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Tortequesne

Tortequesne est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Tortequesne
Tortequesne
La mairie derrière le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC Osartis Marquion
Maire
Mandat
Jean-Paul Pont
2020-2026
Code postal 62490
Code commune 62825
Démographie
Population
municipale
839 hab. (2020 en augmentation de 8,54 % par rapport à 2014)
Densité 249 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 24″ nord, 3° 02′ 23″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 71 m
Superficie 3,37 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lécluse
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brebières
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Tortequesne
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Tortequesne
Liens
Site web http://www.tortequesne.fr

    Géographie

    Localisation

    Tortequesne est un bourg périurbain de l'Ostrevent dans le Pas-de-Calais, limitrophe du département du Nord situé dans le triangle Arras, Cambrai, Douai, dans la vallée de la Sensée.

    Il est desservi par le tracé initial de la route nationale 356 (actuelle RD 956) reliant Bapaume à Douai se situe sur la RD 956 entre Douai et Bapaume,

    La commune est traversée par le sentier de grande randonnée GR 121.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont trois situées dans le département du Nord :

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par deux cours d'eau :

    • la Sensée qui est une rivière de 27,07 km et qui a été détournée en 1963 dans la Marche Navire dont le lit délimite la frontière entre le Nord et le Pas-de-Calais. Elle traverse un décanteur créé dans l'étang de Tortequesne, pour rejoindre ensuite les étangs de Ecourt, Palluel et Arleux (confluence). Après avoir pris sa source dans la commune de Saint-Léger, elle se jette dans le canal du Nord à Arleux[1] ;
    • la rivière de la Sensée, d'une longueur de 9,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Étaing et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Arleux[2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :

    • les marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger. C'est un vaste complexe marécageux de 791 hectares constitué d'étangs, de boisements tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales et qui comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles[3] ;
    • le marais des Viviers et des Grandes Billes à Lécluse, d’une superficie de 321 hectares. Ce site se caractérise par une certaine diversité de biotopes dans un marais tourbeux[4].

    Et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Tortequesne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), zones urbanisées (17,2 %), zones humides intérieures (11,4 %), prairies (6,8 %), forêts (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 417, alors qu'il était de 399 en 2014 et de 368 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 76,4 % étaient des résidences principales, 18,2 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 80,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tortequesne en 2019 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (18,2 %) largement supérieure à celle du département (6,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88 % en 2014), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Tortequesne en 2019.
    Typologie Tortequesne[I 1] Pas-de-Calais[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 76,4 85,9 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 18,2 6,4 9,7
    Logements vacants (en %) 5,4 7,7 8,2

    Voies de communication et transports

    Tortequesne est desservie par la ligne 21 du réseau douaisien Évéole.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Torteken en 1096 ; Tortekaine en 1239 ; Tortecanne au XIVe siècle ; Torcanne en 1626[13] ; Tortaquenne et Tortequesne en 1801[14].
    Le nom du village, Tortequesne, est parfois orthographié Tortequenne[15].

    De l'adjectif féminin, de la langue d'oïl, torte « tordue » et kaisne « chêne » (le féminin torte témoigne que kaisne était féminin)[16], explication empruntée à Albert Dauzat[17].

    Remarque : la forme actuelle Tortequesne relève d'une étymologie populaire, quesne signifiant « chêne » en picard nord occidental et en normand septentrional (voire ligne Joret), car les formes anciennes s'opposent à cette explication puisqu'on ne relève aucune trace d'un -s dans ces formes qui pourraient la suggérer. En revanche, Le Torquesne (Calvados, Torta quercus 1160, le Tortquesne 1395) possède ce sens[17] - [18].

    Histoire

    Le village de Tortequesne représenté dans l'album De Croy.

    Moyen Âge

    Au XIIe siècle, ce village dépend de la châtellenie de Lécluse »[19].

    1297 : en juin, le roi de France Philippe le Bel, entrant en Flandre, s'empare du château de Tortequesne[20].

    1304 : la garnison française de Douai prend le château et le brûle (tordam caudam ceperuntnet castellum combusserunt)[21].

    Temps modernes

    1632 : sentence de la gouvernance de Douai mentionnant « un vieux chasteau, dongeon, fossetz et singles »[22]

    1694 : relief de Lécluse, au profit de Louis Crule ...le chastelet de Tortequesne, et autrement Mont-Héricourt, se consistant en un chasteau, cense, enclos et fossetz[23]....

