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Les Pavillons-sous-Bois

Les Pavillons-sous-Bois est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France, à environ 10 kilomètres au nord-est de Paris. La commune est officiellement instituée le mais les premières traces d'activité sur son territoire actuel remontent au XVIIe siècle.

Les Pavillons-sous-Bois
Les Pavillons-sous-Bois
Les pavillons de garde qui ont donné son nom à la commune.
Blason de Les Pavillons-sous-Bois
Blason
Les Pavillons-sous-Bois
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-Saint-Denis
Arrondissement Le Raincy
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris - Grand Est.
Maire
Mandat
Philippe Dallier
2023-2026
Code postal 93320
Code commune 93057
DĂ©mographie
Gentilé Pavillonnais
Population
municipale
23 904 hab. (2020 en augmentation de 3,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 8 186 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 54′ 21″ nord, 2° 30′ 38″ est
Altitude 55 m
Min. 50 m
Max. 64 m
Superficie 2,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂ´le principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bondy
LĂ©gislatives 10e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
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Les Pavillons-sous-Bois
Liens
Site web https://www.les-pavillons-sous-bois.fr/

    La commune des Pavillons-sous-Bois tire son nom des deux pavillons de garde bâtis en 1770 et qui se dressaient à l'entrée du domaine du Raincy. Ces deux pavillons, restaurés, se situent au lieu-dit la Fourche, en bordure de la RN 3.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune des Pavillons-sous-Bois, en rouge, sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.

    La commune fait partie de la banlieue nord-est de Paris, elle se situe Ă  9 kilomètres des boulevards des MarĂ©chaux, et Ă  12,2 kilomètres au nord-est de la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris, centre de la capitale française[1]. Les Pavillons-sous-Bois se trouve Ă  une dizaine de kilomètres de l'aĂ©roport de Paris-Charles-de-Gaulle[2] et de sa zone aĂ©roportuaire. La ville est proche d'autres pĂ´les Ă©conomiques importants : Marne-la-VallĂ©e, la Plaine Saint-Denis.

    La commune fait partie du pays d'Aulnoye. Elle est entourée par cinq communes, le Raincy au sud-est, Villemomble au sud, Bondy à l'ouest, Aulnay-sous-Bois au nord et Livry-Gargan à l'est[3].

    RĂ©seaux routiers

    La commune est traversée par la route nationale 3.

    Transports en commun

    Le Tramway T4 Ă  la station Gargan, aux Pavillons-sous-Bois.

    L'ancienne ligne des Coquetiers qui reliait Paris-Est et Bondy à Aulnay-sous-Bois faisait un arrêt aux Pavillons-sous-Bois. Depuis novembre 2006, la ligne 4 du tramway reprend le même itinéraire et permet de rejoindre rapidement le RER E à Bondy ou le RER B à Aulnay-sous-Bois. La commune est desservie par deux stations : Les Pavillons-sous-Bois et Gargan. Cette dernière sert de départ ou de terminus à certaines missions et c'est à celle-ci que se trouve le centre d'exploitation de la ligne.

    La ville est le terminus de la ligne de bus RATP 105 qui la relie Ă  la gare RER E de Noisy-le-Sec ainsi qu'Ă  la ligne 1 du tramway. Elle est Ă©galement desservie par la Ligne 4 du tramway.

    Par ailleurs, elle est desservie par les lignes de bus 146, 147, 234, 616, ainsi que par la ligne 8 de TVF et le Noctilien N41.

    La commune met à la disposition des résidents, un mini-bus gratuit qui parcourt la ville toutes les cinquante minutes. Il circule de 9 h 20 à 17 h 50 en semaine et de 8 h 40 à 12 h 45 le samedi[4].

    Canal

    La commune est traversée par le canal de l'Ourcq et elle est desservie par le port de la Poudrette.

    Le canal de l'Ourcq aux Pavillons-sous-Bois

    Urbanisme

    Typologie

    Les Pavillons-sous-Bois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11] - [12].

