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Saint-Léger (Pas-de-Calais)

Saint-Léger est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Saint-Léger
Saint-Léger (Pas-de-Calais)
La mairie et l'église.
Blason de Saint-Léger
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Sud-Artois
Maire
Mandat
Michel Blondel
2020-2026
Code postal 62128
Code commune 62754
Démographie
Gentilé Saint-Légérois
Population
municipale
495 hab. (2020 en augmentation de 13,01 % par rapport à 2014)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 11′ 13″ nord, 2° 51′ 31″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 117 m
Superficie 7,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bapaume
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Léger
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Saint-Léger
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Saint-Léger
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Saint-Léger

    La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Artois qui regroupe 64 communes et compte 27 232 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    La commune située dans le canton de Croisilles, s'appelle aussi Saint-Léger-les-Croisilles, dans le club des communes avec Saint-Léger[1].

    Une entrée du village.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    Hydrographie

    Le cours de la Sensée à sec à St-Léger en mars 2023.

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    C'est dans la commune que la rivière la Sensée, cours d'eau naturel non navigable de 27,07 km, prend sa source et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[2].

    Paysages

    La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [3]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Léger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,9 %), prairies (6,2 %), forêts (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), zones urbanisées (3,9 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Transport ferroviaire

    De 1880 à 1969, la commune est desservie par une ancienne ligne de chemin de fer, la ligne de Boisleux à Marquion.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sarcinio, Sarcingum (VIIIe siècle) ; Sorcin (XIe siècle) ; Sanctus Leodegarius (1154-1159) ; Saint Legier (1265) ; Saint Ligier (1290)[12].

    Saint-Léger est un hagiotoponyme.

    Histoire

    L'histoire de la commune peut être consultée dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873, en cliquant sur le lien ci-après [13].

    Carte de Cassini

    La carte de Cassini du secteur vers 1750.
    Le château de Saint-Léger avant sa destruction en 1917.

    La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Saint-Léger était une paroisse située dans la vallée de la Sensée, le long du chemin de Cambrai à Bapaume. Le château est représenté à l'est du village. Au nord, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque.

    Avant la Révolution française, Saint-Léger était le siège d'une seigneurie. Par lettres données à Versailles en avril 1759, la terre de Saint-Léger, réunie à celle de Villerval (Willerval?) et Fontaine est érigée en marquisat sous le nom de marquisat de Languedoue du nom du seigneur du lieu. Saint-Léger relève de Borafle, appartenant au marquis de Mouchy. Beaucoup de fiefs sont liés aux terres de Villerval et de Fontaine qui possèdent toute la justice seigneuriale et relèvent du comte d'Oisy[14].

    • Louis Alexandre de Languedoue, seigneur de Saint-Léger par sa femme, Villerval, Fontaine, colonel d'infanterie, ancien commandant d'un bataillon du régiment d'infanterie du roi, chevalier de Saint-Louis, bénéficie en avril 1759, par lettres données à Versailles, du titre de marquis de Languedoue. Son épouse, Marie Reine de la Rosière, bénéficie également du titre. Elle est veuve de Marie Jacques Eustache, marquis d'Aoust, dame de Saint-Léger, Fontaine, Cuinchy-Prévôt, Cuinchy-Baudouin (Cuincy), Lambres, Rocoux, Wouaziers, Fersin, etc. Louis Alexandre a servi 38 ans dans le régiment d'infanterie du roi, y est devenu commandant de bataillon. Il a participé à 33 actions, sièges ou batailles, a été blessé de six coups de fusil et d'un coup de canon. Il appartient à une très ancienne famille noble. Parmi ses ancêtres, figure Jean de Languedoue, son septième aïeul, qui a montré sa valeur à la bataille de Montlhéry, ce qui lui a valu d'être nommé chevalier de Saint-Michel en 1470, etc[14].

    La commune a été le théâtre d'opération de la bataille de Bapaume durant la guerre franco-allemande de 1870.

    Première Guerre mondiale

    Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Saint-Léger et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'au début de 1917. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

    En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 2 km à l'est devant Bullecourt. Avant leur départ, le village est évacué de ses habitants et toutes les constructions (église, mairie, maisons) sont systhématiquement dynamitées, tous les arbres sont coupés, les puits pollués avec du fumier.

