 1918[41]. L'usine de fabrication de meubles Clair est en partie détruite[42] - [43] - [44].

    Néanmoins, à la fin de la guerre, les cartes indiquent que la ville a subi des destructions modérées[45] - [46] - [47] - [48] - [49] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [50] - [51] - [52].

    L'Entre-deux-Guerres, la Seconde Guerre mondiale et les Trente glorieuses

    Les années d'aprÚs-guerre sont marquées par la cherté de la vie, une crise de logements sévÚre. Sous l'action de Jean Vassal (1919-1953) sont réalisées les premiÚres HBM.

    Le socialiste SFIO Jean Vassal est maintenu par le Gouvernement de Vichy sous l'occupation nazie. En septembre 1944, il est déposé par les FFI locaux. Mais contre toute attente, c'est le préfet gaulliste Yves Pérony qui le maintient. En novembre 1944, Jean Vassal est exclu de la SFIO. Il rejoint le RPF en 1948[53].

    Exploitant les divisions de la gauche crĂ©pynoise, le docteur Michel Dupuy remporte les Ă©lections municipales de 1953. Sous ses diffĂ©rents mandats, la ville passe de 5 000 habitants Ă  14 000 habitants Ă  son dĂ©part en 1995.

    Le a lieu le premier festival national dédié au mouvement punk avec des groupes comme Pain Head, Losse Heart, les Stinky Toys et Angel face[54].

    Le , deux cars transportant des enfants et adolescents de Crépy-en-Valois vers une colonie de vacances en Savoie sont accidentés avec quelques véhicules sur l'autoroute A6 à hauteur de Merceuil, prÚs de Beaune. Cet accident, le plus meurtrier de France, fit 53 morts, dont 44 enfants originaires de la commune ou des environs[55].

    Politique et administration

    L'hĂŽtel de ville en 2019.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquiÚme circonscription de l'Oise.

    Elle Ă©tait depuis 1790 le chef-lieu du canton de CrĂ©py-en-Valois[38]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est dĂ©sormais le bureau centralisateur, est redĂ©coupĂ© mais garde le mĂȘme nombre de communes (25).

    Intercommunalité

    La commune est la ville principale de la communauté de communes du Pays de Valois, créée fin 1996, qui succÚde à plusieurs syndicats de communes des anciens cantons de Crépy-en-Valois, de Betz et de Nanteuil-le-Haudouin.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste SE menĂ©e par Bruno Fortier obtient la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s, avec 2 453 voix (37,44 %, 23 conseillers municipaux Ă©lus dont 6 communautaires), devançant largement celle UMP / UDI / MoDem menĂ©e par le maire sortant Arnaud Foubert, qui a obtenu 1 561 voix (23,82 %, 4 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire.
    La troisiĂšme liste, PS / EELV / PRG, menĂ©e par JĂ©rĂŽme Furet, a obtenu 1 055 voix, soit 16,10 % (3 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin, 36,54 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[56].

    Lors des élections municipales de 2020, huit listes étaient en lice au premier tour[57] - [58] - [59], dont quatre ont participé au second tour. La liste menée par le maire sortant, Bruno Fortier (DVD) y a obtenu la majorité des suffrages exprimés, avec 43,34 % des voix, suivie par la liste d'Arnaud Foubertn maire de 2008 à 2014, DVD, 26,51 %), de Philippe Pinilo (SE, 17,40 %) et de celle menée par Michel Houllier (Div C, 12,75 %).
    Ce second tour, marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France dont Crépy a été un des foyers, est marqué par 66 % d'abstention[60].

    Le , le tribunal administratif d'Amiens, saisi par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, a dĂ©clarĂ© inĂ©ligible Bruno Fortier, maire rĂ©Ă©lu en 2020, pour avoir transmis en retard ses comptes de campagne des municipales 2020 pour une durĂ©e de six mois. Deux autres candidats, Philippe Pinilo et Jean-Michel Sinet sont dĂ©clarĂ©s inĂ©ligibles, eux pour un an pour n'avoir fourni aucun compte de campagne. Le , le Conseil d'État a rejetĂ© le recours de Bruno Fortier, ce qui rend effective sa condamnation[61] - [62] - [63]. Le , le conseil municipal a Ă©lu sa nouvelle maire, Virginie Douat, jusqu'alors premiĂšre maire-adjointe de Bruno Fortier[64].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[65]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1918 Gustave Chopinet[66] Rad. Ind. MĂ©decin
    DĂ©putĂ© de l'Oise (1898 → 1902 et 1906 → 1914)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de CrĂ©py-en-Valois (1899 → 1918)
    Décédé en fonction
    1919 1953 Jean Vassal[67] SFIO
    puis aprĂšs 1944
    RPF
    Inspecteur Ă  la Compagnie des chemins de fer du Nord
    DĂ©putĂ© de l'Oise (1928 → 1942)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de CrĂ©py-en-Valois (1926 → 1940 et 1945 → 1953)
    Décédé en fonction
    1953 1995 Michel Dupuy DVD
    1995 2008 Pierre Praddaude DVD
    2008 avril 2014[68] Arnaud Foubert UMP PrĂ©sident de la CCPV (2008 → 2014)
    avril 2014[69] octobre 2021[63] Bruno Fortier[70] DVD Agent d'assurance
    Vice-prĂ©sident de la CCPV (2014[60] → 2021)
    Maire déclaré inéligible en septembre 2021
    octobre 2021[64] En cours
    (au 29 mars 2022)
    Virginie Douat BanquiĂšre
    Vice-prĂ©sidente de la CCPV (2022 → )

    Instances de démocratie participative

    La ville s'est dotĂ©e d'un conseil municipal des jeunes, actif notamment en 2019 oĂč il est Ă  l'origine de l'inscription de la devise nationale LibertĂ© - ÉgalitĂ© - FraternitĂ© sur le fronton de l'HĂŽtel-de-Ville[71] . En 2021, il s'est mobilisĂ© sur la thĂ©matique des Ă©changes intergĂ©nĂ©rationnels et de la solitude des personnes ĂągĂ©es[72].