    Morphologie urbaine

    Le pont de l'Europe.

    Les quartiers :

    • La Basoche, au centre-ville ;
    • Chanzy, Ă  la limite de Livry-Gargan, Ă  l'est ;
    • les Coquetiers, Ă  la limite de Villemomble, au sud ;
    • la Fourche, Ă  la limite de Bondy, Ă  l'ouest.
    • la poudrette Ă  la limite de Bondy et Aulnay sous bois

    La ville présente, selon les secteurs considérés, des aspects très divers. Le canal de l'Ourcq et la RN 3 constituent depuis la création de la ville, une double ligne de partage entre la zone nord, longtemps déshéritée, et la zone sud, vouée à l'habitat traditionnel et aux activités urbaines.

    Projets d'aménagement

    Au nord, les projets en cours et les récents aménagements tendent à désenclaver et à réhabiliter ce secteur désormais promis à un essor certain : les berges du canal sont progressivement réhabilitées en espace de loisirs et de promenades ; de nouveaux secteurs pavillonnaires et des voies nouvelles ont été créés ; l'implantation de bâtiments de services publics tels qu'un pôle administratif et une salle multisports sont à l'étude ou en instance de réalisation ainsi que l'installation d'industries non polluantes.

    Au sud, l'habitat pavillonnaire traditionnel fort apprécié des Pavillonnais, reste largement majoritaire, malgré la construction d'immeubles collectifs sur plusieurs sites de ZAC décidés par la municipalité précédente.

    La ville des Pavillons-sous-Bois a fêté son centenaire en 2005. Elle existe en effet officiellement depuis le , mais on retrouve les premières traces d'activité sur son territoire aux alentours du XVIIe siècle.

    Histoire

    La ville des Pavillons-sous-Bois a fêté son centenaire en 2005. Elle existe en effet officiellement depuis le mais on retrouve les premières traces d'activité sur son territoire aux alentours du XVIIe siècle.

    Avant les Pavillons-sous-Bois

    La forĂŞt de Bondy selon la carte de Cassini.

    Vers 1600, le territoire des Pavillons-sous-Bois n'Ă©tait qu'une zone marĂ©cageuse au sein de l'immense forĂŞt de Bondy, qui avait la mauvaise rĂ©putation d'ĂŞtre un repaire pour brigands. Un sentier cavalier reliait le lieu-dit la Fourche au domaine du vieux manoir du Raincy, construit sur les hauteurs. Celui-ci fut dĂ©truit lorsque Jacques Bordier, un riche surintendant des finances de Louis XIII, prit possession du domaine et y construisit un somptueux château Ă  la place.

    Après que la famille des ducs d'Orléans fut devenue en 1770 propriétaire du domaine du Raincy, deux pavillons de chasse furent bâtis; au lieu dit la Fourche, à l'entrée de l'allée qui reliait le château au Grand Chemin. Ces pavillons étaient alors les seuls constructions du territoire qu'occupe aujourd'hui Les Pavillons-sous-Bois. Ils se trouvent toujours, 235 ans après, à l'intersection de la RN 3 et de l'avenue Jean-Jaurès.

    En 1789, le château fut abandonné par la famille des ducs d'Orléans, et le domaine du Raincy vendu en parcelle. Ce n'est qu'en 1815, après les tourments révolutionnaires et le Premier Empire, que la famille d'Orléans reprit possession de la propriété.

    Napoléon III confisqua les biens de la famille d'Orléans et les mit en vente en 1852. Jusqu'à la guerre franco-allemande de 1870, le domaine fut petit à petit dépecé. L'ensemble des terrains fut livré aux lotisseurs et, de l'allée majestueuse bordée d'arbres et de jardins, ne resta plus que l'allée centrale dévouée à la circulation publique. Cette allée fut renommée plus tard avenue Jean-Jaurès.

    Le château, quant à lui, fut abandonné, détruit et tomba aux mains des pillards. Les pavillons de chasse furent également vendus et des petits commerces s'y installèrent.

