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Aulnay-sous-Bois

Aulnay-sous-Bois ([o(l).nɛ.su.bwa] ) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Seine-Saint-Denis en rĂ©gion Île-de-France, en France mĂ©tropolitaine. Ses habitants sont appelĂ©s Aulnaysiennes et Aulnaysiens.

Aulnay-sous-Bois
Aulnay-sous-Bois
L'hĂŽtel de ville
Blason de Aulnay-sous-Bois
Blason
Aulnay-sous-Bois
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-Saint-Denis
Arrondissement Le Raincy
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Paris Terres d'Envol
Maire
Mandat
Bruno Beschizza (LR)
2020-2026
Code postal 93600
Code commune 93005
DĂ©mographie
Gentilé Aulnaysiens
Population
municipale
86 485 hab. (2020 en augmentation de 5,07 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5 339 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 56â€Č 19″ nord, 2° 29â€Č 26″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 78 m
Superficie 16,20 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Aulnay-sous-Bois
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 10e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
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Aulnay-sous-Bois
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Aulnay-sous-Bois
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Aulnay-sous-Bois
Liens
Site web http://www.aulnay-sous-bois.fr

    GĂ©ographie

    Aulnay-sous-Bois, en rouge, parmi les communes de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.

    Situation

    Aulnay-sous-Bois est distante de 14 km de la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris et de km de l'aĂ©roport Roissy-Charles-de-Gaulle. La commune s’étire sur une longueur de 6,5 km du nord au sud et sur une largeur variant de 1,4 Ă  4,3 km d’est en ouest, pour une superficie de 1 620 hectares.

    La commune est ceinturĂ©e par l’autoroute A3 Ă  l’ouest, les autoroutes A1 et Francilienne au nord. Le canal de l'Ourcq passe dans son extrĂ©mitĂ© sud-est, jouxtant Livry-Gargan.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Aulnay-sous-Bois
    Gonesse (Val-d’Oise) Gonesse (Val-d’Oise) Villepinte
    Le Blanc-Mesnil Aulnay-sous-Bois Sevran
    Bondy Les Pavillons-sous-Bois Livry-Gargan

    Urbanisme

    Typologie

    Aulnay-sous-Bois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7] - [8].

    Structure urbaine

    La répartition en zones urbaines est la suivante[9] :

    • zones pavillonnaires : 44 % ;
    • zones industrielles : 30 % ;
    • grands ensembles : 11 % ;
    • espaces naturels (parcs) : 15 %.

    Quartiers

    Le Nord de la ville d’Aulnay-sous-Bois est constituĂ© par des grands ensembles (avec notamment les grands ensembles de la Rose-des-Vents aussi appelĂ© la citĂ© des 3000 et les grands ensembles des Milles-Milles), de zones industrielles (CitroĂ«n, Garonor et Parinor) et des parcs (Robert Ballanger, Parc du Sausset).

    • Les EmmaĂŒs (appelĂ© aussi CitĂ© de l'Europe)
    • Les Étangs (on distingue les Étangs-Est ou les NĂ©nuphars et les Étangs-Ouest).
    • Les Merisiers
    • La Rose-des-Vents, constituĂ© de plusieurs quartiers dont (d'aprĂšs leur dĂ©nomination locale) :
      • Le Vini
      • Les KDF
      • Le RBS
      • Jupiter
      • Les PerriĂšres (quartier pavillonnaire)
      • Le Galion
      • Edgar Degas
      • La Bourdonnais
      • La Paul CĂ©zanne
      • Tourville
      • La PĂ©rouse
      • Les Ormes (quartier pavillonnaire)[10]
    • Le Vieux Pays
    • Chanteloup
    • Les Mille-milles
      • Ambourget
      • Savigny
    • Le Gros Saule
    • Balagny
    • La Garenne

    Le centre-ville, quartier du Vieux Pays, est plus ancien, notamment avec son Ă©glise Saint-Sulpice construite au XIIe siĂšcle et sa ferme. Il inclut la Roseraie, Maximilien-Robespierre, le Vieux-Pays, Tour-Eiffel et HĂŽtel-de-Ville.

    Le Sud, sĂ©parĂ© par la ligne de chemin de fer, est plus riche et rĂ©sidentiel. Il est constituĂ© de quartiers pavillonnaires et est bordĂ© par le canal de l'Ourcq. Il inclut les quartiers de Chanteloup, du Centre-Gare, de Pont-de-l’Union et de Nonneville.

    Panorama d'Aulnay-sous-Bois.

    La Rose-des-Vents

    Alors que se termine la construction du clos Saint-Lazare Ă  Stains, l’urbanisation des quartiers nord d’Aulnay-sous-Bois commence. L'idĂ©e est de rapprocher l'habitat des usines. C'est sur ces bases que le quartier de la Rose-des-Vents est Ă©difiĂ©, Ă  partir de 1969, dans la partie nord du territoire d'Aulnay-sous-Bois. Ces « grands ensembles » furent construits avec pour objectif de loger les employĂ©s d'une nouvelle unitĂ© de production de CitroĂ«n, localisĂ©e elle aussi dans les quartiers Nord.

    Les constructions furent menĂ©es tambour battant, selon l'avis de certains personnels de l'OPHLM : « un seul permis de construire, un seul opĂ©rateur, et vas-y que je te construis 3 000 logements sociaux »[11]. Au-delĂ  de la Rose-des-Vents, dite aussi la CitĂ© des 3 000, gĂ©rĂ©e par Le Logement français, l’ensemble des citĂ©s des quartiers Nord offre 6 500 logements sociaux dont 745 pavillons. 24 000 habitants, soit 30 % de la population aulnaysienne, y sont concentrĂ©s sur 4 % du territoire.

    Quarante ans plus tard, ces logements ainsi que le tissu social des quartiers Nord se sont dégradés. En 2003, une convention[12] entre l'ANRU, la municipalité d'Aulnay-sous-Bois et l'OPHLM a permis la mise en place d'un programme de rénovation urbaine qui conclut à la nécessité de procéder à la démolition de 821 logements sociaux situés dans des HLM. Les premiÚres démolitions de tours ont lieu en 2005[13]. Pour autant, le quartier de la Rose-des-Vents n'est pas épargné par les émeutes de novembre 2005[14].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 32 168, alors qu'il Ă©tait de 29 846 en 2014 et de 29 565 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 94,6 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 40,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 56,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aulnay-sous-Bois en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,1 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 45,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (48,8 % en 2014), contre 38,9 % pour la Seine-Saint-Denis et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Aulnay-sous-Bois en 2019.
    Typologie Aulnay-sous-Bois[I 1] Seine-Saint-Denis[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 94,6 92,9 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,1 9,7
    Logements vacants (en %) 4,7 6 8,2

    Axes routiers

    La ville est desservie par :

    Gare SNCF, tramway

    Gare d'Aulnay-Sous-Bois

    La ville, traversĂ©e par la grande ligne Paris-Soissons-Laon-Hirson, est desservie par la gare d'Aulnay-sous-Bois, arrĂȘt gĂ©nĂ©ral des omnibus et semi-directs du (RER) (B) (Roissy et Mitry-Mory) et du Transilien Paris-CrĂ©py-en-Valois Transilien Ligne K du Transilien (correspondance TER Villers-CotterĂȘts/Soissons/Laon) et constitue le terminus de la ligne (T) (4). La gare dispose d'un parc relais dont le stationnement est payant.

