MĂ©rignies
Mérignies est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
MĂ©rignies | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes PévÚle-Carembault | ||||
Maire Mandat |
Paul Dhallewyn 2020-2026 |
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Code postal | 59710 | ||||
Code commune | 59398 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Mérignisiens, Mérignisiennes | ||||
Population municipale |
3 289 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 382 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 30âČ 23âł nord, 3° 06âČ 39âł est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 56 m |
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Superficie | 8,61 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Templeuve-en-PévÚle (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Templeuve-en-PĂ©vĂšle | ||||
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.merignies.fr | ||||
Le village conserve un charme rural indéniable et une partie de son activité agricole. De par sa proximité avec Lille et les grands axes de communication, il est devenu un village résidentiel aisé dont la population ne cesse d'augmenter.
GĂ©ographie
Mérignies est située dans la PévÚle entre Pont-à -Marcq et Bersée.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cappelle-en-PĂ©vĂšle », sur la commune de Cappelle-en-PĂ©vĂšle, mise en service en 1962[7] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et Ă 9 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Mérignies est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Templeuve-en-PévÚle, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[17] et 16 296 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (51,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (87,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51,1 %), zones urbanisĂ©es (22,2 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (20,1 %), forĂȘts (5,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Les noms des hameaux font beaucoup référence à la plaine humide de la Marque : La Chantraine (Chant des Rainettes), La Mousserie, La Verderie, La Rosée, Molpas (pas mou) Bois Lambert, Bois de Choques, Bois de Rupilly, La Plaine du Moulin, La RosiÚre, Nouveau Jeu, La Gaillarderie, Les Coquelicots, Les Bleuets, Les Grands Prés, Les Petits Prés.
Noms anciens : Meregnies, en 1147, cartulaire de Saint Vaast. Merenniis, 1164, id. Meuregnien, 1167, cart. de l'abbaye de Liessies. Mereines.
GĂ©ologie
Les sols sont constituĂ©s de craie en profondeur, recouverte d'une couche d'argile (argile de Louvil), puis d'une Ă©paisse couche de sable de plus de 15 m (sables d'Ostricourt / glauconieux et denses en profondeur) â le sable est affleurant sous forme de limons sableux notamment dans la Plaine du Moulin. L'Ă©tang de la Mousserie, contigu, est le rĂ©sultat d'une ancienne sabliĂšre. Au-dessus du sable, revient Ă beaucoup d'endroits une derniĂšre couche d'argile (Argile d'Orchies). L'ensemble de ces strates est inclinĂ© dans le sol et la craie rĂ©apparait en surface sur le site de Lesquin.
Histoire
La dĂ©couverte des tuiles romaines dans les murs en chevron de l'Ă©glise semble indiquer une implantation humaine Ă l'Ă©poque gallo-romaine. Aucune dĂ©couverte archĂ©ologique ne tĂ©moigne d'une implantation humaine avant cette Ă©poque mĂȘme si le site, proche d'un cours d'eau et au cĆur de terres fertiles, semble tout Ă fait adaptĂ© aux besoins des premiĂšres populations sĂ©dentaires dans nos rĂ©gions. L'existence du petit village de Merennus est attestĂ©e en 1164. Les terres appartiennent alors aux chĂątelains de Lille qui restent les seigneurs jusqu'en 1440, date Ă laquelle la seigneurie est vendue Ă la famille de Tenremonde. (La terre de MĂ©rignies et de La BroyĂ©, tenue du chĂątelain de Lille, fut vendue en 1440, 2,600 livres parisis, monnaie de Flandre).
Les Tenremonde fondent un chùteau en 1640 dont les vestiges des communs et des écuries sont encore visibles aujourd'hui dans le chùteau dit de la Rosée. Cette puissante famille voit son nom associé à l'histoire du village jusqu'en 1864. Mérignies compta des administrateurs renommés comme Gilbert de Tenremonde qui fut bailli de Lille, Antoine de Tenremonde qui contribua à la rédaction des lois et coutumes de Lille en 1540 ou Pierre Petitpas qui devint grand prévost de Tournai en 1585.
Certains indices, comme la toponymie, portent Ă croire que la fameuse bataille de Mons-en-PĂ©vĂšle en 1304, pendant laquelle Philippe le Bel dĂ©fait les armĂ©es flamandes, se dĂ©roule en grande partie sur le territoire de MĂ©rignies. Au cours du Moyen Ăge, MĂ©rignies voit s'Ă©lever plusieurs chĂąteaux sur son territoire. L'un des rares tĂ©moins de l'histoire industrielle de MĂ©rignies encore visible aujourd'hui est la tour d'un moulin Ă vent.