    Lorsque le Raincy devint une commune en 1869, les bois du domaine furent attribuĂ©s Ă  celle de Bondy. Des lotissements s'y multiplièrent et un faubourg naquit : « Bondy-ForĂŞt Â». Lors de la guerre de 1870, l'armĂ©e prussienne stationna plusieurs mois Ă  cette limite. Ceci marqua encore un peu plus la sĂ©paration entre le territoire communal de Bondy et celui de la future commune des Pavillons-sous-Bois. La construction par Louis-Xavier Gargan[13] de la ligne des Coquetiers, voie ferrĂ©e reliant Aulnay-sous-Bois Ă  Paris amena encore plus de Parisiens sur les lieux et le petit faubourg de « Bondy-ForĂŞt Â» prit de l'importance. Il n'en fallut pas beaucoup plus pour qu'un esprit sĂ©paratiste s'empare de la population de « Bondy-ForĂŞt Â» qui rĂ©clama, dès lors, l'autonomie administrative du faubourg.

    La création des Pavillons-sous-Bois

    Les pavillons de garde.

    La sĂ©paration eut lieu en 1905 et diffĂ©rents noms furent proposĂ©s pour cette nouvelle ville. Le la ville fut crĂ©Ă©e[14]. Le conseil gĂ©nĂ©ral choisit "Les Pavillons-Sous-Bois" plutĂ´t que "Bondy-la-ForĂŞt" ou "Les Pavillons", ceci en hommage aux pavillons de garde et la forĂŞt de Bondy. En eurent lieu les premières Ă©lections. 489 personnes s'exprimèrent sur les 644 Ă©lecteurs reprĂ©sentant les 2 101 habitants de la nouvelle commune[15]. La ville continua Ă  se dĂ©velopper et attira de plus en plus de Parisiens peu fortunĂ©s mais attirĂ©s par les terrains bon marchĂ© et la desserte par la ligne des Coquetiers et par les tramways de la Compagnie gĂ©nĂ©rale des omnibus puis de la STCRP. Les Pavillons-Sous-Bois comptaient 3 646 habitants en 1911.

    Peu avant la Première Guerre mondiale, les anciennes installations de l'usine de traitement de vidange, situé au nord du canal de l'Ourcq, sur le secteur dit "La Poudrette" disparaissent. Le terrain libéré demeurera longtemps quasi-désertique, posant à la commune un problème majeur de salubrité. Il ne sera définitivement réglé qu'à l'ultime fin du XXe siècle par les travaux d'extension de la zone industrielle environnante et de la création d'une voie nouvelle.

    La ville depuis la Libération

    Dans les années qui suivirent, une nouvelle zone industrielle apparut au nord du canal de l'Ourcq grâce à la construction du pont de l'Europe et la rénovation du pont de la Forêt. Pour satisfaire les besoins d'une population croissante, de nouveaux équipements scolaires et sportifs sont construits.

    Après la guerre, la ville continua à se développer et dans les années 1960 une nouvelle mairie fut construite ainsi que de nouveaux équipements pour la culture et les spectacles. Un des problèmes récurrent de la ville, l'assainissement des eaux de ruissellement des plateaux du Raincy et de Montfermeil, ne fut résolu qu'à compter des années 1990 avec un programme de travaux d'au moins dix ans.

    C'est avec beaucoup de persévérance que les historiens obtiendront le classement des pavillons de chasse au patrimoine historique. La ville a acheté le pavillon Est en 1986 et l'a rénové en 1998. Le second, à l'ouest de l'ancienne allée, a été restauré mi 2009.

    Politique et administration

    La commune est créée en 1905 par démembrement de Bondy[16]

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du [17], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif au . Rattachée initialement à l'arrondissement de Bobigny, la commune est intégrée à l'arrondissement du Raincy par un arrêté du préfet d'Île-de-France du [18]

    Elle faisait partie depuis sa création en 1905 du canton de Noisy-le-Sec de la Seine. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, la ville devient en 1967 le chef-lieu du canton des Pavillons-sous-Bois[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Bondy

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de Seine-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[19], à laquelle la commune, qui n'était membre d'aucune intercommunalité, a été intégrée.

