Aulnay-sous-Bois
Aulnay-sous-Bois ([o(l).nÉ.su.bwa] ) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Seine-Saint-Denis en rĂ©gion Ăle-de-France, en France mĂ©tropolitaine. Ses habitants sont appelĂ©s Aulnaysiennes et Aulnaysiens.
Aulnay-sous-Bois | |||||
L'hĂŽtel de ville | |||||
Blason |
Logo |
||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Ăle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-Saint-Denis | ||||
Arrondissement | Le Raincy | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Paris Terres d'Envol |
||||
Maire Mandat |
Bruno Beschizza (LR) 2020-2026 |
||||
Code postal | 93600 | ||||
Code commune | 93005 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Aulnaysiens | ||||
Population municipale |
86 485 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5 339 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 56âČ 19âł nord, 2° 29âČ 26âł est | ||||
Altitude | Min. 40 m Max. 78 m |
||||
Superficie | 16,20 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Paris (commune du pĂŽle principal) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Aulnay-sous-Bois (bureau centralisateur) |
||||
LĂ©gislatives | 10e circonscription de la Seine-Saint-Denis | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Saint-Denis
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăle-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.aulnay-sous-bois.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
Aulnay-sous-Bois est distante de 14 km de la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris et de 8 km de l'aĂ©roport Roissy-Charles-de-Gaulle. La commune sâĂ©tire sur une longueur de 6,5 km du nord au sud et sur une largeur variant de 1,4 Ă 4,3 km dâest en ouest, pour une superficie de 1 620 hectares.
La commune est ceinturĂ©e par lâautoroute A3 Ă lâouest, les autoroutes A1 et Francilienne au nord. Le canal de l'Ourcq passe dans son extrĂ©mitĂ© sud-est, jouxtant Livry-Gargan.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Aulnay-sous-Bois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7] - [8].
Structure urbaine
La répartition en zones urbaines est la suivante[9] :
- zones pavillonnaires : 44 % ;
- zones industrielles : 30 % ;
- grands ensembles : 11 % ;
- espaces naturels (parcs) : 15 %.
Quartiers
Le Nord de la ville dâAulnay-sous-Bois est constituĂ© par des grands ensembles (avec notamment les grands ensembles de la Rose-des-Vents aussi appelĂ© la citĂ© des 3000 et les grands ensembles des Milles-Milles), de zones industrielles (CitroĂ«n, Garonor et Parinor) et des parcs (Robert Ballanger, Parc du Sausset).
- Les EmmaĂŒs (appelĂ© aussi CitĂ© de l'Europe)
- Les Ătangs (on distingue les Ătangs-Est ou les NĂ©nuphars et les Ătangs-Ouest).
- Les Merisiers
- La Rose-des-Vents, constitué de plusieurs quartiers dont (d'aprÚs leur dénomination locale) :
- Le Vini
- Les KDF
- Le RBS
- Jupiter
- Les PerriĂšres (quartier pavillonnaire)
- Le Galion
- Edgar Degas
- La Bourdonnais
- La Paul CĂ©zanne
- Tourville
- La PĂ©rouse
- Les Ormes (quartier pavillonnaire)[10]
- Le Vieux Pays
- Chanteloup
- Les Mille-milles
- Ambourget
- Savigny
- Le Gros Saule
- Balagny
- La Garenne
Le centre-ville, quartier du Vieux Pays, est plus ancien, notamment avec son Ă©glise Saint-Sulpice construite au XIIe siĂšcle et sa ferme. Il inclut la Roseraie, Maximilien-Robespierre, le Vieux-Pays, Tour-Eiffel et HĂŽtel-de-Ville.
Le Sud, sĂ©parĂ© par la ligne de chemin de fer, est plus riche et rĂ©sidentiel. Il est constituĂ© de quartiers pavillonnaires et est bordĂ© par le canal de l'Ourcq. Il inclut les quartiers de Chanteloup, du Centre-Gare, de Pont-de-lâUnion et de Nonneville.
La Rose-des-Vents
Alors que se termine la construction du clos Saint-Lazare Ă Stains, lâurbanisation des quartiers nord dâAulnay-sous-Bois commence. L'idĂ©e est de rapprocher l'habitat des usines. C'est sur ces bases que le quartier de la Rose-des-Vents est Ă©difiĂ©, Ă partir de 1969, dans la partie nord du territoire d'Aulnay-sous-Bois. Ces « grands ensembles » furent construits avec pour objectif de loger les employĂ©s d'une nouvelle unitĂ© de production de CitroĂ«n, localisĂ©e elle aussi dans les quartiers Nord.
Les constructions furent menĂ©es tambour battant, selon l'avis de certains personnels de l'OPHLM : « un seul permis de construire, un seul opĂ©rateur, et vas-y que je te construis 3 000 logements sociaux »[11]. Au-delĂ de la Rose-des-Vents, dite aussi la CitĂ© des 3 000, gĂ©rĂ©e par Le Logement français, lâensemble des citĂ©s des quartiers Nord offre 6 500 logements sociaux dont 745 pavillons. 24 000 habitants, soit 30 % de la population aulnaysienne, y sont concentrĂ©s sur 4 % du territoire.
Quarante ans plus tard, ces logements ainsi que le tissu social des quartiers Nord se sont dégradés. En 2003, une convention[12] entre l'ANRU, la municipalité d'Aulnay-sous-Bois et l'OPHLM a permis la mise en place d'un programme de rénovation urbaine qui conclut à la nécessité de procéder à la démolition de 821 logements sociaux situés dans des HLM. Les premiÚres démolitions de tours ont lieu en 2005[13]. Pour autant, le quartier de la Rose-des-Vents n'est pas épargné par les émeutes de novembre 2005[14].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 32 168, alors qu'il Ă©tait de 29 846 en 2014 et de 29 565 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 94,6 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 40,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 56,3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aulnay-sous-Bois en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,1 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 45,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (48,8 % en 2014), contre 38,9 % pour la Seine-Saint-Denis et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].
Axes routiers
La ville est desservie par :
- les autoroutes A1, A3, A104 (la Francilienne) ;
- la route nationale RN 2 ( 3 A104) ;
- les routes départementales RD 115 (route des Petits Ponts), RD 970 (ex-RN 370) et RD 932 (ex-RN 2) et RD 44.
Gare SNCF, tramway
La ville, traversĂ©e par la grande ligne Paris-Soissons-Laon-Hirson, est desservie par la gare d'Aulnay-sous-Bois, arrĂȘt gĂ©nĂ©ral des omnibus et semi-directs du â (Roissy et Mitry-Mory) et du Transilien Paris-CrĂ©py-en-Valois â (correspondance TER Villers-CotterĂȘts/Soissons/Laon) et constitue le terminus de la ligne â. La gare dispose d'un parc relais dont le stationnement est payant.
Depuis novembre 2006, le train classique de banlieue de la ligne des Coquetiers reliant Aulnay-sous-Bois Ă Bondy a Ă©tĂ© remplacĂ© par un tram-train â qui reprend le mĂȘme itinĂ©raire et permet de rejoindre les lignes de â et â. La station Rougement - Chanteloup, situĂ©e sur le territoire de la commune de Sevran, dessert le quartier de Chanteloup. Deux dĂ©branchements sont en projet : le premier vers Clichy-sous-Bois et Montfermeil Ă la hauteur de Gargan ; le second vers Garonor via la Rose-des-Vents et la RD 970 Ă la hauteur de Rougemont-Chanteloup.
Entre septembre 2009 Ă janvier 2011, la gare d'Aulnay-sous-Bois â a fait lâobjet de travaux dâaccessibilitĂ© de tous les quais pour les personnes Ă mobilitĂ© rĂ©duite notamment par lâamĂ©nagement de quatre ascenseurs, la rĂ©habilitation de la gare et des passages souterrains, et la mise en place dâun nouvel Ă©clairage. Le rĂ©amĂ©nagement complet de la gare commencĂ© en janvier 2015 s'est achevĂ© en septembre 2016[15]. La gare d'Aulnay-sous-Bois ââ â est desservie Ă©galement par les lignes de bus 251 du rĂ©seau de bus RATP, 605 et 613 de Transdev TRA, 15, 607, 615, 616, 617, 618, 627, 637 et 702 du rĂ©seau de bus Terres d'Envol et la nuit par la ligne N140 du Noctilien.