    Politique de développement durable

    AprĂšs un premier atlas de la biodiversitĂ© rĂ©alisĂ© en 2013, la ville a confiĂ© en 2019 au centre permanent d’initiatives pour l’environnement (CPIE) la rĂ©alisation de son second atlas, Ă  partir d’inventaires de la faune et de la flore rĂ©alisĂ©s sur dix sites de la ville.

    Ces atlas ont permis d'Ă©tablir le maintien des populations, alors que l’on constate un recul dans certaines communes[73].

    Afin d'amĂ©liorer la gestion de l'eau, la mairie donne aux particuliers qui en font la demande des rĂ©cupĂ©rateurs d'eau de pluie chez les particuliers, de maniĂšre Ă  contribuer Ă  la rĂ©alisation de l'objectif « zĂ©ro eau de pluie » dans le rĂ©seau d’assainissement[74]

    Jumelages

    CrĂ©py-en-Valois mĂšne des actions de jumelage avec des villes europĂ©ennes. Aujourd’hui, la citĂ© de l’archerie est jumelĂ©e avec trois villes :

    Le jumelage crépynois trouve son origine en 1957.

    À l’initiative de cette action, le Dr Michel Dupuy, maire de CrĂ©py-en-Valois de 1953 Ă  1995. Une action qui a largement Ă©tĂ© soutenue et dĂ©veloppĂ©e par Jean Guinot, Ă  l’époque adjoint au maire chargĂ© des Sports-Loisirs et prĂ©sident du comitĂ© des fĂȘtes pendant 18 ans, George de Cornois, prĂ©sident du syndicat d’initiatives et Serge Hanotin, Ă©galement adjoint au maire - trĂšs actif auprĂšs des associations sports et jeunesse de la ville -. CrĂ©py-en-Valois avait adhĂ©rĂ© au Conseil des communes d’Europe avec comme volontĂ© le jumelage de notre ville. La capitale du Valois fait figure de pionniĂšre dans l’action du jumelage français notamment en s’étant associĂ©e, dĂšs le dĂ©part, Ă  trois communes en mĂȘme temps. C’est ainsi que le , la citĂ© de l’archerie fut liĂ©e Ă  Antoing (Belgique), Zell-Mosel (Allemagne) et Gerrards Cross (Angleterre).

    Aujourd’hui, CrĂ©py-en-Valois n’est plus jumelĂ©e Ă  la ville de Gerrards Cross. Cependant, elle compte Ă  nouveau bien trois jumelles puisqu’elle s’est unie Ă  la ville de Plonsk en 2002. 

    Chaque année, les quatre villes organisent des rendez-vous autour du jumelage (Foire de Crépy-en-Valois, échange entre collÚges, échanges sportifs et musicaux, etc.). Ces rencontres permettent ainsi de pérenniser les échanges entre les villes jumelées.

    Tous les quatre ans se dĂ©roule la fĂȘte du Jumelage. À cette occasion, chaque ville reçoit Ă  tour de rĂŽle les dĂ©lĂ©gations des autres communes.

    En 2017, la ville de CrĂ©py-en-Valois a fĂȘtĂ© le 60e anniversaire de son jumelage avec les villes de Zell-Mosel et d'Antoing[75].

    Équipements et services publics

    Enseignement

    En 2021, Crépy-en-Valois disposait de six groupes scolaires (maternelles + élémentaires), deux collÚges (collÚge Jean-de-La Fontaine, collÚge Gérard-de-Nerval) ainsi que deux lycées, l'un général et technologique (lycée Jean-Monnet[76]) et l'autre professionnel (lycée Robert-Desnos[77]).

    Lycée public d'enseignement général ou technologique :

    • LycĂ©e Jean Monnet ;

    Lycée public professionnel :

    • LycĂ©e professionnel Robert Desnos.

    CollĂšges publics :

    • CollĂšge GĂ©rard de Nerval ;
    • CollĂšge Jean de la Fontaine.

    Institut médico-éducatif (IME) :

    • IME Decroly (association La Nouvelle Forge).

    École Ă©lĂ©mentaire publiques :

    • AndrĂ© Malraux
    • Charles PĂ©guy
    • Gaston Ramon
    • Jean Cocteau
    • Jean Vassal

    École Ă©lĂ©mentaire privĂ©e :

    • École Sainte-Marie (catholique).

    Écoles maternelles publiques :

    • AndrĂ© Malraux;
    • Charles PĂ©guy;
    • Gaston Ramon;
    • Jean Cocteau.
    • Jacques PrĂ©vert;

    Écoles maternelle privĂ©e :

    • École Sainte-Marie (catholique).

    Santé

    La ville, confrontée à un manque d'attractivité pour les médecins et à leur non-remplacement lors de leur départ à la retraite, souhaite rénover et aider sa maison médicale, fondée en 1973, et qui serait remplacée par une maison de santé pluridisciplinaire vers 2020[78] - [79] - [80] - [81].

    L’hĂŽpital de CrĂ©py-en-Valois, Ă©tablissement Ă  vocation gĂ©riatrique, accueille en 2020 un service de soins et de rĂ©adaptation, une unitĂ© de soins longue durĂ©e, ainsi que des Ehpad, soit au total deux 239 lits ou places[82]

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dispose d'un important réseau de vidéosurveillance rénové en 2021 et comprenant des caméras positionnées en entrées et sorties de ville, aux abords des établissements scolaires, en centre-ville, sur quelques parkings à forte affluence et dans certains quartiers, raccordé à un centre de surveillance urbain (CSU).implanté dans les locaux de la police municipale[83].

    La communauté de brigades de Crépy-en-Valois de la Gendarmerie nationale assure la protection de la ville et de ses alentours[84]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[85] - [Note 8].