    1722 : dénombrement servi par le sieur Crulle... un donjon...au village de Torquesne, que l'on dit de Montéricourt et vulgairement du châtelet, la bassecourt...entourés de fossetz[24]….

    1785 : dénombrement servi par Louis Cresle:...fief du châtelet, sans seigneurie, etc. donjon et châtelet enclos d'eau, maisons, édifices, granges, étables, maréchaussées, colombiers, manoirs...fief de Montericourt et vulgairement du châtelet, tenant deux sens à la chaussée de Lécluse à Douay, canal appelé le Buironneau, rendant eau auxdits fossés[25]...

    Le châtelet de Tortequesne, qui commandait le passage de la Sensée sur la route de Douai à Bapaume par Lécluse, était semble-t-il une dépendance du château de Lécluse.

    Première Guerre mondiale

    Durant la Première Guerre mondiale, le village subit d'importantes destructions[26] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [27].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    La commune faisait partie depuis 1793 du canton de Vitry-en-Artois[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Brebières

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Intercommunalité

    Tortequesne était membre de la communauté de communes Osartis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [28], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Osartis Marquion dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1967 Jules Godin
    1967 1977 Léon Waymel[Note 5] Agriculteur
    1977 1980 Jean Fauveaux
    1980 1989 André martin
    1989 2001 Jean Caron
    2001 2014 André Martin Retraité de Stora Enzo
    2014 mai 2020[30] Bernard Mayeux Retraité de Stora Enzo
    mai 2020 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Jean-Paul Pont Ouvrier retraité de Renault Douai[31] - [32]

    Équipements et services publics

    La salle polyvalente du Mont-Bédu est inaugurée le samedi .

    • La salle polyvalente du Mont Bédu.
      La salle polyvalente du Mont Bédu.
    • L'école Léon-Waymel, vue de la rue de Bellonne.
      L'école Léon-Waymel, vue de la rue de Bellonne.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 839 habitants[Note 6], en augmentation de 8,54 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    422469509572567557578584567
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    573629648661674653613591537
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    514487464348387392387401403
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    415489504578719686713716724
    2017 2020 - - - - - - -
    826839-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 422 hommes pour 414 femmes, soit un taux de 50,48 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,0
    3,6
    75-89 ans
    5,6
    14,6
    60-74 ans
    16,2
    19,2
    45-59 ans
    19,6
    25,4
    30-44 ans
    24,7
    12,2
    15-29 ans
    13,2
    24,2
    0-14 ans
    19,8
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le monument aux morts, situé devant la mairie, a perdu,, dans les années 1980 la statue du poilu édifiée à son sommet. Elle est ornée de la croix de guerre 1914-1918 attribuée à la commune de Tortequesne le [38] - [39].
    • Le monument aux morts situé cimetière est érigé en 1928 pour honorer la mémoire des Poilus de Tortequesne morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. Le lundi 19 avril 1928, Fernand Lefebvre, Charles Richard, François Lefebvre et Antoine Dhorme, tous les quatre anciens combattants de la grande guerre, créent le comité de construction du monument. Le 22 avril, une souscription à laquelle répond la quasi-totalité du village, récolte la somme de 1675,50 francs pour l'érection de ce monument. La marbrerie Lefebvre- Hanard de Vitry en Artois et l'entreprise de maçonnerie Norbert Lefranc Fauveaux de Estrées se voient confier les travaux. L'inauguration eut lieu le avec le concours de la municipalité, de la compagnie des sapeurs pompiers de Tortequesne, de la musique municipale de Lécluse, et avec la présence de presque toute la population de Tortequesne[40].
    • L'église actuelle, paroisse Saint-Martin, est bâtie en 1827, aux frais de la commune et grâce à la générosité de madame la marquise de la Rianderie. Partiellement détruite lors des bombardements de 1917, elle fut dotée de son clocher actuel au sortir de la grande guerre. Initialement, le clocher abritait deux cloches. La plus petite des deux est disparue dans les années 1960. Elle fut vendue pour financer les travaux d'électrification de la sonnerie.
    En 1923, la cloche Jeanne Juliette fut érigée dans le clocher et baptisée en présence du curé de la paroisse, Jules Corroyer, et de René Lefebvre, maire de la commune de Tortequenne. Sur la cloche, on peut lire l'inscription suivante : « Je fus baptisée à Tortequenne en 1923 par Jules Corroyer, curé et en présence de René Lefebvre, maire ». « Je me nomme Jeanne Juliette. J'ai pour parrain, Jean Baptiste Pecqueur et pour marraine, Juliette Cayet. La victoire des poilus m’a mise dans ce clocher pour tenir la place d’une sœur morte au Champ d’Honneur. Symbole de la résurrection du village, je veux éternellement chanter la paix pour les vivants et pour les morts ».
    • Les plaques de cocher de Tortequesne : en 1835, à la suite d'une circulaire des préfets et de l'administration des ponts et chaussées, l'ensemble des routes de France est équipé de plaques indicatrices. Ces plaques de fonte étaient situées aux entrées, sorties et carrefours des villes et villages, à une hauteur de 2,30 m pour être visibles des cavaliers et des cochers.
      Ces plaques, devenues rares aujourd'hui, de par les destructions des dernières guerres doivent être préservées et sont propriétés de la commune. Il en subsiste deux à Tortequesne, visibles sur les axes anciennement nommés « chemin de grande communication n°10 » et « chemin de grande communication n°43 ».
    • Le monument aux morts situé au cimetière.
      Le monument aux morts situé au cimetière.
    • Le clocher de l'église
      Le clocher de l'église
    • La cloche baptisée Jeanne-Juliette en 1923.
      La cloche baptisée Jeanne-Juliette en 1923.
    • Le chemin de grande communication no 10.
      Le chemin de grande communication no 10.