La gare de Villepinte â, situĂ©e Ă quelques mĂštres du territoire d'Aulnay-sous-Bois, au cĆur du parc dĂ©partemental du Sausset, donne l'accĂšs Ă l'un des quartiers de la ville, appelĂ© la Rose des Vents. Elle est desservie par les bus : 609, 615, 617 et 642 de Transdev TRA.
à l'horizon 2023, une gare de la ligne 16 du Grand Paris Express est prévue au nord de la commune sur le terre-plein de l'ex RN2. Ses quais seront à une profondeur de 15 mÚtres[16] - [17].
Lignes de bus
La ville est desservie par les lignes 605 et 613 du rĂ©seau de bus TRA, 1, 15, 43, 44, 45, 607, 609, 610, 615, 616, 617, 618, 627, 637 et 702 du rĂ©seau de bus Terres d'Envol, par les lignes 32A et 93 de la sociĂ©tĂ© de transport Courriers de l'Ăle-de-France, par les lignes 247, 251 et 350 du rĂ©seau de bus RATP, par la ligne 23 de la sociĂ©tĂ© de transport Trans Val-d'Oise et, la nuit, par les lignes N42 et N140 du rĂ©seau Noctilien.
De plus, en limite de commune, les lignes 151, 234, 346, 351 et TUB du réseau de bus RATP complÚtent, avantageusement, le systÚme routier.
Station de taxi
Il existe une station de taxi Ă la gare SNCF dâAulnay-sous-Bois.
Transports aériens
Aulnay-sous-Bois est situĂ©e Ă 8 km de lâaĂ©roport Roissy-Charles-de-Gaulle. LâaĂ©roport peut ĂȘtre atteint par le â (4 stations) ou par les autoroutes A1 et A3.
Toponymie
La commune a changé de nom au fil des siÚcles. Ainsi le village d'Aulnay (actuel quartier du Vieux Pays) est mentionné sous les formes suivantes[18] Alniaco (1078-1079), Alnai (1049-1109), Alnetum (1208), Anetum, Auneyum[19], Aunay, Aunais, Anay, Aunoye, Aulnaye, Aulnay-la-Fosse, Aulnay-en-France (1528), Aulnay-lÚs-Bondy (1538) (ou Aulnay-les-Bondies), ou Annayo (1538). La commune est appelée officiellement Aulnay en 1793, Aulnay-lÚs-Bondy en 1801[20] et Aulnay-sous-Bois depuis le [21] - [22].
Les interprĂ©tations de lâorigine du nom de la ville varient autour du mot latin alnetum, qui signifie « endroit plantĂ© dâaulnes », « aulnaie ». Les aulnes auraient Ă©tĂ© fort nombreux au confluent des riviĂšres de la commune : la MorĂ©e, le Sausset. Selon un avis diffĂ©rent, Aulnay doit son nom Ă sa situation dans le pagellus alnetenis, le « pays dâAulnaye ».
LâAulnoye, ou Aunois (les deux se prononçant pareil autrefois, Albert Dauzat soutenait que l'on doit prononcer Aunay et non Aulnay[23]), Ă©tait un des petits pays agricoles de lâĂle-de-France. Il comprenait une quinzaine de villages et de hameaux dissĂ©minĂ©s entre les taillis, les prĂ©s et les bois. Ainsi, le village Ă©tait entourĂ© par la forĂȘt de Bondy qui couvrait la plupart du Nord-Est de Paris.
Histoire
Origine de peuplement : 6000 av. J.-C. (vestiges retrouvĂ©s dans la vallĂ©e du Sausset). Entre les IVe et IIe siĂšcles av. J.-C., des agriculteurs vivaient autour dâune « villa », domaine agricole dâun certain Sabinus : la ferme de Savigny. Deux Ă©carts indĂ©pendants de la cure de Saint-Sulpice, Savigny et Nonneville, sont rattachĂ©s au village actuel.
Le village est chef-lieu paroissial depuis le transfert du titre depuis Savigny, vers 1200[18].
Jusquâau XVe siĂšcle, les seigneurs porteront le nom d'Aulnay. Au seigneur du lieu, Jacques Coitier, Ă la fin du XVe et au dĂ©but du XVIe, succĂšdent ses hĂ©ritiers par son neveu, Jacques Le Clerc, dit Coittier, seigneur d'Aulnay, puis, au XVIIe, ses descendants, dans la famille de Gourgues.
Une demeure seigneuriale existait, le chùteau d'Aulnay sous Bois, reconstruit au XIXe siÚcle par la famille de Gourgues et détruit au début du XXe siÚcle.
Ăpoque contemporaine
La pĂ©riode napolĂ©onienne est marquĂ©e par le creusement du canal de lâOurcq, dont les travaux de creusement dĂ©butent en 1803. La navigation est ouverte entre Paris et Claye en 1813, facilitant les relations avec Paris.
Le registre de délibérations du conseil municipal témoigne le de la premiÚre occupation prussienne du village
Le , est inauguré sur le canal de l'Ourcq un service de bateaux-poste Paris-Meaux. Ce service disparaßt en 1849.
Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, les occupations prussiennes du village se succÚdent. Pendant longtemps, les maisons seront détruites et les champs resteront déserts.
En 1875, la Compagnie des chemins de fer du Nord ouvre la gare d'Aulnay-sous-Bois sur la nouvelle section Paris-Soissons de la ligne de La Plaine Ă Hirson et Anor (frontiĂšre). Lâessor dâAulnay est dĂ» en grande partie Ă cet Ă©vĂ©nement. En 1883, le quartier du Parc commence Ă Ă©merger, au sud, du fragment de la forĂȘt de Bondy.
Dans les annĂ©es qui suivent, la cohabitation entre la communautĂ© rurale du « Vieux-Pays » et la communautĂ©, plus urbaine, du « Parc » est difficile. On parle mĂȘme de couper la ville en deux : Aulnay-les-Bondy pour le Vieux Pays, et Aulnay-sous-Bois pour le Parc. La population dâAulnay passe de 780 habitants en 1885 Ă 1 012 en 1886. En 1896, lâĂ©lection du conseil municipal, formĂ© en majoritĂ© des habitants du Parc, entraĂźne lâessor de toute la communautĂ© aulnaysienne. Une Ă©cole, une poste, des rues, des ponts sont construits dans le Sud. La crĂ©ation de « trains ouvriers » par la compagnie des chemins de fer du Nord permet Ă de nombreux travailleurs d'acquĂ©rir des terrains en lotissement. Les grandes propriĂ©tĂ©s commencent Ă se morceler. Le Parc est vendu en lotissements. TentĂ©s par cette verdure aux portes de Paris, des Parisiens achĂštent des terrains et transforment lâendroit en lieu de villĂ©giature et dâhabitation.
Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Aulnay se dĂ©veloppe par lâaccentuation du trafic ferroviaire et lâinstallation dâindustries. Le 5 janvier 1903, la ville devient Aulnay-sous-Bois.
En septembre 1914, Aulnay est sauvĂ©e de lâoccupation militaire allemande, par la contre-offensive menĂ©e lors de la PremiĂšre bataille de la Marne.
En 1924, la Compagnie des radiateurs sâinstalle, et donne du travail Ă 2 300 ouvriers. Dâautres petites industries mĂ©caniques ou chimiques sâimplantent Ă Aulnay. Entre 1920 et 1931, la plus grande partie des lotissements est rĂ©alisĂ©e. En 1935, la population des lotissements reprĂ©sente environ 40 % de la population aulnaysienne. En 1955, lâimportante zone rurale situĂ©e au nord de la commune commence Ă sâurbaniser ; les grands ensembles de logements collectifs naissent et se dĂ©veloppent. En 1962, le premier groupe dâimmeubles, les Merisiers, est construit.
Les annĂ©es 1969 et 1970 voient se rĂ©aliser la construction dâune zone dâhabitation de 3 000 logements au quartier de la Rose-des-Vents. En 1971, la sociĂ©tĂ© CitroĂ«n implante au nord de la ville sa principale usine de la rĂ©gion parisienne. En 1985, Aulnay est totalement urbanisĂ©e. Ă cette date sâachĂšvent lâextension de la partie Nord ainsi que lâimplantation des zones industrielles. De nombreux Ă©quipements viendront sâajouter dans les quartiers et donneront Ă la ville son visage actuel.
