Arleux
Arleux est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Arleux | |||||
Mairie d'Arleux. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Douaisis Agglo | ||||
Maire Mandat |
Bruno Vandeville 2020-2026 |
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Code postal | 59151 | ||||
Code commune | 59015 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arleusiens, Arleusiennes | ||||
Population municipale |
3 160 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 285 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 16′ 51″ nord, 3° 06′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 71 m |
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Superficie | 11,10 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Arleux (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Dix-septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
Arleux est située au cœur de la vallée de la Sensée.
Cette commune du département du Nord est limitrophe de celui du Pas-de-Calais et est traversée par la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune, située dans la vallée de la Sensée, est marquée par le confluent du canal du Nord et du canal de la Sensée.
Le port fluvial se situe sur le canal du Nord juste avant la jonction de ce dernier avec le canal de la Sensée. Situation intéressante car cela permet aux navigants de se rendre rapidement aux grandes villes de la région Nord-Pas-de-Calais (Arras, Cambrai, Douai, Valenciennes…).
Le sud du territoire communal est constitué de nombreux marais.
Voies de communication et transports
Les villages attenants à Arleux sont :
- Bugnicourt par la D 47
- Cantin par la D 47b
- GÅ“ulzin par la D 65
- Hamel par la D 47
- Palluel par la D 13
- Estrées par la D 135a
Une ligne de chemin de fer reliant Douai et Cambrai passe par la commune d'Arleux et s'arrête en gare d'Arleux.
La commune est également desservie par les lignes 19, 20, 21 et 116 du réseau de transport Évéole.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, mise en service en 1954[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,5 °C pour 1981-2010[10], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Arleux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arleux, une agglomération inter-départementale regroupant 2 communes[15] et 3 782 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,4 %), zones humides intérieures (17,4 %), zones urbanisées (16,9 %), eaux continentales[Note 7] (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
La localité était dénommée Alloes , Allues, Alleux, dans des titres des XIIe et XIIIe siècles, en latin, puis Allodium, Arleux-le-Franc au XVIe siècle[22]. Anciennement, "alleu" ("allodium" en latin") signifiait terre franche, terre libre de toute redevance.
Histoire
La ville forte d'Arleux, bien que située dans diocèse d'Arras, appartenait à l'évêque de Cambrai[22].
Au XIe siècle, les sires d'Oisy y obtiennent les droits vicomtiers à tenir en fief de l'évêque. En 1272, Enguerran, sire de Coucy, Oisy et Montmirail vend Arleux au comte de Flandre, qui donne la seigneurie à l'un de ses fils. Celle-ci est achetée en 1337 par le roi de France Philippe VI de Valois. Le , Jean , duc de Normandie , fils aîné du roi de France (qui devint roi sous le nom de Jean II le Bon) rend l'hommage féodal à l'évêque de Cambrai, son suzerain pour la seigneurie vicomtière d'Arleux[22].
Le traité d'Arras de 1435, fait passer Arleux dans la maison de Bourgogne, mais sauf un droit de retrait, moyennant une somme convenue, que le roi se réserva. Le duc de Bourgogne Philippe le Bon donne Arleux à son fils illégitime Antoine, donation confirmée en 1468 par le roi Louis XI. Maximilien de Bourgogne, marquis de la Vère, arrière petit-fils d'Antoine, possède cette seigneurie jusqu'à sa mort, arrivée en 1558, et la laisse à sa sœur Jacqueline, épouse de Jean, sire de Cruninghem. Néanmoins, durant tout ce temps , les rois de France ne cessèrent de critiquer la donation faite par Louis XI, et de prétendre avoir pu valablement exercer le droit de retrait[22].
Arleux comprenait un château fort dénommé Le Forestel, dont les origines datent du XIIe siècle, et qui était situé à gauche de la chaussée d'Arleux à Paluel ; plusieurs branches de la Sensée et des marais impraticables en faisaient un poste de guerre important[22].
Le , le roi Charles II de Navarre dit "le Mauvais", qui avait été arrêté à Rouen par le roi de France Jean II le Bon, et y était emprisonné, s'en évada le avec l'aide des partisans picards et navarrais qui escaladèrent les murailles[23] - [22].
