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Écourt-Saint-Quentin

Écourt-Saint-Quentin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Écourt-Saint-Quentin
Écourt-Saint-Quentin
Une entrée de la commune.
Blason de Écourt-Saint-Quentin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CA Osartis Marquion
Maire
Mandat
Stéphane Tonelle
2020-2026
Code postal 62860
Code commune 62284
Démographie
Gentilé Écourtois
Population
municipale
1 686 hab. (2020 en augmentation de 0,18 % par rapport à 2014)
Densité 178 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 04″ nord, 3° 04′ 19″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 73 m
Superficie 9,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Écourt-Saint-Quentin
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Écourt-Saint-Quentin
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Écourt-Saint-Quentin
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Écourt-Saint-Quentin
Liens
Site web http://www.ecourt-saint-quentin.fr

    La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 302 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe à 24 km à l'est de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement) et fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Douai.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

    Communes limitrophes d’Écourt-Saint-Quentin
    Lécluse Hamel,
    Arleux
    Palluel
    Récourt Écourt-Saint-Quentin Oisy-le-Verger
    Saudemont Rumaucourt

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par six cours d'eau :

    • la rivière la Sensée, d'une longueur de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Léger et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[1] ;
    • l'Agache, d'une longueur de 11,54 km, qui prend sa source dans la commune d'Inchy-en-Artois et finit sa course dans la commune de Palluel[2] ;
    • la rivière de la Sensée, d'une longueur de 9,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Étaing et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Arleux[3] ;
    • l'Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin, d'une longueur de 6,33 km, qui prend sa source dans la commune de Saudemont et se jette dans l'Agache au niveau de la commune[4] ;
    • le canal Malderrez, d'une longueur de 2,65 km, qui prend sa source dans la commune d'Arleux et se jette dans la Sensée au niveau de la commune[5] ;
    • l'Auberge Rouge, d'une longueur de 0,42 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Sensée au niveau de la commune[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[7].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 698 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Milieux naturels et biodiversité

    Écourt-Saint-Quentin est une halte verte au cœur de la vallée de la Sensée. Elle comprend de nombreux marais pour une surface de 110 ha d'eau incluant les coulants et rivières.

    • Les marais

    Espaces protégés et gérés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8].

    Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés :

    • les mares de saint Oulph, terrain acquis (ou assimilé) par le conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France, d'une superficie de 61 hectares[9] ;
    • le larris de le Mazis, terrain géré (location, convention de gestion) par le conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[10].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : les marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger. C'est un vaste complexe marécageux de 791 hectares constitué d'étangs, de boisements tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales et qui comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles[11].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF de la vallée de la Sensée s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Écourt-Saint-Quentin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,5 %), eaux continentales[Note 7] (10,9 %), zones urbanisées (9 %), zones humides intérieures (5,8 %), forêts (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 19 et D 13 et est située à 10 km, au nord, de la sortie no 8 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[20].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve à 10 km, à l'ouest, de la gare d'Aubigny-au-Bac , située sur la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai, desservie par des trains TER Hauts-de-France[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ahilcurt en 1081 ; Haicort en 1115 ; Hicort en 1186 ; Hailcort en 1125 ; Hailcurth en 1145 ; Hailcurt en 1152 ; Ailcurt en 1167 ; Aicort en 1171 ; Ailcort en 1178 ; Aicurt en 1186 ; Aycourt en 1276 ; Escourt au XIIIe siècle ; Écou-Saint-Quentin en 1559 ; Escou-Saint-Quentin en 1720 ; Aycourt-Saint-Quentin au XVIIIe siècle ; Écourt-le-Long en 1793[22], Ecourt Saint Quentin en 1793 ; Ecourt-Saint-Quentin et Écourt-Saint-Quentin depuis 1801[23].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[23].

    Commune et intercommunalités

    Écourt-Saint-Quentin était membre de la communauté de communes de Marquion, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [24], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Osartis Marquion dont est désormais membre la commune.