Circonscriptions d'ancien régime
Circonscriptions religieuses sous l'Ancien Régime : Paroisse : Aulnay ⹠Doyenné : ? ⹠Archidiaconé : ? ⹠DiocÚse : ?.
Circonscriptions administratives sous l'Ancien RĂ©gime : Intendance (1789) : Paris âą Ălection (1789) : Paris âą SubdĂ©lĂ©gation : Saint-Denis âą Grenier Ă sel (1789) : ' âą Coutume : ' âą Parlement : Paris âą Bailliage : ? PrĂ©vĂŽtĂ© : Paris âą Gouvernement : ?.
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
- Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[24], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de la Seine-Saint-Denis et à son arrondissement du Raincy aprÚs un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1793 Ă 1922 du canton de Gonesse annĂ©e oĂč la ville devient le chef-lieu du canton d'Aulnay-sous-Bois de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, la ville devient en 1967 le chef-lieu des cantons de Aulnay-sous-Bois-Nord et Aulnay-sous-Bois-Sud[21]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription Ă©lectorale.
- Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton d'Aulnay-sous-Bois.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixiÚme circonscription de Seine-Saint-Denis.
Intercommunalité
- SEAPFA
La ville fait partie du syndicat d'équipement et d'aménagement des Pays de France et de l'Aulnoye (SEAPFA). Celui-ci, à l'origine syndicat intercommunal à vocations multiples créé en 1971, est devenu syndicat mixte à la carte en 1992. Il s'agit, là , d'une longue expérience de coopération intercommunale qui a favorisé la création de la communauté d'agglomération Terres de France, que la commune n'a pas alors souhaité rejoindre.
- MĂ©tropole du Grand Paris et EPT Terres d'Envol
Dans le cadre de la mise en Ćuvre de la volontĂ© gouvernementale de favoriser le dĂ©veloppement du centre de l'agglomĂ©ration parisienne comme pĂŽle mondial est crĂ©Ă©e, le , la mĂ©tropole du Grand Paris (MGP), Ă laquelle la commune a Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e[25].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matiÚre de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées
Aulnay-sous-Bois fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Paris Terres d'Envol, créé par un décret du 11 décembre 2015[26] et qui regroupe les cinq communes adhérant au SEAPFA (dont les trois communes membres de Terres de France) ainsi que les trois communes qui faisaient partie de la communauté d'agglomération de l'aéroport du Bourget.
Tendances politiques et résultats
Pour les échéances électorales de 2007 Aulnay-sous-Bois fait partie des 82 communes[27] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter. Elle les a utilisées pour tous les bureaux de vote depuis les élections européennes de 2004. La municipalité élue en 2008 a décidé de revenir au vote par les bulletins en papier.
Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis[28], la liste UMP menĂ©e par Bruno Beschizza â qui bĂ©nĂ©ficiait de la fusion de la liste du 1er tour UDI-MoDem menĂ©e par Jacques Chaussat â obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©es, avec 14 547 voix (60,70 %, 43 conseillers municipaux Ă©lus), devançant largement la liste menĂ©e par le maire sortant GĂ©rard SĂ©gura PS-PCF-PRG, qui a obtenu 9 417 voix (39,29 %, 10 conseillers municipaux).
Lors de ce scrutin, 43,43 % des Ă©lecteurs se sont abstenus.
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis[29], la liste LR - UDI - SL menée par le maire sortant Bruno Beschizza obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 8 384 voix (59,33 %, 44 conseillers municipaux élus dont 2 métropolitains), devançant largement les listes menées respectivement par[30] :
- Fleury Drieu (PS - EĂLV - PRG - PCF - G·s, 2 590 voix, 18,33 %, 5 conseillers municipaux Ă©lus) ;
- Benjamin Giami (LREM - Agir - PĂ, 2 101 voix, 14,87 %, 4 conseillers municipaux Ă©lus) ;
- trois autres candidats, qui ont obtenu moins de 5 % des voix et n'ont donc pas d'Ă©lus.
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 67,08 % des électeurs se sont abstenus.
Liste des maires
Depuis l'aprĂšs-guerre, onze maires se sont succĂ©dĂ© Ă la tĂȘte de la commune.
Distinctions et labels
La commune est classée au concours des villes et villages fleuris avec quatre fleurs depuis 1995[50] - [51].
Ăquipements et services publics
Enseignement
- 6 crĂšches collectives d'accueil Ă plein temps
- 25 écoles maternelles publiques (2 établissements privés)
- 31 écoles primaires publiques[54] (2 établissements privés)
- 7 collÚges publics (1 établissement privé)
- 2 lycées publics (2 établissements privés)
- Lycée polyvalent régional Voillaume
- Lycée Général et Technologique Jean-Zay
- Ăcole primaire Le Parc.
- CollĂšge Simone Veil en juin 2022
- CollĂšge GĂ©rard Philipe d'Aulnay-Sous-Bois
- Lycée Jean Zay d'Aulnay-Sous-Bois
Santé
Il y a trois établissements de santé à Aulnay-sous-Bois:
- Centre hospitalier Robert-Ballanger : hÎpital intercommunal d'Aulnay-sous-Bois, Villepinte et Sevran (2 240 employés[55])[56].
- HÎpital de gérontologie René-Muret-Bigottini situé à cheval entre Sevran et Aulnay-sous-Bois.
- Clinique d'Aulnay-hÎpital privé de l'Est Parisien.
Ăquipements culturels
- Le thĂ©Ăątre et cinĂ©ma Jacques-PrĂ©vert est un centre culturel polyvalent qui offre une programmation diversifiĂ©e en spectacles vivants, aussi bien pour adultes que jeunes publics. Il peut accueillir 100 000 spectateurs par an, en proposant tout au long de l'annĂ©e: thĂ©Ăątre, danse, chansons, opĂ©raâŠ
C'est aussi un cinéma. Les deux salles (dont la plus grande accueille 700 places) proposent une vingtaine de films par mois.
- Le CAP est un Ă©quipement culturel consacrĂ© aux musiques actuelles et Ă toutes les musiques du monde. C'est un lieu de diffusion avec une salle de plus de 500 places et environ quatre Ă cinq concerts par mois. Il offre aussi un enseignement Ă travers dix sept ateliers de pratique instrumentale tous niveau[57] : percussions, instruments Ă cordes et Ă vent, guitare⊠ainsi que des cours de technique vocale et gospel. Le soutien aux jeunes talents fait aussi partie des objectifs confiĂ©s Ă cet Ă©quipement. Trois studios de rĂ©pĂ©titions et un centre de ressources sont Ă la disposition des musiciens amateurs pour les aider Ă rĂ©aliser leurs projets, obtenir des informations sur les contrats, le statut dâintermittent du spectacle, les adresses des lieux pour jouer⊠Le CAP a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 2001 et avait dĂ©jĂ accueilli 120 000 spectateurs en 2011[58].
- Le conservatoire de musique et de danse à rayonnement départemental (CRD) propose des cours individuels et collectifs aux enfants dÚs l'ùge de 4 ans. Il est proposé au choix : accordéon, alto, basson, clarinette, clavecin, contrebasse, cor, flûte, guitare, harpe, hautbois, piano, percussion, saxophone, trombone, trompette, tuba, violon, violoncelle.
- Le centre de danse du Galion accueille et accompagne les jeunes dans leurs activités artistiques.
Avec trois studios de rĂ©pĂ©titions, des stages et des cours rĂ©guliers, il est reconnu comme centre de ressources pour la pratique amateur en danse en Ăle-de-France. Souhaitant favoriser la danse sous toutes ses formes, il organise des rencontres entre diffĂ©rentes expĂ©riences, expressions, et accompagne la crĂ©ation des jeunes chorĂ©graphes. - LâĂ©cole dâart Claude-Monet est lâune des plus grandes Ă©coles non diplĂŽmantes de France. Elle est ouverte aux enfants et aux adultes dans le cadre de leur temps libre.