    Depuis novembre 2006, le train classique de banlieue de la ligne des Coquetiers reliant Aulnay-sous-Bois Ă  Bondy a Ă©tĂ© remplacĂ© par un tram-train (T) (4) qui reprend le mĂȘme itinĂ©raire et permet de rejoindre les lignes de (RER) (B) et (RER) (E). La station Rougement - Chanteloup, situĂ©e sur le territoire de la commune de Sevran, dessert le quartier de Chanteloup. Deux dĂ©branchements sont en projet : le premier vers Clichy-sous-Bois et Montfermeil Ă  la hauteur de Gargan ; le second vers Garonor via la Rose-des-Vents et la RD 970 Ă  la hauteur de Rougemont-Chanteloup.

    Entre septembre 2009 Ă  janvier 2011, la gare d'Aulnay-sous-Bois (RER) (B) a fait l’objet de travaux d’accessibilitĂ© de tous les quais pour les personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite notamment par l’amĂ©nagement de quatre ascenseurs, la rĂ©habilitation de la gare et des passages souterrains, et la mise en place d’un nouvel Ă©clairage. Le rĂ©amĂ©nagement complet de la gare commencĂ© en janvier 2015 s'est achevĂ© en septembre 2016[15]. La gare d'Aulnay-sous-Bois (RER) (B)Transilien Ligne K du Transilien (T) (4) est desservie Ă©galement par les lignes de bus 251 du rĂ©seau de bus RATP, 605 et 613 de Transdev TRA, 15, 607, 615, 616, 617, 618, 627, 637 et 702 du rĂ©seau de bus Terres d'Envol et la nuit par la ligne N140 du Noctilien.

    La gare de Villepinte (RER) (B), situĂ©e Ă  quelques mĂštres du territoire d'Aulnay-sous-Bois, au cƓur du parc dĂ©partemental du Sausset, donne l'accĂšs Ă  l'un des quartiers de la ville, appelĂ© la Rose des Vents. Elle est desservie par les bus : 609, 615, 617 et 642 de Transdev TRA.

    À l'horizon 2023, une gare de la ligne 16 du Grand Paris Express est prĂ©vue au nord de la commune sur le terre-plein de l'ex RN2. Ses quais seront Ă  une profondeur de 15 mĂštres[16] - [17].

    Lignes de bus

    La ville est desservie par les lignes 605 et 613 du rĂ©seau de bus TRA, 1, 15, 43, 44, 45, 607, 609, 610, 615, 616, 617, 618, 627, 637 et 702 du rĂ©seau de bus Terres d'Envol, par les lignes 32A et 93 de la sociĂ©tĂ© de transport Courriers de l'Île-de-France, par les lignes 247, 251 et 350 du rĂ©seau de bus RATP, par la ligne 23 de la sociĂ©tĂ© de transport Trans Val-d'Oise et, la nuit, par les lignes N42 et N140 du rĂ©seau Noctilien.

    De plus, en limite de commune, les lignes 151, 234, 346, 351 et TUB du réseau de bus RATP complÚtent, avantageusement, le systÚme routier.

    Station de taxi

    Il existe une station de taxi à la gare SNCF d’Aulnay-sous-Bois.

    Transports aériens

    Aulnay-sous-Bois est situĂ©e Ă  km de l’aĂ©roport Roissy-Charles-de-Gaulle. L’aĂ©roport peut ĂȘtre atteint par le (RER) (B) (4 stations) ou par les autoroutes A1 et A3.

    Toponymie

    La commune a changé de nom au fil des siÚcles. Ainsi le village d'Aulnay (actuel quartier du Vieux Pays) est mentionné sous les formes suivantes[18] Alniaco (1078-1079), Alnai (1049-1109), Alnetum (1208), Anetum, Auneyum[19], Aunay, Aunais, Anay, Aunoye, Aulnaye, Aulnay-la-Fosse, Aulnay-en-France (1528), Aulnay-lÚs-Bondy (1538) (ou Aulnay-les-Bondies), ou Annayo (1538). La commune est appelée officiellement Aulnay en 1793, Aulnay-lÚs-Bondy en 1801[20] et Aulnay-sous-Bois depuis le [21] - [22].

    Les interprĂ©tations de l’origine du nom de la ville varient autour du mot latin alnetum, qui signifie « endroit plantĂ© d’aulnes », « aulnaie ». Les aulnes auraient Ă©tĂ© fort nombreux au confluent des riviĂšres de la commune : la MorĂ©e, le Sausset. Selon un avis diffĂ©rent, Aulnay doit son nom Ă  sa situation dans le pagellus alnetenis, le « pays d’Aulnaye ».

    L’Aulnoye, ou Aunois (les deux se prononçant pareil autrefois, Albert Dauzat soutenait que l'on doit prononcer Aunay et non Aulnay[23]), Ă©tait un des petits pays agricoles de l’Île-de-France. Il comprenait une quinzaine de villages et de hameaux dissĂ©minĂ©s entre les taillis, les prĂ©s et les bois. Ainsi, le village Ă©tait entourĂ© par la forĂȘt de Bondy qui couvrait la plupart du Nord-Est de Paris.

    Histoire

    DĂ©tail de la carte de Cassini (1750).
    Aulnay était baignée par un ruisseau, la Morée, busé de longue date et transformé en égout départemental.
    Les ruines du chùteau d'Aulnay, au tout début du XXe siÚcle.

    Origine de peuplement : 6000 av. J.-C. (vestiges retrouvĂ©s dans la vallĂ©e du Sausset). Entre les IVe et IIe siĂšcles av. J.-C., des agriculteurs vivaient autour d’une « villa », domaine agricole d’un certain Sabinus : la ferme de Savigny. Deux Ă©carts indĂ©pendants de la cure de Saint-Sulpice, Savigny et Nonneville, sont rattachĂ©s au village actuel.

    Le village est chef-lieu paroissial depuis le transfert du titre depuis Savigny, vers 1200[18].

    Jusqu’au XVe siĂšcle, les seigneurs porteront le nom d'Aulnay. Au seigneur du lieu, Jacques Coitier, Ă  la fin du XVe et au dĂ©but du XVIe, succĂšdent ses hĂ©ritiers par son neveu, Jacques Le Clerc, dit Coittier, seigneur d'Aulnay, puis, au XVIIe, ses descendants, dans la famille de Gourgues.

    Une demeure seigneuriale existait, le chùteau d'Aulnay sous Bois, reconstruit au XIXe siÚcle par la famille de Gourgues et détruit au début du XXe siÚcle.

    Époque contemporaine

    La pĂ©riode napolĂ©onienne est marquĂ©e par le creusement du canal de l’Ourcq, dont les travaux de creusement dĂ©butent en 1803. La navigation est ouverte entre Paris et Claye en 1813, facilitant les relations avec Paris.

    Le registre de délibérations du conseil municipal témoigne le de la premiÚre occupation prussienne du village

    Le , est inauguré sur le canal de l'Ourcq un service de bateaux-poste Paris-Meaux. Ce service disparaßt en 1849.

    Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, les occupations prussiennes du village se succÚdent. Pendant longtemps, les maisons seront détruites et les champs resteront déserts.