    Dans le cadre de la mise en place de la métropole du Grand Paris, la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit la création d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale.

    La commune a donc également été intégrée le à l'Établissement public territorial Grand Paris - Grand Est[20].

    Tendances politiques et résultats

    Lors du second tour de l’élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy est arrivé en tête avec 56,85 % (la moyenne nationale étant de 53,06 %) et Ségolène Royal avec 43,15 % (moyenne nationale 46,94 %)[21].

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste UMP menĂ©e par le sĂ©nateur-maire sortant Philippe Dallier obtient une large majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 4 975 voix (82,82 %, 32 conseillers municipaux Ă©lus), devançant celle menĂ©e par Bernard Deny (PS, 1 032 voix, 17,17 %, 3 conseillers municipaux Ă©lus).
    Lors de ce scrutin, 46,78 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[22].

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis, la liste LR - MoDem - UDI - SL menĂ©e par la maire sortante Katia Coppi — qui avant succĂ©dĂ© en 2017 Ă  Philippe Dallier après sa rĂ©Ă©lection comme sĂ©nateur — obtient une large majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 2 415 voix (70,46 %, 31 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 mĂ©tropolitain), devançant les listes menĂ©es respectivement par[23] :
    - Bernard Deny (DVG, 681 voix, 19,87 %, 3 conseillers municipaux Ă©lus) ;
    - Laurent Violleau (LREM - GÉ - AC, 331 voix, 9,65 %, 1 conseiller municipal élu).
    Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 69,47 % des électeurs se sont abstenus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs des Pavillons-sous-Bois[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1905 1908 Edouart-Charles Philibert
    1908 1915 Charles-Armand Ducastel Robillard SFIO Ouvrier ferblantier
    1916 1925 Philippe Charlot SFIO puis SFIC
    puis USC puis SFIO
    Ouvrier puis entrepreneur de charpenterie
    1925 1940 Eugène Fischer SFIO puis PSdF-USR
    1940 1944 Eugène Espinard
    1944 1945 Francis Bernard
    1945 1953 Célestin Ferré SFIO
    1953 1956 Louis Glineur PSD
    1956 1971 Marcel Delphien DVD
    1971 janvier 1979[25] Martial Daire PS Conseiller général des Pavillons-sous-Bois (1967 → 1979)
    DĂ©missionnaire
    1979 1983 Jean Eynard PS
    1983 1989 Serge Cantoni RPR Inspecteur à la Compagnie générale des eaux
    1989[26] 1995 Bernard Portel PS Conseiller général des Pavillons-sous-Bois (1992 → 1998)
    1995 octobre 2017[27] Philippe Dallier[28] - [29] RPR puis
    UMP → LR[30]
    Chef de projet en informatique
    Sénateur de la Seine-Saint-Denis (2004 → 2021[31].)
    Conseiller général des Pavillons-sous-Bois (1998 → 2004)
    Vice-président de la métropole du Grand Paris (2016 → 2017)
    Vice-président de l'EPT Grand Paris - Grand Est (2016 → 2017)
    Démissionnaire à la suite de sa réélection comme sénateur
    octobre 2017[32] février 2023[33] Katia Coppi[34] LR Clerc de notaire retraitée
    Conseillère générale des Pavillons-sous-Bois (2004 → 2015)
    Conseillère départementale de Bondy (2015 → 2021)
    DĂ©missionnaire pour raisons personnelles et familiales
    février 2023[35] En cours
    (au 10 février 2023)
    Philippe Dallier LR Chef de projet en informatique
    Ancien sénateur de la Seine-Saint-Denis (2004 → 2021)
    Conseiller départemental de Bondy (2021 → )

    DĂ©mocratie participative

    Le Conseil municipal des jeunes est composé de trente-cinq enfants de neuf à treize ans élus par d’autres enfants. Les élections sont organisées dans les classes de CE2, CM1, CM2 et 6e de la ville. Ces jeunes conseillers sont répartis en quatre commissions: sport-loisirs-culture, environnement, vie scolaire-sécurité et solidarité. Le CMJ a pour but de favoriser l’implication des jeunes dans la commune et leur permettre d’échanger des idées et de développer des projets. Ces derniers sont votés au cours de séances officielles présidées par le maire des Pavillons-sous-Bois. La commune a ainsi fêté les dix ans d'existence du CMJ.