Douze professeurs Ă©duquent chaque annĂ©e le regard de prĂšs de 800 apprentis artistes et les initient aux techniques de diffĂ©rentes disciplines artistiques : dessin, peinture, gravure, tapisserie, photographie, cĂ©ramique, modelage, bande dessinĂ©e, infographie ou encore histoire de lâart. Sa mission dâenseignement est complĂ©tĂ©e par la conception, lâorganisation et la prĂ©sentation dâexpositions favorisant la rencontre entre le public et les Ćuvres dâart. - Le CREA, une structure d'Ă©ducation artistique unique en France, est Ă©tabli au thĂ©Ăątre Jacques-PrĂ©vert et en dĂ©marche pour la construction d'un centre dans le Vieux Pays d'Aulnay. Son directeur, Didier Grosjman, et son Ă©quipe, rĂ©alisent de nombreux projets avec les Ă©coles, les collĂšges, des enfants autistes, des Ă©tudiants, des professeurs... Quatre chĆurs "permanents" ont Ă©tĂ© formĂ©s depuis sa crĂ©ation il y a 25 ans : l'Ă©veil, pour les plus jeunes jusqu'Ă 7-8 ans, puis l'avant-scĂšne de 8 Ă 11 ans et enfin, les deux chĆurs "principaux" (les plus emblĂ©matiques, rĂ©alisant le plus de prestations et reprĂ©sentant le plus de crĂ©ations originales), le chĆur de scĂšne des 10-18 ans, qui a notamment jouĂ© Ă l'OpĂ©ra Bastille et l'OpĂ©ra de Vichy, et les CrĂ©a'tures, le chĆur des jeunes adultes. Le chant, la danse et le thĂ©Ăątre sont travaillĂ©s au CREA, enseignĂ©s par des professionnels. Les quatre chĆurs rĂ©ellement, "du CREA" (ou les enfants et les jeunes adultes postulent pour entrer) ne rĂ©alisent pas d'auditions. Il y a donc une philosophie de prise en charge et d'aide Ă l'apprentissage du nouveau membre du chĆur.
- Théùtre et cinéma Jacques-Prévert, avenue Anatole-France, dont la programmation s'étend du spectacle vivant aux films et qui dispose de deux salles dont une de 700 places
- Le CAP : scÚne de musiques actuelles. Salle de concert de 500 places, 3 studios de répétition et des cours de musique
- Conservatoire de musique et de danse à rayonnement départemental (CRD), rue de Sevran
- Ăcole d'art plastique Claude-Monet, rue Aristide-Briand (7 matiĂšres enseignĂ©es : dessin, peinture, gravure, cĂ©ramique, histoire de l'art, photographie et multimĂ©dia.)
- Centre de danse du Galion, galerie Surcouf, prévu pour fermer en 2018[59].
- Cinq bibliothÚques et un médiabus[60]:
- Dumont, boulevard du Général-Galliéni
- Guillaume-Apollinaire, rue Turgot
- Alphonse-Daudet, rue du Hameau
- Jules-Verne, rue du Limousin
- Elsa-Triolet, rue Saturne
- Une bibliothĂšque sonore, rue Roger-Contensin
- Cinéma multiplex de 14 salles UGC Ciné Cité comportant 2 800 fauteuils situé dans le centre commercial O'Parinor.
Ăquipements sportifs
- 1 Centre aquatique "l'Odyssée", inauguré le 10 juillet 2021.
- 8 gymnases
- Stades
- 1 stade-vélodrome
- 5 stades polyvalents
- 2 complexes sportifs
- 3 complexes de tennis
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[61] - [Note 3].
En 2020, la commune comptait 86 485 habitants[Note 4], en augmentation de 5,07 % par rapport Ă 2014 (Seine-Saint-Denis : +5,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Le centre d'analyse stratégique a fait une étude sur la ville dont voici un extrait témoignant d'une mauvaise réputation, pas nécessairement méritée dans tous ses aspects.
« Il serait faux de prĂ©senter Aulnay comme une commune simplement dĂ©favorisĂ©e. Câest une ville qui est composĂ©e, pour partie, de professions libĂ©rales, de cadres moyens et supĂ©rieurs. Câest Ă©galement une ville dotĂ©e de ressources Ă©conomiques importantes ; trois centres Ă©conomiques sây trouvent localisĂ©s : une usine du groupe PSA, un centre du groupe LâOrĂ©al un centre dâactivitĂ©s Ă©conomiques (Garonor), etc. »
Le revenu des mĂ©nages en 2004 selon l'Insee Ă©tait de 14 886 ⏠ce qui situe la ville au niveau moyen national. Le taux de chĂŽmage Ă©tant de 10,5 % en 2006. Toujours selon l'Insee, les mĂ©nages du Nord de la ville ont un revenu moyen situĂ© entre 10 000 et 13 000 euros, alors que les mĂ©nages du Sud gagnent entre 20 000 et 25 000 ⏠par an, et mĂȘme plus que cette somme dans le quartier du Pont de l'Union, soit le revenu des habitants du Raincy ou de Levallois-Perret.
En 2021, Aulnay-sous-Bois était la 52 Úme la plus peuplée de France[63].
RĂ©partition par Ăąge
Sources[9] :
- De 0 Ă 19 ans : 30,8 %
- De 20 Ă 39 ans : 29,1 %
- De 40 Ă 59 ans : 25,2 %
- De 60 Ă 74 ans : 10,3 %
- 75 ans et plus : 4,5 %
Patrimoine culturel et historique
La ville d'Aulnay-Sous-Bois possĂšde un important patrimoine historique et culturel. Elle possĂšde tout d'abord une ancienne ferme nommĂ©e « La ferme du Vieux-Pays » situĂ©e dans le quartier du mĂȘme nom , dont les charpentes en bois datent du XVIIe siĂšcle et qui rappelle l'ancienne activitĂ© agricole de la ville. La ville possĂšde Ă©galement de nombreux lieux de culte dont certains datent de plusieurs siĂšcles comme l'Ă©glise Saint-Sulpice , une Ă©glise paroissiale datant du XIIe siĂšcle. En plus de la ferme du Vieux pays et des divers lieux de culture , la ville compte Ă©galement plusieurs stĂšles , monuments et plaques commĂ©moratives qui rendent hommage Ă diverses personnalitĂ©s historiques (Charles de Gaulle, le gĂ©nĂ©ral Leclerc, Ferdinand Foch , Alphonse Juin ...).
- StĂšle en hommage Ă Charles de Gaulle Ă Aulnay-Sous-Bois
- StÚle rendant hommage au Général Leclerc à Aulnay-Sous-Bois
- StĂšle en hommage Ă Ahmed Merabat , policier mort lors des attentats de janvier 2015
- Statue de la Place de la RĂ©publique Ă Aulnay-Sous-Bois
- Plaque commémorative en hommage à Albert Ballet
- Peinture murale située à Aulnay-Sous-Bois et qui représente la Cathédrale Notre-Dame de Paris avant et durant son incendie
- L'une des fresques murales de la Ville d'Aulnay-Sous-Bois. Celle-ci est située sur la rue du Onze Novembre sur la passerelle.
- Monument commémoratif au Maréchal Juin situé à Aulnay-Sous-Bois
- Monument commémoratif au Maréchal Foch situé à Aulnay-Sous-Bois
La ville possédait également un chùteau nommé « Le chùteau d'Aulnay sous Bois » aujourd'hui disparu.
Manifestations culturelles et festivités
En 1981 et 1982, Aulnay-sous-Bois a été ville-étape des 68e et 69e Tours de France lors de la 10e étape (Le Mans - Aulnay-sous-Bois) pour le premier et lors de la 20e étape pour le second (Sens - Aulnay-sous-Bois).
Chaque hiver une patinoire extérieure (de 600 mÚtres carrés en 2006-2007) est installée à la Ferme du Vieux Pays.
Chaque lundi de Pùques se tient la foire de Printemps qui allie brocante, braderie et vide-grenier. Elle réunit environ 1500 exposants entre le Vieux Pays et la place du Général-Leclerc.
Le thĂ©Ăątre et cinĂ©ma Jacques-PrĂ©vert abrite en mai le festival Les Panoramiques, festival des pratiques artistiques amateurs. Il rĂ©unit pendant une semaine diffĂ©rentes compagnies thĂ©Ăątrales dâenfants, dâadolescents et dâadultes qui prĂ©sentent sur scĂšne leurs crĂ©ations et tous les ans au mois de novembre le festival Aulnay All Blues[64].