    En 2020, la commune comptait 14 365 habitants[Note 9], en diminution de 4,03 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2422 1642 2822 1572 6192 5822 8732 9332 787
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5132 8342 7752 8173 0823 3693 6254 1244 381
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5 2135 3755 5285 2935 5705 6325 6545 4655 950
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7 3798 66010 92012 22813 22214 43614 28914 37415 231
    2020 - - - - - - - -
    14 365--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[86].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  34,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 6 916 hommes pour 7 880 femmes, soit un taux de 53,26 % de femmes, largement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,11 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[87]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    1,6
    6,6
    75-89 ans
    9,9
    15,6
    60-74 ans
    16,7
    20,8
    45-59 ans
    20,9
    19,5
    30-44 ans
    17,8
    17,7
    15-29 ans
    15,4
    18,8
    0-14 ans
    17,8
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[88]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Sports

    CrĂ©py-en-Valois est frĂ©quemment citĂ©e comme Ă©tant l'une des places fortes françaises du tir Ă  l'arc, et est parfois qualifiĂ©e de citĂ© de l'archerie[89]. La commune abrite la Compagnie d'Arc de CrĂ©py-en-Valois qui est l'une des 101 associations archĂšres du dĂ©partement[90]. CrĂ©py-en-Valois a accueilli des bouquets provinciaux Ă  plusieurs reprises (1899, 1925, 1938, 1949, 1965, 1976, 1993)[90]. De plus, un forum des facteurs d’arcs et de flĂšches est organisĂ© depuis 2016 sur le territoire de la commune.

    L'US Crépy-en-Valois est la principale association sportive de la commune. L'équipe fanion de la section football évolue en deuxiÚme division départementale lors de la saison 2021-2022[91]. Le club dispose aussi d'une section basket-ball qui dispute la Régionale masculine seniors - Division 3[92].

    Manifestations culturelles et festivités

    La 23e Ă©dition de la fĂȘte des cochons s'est tenue les 24 et , regroupant artisans et troupes d'animations autour du thĂšme du Moyen Âge[93]. Cette fĂȘte rappelle un Ă©pisode d'un siĂšge tenu par Henri IV oĂč les habitants sont alertĂ©s par les cris de cochons Ă©gorgĂ©s par l'armĂ©e envahisseuse, croyant avoir affaire Ă  des sentinelles endormies de la ville[94]

    Cultes

    En ce qui concerne le culte catholique, outre l'Église Saint-Denis et I'Église Saint-Martin de Bouillant, on peut signaler la chapelle MĂšre Teresa, implantĂ©e en 2009 au milieu des habitations du quartier des Arcades sur l'initiative de Mgr Guy Thomazeau et dont la dĂ©dicace a Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ©e le par l'Ă©vĂȘque de Beauvais Jean-Paul James[95].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    CrĂ©py-en-Valois compte treize monuments historiques sur son territoire, dont deux sont classĂ©s et onze inscrits. Un quatorziĂšme monument a Ă©tĂ© dĂ©truit pendant la Seconde Guerre mondiale ; il s'agissait d'une maison du XIIIe siĂšcle au 9 rue Nationale, inscrite par arrĂȘtĂ© du [96].