    En 1875, la Compagnie des chemins de fer du Nord ouvre la gare d'Aulnay-sous-Bois sur la nouvelle section Paris-Soissons de la ligne de La Plaine Ă  Hirson et Anor (frontiĂšre). L’essor d’Aulnay est dĂ» en grande partie Ă  cet Ă©vĂ©nement. En 1883, le quartier du Parc commence Ă  Ă©merger, au sud, du fragment de la forĂȘt de Bondy.

    Dans les annĂ©es qui suivent, la cohabitation entre la communautĂ© rurale du « Vieux-Pays » et la communautĂ©, plus urbaine, du « Parc » est difficile. On parle mĂȘme de couper la ville en deux : Aulnay-les-Bondy pour le Vieux Pays, et Aulnay-sous-Bois pour le Parc. La population d’Aulnay passe de 780 habitants en 1885 Ă  1 012 en 1886. En 1896, l’élection du conseil municipal, formĂ© en majoritĂ© des habitants du Parc, entraĂźne l’essor de toute la communautĂ© aulnaysienne. Une Ă©cole, une poste, des rues, des ponts sont construits dans le Sud. La crĂ©ation de « trains ouvriers » par la compagnie des chemins de fer du Nord permet Ă  de nombreux travailleurs d'acquĂ©rir des terrains en lotissement. Les grandes propriĂ©tĂ©s commencent Ă  se morceler. Le Parc est vendu en lotissements. TentĂ©s par cette verdure aux portes de Paris, des Parisiens achĂštent des terrains et transforment l’endroit en lieu de villĂ©giature et d’habitation.

    Au dĂ©but du XXe siĂšcle, Aulnay se dĂ©veloppe par l’accentuation du trafic ferroviaire et l’installation d’industries. Le 5 janvier 1903, la ville devient Aulnay-sous-Bois.

    En septembre 1914, Aulnay est sauvĂ©e de l’occupation militaire allemande, par la contre-offensive menĂ©e lors de la PremiĂšre bataille de la Marne.

    En 1924, la Compagnie des radiateurs s’installe, et donne du travail Ă  2 300 ouvriers. D’autres petites industries mĂ©caniques ou chimiques s’implantent Ă  Aulnay. Entre 1920 et 1931, la plus grande partie des lotissements est rĂ©alisĂ©e. En 1935, la population des lotissements reprĂ©sente environ 40 % de la population aulnaysienne. En 1955, l’importante zone rurale situĂ©e au nord de la commune commence Ă  s’urbaniser ; les grands ensembles de logements collectifs naissent et se dĂ©veloppent. En 1962, le premier groupe d’immeubles, les Merisiers, est construit.

    Les annĂ©es 1969 et 1970 voient se rĂ©aliser la construction d’une zone d’habitation de 3 000 logements au quartier de la Rose-des-Vents. En 1971, la sociĂ©tĂ© CitroĂ«n implante au nord de la ville sa principale usine de la rĂ©gion parisienne. En 1985, Aulnay est totalement urbanisĂ©e. À cette date s’achĂšvent l’extension de la partie Nord ainsi que l’implantation des zones industrielles. De nombreux Ă©quipements viendront s’ajouter dans les quartiers et donneront Ă  la ville son visage actuel.

    Circonscriptions d'ancien régime

    Circonscriptions religieuses sous l'Ancien RĂ©gime : Paroisse : Aulnay ‱ DoyennĂ© : ? ‱ ArchidiaconĂ© : ? ‱ DiocĂšse : ?.

    Circonscriptions administratives sous l'Ancien RĂ©gime : Intendance (1789) : Paris ‱ Élection (1789) : Paris ‱ SubdĂ©lĂ©gation : Saint-Denis ‱ Grenier Ă  sel (1789) : ' ‱ Coutume : ' ‱ Parlement : Paris ‱ Bailliage : ? PrĂ©vĂŽtĂ© : Paris ‱ Gouvernement : ?.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[24], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de la Seine-Saint-Denis et à son arrondissement du Raincy aprÚs un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1793 Ă  1922 du canton de Gonesse annĂ©e oĂč la ville devient le chef-lieu du canton d'Aulnay-sous-Bois de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, la ville devient en 1967 le chef-lieu des cantons de Aulnay-sous-Bois-Nord et Aulnay-sous-Bois-Sud[21]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription Ă©lectorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton d'Aulnay-sous-Bois.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixiÚme circonscription de Seine-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    SEAPFA

    La ville fait partie du syndicat d'équipement et d'aménagement des Pays de France et de l'Aulnoye (SEAPFA). Celui-ci, à l'origine syndicat intercommunal à vocations multiples créé en 1971, est devenu syndicat mixte à la carte en 1992. Il s'agit, là, d'une longue expérience de coopération intercommunale qui a favorisé la création de la communauté d'agglomération Terres de France, que la commune n'a pas alors souhaité rejoindre.

    MĂ©tropole du Grand Paris et EPT Terres d'Envol

    Dans le cadre de la mise en Ɠuvre de la volontĂ© gouvernementale de favoriser le dĂ©veloppement du centre de l'agglomĂ©ration parisienne comme pĂŽle mondial est crĂ©Ă©e, le , la mĂ©tropole du Grand Paris (MGP), Ă  laquelle la commune a Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e[25].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matiÚre de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

    Aulnay-sous-Bois fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Paris Terres d'Envol, créé par un décret du 11 décembre 2015[26] et qui regroupe les cinq communes adhérant au SEAPFA (dont les trois communes membres de Terres de France) ainsi que les trois communes qui faisaient partie de la communauté d'agglomération de l'aéroport du Bourget.

    Tendances politiques et résultats

    Pour les Ă©chĂ©ances Ă©lectorales de 2007 Aulnay-sous-Bois fait partie des 82 communes[27] de plus de 3 500 habitants ayant utilisĂ© les machines Ă  voter. Elle les a utilisĂ©es pour tous les bureaux de vote depuis les Ă©lections europĂ©ennes de 2004. La municipalitĂ© Ă©lue en 2008 a dĂ©cidĂ© de revenir au vote par les bulletins en papier.

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis[28], la liste UMP menĂ©e par Bruno Beschizza — qui bĂ©nĂ©ficiait de la fusion de la liste du 1er tour UDI-MoDem menĂ©e par Jacques Chaussat — obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©es, avec 14 547 voix (60,70 %, 43 conseillers municipaux Ă©lus), devançant largement la liste menĂ©e par le maire sortant GĂ©rard SĂ©gura PS-PCF-PRG, qui a obtenu 9 417 voix (39,29 %, 10 conseillers municipaux).
    Lors de ce scrutin, 43,43 % des Ă©lecteurs se sont abstenus.

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis[29], la liste LR - UDI - SL menĂ©e par le maire sortant Bruno Beschizza obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s avec 8 384 voix (59,33 %, 44 conseillers municipaux Ă©lus dont 2 mĂ©tropolitains), devançant largement les listes menĂ©es respectivement par[30] :
    - Fleury Drieu (PS - EÉLV - PRG - PCF - G·s, 2 590 voix, 18,33 %, 5 conseillers municipaux Ă©lus) ;
    - Benjamin Giami (LREM - Agir - PÉ, 2 101 voix, 14,87 %, 4 conseillers municipaux Ă©lus) ;
    - trois autres candidats, qui ont obtenu moins de 5 % des voix et n'ont donc pas d'Ă©lus.
    Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 67,08 % des électeurs se sont abstenus.