DĂ©but juin, a lieu la fĂȘte des villes fleuries et du vĂ©lo au parc Gainville.
Le Festival de musique militaire est programmé le deuxiÚme samedi de juin. Sont conviées des formations de plusieurs pays européens. Le matin, un défilé est organisé dans la ville à partir du parc Dumont suivi d'un concert en plein air au parc Dumont. L'aprÚs-midi, le défilé part de la Ferme du Vieux Pays et le concert a lieu au gymnase Pierre-Scohy.
La FĂȘte du canal de l'Ourcq est organisĂ©e Ă la mi-juin entre le port des Pavillons-sous-Bois et la passerelle des Jardins-Perdus.
La traditionnelle FĂȘte de l'Arbre se dĂ©roule pendant deux jours dĂ©but novembre au parc Dumont. Sont organisĂ©es des expositions et des ateliers pour enfants autour de l'arbre, de la nature et de la faune. Des parcours aventure d'arbre en arbre sont accessibles gratuitement aux petits, enfants et aux adultes.
Le festival de hip-hop, H2O (Hip Hop Organisation), est organisé par le Centre de danse du Galion, en partenariat avec le théùtre et cinéma Jacques-Prévert et la scÚne de musique actuelle Le Cap en décembre. Il réunit depuis plus de 10 ans l'avant-garde de la scÚne hip-hop française.
Le Battle VNR, chaque dernier dimanche de mai, Ă©vĂšnement breakdance hip-hop existant depuis 2002.
La ville accueille en 2012 le championnat de France de boxe[65].
Le festival Les Futuriales se déroule tous les ans dans le parc Dumont depuis 2010. Il a pour thÚme les littératures de l'imaginaire et regroupe plus de 60 auteurs sur une journée[66]. Il est co-organisé par la librairie Folies d'Encre et le réseau des bibliothÚques.
Chaque annĂ©e Ă l'occasion de la fĂȘte de la musique, la ville d'Aulnay-Sous-Bois fait venir des artistes qui se produisent un peu partout dans la ville, notamment sur le boulevard de Strasbourg et dans le quartier de la Rose-des-vents.
Cultes
Lieux de cultes
- Culte catholique :
- Ăglise paroissiale Saint-Sulpice (remontant au XIIe siĂšcle), rue de Sevran.
- Ăglise Saint-Pierre de Nonneville d'Aulnay-sous-Bois, rue de Reims.
- Ăglise Saint-Paul d'Ambourget, rue du 8-Mai-1945.
- Chapelle Saint-Jean d'Aulnay-sous-Bois, galerie Surcouf, quartier de la Rose-des-Vents.
- Chapelle Notre-Dame-de-Compassion du Coudray d'Aulnay-sous-Bois, rue Francis-Créno.
- Ăglise Saint-Joseph (qui propose, notamment Ă NoĂ«l et tous les dimanches Ă 9 h 30, des messes en polonais), construite en 1913, avenue de la Croix-Blanche.
- Culte protestant : temple de l'Ăglise protestante unie de France, Ă l'angle du boulevard de Gourgues et de l'avenue Jeanne d'Arc[67].
- Culte musulman :
- Association culturelle des musulmans de la Rose-des-Vents, rue Auguste-Renoir.
- Association culturelle des musulmans d'Aulnay, rue de l'Esprit.
- Association culturelle des musulmans de Mitry, allée des CyprÚs.
- Culte israélite :
- Synagogue, allée de Clermont-Tonnerre.
- Synagogue, rue Dupuis.
CimetiĂšres
La ville a deux cimetiÚres, situés route de Mitry:
Ăconomie
La ville a eu une bonne croissance du fait que des sociĂ©tĂ©s telle lâOrĂ©al sây sont implantĂ©es. Des inquiĂ©tudes apparaissent tout de mĂȘme du fait du dĂ©part de XĂ©rox France[68] et de PSA[69].
Données statistiques
Aulnay-sous-Bois comporte prÚs de 3 000 entreprises et 405 ont été créées en 2004[70].
Grandes entreprises présentes
Aulnay-sous-Bois a abritĂ© de 1973 Ă 2014, date de sa fermeture, la plus grande entreprise du dĂ©partement, Peugeot - CitroĂ«n Aulnay, qui comptait Ă son maximum de production plus de 5 000 salariĂ©s pour une production dâenviron 400 000 vĂ©hicules par an[71].
- Lâentreprise L'OrĂ©al est Ă©galement situĂ©e sur la commune (une rue et un passage de la ville portent dâailleurs le nom de son fondateur : EugĂšne Schueller), avec une usine (au nord) et un centre de recherche (au sud).
- Le parc logistique de Garonor qui comporte de nombreuses entreprises de fret.
- Le centre commercial rĂ©gional OâParinor (voir la section centres commerciaux, vie commerçante).
- La mairie emploie presque 2 400 agents et constitue, Ă ce titre, lâun des plus gros employeurs de la commune (voir la section Effectif administratif).
Nom | ActivitĂ© | Chiffre dâaffaires | Site Internet |
---|---|---|---|
XEROX-FRANCE (Depuis cette date Xerox France est parti d'Aulnay-sous-Bois[68]) | Equipement de bureau et informatique | 996 565 000 ⏠| http://www.xerox.fr |
DĂPĂTS GAUX PHARMA | EntrepĂŽts pharmaceutiques | 410 951 000 ⏠| |
SOPROREAL (LâORĂAL) | CosmĂ©tiques | 140 200 000 ⏠| http://www.loreal.fr |
XEROX DOCUM. SUPPLIES | Consommables bureautiques | 68 707 000 ⏠| |
POWER CONTROLS-FRANCE (VYNCKIER) | Matériels électriques | 58 888 000 ⏠| |
LOGISTIQUE FRET | Transports | 32 759 000 ⏠| |
GARONOR (AGF) | EntrepÎts | 30 819 000 ⏠| |
PARIS NORD AUTOMOBILES | Concession. auto | 30 265 000 ⏠| |
SOLDIS | RevĂȘtements | 28 956 000 ⏠|
Commerces
La ville dispose du centre commercial régional O'Parinor.
Il existe un supermarché à l'enseigne Intermarché dans la zone d'activité de Chanteloup. Il se tient au moins un marché chaque jour, du mardi au dimanche :
- Le Galion, au cĆur de la Rose-des-Vents, ayant Ă©tĂ© totalement dĂ©moli, les marchĂ©s sont dĂ©placĂ©s sur le site du "Grand Paris" les mardis, vendredis et dimanches
- Au Vieux Pays, les mercredis et samedis
- Sur le Boulevard de Strasbourg et la Route de Bondy, en extérieur, ainsi que dans la halle de la Grande Nef, en intérieur, les mardis, les jeudis et dimanches
Le quartier Ambourget retrouve son marché les mercredis aprÚs-midi. Un nouveau marché est lancé au quartier du Gros-saule (rue du docteur Fleming) les lundis aprÚs-midi.
Culture locale et patrimoine
La ville d'Aulnay-Sous-Bois possĂšde un important patrimoine historique et culturel. La ville possĂšde d'abord de nombreux lieu de culte dont certains datent de plusieurs siĂšcles comme l'Ă©glise Saint-Sulpice, une Ă©glise paroissiale datant du XIIe siĂšcle.
Elle possĂšde Ă©galement une ancienne ferme situĂ©e dans le quartier du vieux pays , dont les charpentes en bois datent du XVIIIe siĂšcle et qui rappellent l'activitĂ© agricole qu'avait Aulnay-Sous-Bois auparavant. La ville possĂšde Ă©galement de nombreuses stĂšles et de nombreux monuments rendant hommage Ă divers personnalitĂ©s historiques (Charles de Gaulle, le gĂ©nĂ©ral Leclerc âŠ) ainsi que de nombreuses fresques murales.
- StÚle en hommage au Général Leclerc à Aulnay-Sous-Bois
- StĂšle en hommage Ă Charles de Gaulle Ă Aulnay-Sous-Bois
- StĂšle en hommage au policier Ahmed Merabet , mort lors des attentats de janvier 2015.