Le Forestel a été incendié par les Français de la garnison de Cambrai en 1583, et a été relevé et fortifié en 1645 par les français[22].
Durant la guerre de Succession d'Espagne la place est prise par les Hautes Puissances alliées, le , et est reprise le 23 du même mois par le maréchal de France de Montesquiou, malgré la belle défense qu'y firent les six cents hommes de garnison. Enfin le maréchal de Villars fit sauter cette forteresse qui, en moins de deux mois, avait donné lieu à quatre combats sanglants[22].
La ville était fortifiée par des murailles et des tours en grès, qui ont été détruites au XVIIe siècle[22].
Le , le déraillement d'un train en gare d'Arleux fait 24 morts et 60 blessés[24] - [25].
- Première Guerre mondiale
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[26] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [27].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Le fils d'Auguste Bar, qui porte le même prénom, a été maire d'Aire-sur-la-Lys en 1945 et conseiller général du canton d'Aire-sur-la-Lys de 1931 à 1940. Tous deux sont inhumés au cimetière d'Orchies.
La commune a pour maires au début du XXe siècle Victor Drocourt, par ailleurs conseiller d'arrondissement pour le canton d'Arleux de 1904 à 1919, et Georges Lefebvre, qui occupe cette même fonction de 1919 à 1940.
Émile Beauchamp devient maire à la suite des élections municipales de mars 1971, puis conseiller général du canton d'Arleux à la suite des élections cantonales de septembre 1973. Il meurt en cours de mandat le .
Il est remplacé en 1995 jusqu'aux nouvelles élections de juin par Ferdinand Binet, qui était également son suppléant aux cantonales. Il meurt peu de temps après, le 12 octobre 1996.
Patrick Masclet, professeur, devient maire à la suite des élections municipales de juin 1995. Il est vice-président de la Communauté d'agglomération du Douaisis jusqu'en 2014, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais de 1998 à 2015 puis sénateur du Nord de 2015 à 2017. Il démissionne de son mandat de maire en février 2017[28], et meurt peu de temps après, le [29] - [30].
Il est remplacé par Bruno Vandeville, enseignant en mathématiques et vice-président de la communauté d'agglomération du Douaisis depuis 2014, qui est élu maire le 9 mars 2017 avec treize voix pour et huit votes blancs[31] - [32].
Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-trois sièges sont à pourvoir ; on dénombre 2 423 inscrits, dont 1 465 votants (60,46 %), 16 votes blancs (1,09 %) et 1 425 suffrages exprimés (97,27 %). La liste Arleux passion commune menée par le conseiller régional Frédéric Nihous recueille 346 voix (24,28 %) contre 660 (46,32) pour la liste Poursuivre ensemble du maire sortant Bruno Vandeville[33] et 419 (29,40 %) pour la liste L'avenir d'Arleux ensemble de Gilles Coquelle[34]. Aucun siège n'est pourvu à l'issue du premier tour[35] - [36]. Bruno Vandeville est élu maire pour un second mandat le 3 juillet 2020.