    • Les vestiges de la collĂ©giale Saint-Thomas de CantorbĂ©ry[97], classĂ©es Monuments historiques en 1875[98], rue de la Hante, Ă  l'ouest du centre-ville. Les Ă©lĂ©ments les plus anciens de l'Ă©glise remontent au XIIe siĂšcle. Une partie de l'Ă©difice s'effondre le vendredi 21 juin 2019, vers 3 h 15 du matin[99].
      Sa restauration est facilitĂ©e par le financement de mĂ©cĂšnes et notamment par le Loto du patrimoine qui a accordĂ© 300 000 â‚Ź[100]
    • Les restes du prieurĂ© Saint-Arnoul, place Saint-Simon, Ă  l'extrĂ©mitĂ© nord-ouest de la citĂ© fortifiĂ©e, inscrites monuments historiques en 1943 (vestiges du monastĂšre) et en 1979 (porte d'entrĂ©e)[101]. Cet ancien prieurĂ© de l'ordre de Cluny fondĂ© en 1077 en remplacement d'une abbaye fut supprimĂ© Ă  la RĂ©volution française. Subsistent l'ancien logis du prieur du XVIIIe siĂšcle, la ruine de l'Ă©glise gothique, des vestiges de la crypte romane, et l'aile orientale des bĂątiments monastiques, qui abrite une galerie de cloĂźtre et trois salles voĂ»tĂ©es, ouvertes Ă  la visite[102].
    • Ancien chĂąteau Saint-Aubin[103], rue Gustave-Chopinet, inscrit monument historique en 1926[104] : bĂątiments des Xe et XIIIe siĂšcles, surplombant le rempart sud. Il s'agit du siĂšge de l'importante seigneurie qui donna son nom Ă  la famille de CrĂ©py. Le complexe architectural comprend la chapelle Saint-Aubin, bĂątie vers 1170-1180 par Thibault III de CrĂ©py-Nanteuil. Autour de 1200, une enceinte vient fortifier la ville, faisant du chĂąteau le bastion occidental du systĂšme dĂ©fensif. Son fils Philippe Ier Ă©difie, accolĂ©e Ă  celle-ci, une noble demeure seigneuriale surplombant les remparts de la ville mĂ©diĂ©vale, peu aprĂšs la Bataille de Bouvines (1214) qui le vit combattre aux cĂŽtĂ©s de son suzerain le roi de France Philippe Auguste. Celui-ci obtient l'hĂ©ritage de la derniĂšre membre de la famille en 1213. Le chĂąteau devient alors le siĂšge d'un apanage royal, capital du comtĂ© de Valois. Au XVIe siĂšcle, le chĂąteau devient le siĂšge de l’administration du duchĂ© de Valois. Dans les annĂ©es 1620, une partie importante des bĂątiments secondaires du chĂąteau, les « logements », furent donnĂ© aux Ursulines pour y fonder un couvent, qui y demeura jusqu'Ă  la RĂ©volution. Au XVIIIe siĂšcle, les sous-sols se muent en une prison oĂč le poĂšte GĂ©rard de Nerval passe une glaciale nuit d’octobre.
    • Église Saint-Denis, rue Saint-Denis, inscrite Monument historique en 1977[105]. Saint-Denis est l’unique Ă©glise paroissiale depuis 1802. Elle Ă©tait la chapelle castrale du chĂąteau du XIe siĂšcle de Gauthier le Blanc. Un document de 1162 comporte la premiĂšre mention certaine de Saint-Denis. L’église a fait l’objet de nombreuses restaurations Ă  la suite des importants dĂ©gĂąts causĂ©s par la guerre de Cent Ans et de grands travaux ont Ă©tĂ© entrepris entre 1544 et 1573. Elle fut vendue comme bien national en 1792, puis rĂ©quisitionnĂ©e et transformĂ©e en magasin Ă  fourrage et rendue au culte en 1802[106].
    • Église Saint-Martin de Bouillant, au hameau du mĂȘme nom, rue de l'Église, inscrite Monument historique en 1951[107]. Bouillant a Ă©tĂ© rattachĂ©e Ă  la ville en 1828. Avant cette date, elle formait une commune indĂ©pendante. L’origine du nom provient de nombreuses sources qui sortaient de terre en bouillonnant. De l’église Saint-Martin, il ne subsiste qu’une nef Ă  quatre travĂ©es et les deux latĂ©raux. Le transept et le chƓur ont Ă©tĂ© dĂ©molis Ă  la RĂ©volution. DerriĂšre l’église se trouvait une source (Saint-Martin) qui selon la lĂ©gende guĂ©rissait de la fiĂšvre[106].
    • HĂŽtel de la Rose de 1537, 11 place Gambetta, inscrit Monument historique en 2001[108].
    • Maison « La Corandon » du XVIe siĂšcle, chemin de la Poterne, inscrit Monument historique en 1979[109].
    • Maison du XVIe siĂšcle, 18 rue de la Cloche ; portail et vantaux inscrits Monuments historiques en 1978[110]. La maison est probablement issue de la transformation de l'ancien grenier Ă  sel.
    • HĂŽtel Saint-Joseph de 1649, 13 rue du Four ; portail et vantaux inscrits Monuments historiques en 1933[111].
    • Site du Fond-Marin, chemin de la TerriĂšre ; nymphĂ©e, lavoir, bassin, installation hydraulique inscrits Monuments historiques en 2003[112]. Il s'agit du parc d'un hĂŽtel particulier du XVIIe siĂšcle. Ce parc n'est pas visible depuis le domaine public.
    • Ruines de la collĂ©giale Saint-Thomas, rue de la Hante ; vue depuis le sud-est.
      Ruines de la collégiale Saint-Thomas, rue de la Hante ; vue depuis le sud-est.
    • Ruines de l'abbatiale de l'ancienne abbaye Saint-Arnoul, place Saint-Simon.
      Ruines de l'abbatiale de l'ancienne abbaye Saint-Arnoul, place Saint-Simon.
    • Vue d'ensemble de l'Ă©glise Saint-Denis depuis le nord-ouest.
      Vue d'ensemble de l'Ă©glise Saint-Denis depuis le nord-ouest.
    • Façade occidentale de l'Ă©glise Saint-Martin du hameau de Bouillant.
    • MusĂ©e de l'archerie et du Valois : façade orientale du chĂąteau (Ă  gauche, la chapelle Saint-Aubin).
      Musée de l'archerie et du Valois : façade orientale du chùteau (à gauche, la chapelle Saint-Aubin).
    • L'hĂŽtel de la Rose de 1537, 11 place Gambetta.
      L'hĂŽtel de la Rose de 1537, 11 place Gambetta.
    • Maison La Corandon du XVe siĂšcle, chemin de la Poterne, derriĂšre le rempart sud.
      Maison La Corandon du XVe siĂšcle, chemin de la Poterne, derriĂšre le rempart sud.
    • Maison du XVIe siĂšcle, ancien grenier Ă  sel (?) 18 rue de la Cloche.
      Maison du XVIe siĂšcle, ancien grenier Ă  sel (?) 18 rue de la Cloche.
    • L'hĂŽtel Saint-Joseph de 1649, 13 rue du Four, Ă  l'angle avec la rue Alphonse-Cardin.
      L'hĂŽtel Saint-Joseph de 1649, 13 rue du Four, Ă  l'angle avec la rue Alphonse-Cardin.
    • L'hĂŽtel et le site de Fond-Marin, chemin de la TerriĂšre ; vue depuis le chĂąteau.
      L'hĂŽtel et le site de Fond-Marin, chemin de la TerriĂšre ; vue depuis le chĂąteau.
    • Maison dite des Quatre Saisons, 15 place Gambetta ; Ă©lĂ©vation (façade de 1758) inscrite Monument historique en 1933[113].
    • Ancien hĂŽtel d'OrlĂ©ans ou maison Jeanne d'Arc, 17 rue Jeanne-d'Arc, inscrit Monument historique par arrĂȘtĂ© en 1978[114] : Maison des XIVe et XVe siĂšcles.
    • Porte de Paris de 1788-1792, rue Charles-de-Gaulle[115], classĂ©e Monument historique en 1951[116].
    • Remparts nord et sud, et la porte Sainte-Agathe[117], rue Goland.
    • Maison dite des Quatre Saisons, XIVe siĂšcle et 1758, 15 place Gambetta.
      Maison dite des Quatre Saisons, XIVe siĂšcle et 1758, 15 place Gambetta.
    • Maison dite ancien hĂŽtel d'OrlĂ©ans ou maison Jeanne-d'Arc, 17 rue Jeanne-d'Arc.
      Maison dite ancien hÎtel d'Orléans ou maison Jeanne-d'Arc, 17 rue Jeanne-d'Arc.
    • Rempart sud, rue des Remparts / chemin des Remparts ; vue partielle.
      Rempart sud, rue des Remparts / chemin des Remparts ; vue partielle.
    • La porte Sainte-Agathe, du nom d'une ancienne paroisse dans ce quartier, rue Goland (remparts sud).
      La porte Sainte-Agathe, du nom d'une ancienne paroisse dans ce quartier, rue Goland (remparts sud).
    • Les vestiges de la porte de Paris, dont la construction eut lieu entre 1788 et 1792.
      Les vestiges de la porte de Paris, dont la construction eut lieu entre 1788 et 1792.

