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Estrées (Nord)

Estrées est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Estrées
Estrées (Nord)
La mairie.
Blason de Estrées
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Douaisis Agglo
Maire
Mandat
Lionel Blassel
2020-2026
Code postal 59151
Code commune 59214
Démographie
Gentilé Estrésiens, Estrésiennes[1]
Population
municipale
1 111 hab. (2020 en augmentation de 0,54 % par rapport à 2014)
Densité 191 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 03″ nord, 3° 04′ 14″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 63 m
Superficie 5,82 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Gouy-sous-Bellonne
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives 17e circonscription du Nord
Localisation
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Estrées
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Estrées
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Estrées
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Estrées
Liens
Site web https://www.estrees.fr/

    Géographie

    Le village dans le paysage.

    Estrées est située dans une plaine, et est à proximité du canal de la Sensée, qui passe à environ 1 kilomètre.

    Une butte surplombant le village, est utilisée comme champ.

    Estrées et Gouy, le village à proximité, sont séparés par la limite entre les départements du séparant le Nord et du Pas-de-Calais.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Estrées
    Gouy-sous-Bellonne GÅ“ulzin
    Bellonne Estrées Cantin
    Tortequesne Hamel Arleux

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 693 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douai », sur la commune de Douai, mise en service en 1962[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 716,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 10 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Estrées est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gouy-sous-Bellonne, une agglomération inter-départementale regroupant 2 communes[18] et 2 503 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,9 %), zones urbanisées (10,7 %), forêts (0,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 466, alors qu'il était de 436 en 2014 et de 415 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 95,9 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 3,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Estrées en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Estrées en 2019.
    Typologie Estrées[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 95,9 90,6 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 1,6 9,7
    Logements vacants (en %) 3,2 7,8 8,2

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 20 du réseau Évéole.

    Toponymie

    Le nom Estrées est un terme d'ancien français, issu du latin strata (via), qui désignait une « voie couverte de pierres plates », par opposition à rupta (via) > route. Il s'est conservé dans la plupart des langues romanes (cf. l'italien et le roumain strada) et a été emprunté par le germanique (cf. l'anglais street, l'allemand Straße et le néerlandais straat[25]). Le mot estrée a disparu du français à la fin du Moyen Âge, mais il demeure dans un grand nombre de toponymes, particulièrement dans le nord de la France, signalant la proximité d'une voie romaine[26].

    Histoire

    Avant la Révolution française, Estrée est le siège d'une seigneurie. Au début du XVIIIe siècle, elle relève du roi à cause du château de Douai. Elle consiste en un château et des terres de différentes sortes (terres labourables, prairies, marais, bois,..); 52 arrière-fiefs en relèvent[27].

    Détenue par Claude-François Marnix, vicomte d'Ogimont, baron de Rollencourt (Rollancourt?), Berlecourt, Maisoncelle, et son épouse Anne-Antoinette-Agnès de Haudion au début de 1714, elle est vendue par contrat passé à Arras devant notaires le à Louis-François de Tenremonde, chevalier, seigneur de Mérignies, La Broye, Lannoy, fils de Lamoral-François de Tenremonde, chevalier, seigneur de Mérignies et de La Broye, et de Marie Madeleine van der Meere, et mari de Anne-Marie de Logenhagen[27].

    Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord.

    Elle faisait partie depuis 18012 du canton d'Arleux[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aniche

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-septième circonscription du Nord.

    Intercommunalité

    Estrées est membre de la communauté d'agglomération dénommée Douaisis Agglo, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des Élections municipales françaises de 2020 , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 817 inscrits, dont 385 votants (47,12 %), 6 votes blancs (1,56 %) et 349 suffrages exprimés (90,65 %). La liste Ensemble, continuons pour l'avenir d'Estrées menée par le maire sortant Lionel Blassel recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[30] - [31].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    An VIII de la République 1813 Charles-Joseph Vallez
    1813 1820 Jean-François Vallez
    1820 1848 Jean Joseph Vallez
    1848 1857 François Verdier
    1857 1860 Auguste Corbhent
    1860 1865 Désiré Joseph Bégot
    1865 1865 Géry Mazure
    1865 1868 Jean-Hubert Fauveaux
    1868 1881 Henry DILLY
    1881 1888 Nicolas Lefranc
    1888 1904 Armand Lemaire
    1904 1911 Anaclet Fernand Lefebvre
    1911 1916 Omer Joseph Delacroix
    1919 1923 Fernand Lefebvre
    1923 1925 Louis Drancourt
    1925 1929 Aristide Lefranc
    1929 1938 Georges Leveque
    1938 1947 Martial Briez
    1947 1953 René Lemaire
    1953 1959 Jean Plouvier
    1959 1967 Octave Hérin
    1967 1983 André Cauchy[Note 8]
    1983 1995 Maurice Sauvage
    2001 2008 Daniel Laczny SE
    2008 2014 Clovis Pintiaux[Note 9] SE
    2014[33] - [34] En cours
    (au 13 septembre 2022)
    Lionel Blassel DVD Vice-président de la CA Douaisis Agglo (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[35]

    Équipements et services publics

    La salle des fêtes André-Cauchy.