    Liste des maires

    Depuis l'aprĂšs-guerre, onze maires se sont succĂ©dĂ© Ă  la tĂȘte de la commune.

    Liste des maires depuis 1945[31]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mai 1945 octobre 1947 Pierre Scohy[32] PCF ContrĂŽleur technique SNCF
    octobre 1947 mars 1959 Fernand Herbaut[33] SFIO Employé SNCF
    mars 1959 5 juin 1964 Robert Courtat[34] SFIO Employé au ministÚre des Finances
    DĂ©missionnaire
    5 juillet 1964 mars 1965 Maurice Cadot[35] SFIO Dessinateur puis chef d’études SNCF
    mars 1965[36] mars 1971[37] Louis SolbĂšs[38] PCF Instituteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral d'Aulnay-sous-Bois-Nord (1964 → 1967)
    mars 1971 21 mai 1978[39] Robert Ballanger[40] PCF Employé du ministÚre des Colonies, résistant
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Oise (1945 → 1958)
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Oise (9e circ.) (1958 → 1967)
    DĂ©putĂ© de la Seine-Saint-Denis (8e circ.) (1967 → 1981)
    DĂ©missionnaire
    21 mai 1978[41] 14 septembre 1983 Pierre Thomas[42] PCF Technicien, dessinateur-projeteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral d'Aulnay-sous-Bois-Sud (1976 → 1982)
    Mandat écourté suite à l'annulation du scrutin de mars 1983
    13 novembre 1983 9 mars 2003[43] - [44] Jean-Claude Abrioux RPR puis
    UMP
    Chef de groupe SNCF
    DĂ©putĂ© de la Seine-Saint-Denis (10e circ.) (1993 → 2007)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral d'Aulnay-sous-Bois-Sud (1982 → 1993)
    DĂ©missionnaire
    9 mars 2003 17 mars 2008 GĂ©rard Gaudron UMP GĂ©ologue
    DĂ©putĂ© de la Seine-Saint-Denis (10e circ.) (2007 → 2012)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral d'Aulnay-sous-Bois-Nord (1985 → 1998)
    17 mars 2008[45] 5 avril 2014 GĂ©rard SĂ©gura PS Instituteur
    Conseiller gĂ©nĂ©ral d'Aulnay-sous-Bois-Nord (1998 → 2015)
    5 avril 2014[46] En cours
    (au 15 avril 2021)
    Bruno Beschizza[47] UMP →
    LR
    Syndicaliste policier puis sous-préfet
    Conseiller rĂ©gional d'Île-de-France (2010 → )
    Conseiller dĂ©partemental d'Aulnay-sous-Bois (2015 → 2016[48])
    PrĂ©sident de l'EPT Paris Terres d'Envol (2016 →)
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[49]

    Distinctions et labels

    La commune est classée au concours des villes et villages fleuris avec quatre fleurs depuis 1995[50] - [51].

    Jumelages

    La ville d'Aulnay-sous-Bois est jumelée avec[52] :

    Équipements et services publics

    Enseignement

    • 6 crĂšches collectives d'accueil Ă  plein temps
    • 25 Ă©coles maternelles publiques (2 Ă©tablissements privĂ©s)
    • 31 Ă©coles primaires publiques[54] (2 Ă©tablissements privĂ©s)
    • 7 collĂšges publics (1 Ă©tablissement privĂ©)
    • 2 lycĂ©es publics (2 Ă©tablissements privĂ©s)
      • LycĂ©e polyvalent rĂ©gional Voillaume
      • LycĂ©e GĂ©nĂ©ral et Technologique Jean-Zay

    Santé

    HĂŽpital Robert-Ballanger.

    Il y a trois établissements de santé à Aulnay-sous-Bois:

    Équipements culturels

    Le conservatoire de musique.
    Le théùtre et cinéma Jacques-Prévert.
    • Le thĂ©Ăątre et cinĂ©ma Jacques-PrĂ©vert est un centre culturel polyvalent qui offre une programmation diversifiĂ©e en spectacles vivants, aussi bien pour adultes que jeunes publics. Il peut accueillir 100 000 spectateurs par an, en proposant tout au long de l'annĂ©e: thĂ©Ăątre, danse, chansons, opĂ©ra


    C'est aussi un cinéma. Les deux salles (dont la plus grande accueille 700 places) proposent une vingtaine de films par mois.

    • Le CAP est un Ă©quipement culturel consacrĂ© aux musiques actuelles et Ă  toutes les musiques du monde. C'est un lieu de diffusion avec une salle de plus de 500 places et environ quatre Ă  cinq concerts par mois. Il offre aussi un enseignement Ă  travers dix sept ateliers de pratique instrumentale tous niveau[57] : percussions, instruments Ă  cordes et Ă  vent, guitare
 ainsi que des cours de technique vocale et gospel. Le soutien aux jeunes talents fait aussi partie des objectifs confiĂ©s Ă  cet Ă©quipement. Trois studios de rĂ©pĂ©titions et un centre de ressources sont Ă  la disposition des musiciens amateurs pour les aider Ă  rĂ©aliser leurs projets, obtenir des informations sur les contrats, le statut d’intermittent du spectacle, les adresses des lieux pour jouer
 Le CAP a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 2001 et avait dĂ©jĂ  accueilli 120 000 spectateurs en 2011[58].
    • Le conservatoire de musique et de danse Ă  rayonnement dĂ©partemental (CRD) propose des cours individuels et collectifs aux enfants dĂšs l'Ăąge de 4 ans. Il est proposĂ© au choix : accordĂ©on, alto, basson, clarinette, clavecin, contrebasse, cor, flĂ»te, guitare, harpe, hautbois, piano, percussion, saxophone, trombone, trompette, tuba, violon, violoncelle.
    • Le centre de danse du Galion accueille et accompagne les jeunes dans leurs activitĂ©s artistiques.
      Avec trois studios de rĂ©pĂ©titions, des stages et des cours rĂ©guliers, il est reconnu comme centre de ressources pour la pratique amateur en danse en Île-de-France. Souhaitant favoriser la danse sous toutes ses formes, il organise des rencontres entre diffĂ©rentes expĂ©riences, expressions, et accompagne la crĂ©ation des jeunes chorĂ©graphes.
    • L’école d’art Claude-Monet est l’une des plus grandes Ă©coles non diplĂŽmantes de France. Elle est ouverte aux enfants et aux adultes dans le cadre de leur temps libre.
      Douze professeurs Ă©duquent chaque annĂ©e le regard de prĂšs de 800 apprentis artistes et les initient aux techniques de diffĂ©rentes disciplines artistiques : dessin, peinture, gravure, tapisserie, photographie, cĂ©ramique, modelage, bande dessinĂ©e, infographie ou encore histoire de l’art. Sa mission d’enseignement est complĂ©tĂ©e par la conception, l’organisation et la prĂ©sentation d’expositions favorisant la rencontre entre le public et les Ɠuvres d’art.
    • Le CREA, une structure d'Ă©ducation artistique unique en France, est Ă©tabli au thĂ©Ăątre Jacques-PrĂ©vert et en dĂ©marche pour la construction d'un centre dans le Vieux Pays d'Aulnay. Son directeur, Didier Grosjman, et son Ă©quipe, rĂ©alisent de nombreux projets avec les Ă©coles, les collĂšges, des enfants autistes, des Ă©tudiants, des professeurs... Quatre chƓurs "permanents" ont Ă©tĂ© formĂ©s depuis sa crĂ©ation il y a 25 ans : l'Ă©veil, pour les plus jeunes jusqu'Ă  7-8 ans, puis l'avant-scĂšne de 8 Ă  11 ans et enfin, les deux chƓurs "principaux" (les plus emblĂ©matiques, rĂ©alisant le plus de prestations et reprĂ©sentant le plus de crĂ©ations originales), le chƓur de scĂšne des 10-18 ans, qui a notamment jouĂ© Ă  l'OpĂ©ra Bastille et l'OpĂ©ra de Vichy, et les CrĂ©a'tures, le chƓur des jeunes adultes. Le chant, la danse et le thĂ©Ăątre sont travaillĂ©s au CREA, enseignĂ©s par des professionnels. Les quatre chƓurs rĂ©ellement, "du CREA" (ou les enfants et les jeunes adultes postulent pour entrer) ne rĂ©alisent pas d'auditions. Il y a donc une philosophie de prise en charge et d'aide Ă  l'apprentissage du nouveau membre du chƓur.
    • ThĂ©Ăątre et cinĂ©ma Jacques-PrĂ©vert, avenue Anatole-France, dont la programmation s'Ă©tend du spectacle vivant aux films et qui dispose de deux salles dont une de 700 places
    • Le CAP : scĂšne de musiques actuelles. Salle de concert de 500 places, 3 studios de rĂ©pĂ©tition et des cours de musique
    • Conservatoire de musique et de danse Ă  rayonnement dĂ©partemental (CRD), rue de Sevran
    • École d'art plastique Claude-Monet, rue Aristide-Briand (7 matiĂšres enseignĂ©es : dessin, peinture, gravure, cĂ©ramique, histoire de l'art, photographie et multimĂ©dia.)
    • Centre de danse du Galion, galerie Surcouf, prĂ©vu pour fermer en 2018[59].
    • Cinq bibliothĂšques et un mĂ©diabus[60]:
      • Dumont, boulevard du GĂ©nĂ©ral-GalliĂ©ni
      • Guillaume-Apollinaire, rue Turgot
      • Alphonse-Daudet, rue du Hameau
      • Jules-Verne, rue du Limousin
      • Elsa-Triolet, rue Saturne
    • Une bibliothĂšque sonore, rue Roger-Contensin
    • CinĂ©ma multiplex de 14 salles UGC CinĂ© CitĂ© comportant 2 800 fauteuils situĂ© dans le centre commercial O'Parinor.