    Politique environnementale

    L'actuelle volonté municipale de protéger la qualité de vie dans un environnement entretenu et amélioré s'exprime par un nouveau plan d'occupation des sols conçu pour préserver le caractère pavillonnaire de la ville, par un programme suivi de rénovation systématique des voies et des équipements publics, au même titre que la création récente du nouveau conservatoire Hector Berlioz avec son jardin public, et en attente du lancement des travaux de réhabilitation de l'entrée de la ville, dit secteur de la Fourche, à hauteur des pavillons de garde.

    Ainsi se trouvent garantis le dynamisme de la ville et la préservation de ce qui fait son originalité en petite couronne de la Seine-Saint-Denis : son caractère de paisible bourgade provinciale, à quelques minutes de Paris.

    La commune milite activement pour le tri sélectif. D'autre part, elle lutte contre les graffitis en prenant en charge le nettoyage des équipements publics et privés sur demande.

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 23 904 habitants[Note 4], en augmentation de 3,32 % par rapport Ă  2014 (Seine-Saint-Denis : +5,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 6445 3897 85010 92014 33415 17515 09316 86219 022
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    19 08418 63817 18517 37518 42020 20422 11723 69523 904
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Collège Anatole-France.

    La commune dépend de l'académie de Créteil.

    Elle gère plusieurs écoles primaires :

    Enseignement public :

    Enseignement privé :

    • Écoles Ă©lĂ©mentaire et secondaire et lycĂ©e de l'Alliance[38].
    • LycĂ©e enseignement professionnel Claude-Nicolas-Ledoux

    Culture

    Espace des Arts.
    • APJC : association d'Ă©ducation populaire, l'Association Pavillonnaise pour la Jeunesse et la Culture offre des activitĂ©s de loisirs aux enfants, adolescents et adultes, Ă  travers des animations rĂ©gulières, des spectacles vivants, des Ă©vĂ©nementiels[39].
    • Bibliothèque municipale
    • Conservatoire municipal Hector Berlioz: en 2007, le Conservatoire fĂŞte ses 25 ans d'existence, en prĂ©sentant diffĂ©rentes manifestations Ă  l'Espace des Arts et Ă  l'Auditorium Hector Berlioz.
    • Cyberespace situĂ© Ă  l'Espace des Arts[40]
    • CECAS-Espace des arts : l'Espace offre au cours de l'annĂ©e, diffĂ©rentes reprĂ©sentations théâtrales, concerts, one-man-show, expositions de peinture, projections de films[41].

    Sports

    La commune des Pavillons-sous-Bois compte un complexe sportif : le stade Léo-Lagrange ou stade de l'est. Ce complexe se compose de deux terrain de football (un en herbe et l'autre synthétique) et d'un club de tennis, SEP[42].

    Santé

    La ville regroupe quinze médecins généralistes, dix-huit médecins spécialistes, et vingt-huit auxiliaires médicaux. Un centre municipal de santé réunit cinq médecins généralistes, et douze médecins spécialistes. Plusieurs associations offrent une assistance aux personnes âgées et aux enfants polyhandicapés[43]. Six pharmacies sont à la disposition des habitants.