    On peut Ă©galement signaler :

    • HĂŽtel de la Belle-Image (nom de la statue Ă  l'angle), 1 rue Lamartine : hĂŽtel particulier construit vers 1610, qui prĂ©sente Ă  l'angle une statue d'un Ă©vĂȘque portant sa tĂȘte entre ses mains.
    • ChĂąteau et parc de GĂ©resme, avenue de l'Europe, Ă  l'est de la ville : vaste parc de 21 hectares[118], dans le style d'un jardin Ă  l'anglaise, situĂ© dans un vallon arborĂ©, avec des fabriques, des Ă©tangs, des enclos avec des animaux et des jeux pour enfants. En 1974, la ville devient propriĂ©taire du parc et du chĂąteau de GĂ©resme. Le parc est inaugurĂ© et ouvert au public en 1978[118].
    • CimetiĂšre derriĂšre l'Ă©glise Saint-Denis, sur plusieurs terrasses sur la pente septentrionale de la butte sur laquelle est bĂątie la vieille ville, traversĂ© par un sentier en lacets menant au pied du rempart nord.
    • Fontaine Sainte-Agathe, au bassin en bas de l'escalier, rue Sainte-Agathe.
    • Vestiges de l'Ă©glise Saint-Agathe[119]
    • L'hĂŽtel de la Belle-Image, 1 rue Lamartine.
      L'hĂŽtel de la Belle-Image, 1 rue Lamartine.
    • ChĂąteau de GĂ©resme, façade mĂ©ridionale, partie la plus ancienne (aile est).
      Chùteau de Géresme, façade méridionale, partie la plus ancienne (aile est).
    • CimetiĂšre, et vue sur la vallĂ©e depuis la terrasse devant l'abbaye Saint-Arnoul.
      CimetiÚre, et vue sur la vallée depuis la terrasse devant l'abbaye Saint-Arnoul.
    • La fontaine Sainte-Agathe, rue Sainte-Agathe.
      La fontaine Sainte-Agathe, rue Sainte-Agathe.
    • Porte et balcon ancien hĂŽtel de ville.
      Porte et balcon ancien hĂŽtel de ville.
    • Monument aux morts dans la ruine de la collĂ©giale Saint-Thomas.
      Monument aux morts dans la ruine de la collégiale Saint-Thomas.
    • DĂ©tail du tombeau de Mme BartholomĂ© par son Ă©poux, au hameau de Bouillant.
      Détail du tombeau de Mme Bartholomé par son époux, au hameau de Bouillant.
    • Calvaire Ă  la fourchette entre les rues Goland et des FossĂ©s.
      Calvaire à la fourchette entre les rues Goland et des Fossés.
    • L'HĂŽtel de Ville, ancienne propriĂ©tĂ© Lambert-Delafosse construite en 1892 par l’architecte Albert Delafosse et acquise par la commune et qui est inaugurĂ©e comme hĂŽtel-de-Ville en 1934[71]
    • Porte et balcon de l'ancien hĂŽtel de ville sur la place devant la salle des fĂȘtes municipale, rue Nationale.
    • Monument aux morts, Ɠuvre du sculpteur Albert BartholomĂ©, dans l'ancienne nef de la collĂ©giale Saint-Thomas (voir ci-dessus), inaugurĂ© le 14 juillet 1926 en prĂ©sence du sculpteur[120].
    • Tombeau de ProspĂ©rie BartholomĂ©, femme d'Albert BartholomĂ© et fille du marquis Prosper de Fleury (maire de CrĂ©py-en-Valois et propriĂ©taire du chĂąteau de GĂ©resme). PremiĂšre Ɠuvre du sculpteur Albert BartholomĂ©, devant l'Ă©glise de Bouillant en 1887 (voir ci-dessus).
    • Calvaire en bas de la porte Sainte-Agathe, dans la fourchette des rues Goland et des FossĂ©s, en bas du rempart sud.
    • Pelle hydraulique Poclain situĂ©e rue de Soissons, Ă  proximitĂ© de l'ancienne usine Poclain. InventĂ©e en 1950, elle a longtemps fait le succĂšs de l'entreprise.
    Pelle hydraulique Poclain, invention de Pierre Bataille, Jacques Bataille et GĂ©rard Coolen.

    Le musée de l'Archerie et du Valois

    Le musĂ©e de l’Archerie et du Valois[121] a ouvert en 1949 dans le chĂąteau Saint-Aubin. La collection sur l'archerie est unique en Europe et tĂ©moigne de la diversitĂ© et de l’évolution des pratiques liĂ©es au tir Ă  l'arc. Le musĂ©e prĂ©sente des armes prĂ©historiques Ă©laborĂ©es il y a plus de 10 000 ans, des arcs des champions olympiques ainsi que les derniĂšres innovations des facteurs d'arcs de chasse. Loin de se cantonner Ă  la sphĂšre occidentale, les collections Ă©voquent la prĂ©sence de l’arc sur tous les continents. Aujourd’hui, les compagnies d’arc du Valois, comme de la Picardie et de l'Île-de-France, entretiennent fidĂšlement les traditions du « noble jeu d'Arc ». Les collections du musĂ©e montrent cet attachement : tir de l’abat l’oiseau dont le vainqueur est dĂ©signĂ© roi de la compagnie pour l’annĂ©e, bouquet provincial qui les rassemble toutes selon un rituel immuable, attachante figure de saint SĂ©bastien, patron des archers depuis le Moyen Âge[122].

    L'autre volet du musĂ©e est l'art sacrĂ© du Valois. Les salles hautes du musĂ©e abritent une riche collection d'art sacrĂ© du Moyen Âge au XIXe siĂšcle, dont se dĂ©tache un bel ensemble de statues mĂ©diĂ©vales et Renaissance, provenant de plus d’une trentaine d’églises et chapelles du Valois. Le musĂ©e d'art sacrĂ© a en effet vu le jour, en 1973, quand diffĂ©rentes communes des cantons de CrĂ©py-en-Valois, Betz et Nanteuil-le-Haudouin ont dĂ©cidĂ© de regrouper les statues de leurs Ă©glises dans le chĂąteau de CrĂ©py. Saint-SĂ©bastien y tient une place particuliĂšre avec vingt-cinq exemplaires[123] - [122].

