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LĂ©vignen

Lévignen est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

LĂ©vignen
LĂ©vignen
L'Ă©glise paroissiale Saint-Aubin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
Maire
Mandat
Christophe Germain
2020-2026
Code postal 60800
Code commune 60358
DĂ©mographie
Gentilé Lévignennais, Lévignennaises
Population
municipale
1 015 hab. (2020 en augmentation de 10,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 73 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 11â€Č 52″ nord, 2° 54â€Č 54″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 156 m
Superficie 13,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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LĂ©vignen

    GĂ©ographie

    Lévignen est traversée par la RN 2.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 722 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 717,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le dĂ©partement du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et Ă  43 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Lévignen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (56,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (50,6 %), forĂȘts (39,8 %), mines, dĂ©charges et chantiers (3,9 %), zones urbanisĂ©es (3,1 %), prairies (1,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Lévignien en 1182, Luviniacum en 1190, Levigniacum en 1255, Levegnem en 1277, Lévignem, Lévignent, Lévignan en 1544[21].

    Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman en -ACU (autrement notĂ© -acum), dont le premier Ă©lĂ©ment est l'anthroponyme gallo-romain LEVINIU (Levinius)[22] ou LUPINIU (latin Lupinius). Éventuellement, on peut y voir le nom du loup (< gallo-roman LUPU, latin lupus)[23], suivi du suffixe allongĂ© -INIACU, d'oĂč le sens global de louviĂšre « endroit oĂč il y a des loups ».
    Cependant, dans ces deux derniers cas, l'évolution réguliÚre aurait dû se faire en Louvigny, comme Louvigny (Calvados, Loveneium en 1082), Louvigny (Sarthe, Lupiniacus en 1210), etc.[24].

    Remarque : la terminaison -en pose problĂšme, car on attendrait -y (anciennement -ei, -i). L'absence de formes suffisamment anciennes ne permet pas de dĂ©terminer si cet Ă©lĂ©ment -en reprĂ©sente l’appellatif germanique ham « maison, village Â» (ancien français ham > hamel > hameau) qui a parfois Ă©voluĂ© en hem dans le nord de la Picardie (ex. Hem-Hardinval). On le retrouverait ici en composition -hem comme dans Tournehem (Tournehan en 1793). La prĂ©sence de ce type de composĂ© serait alors inĂ©dite.

    Histoire

    Ancien site gallo-romain, ce village a eu, dans l’histoire du comtĂ© puis duchĂ© de Valois, une place trĂšs importante, de par sa situation au croisement de routes empruntĂ©es pour les Ă©changes entre les villes du Nord vers les foires de Champagne mais aussi de Paris jusqu’en Belgique. Sa trĂšs grande proximitĂ© avec le pouvoir royal y a contribuĂ©.

    On y trouvait, depuis longtemps, un marchĂ© hebdomadaire et une foire s’installa au XVIIIe siĂšcle permettant aux nombreux artisans et fermiers du pays de faire connaĂźtre leurs produits.

    Tout d’abord unie Ă  la seigneurie de Nanteuil-CrĂ©py dont certains avancent que ses illustres dĂ©tenteurs descendraient de Clovis, LĂ©vignen s’en dĂ©tache dĂšs 1300.

    DivisĂ©e en deux seigneuries distinctes : la seigneurie de Saint-Blaise, dite de la Tour ronde et la seigneurie des Francs-Fiefs du Valois, dit de la Tour octogone, LĂ©vignen Ă©crit dĂ©sormais seul son histoire mais dans l’ombre de la branche tige.

    Alix de Nanteuil, derniĂšre hĂ©ritiĂšre de sa cĂ©lĂšbre famille, en se mariant avec Pierre de ChĂątillon, seigneur de Pacy-en-Valois, va donner Ă  LĂ©vignen sa premiĂšre lignĂ©e de seigneurs au sein de ce qui deviendra plus tard le duchĂ© de Valois. Le Valois a en effet Ă©tĂ© remis par Philippe le Hardi Ă  son fils puĂźnĂ© Charles qui fondera la Maison des Valois et dont le propre fils deviendra roi de France sous le nom de Philippe de Valois en 1328. Une dynastie qui rĂ©gnera sur le trĂŽne de France jusqu’au XVIe siĂšcle. Le titre de duc de Valois restera nĂ©anmoins dans la famille royale de France jusqu’à la RĂ©volution aprĂšs ĂȘtre passĂ© Ă  la maison des Bourbons-OrlĂ©ans.

    L’histoire de LĂ©vignen est indissociable de cette appartenance au domaine royal.