    Équipements sportifs

    • 1 Centre aquatique "l'OdyssĂ©e", inaugurĂ© le 10 juillet 2021.
    Centre nautique L'Odyssée à Aulnay-Sous-Bois en 2022
    • 8 gymnases
    • Stades
      • 1 stade-vĂ©lodrome
      • 5 stades polyvalents
      • 2 complexes sportifs
    • 3 complexes de tennis
    Le stade vélodrome en 2009.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[61] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 86 485 habitants[Note 4], en augmentation de 5,07 % par rapport Ă  2014 (Seine-Saint-Denis : +5,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    580536563513577584611622637
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6466466806277657801 0121 3061 878
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 8294 4177 14111 92821 63631 42631 76332 35638 534
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    47 50761 52178 13775 99682 31480 02181 60081 88084 662
    2020 - - - - - - - -
    86 485--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le centre d'analyse stratégique a fait une étude sur la ville dont voici un extrait témoignant d'une mauvaise réputation, pas nécessairement méritée dans tous ses aspects.

    « Il serait faux de prĂ©senter Aulnay comme une commune simplement dĂ©favorisĂ©e. C’est une ville qui est composĂ©e, pour partie, de professions libĂ©rales, de cadres moyens et supĂ©rieurs. C’est Ă©galement une ville dotĂ©e de ressources Ă©conomiques importantes ; trois centres Ă©conomiques s’y trouvent localisĂ©s : une usine du groupe PSA, un centre du groupe L’OrĂ©al un centre d’activitĂ©s Ă©conomiques (Garonor), etc. »

    Le revenu des mĂ©nages en 2004 selon l'Insee Ă©tait de 14 886 â‚Ź ce qui situe la ville au niveau moyen national. Le taux de chĂŽmage Ă©tant de 10,5 % en 2006. Toujours selon l'Insee, les mĂ©nages du Nord de la ville ont un revenu moyen situĂ© entre 10 000 et 13 000 euros, alors que les mĂ©nages du Sud gagnent entre 20 000 et 25 000 â‚Ź par an, et mĂȘme plus que cette somme dans le quartier du Pont de l'Union, soit le revenu des habitants du Raincy ou de Levallois-Perret.

    En 2021, Aulnay-sous-Bois était la 52 Úme la plus peuplée de France[63].

    RĂ©partition par Ăąge

    Sources[9] :

    • De 0 Ă  19 ans : 30,8 %
    • De 20 Ă  39 ans : 29,1 %
    • De 40 Ă  59 ans : 25,2 %
    • De 60 Ă  74 ans : 10,3 %
    • 75 ans et plus : 4,5 %

    Patrimoine culturel et historique

    La ville d'Aulnay-Sous-Bois possĂšde un important patrimoine historique et culturel. Elle possĂšde tout d'abord une ancienne ferme nommĂ©e « La ferme du Vieux-Pays » situĂ©e dans le quartier du mĂȘme nom , dont les charpentes en bois datent du XVIIe siĂšcle et qui rappelle l'ancienne activitĂ© agricole de la ville. La ville possĂšde Ă©galement de nombreux lieux de culte dont certains datent de plusieurs siĂšcles comme l'Ă©glise Saint-Sulpice , une Ă©glise paroissiale datant du XIIe siĂšcle. En plus de la ferme du Vieux pays et des divers lieux de culture , la ville compte Ă©galement plusieurs stĂšles , monuments et plaques commĂ©moratives qui rendent hommage Ă  diverses personnalitĂ©s historiques (Charles de Gaulle, le gĂ©nĂ©ral Leclerc, Ferdinand Foch , Alphonse Juin ...).

    La ville possédait également un chùteau nommé « Le chùteau d'Aulnay sous Bois » aujourd'hui disparu.

    Manifestations culturelles et festivités

    Peut-ĂȘtre un prĂ©curseur de la FĂȘte du Canal de l'Ourcq (Carte postale du dĂ©but du XXe siĂšcle.

    En 1981 et 1982, Aulnay-sous-Bois a été ville-étape des 68e et 69e Tours de France lors de la 10e étape (Le Mans - Aulnay-sous-Bois) pour le premier et lors de la 20e étape pour le second (Sens - Aulnay-sous-Bois).

    Chaque hiver une patinoire extĂ©rieure (de 600 mĂštres carrĂ©s en 2006-2007) est installĂ©e Ă  la Ferme du Vieux Pays.

    Chaque lundi de Pùques se tient la foire de Printemps qui allie brocante, braderie et vide-grenier. Elle réunit environ 1500 exposants entre le Vieux Pays et la place du Général-Leclerc.