    La commune dépend du centre hospitalier Intercommunal du Raincy/Montfermeil et de l'hôpital Jean-Verdier à Bondy.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Vivre le livre, avec Adiflor, Association International Francophone de Livres, Ouvrages et revues, Ă  la mi-octobre de chaque annĂ©e. Elle a pour objectif de favoriser l'ouverture des Ă©lèves sur le monde, en leur mettant Ă  disposition des ouvrages de diffĂ©rents pays et cultures.
    • Sidaction : chaque annĂ©e, dĂ©but dĂ©cembre, la ville organise diffĂ©rentes manifestations pour soutenir la recherche contre le sida.
    • TĂ©lĂ©thon : tous les ans, la commune soutient le TĂ©lĂ©thon, avec l'aide de AVF (Accueil des villes françaises) qui, en 2006, a reçu le « label plus » du conseil d'administration de la rĂ©gion ĂŽle-de-France.
    • Festival-jazz : Depuis 2005 le festival organisĂ© par l'espace des arts accueille des artistes de jazz

    Cultes

    Église Notre-Dame-de-Lourdes.

    Les cimetières : ancien cimetière, allée Louis XIV et le nouveau cimetière, avenue de Rome.

    Économie

    Emploi

    La population active de la commune est de 8 949 personnes, dont 1 099 chĂ´meurs (soit un taux de chĂ´mage de 12,3 %)[44]. Les artisans, commerçants, chefs d'entreprise reprĂ©sentent 7,2 % de la population active de la ville ; les cadres et professions intellectuelles 11,7 %; les professions intermĂ©diaires 24,9 % ; les employĂ©s 34,5 % et les ouvriers 21,8 %.

    Entreprises et commerces

    La ville regroupe plus de cinquante-cinq entreprises dans la zone industrielle de la Poudrette (au nord de la ville) et 1 064 dans toute la ville. Les industries agricoles et alimentaires reprĂ©sentent 1,8 %, les industries des biens de consommation 2,7 %, les industries des biens d'Ă©quipement, 1,2 %, les industries des biens intermĂ©diaires 1,4 %. Les entreprises de construction sont au nombre de 181 (soit 17 %), celles du commerce reprĂ©sentent 33,5 %, les transports 6,4 %, les activitĂ©s immobilières 3,4 %. Les services aux entreprises (11,7 %) et les services aux particuliers (12,1 %) regroupent 23 % des entreprises. Enfin, l'Éducation, la santĂ©, et l'action sociale reprĂ©sentent 8,7 %[44].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments

    • La borne armoriĂ©e, datant de 1665, dĂ©limitait les terres de l'abbaye de Chelles, et la forĂŞt royale de Bondy.
    • Les deux pavillons d'entrĂ©e du domaine du Raincy, construits vers 1785, de chaque cĂ´tĂ© de l'avenue qui menait au château.
    • Les bains-douches, construits vers 1912, non loin des Ă©coles et des quartiers populaires de l'Ă©poque.
    • Église Notre-Dame-de-Lourdes, construite en 1911.
    • Église Saint-Augustin-des-Coquetiers, crĂ©Ă©e en 1932.

    La ville offre quelques espaces verts :

