Croisilles (Pas-de-Calais)
Croisilles [kʁwazij] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Croisilles | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Sud-Artois | ||||
Maire Mandat |
Gérard Due 2020-2026 |
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Code postal | 62128 | ||||
Code commune | 62259 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Croisillois | ||||
Population municipale |
1 961 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 169 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 12′ 01″ nord, 2° 52′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 64 m Max. 114 m |
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Superficie | 11,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bapaume | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-croisilles.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Croisillois.
La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 232 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
La commune se situe à 13 km au sud-est de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la rivière la Sensée, un cours d'eau naturel non navigable de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Léger et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Paysages
La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3] - [3]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[4].
Urbanisme
Typologie
Croisilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [5] - [6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,9 %), zones urbanisées (8,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,1 %), prairies (0,8 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Voies de communication et transports
Le territoire de la commune est traversée par l'autoroute A1 et par la LGV Nord[12].
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 5 et D 9[12].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 13 km, au sud-est, de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[13].
De 1880 à 1969, la commune est desservie par une ancienne ligne de chemin de fer, la ligne de Boisleux à Marquion.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Croisilæ en 1142 ; Croisillæ en 1154-1159 ; Croisiles en 1171 ; Croziliæ (1190) ; Cruciculæ au XIIe siècle ; Croisilles en 1207 ; Crusilæ, Croissilles, Croizsil au XIIIe siècle ; Croizicles en 1301 ; Crusilles en 1308 ; Cruiseilles en 1322 ; Croseilles en 1381 ; Croisil en 1407 ; Croixilles en 1529 ; Croisilles en 1673 ; Croizilles en 1674[14], Croisille en 1793 et Croisilles depuis 1801[15].
Histoire
Carte de Cassini
La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Croisilles est une paroisse située sur le ruisseau Le Petit Cogoeule qui est appelé La Sensée de nos jours. Au sud-est, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque.
Guerre franco-allemande de 1870
Croisilles est le théâtre d'opération de la bataille de Bapaume durant la guerre franco-allemande de 1870.
Première Guerre mondiale
Lors de la Première Guerre mondiale, après la bataille des Frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le , les Allemands s'emparent du village de Croisilles et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En , les Allemands décident de se retirer sur la ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 1 km à l'est devant Bullecourt. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier [16].
Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines du village le 2 avril 1917. Croisilles repassera aux mains des Allemands en mars 1918 lors de l'offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques ou allemands dans le secteur
Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village. De 1 271 habitants en 1911, ce nombre tombera à 782 en 1921. Alors commence une longue période de reconstruction.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 le [17].
- Le village avant 1914.
- Le village avant 1914.
- Le village avant 1914.
- Le village avant 1914 : l'église.
- Un panorama du village avant 1914.
- La gare avant 1914.
- La gare avant 1914.
- Les ruines du village en 1917.
- Les ruines du village en 1917.
- Les troupes britanniques à Croisilles en 1918.
- La situation de Croisilles en 1917 tout près de la ligne Hindenburg.
- La carte des régions dévastées en 1919 montre que la village est complètement détruit.
À l'issue du conflit, deux cimetières militaires sont érigés. L'un le long de l'ancienne ligne de Boisleux à Marquion, l'autre en haut de la rue Eugène Hornez. 1 178 soldats reposent dans ce cimetière (1 172 de la Première Guerre mondiale auxquels s'ajoutent six aviateurs de la Seconde Guerre mondiale). 647 de ces soldats sont inconnus.
Seconde Guerre mondiale
La rue Max-Joly porte le nom d'un militaire français (sous-lieutenant) qui défendait une auto-mitrailleuse sur la route de Bullecourt lors de l'évacuation de 1940.
Après le bombardement de la gare d'Arras le , beaucoup de matériel ferroviaire est rapatrié à Croisilles.
Dans la nuit du 15 juin au , un Avro Lancaster est abattu au-dessus de Croisilles. L’appareil venait de bombarder des voies ferrés du côté de Valenciennes lorsqu’il fut touché. Six des sept aviateurs sont tués. Leurs corps furent inhumés au cimetière militaire aux côtés de 1 172 soldats de la Première Guerre mondiale.
Le , le centre-ville est touché par un missile allemand[Note 6] qui fait plusieurs morts. Des maisons sont détruites, d’énormes dégâts sont constatés et les débris encombrent les rues. Les toitures sont soufflées, les fenêtres arrachées de même que les cadrans de l’horloge de l’église. Sept personnes sont tuées[18]. Un odonyme local (« Rue du 24-Septembre-1944 ») rappelle cet événement.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[15].
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Bapaume.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Jumelages
La commune est jumelée avec :
Ville | Pays | Période | ||
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Priors Marston[25] | Royaume-Uni | depuis |
Équipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La commune administre une école école élémentaire, en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) et une école primaire[26].
Postes et télécommunications
En 2010, la commune de Croisilles est récompensée par le label « Ville Internet @@ »[27].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[28].
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Croisillois[29].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2020, la commune comptait 1 961 habitants[Note 7], en augmentation de 9,61 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 983 hommes pour 967 femmes, soit un taux de 50,41 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
Des sentiers de promenades sont aménagés autour de la commune, ils empruntent le tracé de l'ancienne ligne de Boisleux à Marquion.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La halle aux marchandises est le seul bâtiment qui subsiste de la gare de Croisilles de l'ancienne ligne de Boisleux à Marquion.
- L'église.
- Le monument aux morts[35].
- Les trois cimetières militaires britanniques implantés sur le territoire de la commune:
Personnalités liées à la commune
- François Vasse (1907-1974), international français de football, né dans la commune.
Héraldique
Blason | Inconnu.
|
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Benoît Caffin, Croisilles (et ses environs). Monographies des villes et villages de France de Micberth, 1993, réimp. édit. 1847, 14 X 20, br., 128 pp. (ISBN 2-87760-956-1)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Croisilles », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Croisilles » sur Géoportail.
- Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873
Notes et références
Notes
- Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les témoins de l'époque parlent d'un V1 mais le site de la commune fait état d'un V2
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/af/Ligne_Hindenbourg_Carte_Nord_2.jpg
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- André Coilliot, Sombres Jours de mai 1940 - Arras et Sa Region, Éd. Alan Sutton, 2007 (ISBN 2-84910-427-2).
- Edmond Delambre, Annuaire Statistique du Pas-de-Calais pour l'an 1908, Rohard-Courtin, (lire en ligne), p. 168.
- Laurent Boucher, « Les bilans des maires - Croisilles - Gérard Dué : « Nous avons créé une dynamique de développement et de vie dans le bourg » : Maire depuis 1995, Gérard Dué arrive au terme de son troisième mandat, marqué par la construction de nombreux nouveaux logements. Il répond à nos questions. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Croisilles : Gérard Dué réélu sans surprise pour un quatrième mandat : Maire depuis 1995, le socialiste Gérard Dué a été réélu sans surprise, lors de ce premier scrutin de liste, avec un score de 58,55 % », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=31428 »
- « Annuaire des écoles de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Villes internet du Pas-de-Calais », sur le site Ville Internet (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Croisilles (62259) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « monument aux morts de Croisilles », sur Mémoires de pierres (consulté le ).