    ÉrigĂ© en comtĂ© en 1723, il connaĂźt alors une position de premier plan, rĂ©unissant les domaines voisins de Betz, Maquelines, Gondreville et Ormoy-le-Davien. Les vitraux posĂ©s en son Ă©glise Saint-Aubin-Saint-Jean-le-Baptiste en attestent le riche hĂ©ritage. Son chĂąteau a disparu au XVIIIe siĂšcle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1803 1823 Nicolas-Antoine Labbé
    1823 1834 Nicolas Lecourt
    1834 1846 François-Marie Moquet
    1846 Jean-Étienne Dieux
    1847 1866 JĂ©rĂŽme-Zacharie Perseguers
    1866 1877 Auguste-François Desouches
    1877 1884 EugĂšne-Louis Gibert
    1884 1904 Alfred Moquet
    1904 1908 Émile François Cazin
    1908 1912 Louis-EugÚne Launé
    1912 1919 Émile-François Cazin
    1919 1922 EugÚne Launé
    1922 1945 LĂ©on Fontaine
    1945 1945 Marcel Carrier
    1945 1955 Henri Grutus
    1955 1965 Georges Ardenois
    1965 1984 Gilbert Camus
    1985 1995 André Amiel
    mars 1995 à ce jour Daniel Leger Retraité
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[25]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 1 015 habitants[Note 8], en augmentation de 10,33 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    327367438370372366371403374
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    317342330350340352372344342
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    360344338330462361310353364
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    335340413641652770848870922
    2018 2020 - - - - - - -
    1 0011 015-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  36,4 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 19,4 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 508 hommes pour 493 femmes, soit un taux de 50,75 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,6
    3,7
    75-89 ans
    4,1
    14,4
    60-74 ans
    16,0
    23,4
    45-59 ans
    20,1
    21,1
    30-44 ans
    23,9
    16,9
    15-29 ans
    13,2
    20,5
    0-14 ans
    22,1
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    HĂ©raldique

    Armes de LĂ©vignen

    Les armes de LĂ©vignen se blasonnent ainsi :

    écartelé d'or et de gueJacquesules, à 3 besants d'argent 2 en chef et 1 en pointe brochant sur la partition.

    Lieux et monuments

    L’église paroissiale Saint-Aubin-Saint-Jean-le-Baptiste, un tĂ©moin de l’architecture de la Renaissance.

    L’église a deux patrons : saint Aubin pour l’édifice et saint Jean le Baptiste pour son emplacement.

    Sa construction remonte entiĂšrement au XVIe siĂšcle, dans la partie finissante du gothique flamboyant. Une inscription sur la clef de voĂ»te situĂ©e au-dessus de l’autel de la Vierge porte la date de 1539. Elle est inscrite dans l’inventaire du Festival des 35 Clochers remarquables du Valois.

    D’aspect compact, seul son chƓur octogonal modifie son plan rectangulaire. Son cĂŽtĂ© sud se remarque par la prĂ©sence de deux murs-pignons contrefortĂ©s.

    Le portail Ă  deux baies cintrĂ©es, sĂ©parĂ©es par un trumeau, est ornĂ© de roses, de losanges et de tĂȘtes de champignons, Ă©lĂ©ments propres Ă  la Renaissance.

    Au-dessus se trouve un Ă©cusson armoriĂ© attribuĂ© aux La Fontaine-Gorgias qui firent Ă©difier l’église.

    Le clocher est massif, carrĂ©, contrefortĂ© et flanquĂ© d’une tourelle ronde renfermant un escalier en pierre et pourvu de petits regards. Il participait au systĂšme dĂ©fensif du village. L’intĂ©rieur semble n’avoir jamais Ă©tĂ© achevĂ©.

    Pas moins de dix huit contreforts soutiennent la retombĂ©e des voĂ»tes. Celles-ci sont en pierre Ă  six travĂ©es jusqu’à l’arc triomphal. Celle du chƓur est en Ă©toile.

    Les voĂ»tes de la nef et du bas-cĂŽtĂ© sont portĂ©es Ă  la mĂȘme hauteur et s’appuient en entrait sur une file de piles circulaires minces donnant un aspect trĂšs aĂ©rien Ă  l’ensemble. Nous retrouvons cette audace dans l’église de Cuvergon, toute proche.

    Dix huit fenĂȘtres d’une hauteur de quatre mĂštres et larges d’un mĂštre cinquante sont sĂ©parĂ©es par un meneau qui se termine dans un remplage du gothique flamboyant.

    Nous sommes certains que sa construction s’est effectuĂ©e en deux temps rapprochĂ©s, tant il est Ă©vident que nous discernons une diffĂ©rence dans la disposition des fenĂȘtres. Au niveau du sol nous avons constatĂ© deux niveaux correspondants Ă  ces deux campagnes. Elle Ă©tait jadis richement dotĂ©e de vitraux offerts par les abbayes voisines. C’était aussi la cure la plus riche du diocĂšse de Meaux dont elle relevait.

    • Portail occidental.
      Portail occidental.
    • Armes des La Fontaine-Solare.
      Armes des La Fontaine-Solare.

    Jumelage

    Lévignen est jumelée avec Crookham Village, au Royaume-Uni[32] - [33] - [34]. Des groupes de familles d'une ville traversent la Manche pour un week-end pour se rendre chez des familles de l'autre ville, en alternant entre la visite et d'hébergement chaque année.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gross (abbĂ©), "Notice sur LĂ©vignen et ses environs", Typographie des CĂ©lestins-Bertrand, Bar-le-Duc, 1878, 209 p.
    • C. Nikolaus LĂŒhrsen, P. AvĂ©-Lallemant, "Die Familie AvĂ©-Lallemant und ihre Töchternchkommen", "Deutsches Familienarchiv", Band 23, Degener & Co, Neustadt a.d. Asch, 1963.
    • P. AvĂ©-Lallemant, "Chronik der Familie AvĂ©-Lallemant", Bielefeld, 1948, 39 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Trumilly - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Lévignen et Trumilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Trumilly - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Lévignen et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Betz, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, 1851, 178 p.
    22. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, page 608.
    23. ibidem
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, DENLF, p. 399b.
    25. « Lévignen », Cartes de France (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de LĂ©vignen (60358) », (consultĂ© le ).
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