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Boudet (1941-1994), enseignant et Ă©crivain
    • Camille Briquet (1880-1960), dĂ©putĂ© et prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral de l'Eure
    • Henri Heinemann[45](1927), Ă©crivain, poète et ancien de maire de Cayeux-sur-Mer (Somme)
    • Georges Lachat (1910-1992), ancien coureur cycliste professionnel, disputa le Tour de France 1935
    • Daniel Mermet (1942), journaliste, Ă©crivain et producteur de radio français
    • Eugène Narbonne (1885-1966), peintre figuratif français
    • Gina Palerme (1885 - 1977), artiste de music-hall et du cinĂ©ma muet
    • Lilly-Fleur Pointeaux[46] (1989), comĂ©dienne française
    • Louis Rimbault (1877-1949), membre de la bande Ă  Bonnot fut conseiller municipal de la commune et a demeurĂ© rue du Coq-Gaulois.
    • Despo Rutti, rappeur français
    • Émile Sonkin (1926 - 2013) "Adieu l’Émile, on t’aimait bien, tu sais…(1) Ce , une figure emblĂ©matique des Pavillons-sous-Bois nous a quittĂ©s. Beaucoup se souviendront de monsieur Émile Sonkin, son Ă©ternel bonnet de La Poste vissĂ© sur la tĂŞte, (un cadeau d’un postier soulignait-il…) arpentant avec le sourire et sa bonne humeur habituelle le quartier de la Basoche oĂą il rĂ©sidait depuis 1926, date de sa naissance. Fuyant les pogroms en Lituanie, ses parents s’installèrent dans la commune en 1920 oĂą après le dĂ©cès accidentel de son père, il fut Ă©levĂ© avec son frère Albert par leur maman Berthe, bien connue Ă©galement des Pavillonnais puisqu’elle tenait une parfumerie au 148 de l’avenue Jean-Jaurès. Pris dans le tumulte de la Seconde Guerre mondiale, Émile, son frère et sa mère survĂ©curent Ă  la persĂ©cution des juifs grâce Ă  la solidaritĂ© d’un fonctionnaire de police qui les avertissait des rafles, et Ă  celle de leurs voisins et amis, les Dougère, les Laurin et les Canal, qui les cachèrent sous une fausse identitĂ© dans un immeuble de la commune ainsi qu'au couple Gardianot, des amis de Berthe.
      Quand les rafles s'intensifièrent en 1942, le couple et leur fille ayant le même âge qu’Émile accueillirent les deux adolescents dans le Loiret à Gien où ils étaient eux-mêmes réfugiés. Après la guerre de 14-18, le gouvernement avait organisé un jumelage entre les villes du nord de la Loire et celles du sud. C'est ainsi que la ville des Pavillons-sous-Bois fut jumelée à Gien et affréta un train afin qu'en 1939, les Pavillonnais qui le souhaitaient puissent s'y installer.
      Devenu Robert Chemin, radio électricien né en Corrèze, Émile, plus communément surnommé Milo, ne tarda pas à reprendre son patronyme pour entamer de brillantes études d’architecte. Diplômé de l’école des Arts Décoratifs de Paris, il se marie en 1952 puis embarque pour le continent africain en 1955, direction le Congo où il séjournera avec délice à Brazzaville avant de regagner sa commune pavillonnaise. En 1961, il s’envole cette fois-ci pour le Brésil où il restera jusqu’en 1989, date de son retour définitif. Beaucoup de ses réalisations témoignent encore de son passé glorieux. De la visite de ces continents, il ramènera dans ses bagages des récits interminables, un arbre à palabre, des croyances superstitieuses et surtout le goût des autres. À la demande du maire, il intégrera l’observatoire de l’environnement de la ville et dessinera les contours futuristes de la commune pour lesquels il sera décoré d’ailleurs de la médaille de la Ville en 1997. Passionné du genre humain et des civilisations qui l’entourent, Émile était avant tout un amoureux de la vie, véritable trait d’union entre les générations, les peuples et les minorités. Beaucoup appréciaient son humour, sa faconde légendaire et son sens profond de la mise en scène, hérités certainement de la passion théâtrale familiale. Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage…Sa famille paternelle et maternelle fut entièrement décimée par les pogroms, les tueries des nazis, les déportations sous Staline. Il ne subsiste que les descendants d'un oncle, le frère de son père, réfugié à Paris en même temps que ses parents. http://www.ajpn.org/commune-Les-Pavillons-sous-Bois-en-1939-1945-93057.html (1) extrait du bulletin municipal publié par la ville en 2013.
    • Bertrand Soulier (1970), chanteur, auteur et compositeur Ă  thème français
    • Vald, rappeur français


    HĂ©raldique

    Armes Les Pavillons-sous-Bois

    Les armes de la commune Les Pavillons-sous-Bois se blasonnent ainsi :
    De gueules au chef cousu d'azur, à l'écu de dame d'or brochant sur la partition, bordé d'une couronne de laurier de sinople fruité de gueules, enrubannée d'argent, l'écu chargé d'un chêne aussi de sinople, accosté de six arbres plus petits du même rangés trois à dextre et trois à senestre et de deux pavillons d'argent essorés de gueules mouvant des flancs, le tout posé sur une terrasse aussi de sinople