Liste des maires
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
Jean-Philippe Pecqueur (d) | 2 ans | |||
Martin Delval (d)[37] | 8 ans | |||
Pierre-Joseph Merlin (d) | 2 ans | |||
Jean-Pierre Baurain (d) | 1 an | |||
Charles Merlin (d) | 10 ans | |||
François Hypolite Caron (d) | 2 ans | |||
François-Joseph Demain (d) | 6 ans | |||
Joseph Constantin Le Glay (d) | 25 ans | |||
Pierre-Joseph Guislain Cany (d) | 22 ans | |||
Charles Edmond Joseph Lepeuple (d) | 4 ans | |||
Eugène Royer (d) | 6 ans | |||
Auguste Bar (d) (années 1840 - ) | 3 ans | |||
Victor Drocourt (d) | 13 ans | Parti radical | ||
Édouard Dransart (d) | 8 ans | |||
Charles Campion (d) | 1 an | |||
Édouard Dransart (d) | 3 ans | |||
Alfred Labalette (d) | 11 ans | |||
Georges Lefebvre (d) | 20 ans | Fédération républicaine | ||
Gustave Herbo (d) | 5 ans | |||
François Noël (d) | 2 ans | |||
Albert Lefranc (d) | 6 ans | |||
François Noël (d) | 6 ans | |||
Gaston Herbo (d)[38] | 12 ans | |||
Émile Beauchamp (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 23 ans et 9 mois | Parti communiste français | |
Ferdinand Binet (d) ( - ) | 3 mois | Parti communiste français | ||
Patrick Masclet ( - ) | (démission) | 21 ans et 8 mois | Rassemblement pour la République Union pour un mouvement populaire Les Républicains | |
Bruno Vandeville (d)[39] - [40] (né le ) | En cours | 6 ans, 3 mois et 26 jours | Mouvement démocrate Union des démocrates et indépendants divers droite |
Démocratie participative
La commune s'est dotée d'un conseil municipal d'enfants en 2013. Les élèves des deux écoles primaires désignent ainsi leurs représentants, pour deux ans, parmi les candidats de CE2 et CM1. La dernière élection a eu lieu en décembre 2017, la prochaine aura lieu en 2019.
Politique environnementale
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2020, la commune comptait 3 160 habitants[Note 8], en augmentation de 4,81 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 498 hommes pour 1 701 femmes, soit un taux de 53,17 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture
Manifestations culturelles et festivités
La Foire à l'Ail Fumé a lieu le premier week-end de septembre depuis 1962 et accueille près de 60 000 visiteurs. La prochaine est prévue les 5 et [47].
Économie
Arleux a fait de la culture de l'ail, et le fumage de l'ail, des spécialités [48]. Cet ail fumé est produit sous IGP.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Nicolas, église romane du XIIe siècle, partiellement détruit pendant la guerre en 1917et reconstruit en 1920. Son buffet d'orgue date de 1753 et est classé monument historique[49]
- En 1870 la Verrerie Delchambre est recensée au pont de la Redoute reprise en 1907 par les Verreries d'Arleux et de Rambouillet dont le siège social était 69 Rue Malesherbes à Paris. En 1925 un générateur d'acétylène est installée. Sur le même site au 670 Rue André Joseph Leglay la Verrerie Vve Guyot et Cie est en activité entre 1883 et 1906 [50]
- Le monument aux morts d'Arleux commémore les soldats et victimes de 6 guerres: 1870, 1895 (Madagascar), 1914-18, 1939-45, Algérie et Indochine. Le monument, une stèle aux poilus combattants et décorés d'une Croix de Guerre, du sculpteur Laoust, porte également une plaquette commémorant 50 ans de libération[51].
- Église romane d'Arleux XIIe siècle
- le monument aux morts du sculpteur Laoust
- La roue du Moulin d'Arleux Nord
Personnalités liées à la commune
- Nées à Arleux
- Philippe-Antoine Merlin de Douai (1754-1838), homme politique français.
- André-Joseph-Ghislain Le Glay (1785-1863), historien et bibliographe, docteur en médecine.
- Constantin Pecqueur (1801-1887), économiste socialiste.
- Marcel Le Glay (1920-1992), historien français, spécialiste de la Rome antique, né à Arleux.
.
- Liées à Arleux
- Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), peintre, y loue une ferme pendant l'été 1871 et peint les paysages des environs d'Arleux.
- Charles II de Navarre (1332-1387), roi de Navarre incarcéré au château d'Arleux en 1357.
- Deep Forestn groupe formé à Arleux en 1991.
Héraldique
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Les armes d'Arleux se blasonnent ainsi : « D'argent aux trois tours de gueules. » |
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Ces armoiries sont différentes de celles du vicomte d'Arleux, de la maison de Berghes-Saint-Winoc, et qui portait. : D'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur[22].
Les géants
Les géants sont Grin Batiche, créé en 2003, qui représente les anciens producteurs d’ails déambulant dans la campagne, la hotte sur le dos, pour vendre leur production au cri de « À z’ails, à z’aulx ». Depuis ont été créés en 2005 Henriette la Porteuse d'Ail, puis Tiot Jean[52] - [53].