    Le thĂ©Ăątre et cinĂ©ma Jacques-PrĂ©vert abrite en mai le festival Les Panoramiques, festival des pratiques artistiques amateurs. Il rĂ©unit pendant une semaine diffĂ©rentes compagnies thĂ©Ăątrales d’enfants, d’adolescents et d’adultes qui prĂ©sentent sur scĂšne leurs crĂ©ations et tous les ans au mois de novembre le festival Aulnay All Blues[64].

    DĂ©but juin, a lieu la fĂȘte des villes fleuries et du vĂ©lo au parc Gainville.

    Le Festival de musique militaire est programmé le deuxiÚme samedi de juin. Sont conviées des formations de plusieurs pays européens. Le matin, un défilé est organisé dans la ville à partir du parc Dumont suivi d'un concert en plein air au parc Dumont. L'aprÚs-midi, le défilé part de la Ferme du Vieux Pays et le concert a lieu au gymnase Pierre-Scohy.

    La FĂȘte du canal de l'Ourcq est organisĂ©e Ă  la mi-juin entre le port des Pavillons-sous-Bois et la passerelle des Jardins-Perdus.

    Zaho et Chico and the Gypsies Ă  la fĂȘte de la musique 2022 Ă  Aulnay-Sous-Bois


    Gilbert MontagnĂ© Ă  la fĂȘte de la musique 2023 Ă  Aulnay-Sous-Bois


    La traditionnelle FĂȘte de l'Arbre se dĂ©roule pendant deux jours dĂ©but novembre au parc Dumont. Sont organisĂ©es des expositions et des ateliers pour enfants autour de l'arbre, de la nature et de la faune. Des parcours aventure d'arbre en arbre sont accessibles gratuitement aux petits, enfants et aux adultes.

    Le festival de hip-hop, H2O (Hip Hop Organisation), est organisé par le Centre de danse du Galion, en partenariat avec le théùtre et cinéma Jacques-Prévert et la scÚne de musique actuelle Le Cap en décembre. Il réunit depuis plus de 10 ans l'avant-garde de la scÚne hip-hop française.

    Le Battle VNR, chaque dernier dimanche de mai, Ă©vĂšnement breakdance hip-hop existant depuis 2002.

    La ville accueille en 2012 le championnat de France de boxe[65].

    Le festival Les Futuriales se déroule tous les ans dans le parc Dumont depuis 2010. Il a pour thÚme les littératures de l'imaginaire et regroupe plus de 60 auteurs sur une journée[66]. Il est co-organisé par la librairie Folies d'Encre et le réseau des bibliothÚques.

    Chaque annĂ©e Ă  l'occasion de la fĂȘte de la musique, la ville d'Aulnay-Sous-Bois fait venir des artistes qui se produisent un peu partout dans la ville, notamment sur le boulevard de Strasbourg et dans le quartier de la Rose-des-vents.

    Cultes

    Lieux de cultes

    CimetiĂšres

    La ville a deux cimetiÚres, situés route de Mitry:

    Économie

    La ville a eu une bonne croissance du fait que des sociĂ©tĂ©s telle l’OrĂ©al s’y sont implantĂ©es. Des inquiĂ©tudes apparaissent tout de mĂȘme du fait du dĂ©part de XĂ©rox France[68] et de PSA[69].

    Données statistiques

    Aulnay-sous-Bois comporte prĂšs de 3 000 entreprises et 405 ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es en 2004[70].

    Grandes entreprises présentes

    Aulnay-sous-Bois a abritĂ© de 1973 Ă  2014, date de sa fermeture, la plus grande entreprise du dĂ©partement, Peugeot - CitroĂ«n Aulnay, qui comptait Ă  son maximum de production plus de 5 000 salariĂ©s pour une production d’environ 400 000 vĂ©hicules par an[71].

    L’ancienne usine Peugeot - CitroĂ«n Aulnay vue depuis le parc Robert-Ballanger.
    Principales entreprises ayant leur siÚge social à Aulnay-sous-Bois[72] Données 2003
    NomActivitĂ©Chiffre d’affairesSite Internet
    XEROX-FRANCE
    (Depuis cette date Xerox France est parti d'Aulnay-sous-Bois[68])
    Equipement de bureau et informatique996 565 000 â‚Źhttp://www.xerox.fr
    DÉPÔTS GAUX PHARMAEntrepĂŽts pharmaceutiques410 951 000 â‚Ź
    SOPROREAL (L’ORÉAL)CosmĂ©tiques140 200 000 â‚Źhttp://www.loreal.fr
    XEROX DOCUM. SUPPLIESConsommables bureautiques68 707 000 â‚Ź
    POWER CONTROLS-FRANCE (VYNCKIER)MatĂ©riels Ă©lectriques58 888 000 â‚Ź
    LOGISTIQUE FRETTransports32 759 000 â‚Ź
    GARONOR (AGF)EntrepĂŽts30 819 000 â‚Ź
    PARIS NORD AUTOMOBILESConcession. auto30 265 000 â‚Ź
    SOLDISRevĂȘtements28 956 000 â‚Ź

    Commerces

    La ville dispose du centre commercial régional O'Parinor.

    Le centre commercial régional O'Parinor vu depuis le parc Robert-Ballanger.
    Parking du centre commercial O'Parinor en septembre 2009.

    Il existe un supermarché à l'enseigne Intermarché dans la zone d'activité de Chanteloup. Il se tient au moins un marché chaque jour, du mardi au dimanche :

    • Le Galion, au cƓur de la Rose-des-Vents, ayant Ă©tĂ© totalement dĂ©moli, les marchĂ©s sont dĂ©placĂ©s sur le site du "Grand Paris" les mardis, vendredis et dimanches
    • Au Vieux Pays, les mercredis et samedis
    • Sur le Boulevard de Strasbourg et la Route de Bondy, en extĂ©rieur, ainsi que dans la halle de la Grande Nef, en intĂ©rieur, les mardis, les jeudis et dimanches

    Le quartier Ambourget retrouve son marché les mercredis aprÚs-midi. Un nouveau marché est lancé au quartier du Gros-saule (rue du docteur Fleming) les lundis aprÚs-midi.

    Culture locale et patrimoine

    La ville d'Aulnay-Sous-Bois possĂšde un important patrimoine historique et culturel. La ville possĂšde d'abord de nombreux lieu de culte dont certains datent de plusieurs siĂšcles comme l'Ă©glise Saint-Sulpice, une Ă©glise paroissiale datant du XIIe siĂšcle.

    Elle possÚde également une ancienne ferme située dans le quartier du vieux pays , dont les charpentes en bois datent du XVIIIe siÚcle et qui rappellent l'activité agricole qu'avait Aulnay-Sous-Bois auparavant. La ville possÚde également de nombreuses stÚles et de nombreux monuments rendant hommage à divers personnalités historiques (Charles de Gaulle, le général Leclerc 
) ainsi que de nombreuses fresques murales.

    Patrimoine disparu : le chĂąteau d'Aulnay sous Bois.