    Personnalités liées à la commune

    • Denis-Joseph Vuillemot, cuisinier français nĂ© Ă  CrĂ©py-en-Valois vers 1811, Ă  qui Alexandre Dumas consacre (sur six pages Ă  son ordre alphabĂ©tique parmi les mets) une entrĂ©e de son Grand dictionnaire de cuisine.
    • Albert BartholomĂ© (1848-1928), sculpteur français. Deux de ses Ɠuvres sont Ă©posĂ©es Ă  CrĂ©py : gisant du monument aux morts, et, au cimetiĂšre, sĂ©pulture de Mme BartholomĂ© nĂ©e Fleury ;
    • Laurent Grimbert, boxeur français nĂ© Ă  CrĂ©py en 1954, mort en 2002.
    • Charles-Antoine Leclerc de La BruĂšre, auteur dramatique et historien français, nĂ© Ă  CrĂ©py-en-Valois en 1714 et mort Ă  Rome le 18 septembre 1754 ;
    • Charles Leclerc de Montlinot, ecclĂ©siastique et journaliste français nĂ© Ă  CrĂ©py-en-Valois en 1732 et mort en 1801.
    • Laurent Bouchel, juriste et Ă©crivain français nĂ© en 1559 Ă  CrĂ©py-en-Valois et mort en 1629 ;
    • Adolphe de Waru, financier français nĂ© Ă  CrĂ©py-en-Valois en 1802 et mort en 1890 ;
    • Arnouph de Cambronne (en), aĂŻeul de Claude de Cambronne, gouverneur du chĂąteau de CompiĂšgne et membre de la Garde nationale, nĂ© en 1768 Ă  CrĂ©py, mort en 1846)

    HĂ©raldique

    Blason de Crépy-en-Valois Blason
    D'or au lion de sable; au chef d’azur chargĂ© de trois fleurs de lis d’or
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les Ă©glises de la vallĂ©e de l'Oise et du Beauvaisis (CollĂ©giale Saint-Thomas-de-CantorbĂ©ry), Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 192-195
    • Dr Alfred Bourgeois, « Histoire de CrĂ©py et de ses dĂ©pendances, de ses seigneurs, de ses chĂąteaux et de ses autres monuments, depuis l’époque la plus rĂ©culĂ©e jusqu’à nos jours - Prologue », dans ComitĂ© archĂ©ologique de Senlis, Comptes-rendus et mĂ©moires - AnnĂ©e 1867, Senlis, Imprimerie Charles Duriez, (lire en ligne), p. 3-66 et 175-248, lire en ligne sur Gallica.
    • Dr Alfred Bourgeois, « Histoire de CrĂ©py et de ses dĂ©pendances, de ses seigneurs, de ses chĂąteaux et de ses autres monuments, depuis l’époque la plus rĂ©culĂ©e jusqu’à nos jours - Livre II », dans ComitĂ© archĂ©ologique de Senlis, Comptes-rendus et mĂ©moires - AnnĂ©e 1868, Senlis, Imprimerie Charles Duriez, (lire en ligne), p. 115-156, lire en ligne sur Gallica.
    • Dr Alfred Bourgeois, « Monuments archĂ©ologiques de CrĂ©py.- Chapitre III : Établissements monastiques et chapelles », dans ComitĂ© archĂ©ologique de Senlis, Comptes-rendus et mĂ©moires - AnnĂ©es 1869-1871, Senlis, Imprimerie Ernest Payen, (lire en ligne), p. 59-82, lire en ligne sur Gallica.
    • Eric Dancoisne, "Michel Dupuy (1918-2001), un demi-siĂšcle d'histoire(s) Ă  CrĂ©py-en-Valois", Histoires du Valois 2019, bulletin de la SociĂ©tĂ© d'Histoire et d'ArchĂ©ologie du Valois, no 9, p. 4-66.
    • Eric Dancoisne, avec le concours de Nadine Deblonde-Chopinet, Cette maudite guerre. Journal de Gustave Chopinet, maire de CrĂ©py-en-Valois, 30 aoĂ»t 1914-31 dĂ©cembre 1914, 2018, Editions AmalthĂ©e, 210 pages. (ISBN 978-2-31004-051-8)
    • Eric Dancoisne, Jean Vassal, dĂ©putĂ© maire de CrĂ©py-en-Valois (1870-1953), SociĂ©tĂ© d'histoire moderne et contemporaine de CompiĂšgne, 2008, 253 pages. (ISBN 978-2-86615-325-0)
    • AurĂ©lien Gnat, « Le prieurĂ© Saint-Arnoul de CrĂ©py-en-Valois (Oise) : Le point sur vingt-cinq ans de recherches archĂ©ologiques », Revue archĂ©ologique de Picardie, vol. 1, no 1,‎ , p. 73-118 (ISSN 2104-3914, DOI 10.3406/pica.2002.2309)
    • Jean Mesqui, Île-de-France Gothique 2 : Les demeures seigneuriales, Paris, Picard, , 404 p. (ISBN 2-7084-0374-5), p. 160-170
    • Jean Mesqui, « Le chĂąteau de CrĂ©py-en-Valois : palais comtal, palais royal, palais fĂ©odal », Bulletin monumental, Paris, SociĂ©tĂ© française d'archĂ©ologie, vol. 152, no III,‎ , p. 257-312 (ISSN 0007-473X, lire en ligne [PDF], consultĂ© le )
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des chĂąteaux et des fortifications du moyen Ăąge en France, Strasbourg, Ă©ditions Publitotal, , 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)
      Crépy-en-Valois, p. 386
    • Charles-Daniel Salch, avec la collaboration de Danielle FĂšvre, LĂ©gende dorĂ©e de CrĂ©py, Strasbourg, Castrum Europe, Ă©ditions AccĂšs, , 48 p.
      Le musée de l'Archerie et du Valois du chùteau de Crépy-en-Valois, catalogue et légende des statues de saints conservés au musée.
    • Jean-Marie Tomasini, CrĂ©py-en-Valois : mille ans d'histoire, La FertĂ©-Milon, Corps 9, , 254 p. (ISBN 978-2-904846-40-3)
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

