AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

LĂ©cluse

Lécluse est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

LĂ©cluse
LĂ©cluse
La mairie.
Blason de LĂ©cluse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Douaisis
Maire
Mandat
Nicole Descamps-Vottier
2020-2026
Code postal 59259
Code commune 59336
DĂ©mographie
Gentilé Léclusien
Population
municipale
1 366 hab. (2020 en augmentation de 0,07 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 275 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 16â€Č 39″ nord, 3° 02â€Č 31″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 75 m
Superficie 4,96 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lécluse
(ville-centre)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Aniche
LĂ©gislatives Dix-septiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
LĂ©cluse
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
LĂ©cluse
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
LĂ©cluse
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
LĂ©cluse
Liens
Site web http://mairie-lecluse.fr

    GĂ©ographie

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes, dont cinq dans le département du Pas-de-Calais :

    Lécluse est presque complÚtement entourée de communes du département du Pas-de-Calais. Elle n'est reliée au Nord que par Hamel au Nord-Est.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 703 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, mise en service en 1954[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[9] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[10], puis Ă  10,9 °C pour 1991-2020[11].

    Zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 5] : le marais des Viviers et des Grandes Billes Ă  LĂ©cluse, d’une superficie de 321 hectares. Ce site se caractĂ©rise par une certaine diversitĂ© de biotopes dans un marais tourbeux[12].

    Urbanisme

    Typologie

    LĂ©cluse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de LĂ©cluse, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 2 communes[16] et 2 198 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (59,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (59,8 %), zones urbanisĂ©es (14,8 %), zones humides intĂ©rieures (13,2 %), forĂȘts (8,5 %), eaux continentales[Note 8] (3,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 21 du rĂ©seau ÉvĂ©ole.

    Histoire

    La localitĂ© Ă©tait appelĂ©e Écluse au XIIe siĂšcle, et Ecluse Castrum au XIIIe siĂšcle.

    Le village existait déjà à l'époque gallo-romaine car vers 1880, les travaux d'agrandissement d'une sucrerie ont mis au jour des vestiges d'habitations romaines.

    Le 8 prairial an 13 (), dans une fouille faite au marais de LĂ©cluse, a Ă©tĂ© retrouvĂ©e dans une couche de tourbe, recouverte d'une couche de terre vĂ©gĂ©tale, un vase antique de terre cuite, de forme Ă©trusque, l'anse Ă©tant cassĂ©e. A la mĂȘme profondeur , a Ă©galement Ă©tĂ© retrouvĂ©e une mĂąchoire de cheval[23].

    Son implantation est due certainement Ă  une lĂ©gĂšre hauteur de terrain entourĂ© pour plus de la moitiĂ© d'eau, de tourbiĂšre et de la SensĂ©e oĂč un moulin Ă  farine existait au XIIe siĂšcle.

    Les fortifications du village et du chùteau fort furent améliorées au début du XIIe siÚcle par Robert 1er le Frison comte de Flandre.

    À la fin du XVIe siĂšcle le chĂąteau Ă©tait dĂ©crit comme ayant une stature trĂšs imposante. Il protĂ©geait l'axe Douai - Bapaume. Il perdit de son importance quand Douai fut annexĂ© par Louis XIV qui fit raser les remparts de LĂ©cluse. Il ne reste aujourd'hui qu'une partie de la motte fĂ©odale ainsi qu'une petite partie des remparts.

    Lécluse possédait une léproserie (leprosi de Sclusa en 1207). Elle fut transformée par la suite en hÎpital, puis en bureau de bienfaisance.

    Le village fut pendant quelques annĂ©es un lieu de villĂ©giatures pour Paul Verlaine, qui sĂ©journait chez sa cousine Élisa Moncomble.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales le , quinze siĂšges sont Ă  pourvoir ; on dĂ©nombre 984 inscrits, dont 686 votants (71,16 %), 12 votes blancs (1,75 %) et 658 suffrages exprimĂ©s (95,92 %). La liste Ensemble, prĂ©parons et vivons l'avenir menĂ©e par Rudy Dillies recueille 272 voix (41,34 %), la liste Continuons plus fort pour LĂ©cluse menĂ©e par la maire sortante Nicole Descamps-Vottier 224 voix (34,04 %) et la liste LĂ©cluse Ă  l'horizon 2026 menĂ©e par l'ancienne maire Isabelle Lepoivre 152 voix (24,62 %). Aucun siĂšge n'est pourvu Ă  l'issue du premier tour[24] - [25].