    Parcs

    Aulnay comprend 153 hectares d’espaces verts dont voici les principaux :

    Le parc dĂ©partemental du Sausset et la citĂ© des 3 000 (Rose-des-Vents) en arriĂšre-plan.
    • Parc communal Robert-Ballanger (29 ha), avec un belvĂ©dĂšre d'oĂč l'on aperçoit la Tour Eiffel et le SacrĂ©-CƓur
    Le parc communal Robert-Ballanger et la citĂ© des 3 000 (Rose-des-Vents) en arriĂšre-plan.
    Berges du canal de l'Ourcq.
    • Parc Dumont, avenue Dumont (15 000 m2[73])
    • Parc Gainville, parc des Cygnes, rue de Sevran (7 600 m2), contre la « demeure Gainville », plus vieille maison d'Aulnay (date du XVIIe siĂšcle).
    • Parc Émile-Zola, boulevard Émile-Zola (4 400 m2)
    • Parc Faure, allĂ©e circulaire (9 000 m2)
    • Parc Bigottini, avenue de la Croix-Blanche
    • Roseraie HonorĂ©-Daumier, avenue du MarĂ©chal-Juin (8 000 m2 et 2 500 rosiers)
    • Berges du canal de l'Ourcq
    • Serres municipales, rue Auguste-Renoir

    Personnalités liées à la commune

    « Demeure Gainville », contre le parc Gainville, plus vieille maison d'Aulnay-sous-Bois dans laquelle Claude Louis Berthollet a vécu[74].

    Art et lettres

    • Paul Éluard, Ă©crivain et poĂšte, a vĂ©cu Ă  Aulnay-sous-Bois de 1903 Ă  1908[75] - [76]. Il allait Ă  l'Ă©cole du Parc.
    • Jack Harris nĂ© Jacques Estevant, compositeur, romancier et poĂšte français, 275e Ambassadeur Universel de la Paix, y est nĂ© en 1940. Il a frĂ©quentĂ© les Ă©coles suivantes : Duguesclin en 1946, Paul-Bert dĂšs 1947, puis Nonneville, et enfin le cours complĂ©mentaire industriel Nonneville comme apprenti ajusteur de 1954 Ă  1957.
    • AndrĂ© Laude, poĂšte français, a vĂ©cu Ă  Aulnay-sous-Bois.
    • StĂ©phane Magnard (1916-2010), peintre, Grand Prix de Rome, a vĂ©cu Ă  Aulnay-sous-Bois de 1956 Ă  sa mort. Il enseigna le dessin Ă  l'Ă©cole du Parc.
    • Jules Princet, homme de lettres, crĂ©ateur du ThĂ©Ăątre aux Champs (1906-1914) mĂȘlant acteurs et Aulnaysiens fut maire de 1919 Ă  sa mort en 1924.
    • Gabriel Robin, peintre français de la Nouvelle Ecole de Paris, installe son atelier Ă  Aulnay en 1931 et y reste jusqu'Ă  sa mort en 1970.
    • Louis Roquin (1941-), musicien et plasticien.
    • Serge Wellens (1927-2010), poĂšte proche de l'École de Rochefort, libraire Ă  Aulnay. Il anime le "groupe de l'OrphĂ©on" qui organise des soirĂ©es poĂ©sie dans les Ă©coles de la ville.
    • Vincent Faucheux (1970-), Ă©crivain jeunesse, qui a vĂ©cu Ă  Aulnay de 1972 Ă  2006.

    Cinéma

    Musique

    • GĂ©rard Le Vot, musicologue, spĂ©cialiste de la musique mĂ©diĂ©vale. Il est aussi harpiste et chanteur.
    • Sophie Makhno, autrice-compositrice-interprĂšte paroliĂšre de nombreux chanteurs comme Pierre Perret, Barbara etc.
    • Amine, chanteur de RaĂŻ'n'B, double disque d'or.
    • Aya Nakamura, chanteuse de R&B avec deux disques de platine, nĂ©e au Mali mais ayant grandi Ă  Aulnay-sous-Bois.
    • Sefyu, rappeur, disque d'or pour l'album Suis-je le gardien de mon frĂšre ? (2008) et vainqueur d'une des Victoires de la musique en 2009.
    • Vald, rappeur, triple disque de platine pour l'album Xeu (2018). A sorti un morceau homonyme Ă  la ville et y a grandi[80].
    • Alexandre Devoise, animateur et chroniqueur de radio et de tĂ©lĂ©vision nĂ© Ă  Paris et ayant grandi Ă  Aulnay-Sous-Bois.

    Sciences

    Sports

    HĂ©raldique, devise et logotype

    Les armes de la ville de Aulnay-sous-Bois se blasonnent ainsi :
    D'or à l'aulne arraché au naturel[82]

    La ville a longtemps Ă©tĂ© reprĂ©sentĂ©e par des armoiries, qui permettait Ă  tous, mĂȘme Ă  ceux qui ne savaient pas lire, d’identifier aisĂ©ment la ville. Les armoiries ont Ă©voluĂ© au fil du temps. Les armoiries les plus rĂ©centes, qui datent de 1986, sont constituĂ©es d’un Ă©cu jaune or, sur lequel figure un aulne. Cet Ă©cu est entourĂ© par des feuilles de chĂȘne, des feuilles de laurier, et couronnĂ© par des tours.

    Actuellement, la ville (ses Ă©quipements et services municipaux, ses documents
) sont identifiables grĂące Ă  un logo, communĂ©ment appelĂ© l’« arbre dans le vent ». Cet arbre est un aulne, le symbole principal d'Aulnay-sous-Bois.

    Annexes

    Bibliographie

    • Aulnay-sous-Bois, jeunesse d’un Vieux pays, Jacques Varin, 1982.
    • Aulnay-Sous-Bois (Histoire d') Jules Princet, 1936 (rĂ©Ă©dition 2004), (ISBN 2843730546).

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Aulnay-sous-Bois », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