    Circonscriptions administratives

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marquion[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bapaume

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 1936 Léon Décaudin LDIV
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 Léon Décaudin LDIV
    Roger Denimal LDIV
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1989 Marc Buissart LDIV Pharmacien
    1989 1995 Marie Mathon[Note 8] LDIV Institutrice et directrice de l'école maternelle jusqu'en 2000[25]
    1995 2014 Edmond Gazel LDIV
    2014 En cours
    (au 7 juillet 2021)
    Stéphane Tonelle LDIV Policier[26] - [27]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    L'école communale.

    La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

    La commune administre une école maternelle et une école élémentaire[29].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[30].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Écourtois[31].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 1 686 habitants[Note 9], en augmentation de 0,18 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5742 0002 0452 0672 0331 8151 8241 8031 804
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8021 8941 9761 9952 0271 9901 8901 9341 859
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8031 8251 7861 3621 3651 3831 4431 4091 422
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 4851 5271 5101 6571 7711 7311 7531 7341 749
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 6831 6851 686------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 811 hommes pour 868 femmes, soit un taux de 51,7 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    6,5
    75-89 ans
    10,6
    19,0
    60-74 ans
    20,8
    22,6
    45-59 ans
    19,2
    18,1
    30-44 ans
    18,4
    16,2
    15-29 ans
    13,4
    17,1
    0-14 ans
    16,4
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église.
      L'église.
    • Le clocher de l'église Saint-Quentin.
      Le clocher de l'église Saint-Quentin.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Écourt-Saint-Quentin Blason
    Parti: au 1er de gueules au buste de saint Quentin d'argent, les épaules percées par deux clous du même, au 2e d'or au rais d'escarboucle de sable percée de gueules[39].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Le premier du parti est au buste du saint patron, Quentin, et le second du parti est aux armes de l'abbaye de Marchiennes.

    Adopté par la municipalité en 1981.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. L'école primaire de la commune portera le nom de cette maire à partir du 1er juillet 2021
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Agache (E1560840) » (consulté le )
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière de la Sensée (E1560610) » (consulté le )
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hirondelle d'Ecourt-St-Quentin (E1560900) » (consulté le )
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal Malderrez (E1560820) » (consulté le )
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - l'Auberge Rouge (E1561150) » (consulté le )
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    9. « Espace protégé FR1507254 - mares de saint Oulph », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Espace protégé FR4506083 - larris de le Mazis », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF 310007251 - marais d'Arleux, de Palluel, de Saudemont, d'Écourt-Saint-Quentin, de Rumaucourt et d'Oisy-le-Verger », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Douai », sur insee.fr (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    20. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    21. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare d'Hesdin », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    22. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. « Arrêté préfectoral portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ), p. 10.
    25. C.L.C., « Écourt-Saint-Quentin : l’école maternelle porte le nom de Marie Mathon : Ouverte en 1977, l’école maternelle de la commune n’avait curieusement jamais été baptisée. Un oubli réparé. Jeudi, elle a reçu le nom de celle qui en fut la première directrice jusqu’en 2000, Marie Mathon, « reconnaissante » de cet honneur. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Écourt-Saint-Quentin : Stéphane Tonelle, nouveau maire, veut « redynamiser le village » : Edmond Gazel, maire sortant qui ne se représentait pas après trois mandats, a rapidement laissé la place au nouveau conseil. Stéphane Tonelle est le nouveau maire de ce village de près de 1 800 habitants », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    27. Julien Lechevestrier, « Écourt-Saint-Quentin (les projets des maires): « le dossier de la vitesse en ville et bientôt une première aire de jeux » : Stéphane Tonelle est maire d’Écourt-Saint-Quentin depuis mars. Cet Écourtois de toujours, policier à Arras dans la vie professionnelle, veut redynamiser son village et renforcer la cohésion sociale », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    28. Thomas Bourgois, « À Écourt-Saint-Quentin, Stéphane Tonelle prend goût à la fonction de maire : Élu d’une courte tête en 2014, le maire d’Écourt-Saint-Quentin, Stéphane Tonelle, briguera un deuxième mandat en mars. Il se dit satisfait de la première expérience de son équipe », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Annuaire des établissements de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
    30. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    31. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écourt-Saint-Quentin (62284) », (consulté le ).
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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    38. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
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