- Mosaïque murale située sur la passerelle rue du Onze Novembre à Aulnay-Sous-Bois
Patrimoine disparu : le chĂąteau d'Aulnay sous Bois.
Parcs
Aulnay comprend 153 hectares dâespaces verts dont voici les principaux :
- Parc départemental du Sausset à cheval sur Aulnay-sous-Bois et Villepinte (200 ha, le second du département)
- Parc communal Robert-Ballanger (29 ha), avec un belvĂ©dĂšre d'oĂč l'on aperçoit la Tour Eiffel et le SacrĂ©-CĆur
- Parc Dumont, avenue Dumont (15 000 m2[73])
- Parc Gainville, parc des Cygnes, rue de Sevran (7 600 m2), contre la « demeure Gainville », plus vieille maison d'Aulnay (date du XVIIe siÚcle).
- Parc Ămile-Zola, boulevard Ămile-Zola (4 400 m2)
- Parc Faure, allée circulaire (9 000 m2)
- Parc Bigottini, avenue de la Croix-Blanche
- Roseraie Honoré-Daumier, avenue du Maréchal-Juin (8 000 m2 et 2 500 rosiers)
- Berges du canal de l'Ourcq
- Serres municipales, rue Auguste-Renoir
Personnalités liées à la commune
Art et lettres
- Paul Ăluard, Ă©crivain et poĂšte, a vĂ©cu Ă Aulnay-sous-Bois de 1903 Ă 1908[75] - [76]. Il allait Ă l'Ă©cole du Parc.
- Jack Harris né Jacques Estevant, compositeur, romancier et poÚte français, 275e Ambassadeur Universel de la Paix, y est né en 1940. Il a fréquenté les écoles suivantes : Duguesclin en 1946, Paul-Bert dÚs 1947, puis Nonneville, et enfin le cours complémentaire industriel Nonneville comme apprenti ajusteur de 1954 à 1957.
- André Laude, poÚte français, a vécu à Aulnay-sous-Bois.
- Stéphane Magnard (1916-2010), peintre, Grand Prix de Rome, a vécu à Aulnay-sous-Bois de 1956 à sa mort. Il enseigna le dessin à l'école du Parc.
- Jules Princet, homme de lettres, crĂ©ateur du ThĂ©Ăątre aux Champs (1906-1914) mĂȘlant acteurs et Aulnaysiens fut maire de 1919 Ă sa mort en 1924.
- Gabriel Robin, peintre français de la Nouvelle Ecole de Paris, installe son atelier à Aulnay en 1931 et y reste jusqu'à sa mort en 1970.
- Louis Roquin (1941-), musicien et plasticien.
- Serge Wellens (1927-2010), poĂšte proche de l'Ăcole de Rochefort, libraire Ă Aulnay. Il anime le "groupe de l'OrphĂ©on" qui organise des soirĂ©es poĂ©sie dans les Ă©coles de la ville.
- Vincent Faucheux (1970-), écrivain jeunesse, qui a vécu à Aulnay de 1972 à 2006.
Cinéma
- Guy Decomble, acteur (1910-1964) y est né. C'est l'instituteur des Quatre cents coups de Truffaut. Il joue aussi le commissaire Ledru dans Bob le flambeur.
- Alice Diop, réalisatrice franco-sénégalaise née à Aulnay-sous-Bois[77] et a grandi aux 3000 jusqu'à 10 ans[78].
- SaĂŻd Taghmaoui, a grandi aux 3000 et est devenu un des rares acteurs français Ă tourner aux Ătats-Unis dans des superproductions.
- Steve Tientcheu, acteur, a grandi aux 3000. Il joue le maire dans le film Les Misérables[79].
Musique
- Gérard Le Vot, musicologue, spécialiste de la musique médiévale. Il est aussi harpiste et chanteur.
- Sophie Makhno, autrice-compositrice-interprĂšte paroliĂšre de nombreux chanteurs comme Pierre Perret, Barbara etc.
- Amine, chanteur de RaĂŻ'n'B, double disque d'or.
- Aya Nakamura, chanteuse de R&B avec deux disques de platine, née au Mali mais ayant grandi à Aulnay-sous-Bois.
- Sefyu, rappeur, disque d'or pour l'album Suis-je le gardien de mon frĂšre ? (2008) et vainqueur d'une des Victoires de la musique en 2009.
- Vald, rappeur, triple disque de platine pour l'album Xeu (2018). A sorti un morceau homonyme Ă la ville et y a grandi[80].
- Alexandre Devoise, animateur et chroniqueur de radio et de télévision né à Paris et ayant grandi à Aulnay-Sous-Bois.
Sciences
- Claude Louis Berthollet (inventeur de l'eau de Javel) a vécu à Aulnay-sous-Bois de 1789 à 1799, dans la «Demeure Gainville».
- Jacques Coitier, premier médecin de Louis XI et président de la Chambre des comptes, il achÚte en 1485 la seigneurie et le chùteau d'Aulnay ainsi que Savigny puis en 1493, la seigneurie de Nonneville. Ses descendants s'y maintiennent jusqu'au XVIIe siÚcle[75].
- Pierre Sinaÿ, chimiste, expert en glucides et oligosaccharides, inventeur de la méthode dite glycosylation à l'imidate.
Sports
- Philippe Aubert, athlÚte spécialiste du 110 mÚtres haies.
- René Fournier, coureur cycliste (de 1955 à 1963).
- Didier Monczuk, footballeur professionnel (jusqu'en 1999).
- Jean-Raymond Toso, coureur cycliste.
- Olivier Dacourt, joueur de football Ă l'Inter de Milan[81].
- El Hadji Ba, joueur de football Ă Sunderland (Angleterre).
- Rabah Benlarbi, ancien joueur de football, entraineur adjoint des Ămirats arabes unis, adjoint de Philippe Troussier, Shenzhen Ruby, Chine.
- Thomas Bouhail, médaillé d'argent en gymnastique au saut de cheval (2008).
- Alou Diarra, footballeur.
- Boubakary Diarra, joueur de football au Torino FC (Italie).
- Nicolas Douchez, joueur de football au RC Lens.
- John Dovi, champion de boxe, catégorie mi-lourds, entraßneur national à la Fédération française de boxe.
- Boukary Dramé, joueur de football à l'Atalanta Bergame.
- Joachim Ekanga-Ehawa, joueur de basketball au Paris Levallois Basket.
- Jean-Louis Mandengué, champion de France de boxe, catégorie mi-lourds.
- Moussa Sissoko, joueur de football Ă Tottenham Hotspur Football Club.
- Teddy Tamgho, champion du monde et recordman du monde en salle de triple saut (2010).
- Ali Traoré, joueur de basket-ball au CSP Limoges.
- Charles Traoré, joueur du FC Nantes depuis août 2018, évolue en équipe nationale du Mali depuis 2016. Est né et a débuté dans le football à Aulnay-sous-Bois.
HĂ©raldique, devise et logotype
|
Les armes de la ville de Aulnay-sous-Bois se blasonnent ainsi : |
---|
La ville a longtemps Ă©tĂ© reprĂ©sentĂ©e par des armoiries, qui permettait Ă tous, mĂȘme Ă ceux qui ne savaient pas lire, dâidentifier aisĂ©ment la ville. Les armoiries ont Ă©voluĂ© au fil du temps. Les armoiries les plus rĂ©centes, qui datent de 1986, sont constituĂ©es dâun Ă©cu jaune or, sur lequel figure un aulne. Cet Ă©cu est entourĂ© par des feuilles de chĂȘne, des feuilles de laurier, et couronnĂ© par des tours.
Actuellement, la ville (ses Ă©quipements et services municipaux, ses documentsâŠ) sont identifiables grĂące Ă un logo, communĂ©ment appelĂ© lâ« arbre dans le vent ». Cet arbre est un aulne, le symbole principal d'Aulnay-sous-Bois.
Annexes
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune d'Aulnay-sous-Bois (93005) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Aulnay-sous-Bois », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Eppeville » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Aulnay-sous-Bois » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Aulnay-sous-Bois - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Aulnay-sous-Bois - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Saint-Denis » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entiÚre » (consulté le ).