    Les troupes britanniques prennent alors possessions des ruines du village le 2 avril 1917. Saint-Léger repassera aux mains des Allemands en mars 1918 lors de l'Offensive du Kaiser jusqu'au , date à laquelle le village sera définitivement repris par les troupes du Commonwealth après de violents combats, attestés par la présence de nombreux cimetières britanniques ou allemands dans le secteur.

    Après l'armistice, les habitants reviennent peu à peu au village. Alors commença une longue période de reconstruction.

    Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la croix de guerre 1914-1918 le [15].

    • Carte postale du village avant 1914.
      Carte postale du village avant 1914.
    • Carte postale du village avant 1914.
      Carte postale du village avant 1914.
    • Carte postale des ruines du village en 1920 : à l'arrière-plan, les ruines de l'église.
      Carte postale des ruines du village en 1920 : à l'arrière-plan, les ruines de l'église.
    • Vue du village en reconstruction en 1920.
      Vue du village en reconstruction en 1920.
    • Vue du village en reconstruction en 1920.
      Vue du village en reconstruction en 1920.
    • Situation de Saint-Léger en 1917 tout près de la ligne Hindenburg.
      Situation de Saint-Léger en 1917 tout près de la ligne Hindenburg.
    • La carte des régions dévastées en 1919 montre que la village est complètement détruit.
      La carte des régions dévastées en 1919 montre que la village est complètement détruit.

    Des pistes d'aviation allemandes ont existé sur le village durant la Seconde Guerre mondiale. 350 hommes des forces de la Luftwaffe occupaient le village à cette époque.

    Politique et administration

    La mairie.
    Une boîte à livres.

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté de communes du Sud-Artois.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton de Bapaume.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Jean-Claude Goethals
    mars 2008 En cours
    (au 5 avril 2022)
    Michel Blondel Architecte
    Réélu pour le mandat 2014-2020[16] - [17] - [18] - [19]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[20] - [21]

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Saint-Légerois[22].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

    En 2020, la commune comptait 495 habitants[Note 4], en augmentation de 13,01 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    481481484559628658669695675
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    687694719697755718766777784
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    769706717437505498504442406
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    445447422413392393410406399
    2014 2019 2020 - - - - - -
    438474495------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 231 hommes pour 231 femmes, soit un taux de 50,00 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3
    90 ou +
    0,4
    3,0
    75-89 ans
    6,4
    14,3
    60-74 ans
    14,0
    20,3
    45-59 ans
    15,7
    24,9
    30-44 ans
    24,2
    15,2
    15-29 ans
    16,5
    21,1
    0-14 ans
    22,9
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts.

    Héraldique

    Les armes de commune se blasonnent ainsi :

    de gueules aux trois têtes de léopard arrachées d'or lampassés d’azur.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Mairie de Saint-Léger-sous-Cholet, « L'association Saint-Léger de France et d'ailleurs » (consulté le ).
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
    3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 344.
    13. « Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais. Tome 2 », sur Gallica, 1873-1883 (consulté le ).
    14. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 90, lire en ligne.
    15. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
    16. Nicolas André, « Bilan des maires – Saint-Léger – Michel Blondel : « Notre régie communale de l’eau, on y tient, n’en déplaise au préfet » : Michel Blondel, architecte, arrive au terme de son premier mandat sans savoir s’il se représentera. Mais l’enthousiasme de celui qui succéda à Jean-Claude Gœthals reste intact. Le premier magistrat affirme notamment son hostilité à la dissolution de la régie communale qui serait englobée dans le SIESA, qui concède son réseau à Véolia », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    17. « Saint-Léger: Michel Blondel reçoit la confiance de son conseil : Maire sortant, Michel Blondel s’était de nouveau présenté aux suffrages des électeurs, à la tête de l’unique liste qui leur a été soumise à l’occasion du premier tour des élections municipales », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    18. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    19. M.-J. A (CLP), « Saint-Léger: Un nouveau lotissement communal et un château d’eau rénové : Michel Blondel, 64 ans, architecte, entame avec enthousiasme son deuxième mandat à la tête de cette commune rurale de 450 habitants. Il poursuit les actions engagées par l’ancien maire. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    22. habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises - Saint-Léger (62128) » (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Léger (62754) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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