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    28. « Bruno Beschizza, l’ex-syndicaliste policier qui peut ravir Aulnay Ă  la gauche : Dans cette ville de 81 000 habitants, en Seine-Saint-Denis, le candidat UMP a obtenu 41,3 % des suffrages au premier tour », Le Monde,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Quand j'ai Ă©tĂ© parachutĂ© ici, il y a moins d'un an, je savais qu'il ne fallait surtout pas que je sois le gars de l'UMP. Il fallait que je sois “Bruno”. » C'est pourtant bien rue de Vaugirard, Ă  Paris, au siĂšge du parti, qu'a Ă©tĂ© lancĂ©e il y a un an et demi l'« opĂ©ration Beschizza », pour partir Ă  la reconquĂȘte d'Aulnay-sous-Bois, perdue par la droite en 2008. Les stratĂšges de l'UMP, en se penchant sur la carte Ă©lectorale de l'Ile-de-France, n'ont pas eu besoin de rĂ©flĂ©chir longtemps pour cocher la troisiĂšme ville de Seine-Saint-Denis (81 000 habitants) parmi leurs objectifs prioritaires ».
    29. Thomas Poupeau, « Municipales : Ă  Aulnay, Bruno Beschizza peut-il perdre ? : Cinq listes affrontent celle du maire-sortant (LR) Ă©lu en 2014 : une liste participative soutenue par tous les partis de gauche, une autre menĂ©e par le militant Hadama TraorĂ©, un reprĂ©sentant LREM, ainsi que Lutte ouvriĂšre et le Parti ouvrier indĂ©pendant (POID) », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    30. Thomas Poupeau, « Municipales Ă  Aulnay : le maire sortant LR Bruno Beschizza rĂ©Ă©lu dans un fauteuil : En raflant presque 60% des voix, l’ancien policier a mis ses adversaires loin derriĂšre, la gauche Ă  moins de 19% et LREM Ă  moins de 15% », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    32. Nadia TĂ©nine-Michel, « SCOHY Étienne, Pierre, LĂ©on : NĂ© le 12 avril 1912 Ă  Lens (Pas-de-Calais), mort le 19 fĂ©vrier 1964 Ă  Paris 20e. ContrĂŽleur technique Ă  la SNCF. Militant communiste. Maire d'Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise devenue Seine-Saint-Denis) : 1945 – 1947. », Association Histoire et mĂ©moire ouvriĂšre en Seine-Saint-Denis (consultĂ© le ).
    33. Gilles Morin, Nadia TĂ©nine-Michel, « HERBAUT Fernand : NĂ© le 24 septembre 1899 Ă  Lille (Nord) ; cheminot Ă  Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise, Seine-saint-Denis) ; militant responsable socialiste SFIO ; maire d’Aulnay-sous-Bois (1947-1959). », Le Maitron en ligne, mis Ă  jour le (consultĂ© le ).
    34. Gilles Morin, Nadia TĂ©nine-Michel, « COURTAT Robert, Étienne, Edmond : NĂ© le 26 avril 1922 Ă  Saint Servan (Ille-et-Vilaine), mort le 28 novembre 1990 Ă  Lannion (CĂŽtes-d’Armor) ; rĂ©dacteur au ministĂšre des Finances ; maire socialiste d’Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise, Seine-Saint-Denis) de 1959 Ă  1964 », Le Maitron en ligne, (consultĂ© le ).
    35. Nadia TĂ©nine-Michel, « CADOT Maurice, Henri : NĂ© le 5 aoĂ»t 1899 Ă  Essigny-le-Petit (Aisne), mort le 3 avril 1986 Ă  Chantilly (Oise) ; dessinateur (en 1956), puis chef d’études Ă  la SNCF ; militant socialiste ; maire d’Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise, Seine-Saint-Denis) de juillet 1964 Ă  mars 1965. », Le Maitron en ligne, (consultĂ© le ).
    36. « D'une ville Ă  l'autre », Le Monde,‎ (lire en ligne) « Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise). - Une " liste d'union des rĂ©publicains " conduite par MM. Robert Ballanger, dĂ©putĂ© communiste; Louis Solbes, conseiller gĂ©nĂ©ral, communiste, et Maurice Cadot, maire sortant, S.F.I.O., vient d'ĂȘtre constituĂ©e.
      Elle comprend 17 communistes, 8 socialistes, 4 radicaux socialistes et 4 P.S.U.
      La section S.F.I.O. d'Aulnay-sous-Bois s'était prononcée à une forte majorité (85 % des votants) contre toute entente avec les communistes ou avec l'U.N.R. Sa minorité a néanmoins noué des pourparlers avec les communistes et finalement constitué avec eux la liste commune dont on vient de lire la composition.
      Quant à la majorité de la section elle forme une liste comprenant 12 socialistes, 6 M.R.P., 6 R.G.R., 3 rapatriés d'Algérie et 6 places réservées pour des indépendants ou " apolitiques ". Le maire et le premier adjoint, en cas de succÚs, seront socialistes »
      .
    37. « Dans la rĂ©gion parisienne », Le Monde,‎ (lire en ligne) « À Aulnay-sous-Bois, la liste d'union dĂ©mocratique, comprenant 19 communistes, dont M. Louis Solbes, maire sortant et conseiller gĂ©nĂ©ral, 8 socialistes. 6 radicaux et 4 personnalitĂ©s sans Ă©tiquette, sera conduite par M. Robert Ballanger, prĂ©sident du groupe communiste de l'AssemblĂ©e nationale, conseiller municipal.
      Le parti de la démocratie socialiste, formation issue d'une scission du parti socialiste, a fait de son cÎté savoir qu'il présenterait une liste qui sera dirigée par M. Paillasde, conseiller municipal sortant, et le docteur Jean Marty, neveu d'André Marty, ancien dirigeant communiste exclu de ce parti. »
      .
    38. Nadia TĂ©nine-Michel, « SOLBÈS Louis, Lucien : NĂ© le 27 mars 1924 Ă  Corbeny (Aisne), mort le 22 janvier 1987 Ă  Villepinte (Seine-Saint-Denis) ; instituteur, puis professeur de collĂšge ; militant du SNI ; militant communiste ; maire d’Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Oise devenue Seine-Saint-Denis) de 1965 Ă  1971 ; conseiller gĂ©nĂ©ral de Seine-et-Oise, puis de Seine-Saint-Denis de 1964 Ă  1979 », Le Maitron en ligne, mis Ă  jour le (consultĂ© le ).
    39. « M. Robert Ballanger (P.C.) renonce Ă  son mandat de maire d'Aulnay-sous-Bois », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    40. Claude Pennetier, Nadia Ténine-Michel, « BALLANGER Robert, Victor, Marcel, François : Né le 2 novembre 1912 à Nantes (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique), mort le 26 janvier 1981 à Sevran (Seine-Saint-Denis) ; employé ; résistant ; membre du comité central (1945-1950, 1959-1981) ; député communiste de Seine-et-Oise, puis de Seine-Saint-Denis (1945-1981), président du groupe parlementaire communiste (1964-1981), conseiller général, conseiller municipal de Livry-Gargan (1953-1959) », Le Maitron en ligne, mis à jour le (consulté le ).
    41. « M. Pierre Thomas (P.C.) nouveau maire d'Aulnay-sous-Bois », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    42. Hervé Suaudeau, « Pierre Thomas est mort : Pierre Thomas, l'ancien maire d'Aulnay de 1978 à 1983 est décédé samedi matin à l'ùge de 79 ans suite à une longue maladie. », sur MonAulnay.com, .
    43. « Abrioux quitte son fauteuil, pas la mairie », Le Parisien, Ă©dition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne).
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    45. Les Ă©lections municipales de 2008 d’Aulnay-sous-Bois ont Ă©tĂ© annulĂ©es le 2 octobre 2008 par le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise en raison de l’apposition d’affiches dans la nuit prĂ©cĂ©dant le second tour des municipales (« Aulnay-sous-Bois : l'Ă©lection annulĂ©e », sur le site du Figaro, (consultĂ© le )). Un appel ayant Ă©tĂ© formĂ© devant le Conseil d’État, le conseil municipal et la municipalitĂ© Ă©lus en mars 2008 restent en place jusqu’à la dĂ©cision de cette juridiction (« Aulnay-sous-Bois : l'Ă©lection du maire annulĂ©e », sur le site du Parisien, (consultĂ© le )). Les Ă©lections sont finalement validĂ©es aprĂšs dĂ©cision de la juridiction
    46. Gwenael Bourdon, « Pour la premiĂšre fois, ils ont endossĂ© l'habit de maire ce week-end : Le bain de foule de Beschizza », Le Parisien, Ă©dition Seine-Saint-Denis,‎ .
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    56. EntiÚrement situé sur la commune de Sevran hormis le parking ouest
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    64. https://www.lemonde.fr/culture/article/2013/02/11/le-blues-d-aulnay-sous-bois-s-invite-aux-grammy-awards_1830259_3246.html | Le mode.fr du 11 février 2013
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