    Héraldique

    Blason de Tortequesne Blason
    D'argent à la champagne de sable (alias d'argent) chargée de huit vergettes d'argent (alias de sable), à un chêne tordu arraché de sinople, futé de sable, brochant sur le tout[41].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Le chêne tordu fait référence à l'étymologie du nom de Tortequesne.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. L'école de la commune porte le nom de ce maire.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière de la Sensée (E1560610) » (consulté le )
    3. « ZNIEFF 310007251 - marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « ZNIEFF 310013262 - Marais des Viviers et des Grandes Billes à Lécluse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 371.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. « Alors, Tortequesne ou Tortequenne? : Pourquoi existe-t-il deux orthographes différentes pour désigner cette localité : Tortequesne et Tortequenne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, (lire en ligne), p. 267
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 679b
    18. François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 355
    19. Louis Joseph Harbaville, Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais, 1842, {{|??}}
    20. Le Glay, 1843, II, p. 180
    21. Lettenhove, histoire, I, p. 484, cité par B.M.D, Mn, 1695
    22. B.M.D. Mn 1695 p. 173
    23. B.M.D. Mn 1695 p. 1265
    24. B.M.D. Mn 1695 p. 269
    25. B.M.D. Mn 1695
    26. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    27. Journal officiel du 24 septembre 1920, p. 14066.
    28. « Arrêté préfectoral portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ), p. 10.
    29. Ces données sont issues des archives municipales.
    30. Nathalie Labreigne, « Premier et dernier mandat de maire pour Bernard Mayeux à Tortequesne : En six ans, il a réalisé davantage que ce qu'il avait prévu pour la commune. Mais l'élu veut désormais réserver du temps pour sa famille. En mars, il passera la main », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Tortequesne : le premier adjoint Jean-Pierre Pont se présente aux municipales : Le premier adjoint entend poursuivre le travail qu'il a commencé aux côtés du maire, Bernard Mayeux », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Jean-Pierre Pont élu maire à Tortequesne : Ancien premier adjoint de Bernard Mayeux, Jean-Pierre Pont prend sa succession à la mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tortequesne (62825) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    38. « Tortequesne: le monument aux morts se situe devant la mairie : Initialement surmonté de son célèbre poilu, une tempête survenue dans les années 80, a littéralement déboulonné la vaillante sentinelle du haut de son socle. La statue n’a pas résisté à cette chute fatale. Seule la colonne pyramidale reste identique à l’état d’origine. Elle est ornée de la croix de guerre attribuée à la commune de Tortequesne le 23 septembre 1920 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    39. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    40. source compte rendu écrit par Fernand Lefebvre
    41. « 62825 Tortequesne (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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