    Articles connexes

    Liens externes

    • « CrĂ©py-en-Valois », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .
    • Carte spĂ©ciale des rĂ©gions dĂ©vastĂ©es : 33 SO, Soissons [Sud-Ouest], Service gĂ©ographique de l'armĂ©e, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6]. Elle est généralement exprimée en millimÚtres, ou, ce qui est équivalent, en litres par mÚtre carré.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

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    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Ligne de bus de la ville.
    27. Cindy Belhomme, « CrĂ©py-en-Valois : le pont Saint-Ladre va ĂȘtre interdit aux vĂ©hicules lourds : DĂšs le 22 octobre, les vĂ©hicules de plus de 3,5 t ne pourront plus franchir l’ouvrage, trop abĂźmĂ©, jusqu’à ce qu’il soit reconstruit », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    28. Robin Prudent, « On ne peut pas laisser un pont dans cet Ă©tat" : Ă  CrĂ©py-en-Valois, des habitants s'inquiĂštent d'un pont dĂ©crĂ©pit : Dans l'Oise, le pont Saint-Ladre a Ă©tĂ© interdit aux poids lourds il y a quelques mois. Pas de quoi rassurer les usagers, qui le voient se dĂ©tĂ©riorer depuis des annĂ©es. Franceinfo s'est rendu sur place », France Info,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Alors que l'entreprise ferroviaire semblait prĂȘte Ă  le reconstruire en 2013, cette derniĂšre a finalement revu sa position en 2015, considĂ©rant que le procĂšs-verbal de 1929 ne l'obligeait qu'Ă  l'entretien du pont existant... Le dĂ©partement a donc portĂ© l'affaire devant les tribunaux afin de dĂ©terminer Ă  qui incombait vraiment la responsabilitĂ© de cet ouvrage d'art ».
    29. Laure Besnier, « CrĂ©py-en-Valois : "Nous voulons tous que ce pont soit enfin remplacĂ©" : Le pont Saint-Ladre de CrĂ©py-en-Valois, dans le sud de l'Oise, est en mauvais Ă©tat. Si la ville tente de limiter sa dĂ©gradation, elle est pressĂ©e de voir l'ouvrage remplacĂ© », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « La commune aura aussi sa part dans les dĂ©penses puisqu’elle prendra en charge les trottoirs, les Ă©ventuelles pistes cyclables
 Le remplacement de l’ouvrage en lui-mĂȘme devrait coĂ»ter entre 4 et 5 millions d’euros. Ce qui reprĂ©sentera pour la ville entre 15 et 20 % de la somme, selon le directeur des services techniques ».
    30. Olivia Villamy, « Il faudrait le dĂ©truire et tout reconstruire» : Ă  CrĂ©py-en-Valois, le pont Saint-Ladre endommagĂ© par un poids lourd : L’ouvrage, dĂ©jĂ  trĂšs abĂźmĂ©, a Ă©tĂ© Ă  nouveau heurtĂ© par un camion ce dimanche. Le vĂ©hicule a forcĂ© l’entrĂ©e et causĂ© des dĂ©gĂąts sur l’un des trottoirs. La circulation est fermĂ©e dans un sens en attendant les travaux. La rĂ©novation du pont n’aura pas lieu avant 2024 », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 78.
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    33. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 114.
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    52. Section photographique de l'armée, « Photo : Crépy-en-Valois. AprÚs le bombardement par avions du 28 au 30 mai : usine Mercereau », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 34, Argonnaute - BibliothÚque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    53. cf. Eric Dancoisne, Jean Vassal, député-maire de Crépy-en-Valois, 1870-1953. Du radical socialisme au gaullisme. Société d'histoire moderne et contemporaine de CompiÚgne, 2008, 253 pages.
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    57. Cindy Belhomme, « Municipales Ă  CrĂ©py-en-Valois : huit candidats pour un seul siĂšge de maire : C’est une campagne Ă©lectorale inĂ©dite qui s’achĂšve dans la ville de France la plus touchĂ©e par le coronavirus. Et si trois des huit candidats sont confinĂ©s, tous ont des projets qu’ils souhaitent mettre en avant », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    58. Laure Besnier, « Municipales 2020 Ă  CrĂ©py-en-Valois : les candidats se bousculent au portillon : Actu Oise vous propose un tour d'horizon des forces en prĂ©sence dans les villes de plus de 10 000 habitants du dĂ©partement, Ă  quelques semaines des Ă©lections municipales 2020 », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    59. Pascal Mureau, « Les Ă©lecteurs de CrĂ©py-en-Valois sont restĂ©s Ă  la maison : Au centre du foyer Ă©pidĂ©mique du coronavirus de l’Oise, CrĂ©py-en-Valois voyait huit listes se faire concurrence. Mais aprĂšs une matinĂ©e prometteuse, les Ă©lecteurs sont restĂ©s chez eux. Avec plus de 62 % d’abstention au final », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    60. « Le prĂ©sident et ses vice-prĂ©sidents... prĂ©sentation. », Bonjour Valois,‎ , p. 3 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    61. Pascal Mureau, « Le maire de CrĂ©py-en-Valois menacĂ© d’inĂ©ligibilitĂ© : Coup de tonnerre Ă  CrĂ©py-en-Valois (Oise). Le maire Bruno Fortier pourrait ĂȘtre dĂ©clarĂ© inĂ©ligible lors d’une prochaine audience du tribunal administratif. Il faudrait alors dĂ©signer un successeur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « EmpĂȘchĂ© d’aller voter au premier tour car atteint du Covid, Bruno Fortier avait Ă©tĂ© rĂ©Ă©lu maire au deuxiĂšme tour, lors d’une quadrangulaire, avec 43,34 % des suffrages. ProblĂšme, la commission observe qu’il n’a remis son compte de campagne que le 28 octobre 2020, alors que la loi prĂ©voyait le 11 septembre au maximum ».