    Les enfants de la commune sont scolarisés dans le groupe scolaire Thérèse-Gras, ainsi dénommée en mémoire d'une peintre qui « faisait preuve d'un dévouement exemplaire à l'égard de la commune et pour les enfants de l'atelier de peinture[36] ».

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2020, la commune comptait 1 111 habitants[Note 10], en augmentation de 0,54 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1898369279121 0189699791 016985
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0101 0621 0551 0191 0241 0431 0091 0061 001
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    916912832646673701696696718
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    7387868549461 0271 0381 0441 055981
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 1051 1031 111------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 551 hommes pour 555 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3
    90 ou +
    1,8
    5,7
    75-89 ans
    6,0
    19,5
    60-74 ans
    21,6
    21,0
    45-59 ans
    20,1
    18,2
    30-44 ans
    19,8
    13,0
    15-29 ans
    12,2
    21,4
    0-14 ans
    18,5
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Vie associative

    Le Village d’Estrées est composé de plusieurs associations.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église.
    • Église Saint Sarre reconstruite après 1918: beau clocher en grès.
    • À Estrées se trouvent plusieurs lieux commémoratifs : le monument situé sur la place de la mairie, commémorant les anciens combattants du village de la guerre 1939-1945, le square Maurice Sauvage, à l'hommage d'un ancien maire, ainsi qu'une butte (relief qui surplombe estrées), où un château y figurait il y a plusieurs siècles.
    • Un calvaire se tient rue du Mont, tous les ans y est célébrée une messe en plein-air lors des fêtes du Mont Carmel (à la mi-Juillet)[42].
    • Entre Estrées et GÅ“ulzin se trouve une source, et sur les champs entre Estrées et Férin, on peut apercevoir les restes d'un ancien moulin en briques rouges, où, depuis son abandon, reposent de merveilleux oiseaux.
    • Le chevet de l'église.
      Le chevet de l'église.
    • Détail du clocher.
      Détail du clocher.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Héraldique

    Blason de Estrées (Nord) Blason
    Inconnu.
    Détails
    Les armes sont identiques à celles de Gruson et de Wicres.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Folklore

    La commune possède un géant[43] : Oscar[44].

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Estrées », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. La salle des fêtes de la commune porte le nom de ce maire.
    9. Une place de la commune porte le nom de ce maire, élu municipal de 1983 à 2019.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Services publics Estrées », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Douai - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Estrées et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Douai - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Estrées et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Gouy-sous-Bellonne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
    26. Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32
    27. Amédée le Boucq de Ternas, Henri Fremaux, Histoire généalogique de la famille de Tenrémonde, originaire de la Flandre-Wallonne, 1268 à 1864, Douai, 1870, p. 58, lire en ligne.
    28. Journal officiel du 12 février 1921, p. 1897.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. « Élections municipales, Estrées », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 32.
    31. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Estrées », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
    32. Source : A. Romano secrétaire de Mairie, le 25/11/2022.
    33. « Estrées : Lionel Blassel succède à Clovis Pintiaux à l’élection du maire : Beaucoup d’Estrésiens étaient étonnés dimanche dernier de l’élection sans appel de la liste menée par Lionel Blassel face à celle d’Hervé Berdys », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. Alice Favier, « Estrées : un parking pour la salle des fêtes et un préau pour l’école : À 53 ans, Lionel Blassel a entamé son premier mandat. Son objectif est de conserver la bonne situation financière en ciblant les priorités de sa commune. Première cible, l’école qu’il qualifie de « poumon du village » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    35. « Estrées: Lionel Blassel parti pour un second mandat de maire : C’est dans la salle des fêtes d’Estrées, sans public, qu’a eu lieu le conseil municipal qui a procédé à l’élection du maire et de ses adjoints. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. « Le groupe scolaire Thérèse Gras », Services > Enfance et jeunesse, sur https://www.estrees.fr (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estrées (59214) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    42. Site internet de la ville : https://www.estrees.fr/decouverte/fetes-locales/la-fete-du-mont-carmel/
    43. Arnaud Déthée, « Tristan, le p'tit Belge qui veut sortir les géants de l'oubli », La Voix du Nord, no 24102,‎ , p. 10 (lire en ligne) :
      « Le Douaisis continue à faire naître des géants, comme à Auberchicourt ou Estrées. »
      .
    44. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15
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