Pour approfondir
Bibliographie
- Arleux, ses hommes remarquables, le Forestel, l'église paroissiale, etc., Douai, Vve Le Male, libraire, , 16 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
- Félix Brassart, Notes historiques sur Arleux, Hamel & Lécluse : lues par M. Brassart, membre de la Commission historique du département du Nord, dans la séance tenue par la commission à Arleux, le 3 juillet 1877, , 13 p., p. 4-7.
- Bruno Ramirez de Palacios, Charles dit le Mauvais : Roi de Navarre, comte d'Evreux, prétendant au trône de France, Le Chesnay, Bruno Ramirez de Palacios, , 530 p. (ISBN 978-2-9540585-2-8, BNF 44255975)
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune d’Arleux (59015) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 08 SO, Douai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Cambrai-Épinoy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Arleux et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Arleux », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Douai », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Statistique archéologique du département du Nord : arrondissement de Valenciennes : Canton et décanat d'Arleux », Bulletin de la commission historique du département du Nord, t. VIII,‎ , p. 241-244 (lire en ligne, consulté le ).
- Ramirez de Palacios 2015, p. 110, 128, 133.
- Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 41
- « La catastrophe d'Arleux au Tribunal correctionnel de Douai », Le Grand écho du Nord de la France, vol. 84, no 347,‎ , p. 2-3 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 18 septembre 1920, p. 13709.
- Kévin Moreau, « Maire depuis 1995, Patrick Masclet démissionne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne) :
« Vendredi soir, au conseil municipal d’Arleux, Patrick Masclet a annoncé sa démission de son mandat de maire. Il reste néanmoins conseiller municipal, sénateur et président de l’association des maires du Nord »
. - « Mort du sénateur du Nord Patrick Masclet », Le Monde,‎ (lire en ligne) :
« Professeur agrégé, l’élu les Républicains avait été maire de la commune d’Arleux pendant vingt-deux ans »
. - J.-F. Guybert, « Ancien maire, sénateur et conseiller régional, Patrick Masclet s’en est allé », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne) :
« Une figure de l’Arleusis s’en est allée. C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris dimanche soir la mort de Patrick Masclet, des suites d’une longue maladie. Il était âgé de 65 ans »
. - Françoise Tourbe, « Bruno Vandeville prend la succession de Patrick Masclet à la mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne) :
« Il n’y a pas eu de candidature inattendue, hier soir, lors de l’élection du nouveau maire d’Arleux. Le candidat désigné est passé dès le premier tour de scrutin, même si huit de ses collègues ont voté blanc »
. - Françoise Tourbe, « Bruno Vandeville, le nouveau maire, un Arleusien pur jus : C’est lui qui a été élu maire d’Arleux, le 9 mars, dès le premier tour de scrutin, avec treize votes en sa faveur, mais aussi huit votes blancs. Portrait du successeur de Patrick Masclet », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
- Bertrand Bussière, « Bruno Vandeville veut poursuivre la transformation du bourg », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. 15.
- Pierre Vilcocq, « La démocratie participative, l'axe essentiel de Gilles Coquelle », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. 16.
- « Élections municipales, », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 30.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Arleux », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 8.
- Sébastien Bottin, Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République, Douai, Imprimerie de Marlier, , 306 p. (lire en ligne), p. 77
- Pierre Vilcocq, « Arleux : la halle de marché Gaston-Herbo est quasi fonctionnelle », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Elles supportent désormais l'édifice à l'ossature en bois dans lequel figure l'inscription Gaston-Herbo, en mémoire de celui qui fut maire d'Arleux de 1959 à 1971. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Arleux : divers droite »
- Pierre Vilcocq, « Arleux : Bruno Vandeville signe pour un deuxième mandat », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Vendredi, le conseil municipal d’installation a reconduit, à la majorité Bruno Vandeville dans les fonctions de maire qu’il exerce à Arleux depuis 2017. »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Arleux (59015) », (consulté le ).
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