HĂ©raldique
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Les armes de Mérignies se blasonnent ainsi : "Plumeté d'or et de sable." ( le sable est la couleur noire en héraldique) Il s'agit des armoiries de la famille Tenremonde. Ce blason est attesté dans les manuscrits depuis 1417. Ces armoiries ont été adoptées par la commune de Mérignies au début du XXe siÚcle sous l'impulsion du chanoine Leuridan, actif président de la commission d'héraldique du Pas de Calais. |
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Politique et administration
Maire de 1802 Ă 1807 : J. C. Desmons[24] - [25].
Maire en 1881 : Leboucq[26].
Jumelage
Depuis mai 2014, des contacts ont Ă©tĂ© pris avec le village et paroisse civile de Kilmacolm dans l'Inverclyde en Ăcosse, en vue d'un jumelage[30].
Ainsi, le samedi , une délégation écossaise de Kilmacolm a été accueillie par le maire Francis Melon et son conseil municipal en présence du comité de jumelage et du député Thierry Lazaro pour acter le jumelage entre Mérignies et Kilmacolm et signer le serment de jumelage.
Ce projet de jumelage franco-Ă©cossais remonte en dĂ©cembre 2012 lorsque Laurent Kochanski, rĂ©cemment installĂ© dans la commune, suggĂšre Ă la municipalitĂ© de mettre en place un jumelage, une opportunitĂ© pour le village de sâouvrir vers lâinternational.
Avec Kilmacolm (une petite ville proche de Glasgow ayant de nombreuses similitudes avec MĂ©rignies), avec lâEcosse, MĂ©rignies est Ă©galement liĂ©e par une histoire commune qui donne davantage encore de sens Ă notre jumelage.
Cette histoire commune entre MĂ©rignies et Kilmacolm, câest lâhistoire de la vieille alliance entre la France et lâĂcosse, plus connue sous le nom dâAuld Allianceâ, avec le plus ancien traitĂ© datant de 1295. Cette alliance est unique dans lâhistoire des nations car elle nâa pas dâĂ©quivalent en termes de durĂ©e et dâintensitĂ©.
Cette alliance entre la France et lâĂcosse a aussi Ă©tĂ© saluĂ©e par Charles de Gaulle, qui rappelait lors dâun discours Ă Ădimbourg en 1942 : « Dans chacun des combats oĂč, pendant cinq siĂšcles, le destin de la France fut en jeu, il y eut toujours des hommes dâĂcosse pour combattre cĂŽte Ă cĂŽte avec les hommes de France ».
Une délégation du comité de pilotage de Mérignies avait participé du cÎté écossais le à la signature du serment de jumelage entre Mérignies et Kilmacolm.
MĂ©rignies et Kilmacolm ont ainsi pris lâengagement solennel de « maintenir des liens permanents entre les municipalitĂ©s afin de dialoguer, dâĂ©changer leurs expĂ©riences et de mettre en Ćuvre toute action conjointe susceptible de les enrichir mutuellement dans tous les domaines relevant de leur compĂ©tence tels que le sport, la culture ou les relations commerciales et dâencourager et de soutenir les Ă©changes entre leurs concitoyens et en particulier leurs enfants et leurs Ă©lĂšves pour dĂ©velopper, par une meilleure comprĂ©hension mutuelle et une coopĂ©ration efficace le sentiment vivant de la fraternitĂ© europĂ©enne au service dâun destin dĂ©sormais commun ».
Un ComitĂ© de pilotage se rĂ©unit rĂ©guliĂšrement pour revoir lâensemble des actions et des initiatives concernant le jumelage sous la responsabilitĂ© de Laurent Kochanski et de Francis Melon.
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 3 289 habitants[Note 8], en augmentation de 16,3 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 35,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 21,0 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 563 hommes pour 1 569 femmes, soit un taux de 50,1 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
Ăglise St-Amand : origine Moyen Ăge, murs composĂ©s en grĂšs de PĂšve, de briques et fragments de tuiles, murs latĂ©raux en briques et pierres alternĂ©es. IntĂ©rieur : colonnes aux chapiteaux ornĂ©s d'une double rangĂ©e de crochets. ChĆur Ă pans coupĂ©s Ă©clairĂ© de fenĂȘtres gothiques et d'une troisiĂšme circulaire. VoĂ»te de la nef en bois en forme de carĂšne.
Ătang de la Mousserie : accĂšs public, plan d'eau gĂ©rĂ© par association de pĂȘche.
Divertissements dans la commune
MĂ©rignies dispose d'une bibliothĂšque, d'un complexe multisport, d'une salle de spectacle, d'un terrain extĂ©rieur de basket, de 2 terrains de foot, de nombreux sentiers pour se promener, d'une salle des fĂȘtes et d'un golf de 27 trous (9 trous supplĂ©mentaires en travaux), MĂ©rignies Golf.
Le golf
Le concept du golf est un 4x9 trous en trĂšfle.
Les fouilles archéologiques débutent en , puis les travaux en .