    62. StĂ©phanie Forestier, « Oise : Ă©pinglĂ© pour ses comptes de campagne, le maire de CrĂ©py-en-Valois dĂ©clarĂ© inĂ©ligible : Il est reprochĂ© Ă  Bruno Fortier d/e ne pas avoir communiquĂ© les comptes de sa campagne Ă©lectorale de 2020 dans le dĂ©lai imparti. Il devrait faire appel de cette dĂ©cision. En attendant, il reste maire », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    63. HervĂ© SĂ©namaud, « La justice a tranchĂ© : dans quelques jours, Bruno Fortier ne sera plus maire de CrĂ©py-en-Valois : L’élu recevra dans quelques jours la notification lui signifiant que son Ă©lection est annulĂ©e, Ă  cause d’un retard dans le dĂ©pĂŽt de ses comptes de campagne. Il est Ă©galement inĂ©ligible pour six mois », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    64. Simon Gourru, « CrĂ©py-en-Valois : Virginie Douat remplace Bruno Fortier Ă  la tĂȘte de la mairie : AprĂšs la condamnation Ă  six mois d’inĂ©ligibilitĂ© du maire de la commune de l’Oise pour dĂ©pĂŽt de comptes de campagne tardif, le conseil municipal a Ă©lu ce mercredi soir un nouveau magistrat », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    68. Cindy Belhomme, « CrĂ©py-en-Valois : Bruno Fortier met en dĂ©route Arnaud Foubert : Bruno Fortier (SE), l'ancien premier adjoint au maire (UMP) sortant, a remportĂ© la mairie hier soir avec 37,44 % des suffrages. Une belle revanche pour celui qui s'Ă©tait vu retirer ses dĂ©lĂ©gations en 2011 », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    69. StĂ©phanie Forestier, « Oise : Bruno Fortier, investi maire de CrĂ©py-en-Valois », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    70. RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026 : « Municipales 2020 Ă  CrĂ©py-en-Valois : le maire sortant Bruno Fortier remporte le second tour : La liste menĂ©e par Bruno Fortier (DVD) est arrivĂ©e en tĂȘte du second tour des Ă©lections municipales Ă  CrĂ©py-en-Valois avec 43,3 % des suffrages. Elle devance notamment la liste d'Arnaud Foubert (DVD) arrivĂ© deuxiĂšme avec 26,5% des voix », France 3 Hauts-de-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    73. Cindy Belhomme, « CrĂ©py-en-Valois rĂ©alise son deuxiĂšme Atlas de la biodiversitĂ© communale : Ce document rĂ©pertorie la faune et la flore du territoire. Il permet aux Ă©lus de guider leurs interventions », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    74. Juliette Duclos, « Écolo et Ă©conome» : Ă  CrĂ©py-en-Valois, la ville vous offre... des rĂ©cupĂ©rateurs d’eau de pluie : Pour inciter les habitants de la commune de l’Oise Ă  ĂȘtre plus Ă©conome en eau, la municipalitĂ© a dĂ©cidĂ© de fournir gratuitement des rĂ©cupĂ©rateurs d’eau de pluie. Une centaine ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© distribuĂ©s », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    77. Cindy Belhomme, « CrĂ©py-en-Valois : le lycĂ©e professionnel qui s’adapte Ă  son bassin d’emploi : Le lycĂ©e Robert-Desnos va proposer Ă  la rentrĂ©e une nouvelle formation tournĂ©e vers la logistique. Une prĂ©sentation a lieu ce jeudi », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    78. Cindy Belhomme, « CrĂ©py-en-Valois cherche mĂ©decin Ă  tout prix : Trois gĂ©nĂ©ralistes vont quitter la maison mĂ©dicale d’ici Ă  l’annĂ©e prochaine. Les professionnels qui restent et la mairie cherchent des solutions pour attirer de nouveaux praticiens », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    79. Cindy Belhomme, « La polyclinique va ouvrir une maison de santĂ© Ă  CrĂ©py-en-Valois : Le projet est menĂ© par l’établissement compiĂ©gnois en collaboration avec la ville qui s’engage de son cĂŽtĂ© Ă  mettre Ă  disposition un terrain. Objectif : offrir de bonnes conditions de travail pour attirer les jeunes mĂ©decins », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    80. Cindy Belhomme, « CrĂ©py-en-Valois : quelles solutions pour attirer les mĂ©decins ? : Un dĂ©bat public est organisĂ© mercredi soir pour Ă©changer sur l’offre mĂ©dicale et sur le salariat des mĂ©decins », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    122. Cindy Belhomme, « 70 ans d’histoire au musĂ©e de l’Archerie de CrĂ©py-en-Valois : Le monument rouvre au public ce samedi. Visite guidĂ©e dans le passĂ© et le prĂ©sent de ce musĂ©e unique en Europe », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le musĂ©e de l'Archerie et du Valois rouvre ses portes au public ce samedi. Unique en Europe, il fĂȘte cette annĂ©e ses 70 ans. Ses collections dĂ©clinent les diffĂ©rents aspects du tir Ă  l'arc, de la prĂ©histoire Ă  nos jours. LabellisĂ© MusĂ©e de France, il compte Ă©galement une riche collection de statues de Saint-SĂ©bastien et de sculptures des Ă©glises du Valois. L'an passĂ©, le musĂ©e a accueilli 7 350 visiteurs ».
    123. Charles-Daniel Salch, avec la collaboration de Danielle FĂšvre, Le musĂ©e municipal du chĂąteau de CrĂ©py-en-Valois, p. 4, Catalogue et lĂ©gende des saints conservĂ©s au chĂąteau, p. 5 Ă  47 (LĂ©gende dorĂ©e du CrĂ©py, Castrum Europe, Éditions AccĂšs, Strasbourg 2016)
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