Autres sources
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- Aulnay en Chiffres sur le site de la ville - 2008
- (en) « File:QUARTIER PAVILLONNAIRE LES ORMES - ROSE DES VENTS - AULNAY SOUS BOIS - FRANCE METROPOLITAINE - EUROPE DE L'OUEST.png - Wikimedia Commons », sur commons.wikimedia.org (consulté le )
- http://hautpileu.free.fr/hhp/RoseDesVents.html
- http://www.anru.fr/index.php/fre/content/download/740/9238/file/093_Aulnay-sous-Bois_Quartiers-Nord_005_17-12-2004_nc.pdf.
- Batiweb, « Rénovation urbaine : démolition d'une premiÚre tour jeudi à Aulnay-sous-Bois », sur batiweb.com, (consulté le ).
- « Nouvelle nuit d'Ă©meutes â MonAulnay.com - Le blog sur Aulnay-sous-Bois (93600) % », sur MonAulnay.com - Le blog sur Aulnay-sous-Bois (93600), (consultĂ© le ).
- La gare d'Aulnay-sous-Bois se modernise, consulté le 10 mars 2015
- Panneau d'information sur la Gare d'Aulnay - Société du Grand Paris
- [PDF] PrĂ©sentation lors de la rĂ©union publique dâinformation Ă Aulnay-sous-Bois - 9 dĂ©cembre 2013 SociĂ©tĂ© du Grand Paris
- Département de la Seine-Saint-Denis, « village d'Aulnay », sur Atlas de l'architecture et du patrimoine, (consulté le )
- Hippolyte Cocheris, Conservateur de la BibliothĂšque Mazarine, Conseiller gĂ©nĂ©ral du dĂ©partement de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DĂPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE, 1874
- « Aulnay-sous-Bois - Notice Communale », sur cassini.ehess.fr (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Alexandre Arlot, « Il y a 120 ans, pour sâĂ©manciper, Aulnay-sous-Bois gommait de son nom la «fĂącheuse» mention de Bondy : Le 5 janvier 1903, la commune dâAulnay-lĂšs-Bondy, lassĂ©e pour de multiples raisons dâĂȘtre associĂ©e Ă sa voisine, a pris son nom actuel. Le maire, Bruno Beschizza (LR), a placĂ© sa cĂ©rĂ©monie de vĆux sous le signe de cet anniversaire », Le Parisien,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Soitel E., Jadis Aunay-en-France. Hier Aulnay-lez-Bondy. Aulnay-sous-Bois Aujourd'hui, Montfermeil, Notre Contrée, , 72 p., p. 6.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant rĂ©organisation de la rĂ©gion parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204â6209, fac-similĂ© sur LĂ©gifrance.
- Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmÚtre, fixant le siÚge et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- « Décret n° 2015-1660 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmÚtre de l'établissement public territorial dont le siÚge est à Aulnay-sous-Bois », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
- « Bruno Beschizza, lâex-syndicaliste policier qui peut ravir Aulnay Ă la gauche : Dans cette ville de 81 000 habitants, en Seine-Saint-Denis, le candidat UMP a obtenu 41,3 % des suffrages au premier tour », Le Monde,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Quand j'ai Ă©tĂ© parachutĂ© ici, il y a moins d'un an, je savais qu'il ne fallait surtout pas que je sois le gars de l'UMP. Il fallait que je sois âBrunoâ. » C'est pourtant bien rue de Vaugirard, Ă Paris, au siĂšge du parti, qu'a Ă©tĂ© lancĂ©e il y a un an et demi l'« opĂ©ration Beschizza », pour partir Ă la reconquĂȘte d'Aulnay-sous-Bois, perdue par la droite en 2008. Les stratĂšges de l'UMP, en se penchant sur la carte Ă©lectorale de l'Ile-de-France, n'ont pas eu besoin de rĂ©flĂ©chir longtemps pour cocher la troisiĂšme ville de Seine-Saint-Denis (81 000 habitants) parmi leurs objectifs prioritaires ».
- Thomas Poupeau, « Municipales : Ă Aulnay, Bruno Beschizza peut-il perdre ? : Cinq listes affrontent celle du maire-sortant (LR) Ă©lu en 2014 : une liste participative soutenue par tous les partis de gauche, une autre menĂ©e par le militant Hadama TraorĂ©, un reprĂ©sentant LREM, ainsi que Lutte ouvriĂšre et le Parti ouvrier indĂ©pendant (POID) », Le Parisien,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Thomas Poupeau, « Municipales Ă Aulnay : le maire sortant LR Bruno Beschizza rĂ©Ă©lu dans un fauteuil : En raflant presque 60% des voix, lâancien policier a mis ses adversaires loin derriĂšre, la gauche Ă moins de 19% et LREM Ă moins de 15% », Le Parisien,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Liste des maires de Aulnay-sous-Bois
- Nadia TĂ©nine-Michel, « SCOHY Ătienne, Pierre, LĂ©on : NĂ© le 12 avril 1912 Ă Lens (Pas-de-Calais), mort le 19 fĂ©vrier 1964 Ă Paris 20e. ContrĂŽleur technique Ă la SNCF. Militant communiste. Maire d'Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise devenue Seine-Saint-Denis) : 1945 â 1947. », Association Histoire et mĂ©moire ouvriĂšre en Seine-Saint-Denis (consultĂ© le ).
- Gilles Morin, Nadia TĂ©nine-Michel, « HERBAUT Fernand : NĂ© le 24 septembre 1899 Ă Lille (Nord) ; cheminot Ă Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise, Seine-saint-Denis) ; militant responsable socialiste SFIO ; maire dâAulnay-sous-Bois (1947-1959). », Le Maitron en ligne, mis Ă jour le (consultĂ© le ).
- Gilles Morin, Nadia TĂ©nine-Michel, « COURTAT Robert, Ătienne, Edmond : NĂ© le 26 avril 1922 Ă Saint Servan (Ille-et-Vilaine), mort le 28 novembre 1990 Ă Lannion (CĂŽtes-dâArmor) ; rĂ©dacteur au ministĂšre des Finances ; maire socialiste dâAulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise, Seine-Saint-Denis) de 1959 Ă 1964 », Le Maitron en ligne, (consultĂ© le ).
- Nadia TĂ©nine-Michel, « CADOT Maurice, Henri : NĂ© le 5 aoĂ»t 1899 Ă Essigny-le-Petit (Aisne), mort le 3 avril 1986 Ă Chantilly (Oise) ; dessinateur (en 1956), puis chef dâĂ©tudes Ă la SNCF ; militant socialiste ; maire dâAulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise, Seine-Saint-Denis) de juillet 1964 Ă mars 1965. », Le Maitron en ligne, (consultĂ© le ).
- « D'une ville Ă l'autre », Le Monde,â (lire en ligne) « Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise). - Une " liste d'union des rĂ©publicains " conduite par MM. Robert Ballanger, dĂ©putĂ© communiste; Louis Solbes, conseiller gĂ©nĂ©ral, communiste, et Maurice Cadot, maire sortant, S.F.I.O., vient d'ĂȘtre constituĂ©e.
Elle comprend 17 communistes, 8 socialistes, 4 radicaux socialistes et 4 P.S.U.
La section S.F.I.O. d'Aulnay-sous-Bois s'était prononcée à une forte majorité (85 % des votants) contre toute entente avec les communistes ou avec l'U.N.R. Sa minorité a néanmoins noué des pourparlers avec les communistes et finalement constitué avec eux la liste commune dont on vient de lire la composition.
Quant Ă la majoritĂ© de la section elle forme une liste comprenant 12 socialistes, 6 M.R.P., 6 R.G.R., 3 rapatriĂ©s d'AlgĂ©rie et 6 places rĂ©servĂ©es pour des indĂ©pendants ou " apolitiques ". Le maire et le premier adjoint, en cas de succĂšs, seront socialistes ». - « Dans la rĂ©gion parisienne », Le Monde,â (lire en ligne) « Ă Aulnay-sous-Bois, la liste d'union dĂ©mocratique, comprenant 19 communistes, dont M. Louis Solbes, maire sortant et conseiller gĂ©nĂ©ral, 8 socialistes. 6 radicaux et 4 personnalitĂ©s sans Ă©tiquette, sera conduite par M. Robert Ballanger, prĂ©sident du groupe communiste de l'AssemblĂ©e nationale, conseiller municipal.