Le parcours "Val de Marque", premier neuf trous, ouvre en , en mĂȘme temps que le practice et l'Ă©cole de golf ; le deuxiĂšme parcours, "La Valutte", ouvre le avec le club-house et le restaurant l'engrenage.
En le club house est agrandi, avec l'ouverture d'un restaurant semi-gastronomique. En ouvre le parcours "Rupilly", troisiĂšme neuf trous[37] - [38].
L'ouverture du dernier parcours de neuf trous, "Croisette", est prévu aux alentours de 2023.
Le golf n'utilise pas d'eau de ville pour son arrosage. En effet, plusieurs bassins permettent de récupérer les eaux de pluie. Par ailleurs, l'usine Cristaline voisine rejette son surplus de production dans les bassins du golf[39] - [40].
Personnalités liées à la commune
- Michel Gousselaire
Michel Gousselaire, nĂ© en 1629 Ă MĂ©rignies, religieux de l'ordre de CĂźteaux, prend l'habit monastique Ă l'abbaye Notre Dame du Repos Ă Loos et y prononce ses vĆux en 1650. AprĂšs avoir Ă©tĂ© ordonnĂ© prĂȘtre, il est chargĂ© de la direction de divers monastĂšres de filles. Il est aussi sous-prieur et ensuite procureur et historien de son monastĂšre. Le chapitre gĂ©nĂ©ral de CĂźteaux lui donne la charge de Syndic de la Province Gallo-Belgique. Il rend un service considĂ©rable aux Maisons religieuses oĂč il a demeurĂ©, en copiant exactement leurs titres, privilĂšges, donations etc Outre cela il a composĂ© aussi une bonne histoire inĂ©dite de l'abbaye de Loos : Historia Chronologica Laudensis Monasterii Ă prima fundatione (en 1148) usque ad annum MDCCVI Ms en 2 gros vol Cet ouvrage qui se conservait Ă l'Abbaye de Loos, renferme, outre ce qui la regarde divers Ă©vĂ©nements mĂ©morables, comme des gelĂ©es et chaleurs excessives, des mortalitĂ©s, diffĂ©rentes guerres, siĂšges, batailles, traitĂ©s de paix etc Un autre volume fort prĂ©cieux est celui que dom Michel Gouselaire rĂ©digea en 1699, Ă la priĂšre de l'abbesse de Marquette, madame Elisabeth de Crevant de HumiĂšres. Gouselaire, a intitulĂ© ce volume : Sommaire et rĂ©pertoire des titres de l'abbaye de Notre Dame du Repos Ă Marquette, de Flines et du Verger. En 1706 FĂ©nelon rend visite Ă Gousselaire dans sa derniĂšre maladie. Michel Gousselaire meurt Ă l'abbaye de Marquette, oĂč il est directeur le ĂągĂ© de prĂšs de 77 ans.
- Robert des Rotours (1891-1980), sinologue, propriétaire du chùteau de Mérignies.
Galerie d'images
- Petite allée ou drÚve du chùteau - été 2007.
- La Mousserie - .
- La Mousserie - .
- La Mousserie - été 2007.
- La Mousserie - été 2007.
- La Mousserie - été 2007.
Pour approfondir
Bibliographie
- Bernard Beghyn, St Amand de MĂ©rignies. Histoire d'une Ă©glise.
- Bernard Beghyn, La famille Tenremonde, de Termonde Ă MĂ©rignies.
- Alain Plateaux, LâĂ©glise de MĂ©rignies, La SociĂ©tĂ© historique du Pays de PĂ©vĂšle, 2009.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Mérignies sur le site de l'Institut géographique national
- site MĂ©rignies/Histoire: http://bernard.beghyn.perso.sfr.fr/index.shtml
- (fr) Site du golf.
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Mérignies Golf » (voir la liste des auteurs).
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
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- « Orthodromie entre Mérignies et Cappelle-en-PévÚle », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Mérignies et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 140-141 (images 170-171).
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3.
- « Le bilan du maire de MĂ©rignies, Francis Melon : la ville des footballeurs et du golf grandit en restant rĂ©sidentielle », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- « Paul Dhallewyn, Ă©lu maire de MĂ©rignies "pour assurer la continuitĂ©" », La Voix du Nord,â (lire en ligne).
- [ Extrait de la fiche de M. Paul DHALLEWYN]
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de MĂ©rignies (59398) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).
- http://www.ffgolf.org/Clubs/Construire-un-golf/Merignies-une-inauguration-record
- La Voix du Nord, « Neuf trous de plus, pour lâinstant : le golf de MĂ©rignies affiche des ambitions Ă©levĂ©es », La Voix du Nord,â (lire en ligne , consultĂ© le ).
- « L'eau durable et écologie à Mérignies Golf, proche Lille, Douai et Arras », sur www.merigniesgolf.com (consulté le ).
- « Golf de Mérignies », sur FFGolf, (consulté le ).