    Liste des maires

    Maire de1802 Ă  1807 : Saudemont[26] - [27].

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    René Bernard
    Fernand Varlet PCF
    mars 2008 Marc Cambray
    31 mars 2014 Isabelle Lepoivre PCF
    En cours Nicole Descamps-Vottier SE
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 1 366 habitants[Note 9], en augmentation de 0,07 % par rapport Ă  2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8601 3191 4121 5361 7081 6391 6911 6871 672
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6661 7301 7181 7641 7901 8061 6291 6961 702
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6901 6551 6591 2681 3661 4161 3881 3061 426
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 4821 5311 5221 7101 6671 5891 5201 4021 369
    2020 - - - - - - - -
    1 366--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  33,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 26,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 683 hommes pour 692 femmes, soit un taux de 50,33 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,3
    5,0
    75-89 ans
    9,7
    16,4
    60-74 ans
    20,6
    21,8
    45-59 ans
    17,0
    19,4
    30-44 ans
    20,7
    15,4
    15-29 ans
    15,0
    21,2
    0-14 ans
    15,7
    Pyramide des ùges du département du Nord en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Vaast.
    Grotte mariale.
    • La pierre du Diable est un menhir de 3,05 m qui domine la vallĂ©e de la SensĂ©e. Ce menhir mesurait Ă  l'origine environ 5 m de hauteur, mais fut dynamitĂ© par les Allemands en 1918[34]. Une gravure est prĂ©sente, dessinant une silhouette que certains qualifient de nain, ou de gnome.
    • Pierre de la maladrerie
    • Église Saint-Vaast
    • Le monument aux morts, dont le sculpteur est Hippolyte LefĂšbvre, est situĂ© devant la mairie.
    • La chapelle Notre-Dame-de-Lourdes et la chapelle Notre-Dame-de-DĂ©livrance.

    Personnalités liées à la commune

    Maison d'Élisa Moncomble-Dujardin oĂč Paul Verlaine sĂ©journa.
    • Paul Verlaine se rendit en Ă  l'Ă©tĂ© 1862 et 1865 en vacances chez sa cousine Élisa-LĂ©ocadie Moncomble nĂ©e Ă  Fampoux le 8/12/1835 dĂ©cĂ©dĂ©e le Ă  LĂ©cluse Ă  l'Ăąge de 31 ans, fille d'Augustin Moncomble (1798) et de Catherine AdĂ©laĂŻde DehĂ©e (1803-1842). Elle est Ă©levĂ©e par sa tante Élisa-StĂ©phanie-Julie-Joseph StĂ©phaine (1809-1886) Ă©pouse de Nicolas Auguste Verlaine (1798-1865). Élisa Ă©pouse Auguste Dujardin en 1858 et vient habiter Ă  LĂ©cluse oĂč elle dĂ©cĂ©dera en 1867. Sa tombe se situe Ă  l’arriĂšre de l'Ă©glise prĂšs du chƓur (coordonnĂ©es : 50°16'42"N 3°2'16"E).

    HĂ©raldique

    Les armes de LĂ©cluse se blasonnent ainsi : "D'azur Ă  trois Ă©perons d'or, la molette en haut."

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station mĂ©tĂ©ofrance Cambrai-Épinoy - mĂ©tadonnĂ©es », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consultĂ© le )
    8. « Orthodromie entre LĂ©cluse et Épinoy », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    9. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    10. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    11. « Station mĂ©tĂ©orologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    12. « ZNIEFF 310013262 - Marais des Viviers et des Grandes Billes à Lécluse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Lécluse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. « Annuaire statistique du dĂ©partement du Nord. Pour 
 (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consultĂ© le )
    24. « Élections municipales, LĂ©cluse », La Voix du Nord, Ă©dition Douaisis, no 24165,‎ , p. 33.
    25. « Élections municipales 2020 - 1er tour, LĂ©cluse », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
    26. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
    27. « Annuaire statistique Département du Nord Année 1807 », p. 136/ Image 166.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de LĂ©cluse (59336) », (consultĂ© le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).
    34. « LA PIERRE DU DIABLE | Le menhir de LĂ©cluse - Nord DĂ©couverte », Nord DĂ©couverte,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.