Le parti de la dĂ©mocratie socialiste, formation issue d'une scission du parti socialiste, a fait de son cĂŽtĂ© savoir qu'il prĂ©senterait une liste qui sera dirigĂ©e par M. Paillasde, conseiller municipal sortant, et le docteur Jean Marty, neveu d'AndrĂ© Marty, ancien dirigeant communiste exclu de ce parti. ». - Nadia TĂ©nine-Michel, « SOLBĂS Louis, Lucien : NĂ© le 27 mars 1924 Ă Corbeny (Aisne), mort le 22 janvier 1987 Ă Villepinte (Seine-Saint-Denis) ; instituteur, puis professeur de collĂšge ; militant du SNI ; militant communiste ; maire dâAulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise devenue Seine-Saint-Denis) de 1965 Ă 1971 ; conseiller gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Oise, puis de Seine-Saint-Denis de 1964 Ă 1979 », Le Maitron en ligne, mis Ă jour le (consultĂ© le ).
- « M. Robert Ballanger (P.C.) renonce Ă son mandat de maire d'Aulnay-sous-Bois », Le Monde,â (lire en ligne).
- Claude Pennetier, Nadia Ténine-Michel, « BALLANGER Robert, Victor, Marcel, François : Né le 2 novembre 1912 à Nantes (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique), mort le 26 janvier 1981 à Sevran (Seine-Saint-Denis) ; employé ; résistant ; membre du comité central (1945-1950, 1959-1981) ; député communiste de Seine-et-Oise, puis de Seine-Saint-Denis (1945-1981), président du groupe parlementaire communiste (1964-1981), conseiller général, conseiller municipal de Livry-Gargan (1953-1959) », Le Maitron en ligne, mis à jour le (consulté le ).
- « M. Pierre Thomas (P.C.) nouveau maire d'Aulnay-sous-Bois », Le Monde,â (lire en ligne).
- Hervé Suaudeau, « Pierre Thomas est mort : Pierre Thomas, l'ancien maire d'Aulnay de 1978 à 1983 est décédé samedi matin à l'ùge de 79 ans suite à une longue maladie. », sur MonAulnay.com, .
- « Abrioux quitte son fauteuil, pas la mairie », Le Parisien, Ă©dition de la Seine-Saint-Denis,â (lire en ligne).
- « Jean-Claude Abrioux a dĂ©missionnĂ© de ses fonctions locales Ă Aulnay-sous-Bois », Le Monde,â (lire en ligne).
- Les Ă©lections municipales de 2008 dâAulnay-sous-Bois ont Ă©tĂ© annulĂ©es le 2 octobre 2008 par le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise en raison de lâapposition dâaffiches dans la nuit prĂ©cĂ©dant le second tour des municipales (« Aulnay-sous-Bois : l'Ă©lection annulĂ©e », sur le site du Figaro, (consultĂ© le )). Un appel ayant Ă©tĂ© formĂ© devant le Conseil dâĂtat, le conseil municipal et la municipalitĂ© Ă©lus en mars 2008 restent en place jusquâĂ la dĂ©cision de cette juridiction (« Aulnay-sous-Bois : l'Ă©lection du maire annulĂ©e », sur le site du Parisien, (consultĂ© le )). Les Ă©lections sont finalement validĂ©es aprĂšs dĂ©cision de la juridiction
- Gwenael Bourdon, « Pour la premiĂšre fois, ils ont endossĂ© l'habit de maire ce week-end : Le bain de foule de Beschizza », Le Parisien, Ă©dition Seine-Saint-Denis,â .
- « Beschizza, l'ancien policier qui a fait basculer Aulnay », Le Parisien, Ă©dition de la Seine-Saint-Denis,â (lire en ligne).
- S.T., « Trois nouveaux Ă©lus au conseil dĂ©partemental du 93 », Le Parisien, Ă©dition de la Seine-Saint-Denis,â (lire en ligne).
- « Résultats municipales 2020 - Aulnay-sous-Bois », sur LCI.
- Aulnaylibre !, « Aulnay-sous-Bois conserve son label 4 fleurs ! », sur Aulnaylibre ! (consulté le )
- Fiche dâAulnay-sous-Bois sur le site des villes et villages fleuris.
- Aulnaylibre !, « Aulnay-sous-Bois ville partenaire de Rotterdam Noord, Saïda, Rufisque et Al Ram », sur Aulnaylibre ! (consulté le )
- « CoopĂ©ration dĂ©centralisĂ©e : SaĂŻdia jumelĂ©e avec Aulnay-sous-Bois », Le Matin,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- A la rentrée 2007-2008 l'école élémentaire Bougainville a été fermée - Le parisien édition 93 du 03/09/2007
- Site officiel de l'HĂŽpital Robert Ballanger
- EntiÚrement situé sur la commune de Sevran hormis le parking ouest
- « Le Cap fĂȘte 10 ans de musique dans la citĂ© », sur leparisien.fr (consultĂ© le ).
- « Le Cap fĂȘte 10 ans de musique dans la citĂ© (Le Parisien | 14 novembre 2011) », sur leparisien.fr (consultĂ© le ).
- « La mairie fait disparaĂźtre le Centre de danse du Galion dĂ©but 2018 (adieu et merci) - MonAulnay.com â Le blog sur Aulnay-sous-Bois (93600) », sur monaulnay.com (consultĂ© le ).
- Le médi@bus d'Aulnay-sous-Bois http://reseaudesbibliotheques.aulnay-sous-bois.fr/medias/medias.aspx?INSTANCE=exploitation&PORTAL_ID=portal_model_instance__le_medi_bus.xml
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Liste des communes de France les plus peuplées
- https://www.lemonde.fr/culture/article/2013/02/11/le-blues-d-aulnay-sous-bois-s-invite-aux-grammy-awards_1830259_3246.html | Le mode.fr du 11 février 2013
- http://www.aulnay-sous-bois.fr/actualites/fiche/championnat-de-france-de-boxe/?cHash=04df934e73db2b582d4549a9ba972065
- Le festival des littératures imaginaires d'Aulnay-sous-Bois http://www.futuriales.com/
- Loup Besmond de Senneville, « Au temple dâAulnay, plusieurs gĂ©nĂ©rations de protestants vivent leur foi ensemble », La Croix,â (lire en ligne).
- [(fr) Le nouveau siÚge social de Xérox France est à Saint-Denis (page consultée le 12 décembre 2007)].
- Denis Cosnard, « PSA vend un premier bout de son usine dâAulnay-sous-Bois », sur lemonde.fr, 10 fĂ©vrier 2015 (consultĂ© le 8 avril 2016).
- Entreprises Ă Aulnay-sous-Bois sur Journaldunet.com
- L'usine PSA d'Aulnay sous influence islamiste ? Un argument qui remonte Ă 1983, liberation.fr, 3 janvier 2017
- Classement des entreprises d'Ăle-de-France du site lentreprise.com (archivĂ© sur Internet Archive)
- Mairie d'Aulnay-sous-bois, « Les parcs et jardins » (consulté le ).
- « Aulnay, terre de champions », sur le site du Parisien, (consulté le ).
- Mairie d'Aulnay-sous-Bois, « Les personnages illustres », sur www.aulnay-sous-bois.fr (consulté le ).
- Departement de la Seine-Saint-Denis - DCPSL - Service du Patrimoine Culturel, « Le Parc (Aulnay-sous-Bois) [005inv903] - L'Atlas de l'architecture et du patrimoine de la Seine-Saint-Denis (partie consacrĂ©e Ă l'Ă©cole Paul Ăluard) », sur www.atlas-patrimoine93.fr (consultĂ© le ).
- « Alice Diop », sur Africultures.com (consulté le ).
- « "Le thĂ©Ăątre français est dramatiquement blanc" ArrĂȘt sur le documentaire "La mort de Danton », sur Arretsurimages.net, (consultĂ© le ).
- Ouest-France, « PODCAST. De la banlieue au ciné, Steve Tientcheu, maire génial du film Les Misérables, force son destin », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- « Les certifications », sur SNEP (consulté le )
- Fiche d'Olivier Dacourt sur le site du Racing Club de Lens
- http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f93005