    Devise : En avant toujours

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • le magazine bimestriel d'informations municipales des Pavillons-sous-Bois.
    • le guide municipal des Pavillons-sous-Bois.
    • Les Pavillons-sous-Bois : 100 ans d'histoire., Michel MĂ©rille.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Le Pavillons-sous-Bois », Ma commune, Ministère de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Site calculant l'orthodromie d'après les longitudes et latitudes des communes sélectionnées », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Site calculant l'orthodromie d'après les longitudes et latitudes des communes sélectionnées », sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
    3. « Cartes des limites administratives d'Île-de-France - Limites administratives des communes et départements », sur Institut d'aménagement et d'urbanisme - Île-de-France (consulté le ).
    4. « Mini-bus », sur site de la mairie des Pavillons-sous-Bois (consulté le ).
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    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
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    13. « Cote LH/1073/43 », base Léonore, ministère français de la Culture (consulté le 20 novembre 2013)
    14. « Projet de loi tendant à distraire de la commune de Bondy (canton de Noisy-le-Sec, arrondissement de Saint-Denis, département de la Seine) la section de La Forêt pour l'ériger en commune distincte dénommée Les Pavillons-sous-Bois », Journal officiel de la république française - Édition du Sénat,‎ , p. 1141 (lire en ligne). sur Gallica
    15. « Décret du 7 septembre 1905 qui déclare authentique le chiffre de la population de la nouvelle commune des Pavillons-sous-Bois », Bulletin des lois de la République française, no 2670,‎ , p. 201 (lire en ligne).
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    18. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissement du département de Seine-Saint-Denis », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01,‎ , p. 25-26 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    19. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    20. Décret n° 2015-1662 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Noisy-le-Grand sur Légifrance.
    21. Élections
    22. RĂ©sultats officiels pour la commune Les Pavillons-sous-Bois
    23. « Élections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
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    25. K. L., « M. Daire quitte le P. S. et renonce à son mandat de maire », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    26. « Elections municipales - SEINE-SAINT-DENIS : Avec vingt-cinq mairies à la gauche et quinze à la droite, le rapport de force est exactement le même qu'en 1983. Mais le PS, qui dirige maintenant six communes, a regagné la ville de Pavillons-sous-Bois, qu'il avait perdue en 1983, alors que le PC, avec dix-neuf communes, n'a réussi ni à reprendre Villepinte, où sa liste était conduite par M. François Asensi, député, ni à arracher Aulnay-sous-Bois au maire RPR sortant, M. Abrioux, et en plus a perdu Dugny », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    27. Hélène Haus, « Les Pavillons-sous-Bois : Philippe Dallier tire sa révérence : Le maire (LR) doit céder sa place à sa première adjointe, ce samedi, lors d’un conseil municipal exceptionnel pour se consacrer à son poste de premier vice-président du Sénat », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    28. Marjorie Corcier, « Municipales : Dallier sans crainte aux Pavillons : Tout devrait se jouer en un seul tour. Le sénateur-maire UMP, réélu en 2008 avec près de 70 % des voix, ne compte pour l'heure qu'un seul opposant PS. A 51 ans, il brigue un quatrième mandat », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne).
    29. « Philippe Dallier réélu », sur http://www.les-pavillons-sous-bois.fr, (consulté le ).
    30. « Philippe Dallier entre aussi au bureau politique de l'UMP », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne).
    31. Alexandre Arlot, « Seine-Saint-Denis : Philippe Dallier renonce à son mandat de sénateur, Thierry Meignen lui succède : S’il avait anticipé l’échec de la droite aux départementales, il avoue qu’il ne se serait pas porté candidat à ce scrutin. Élu dans son canton, le patron des Républicains du 93 a dû choisir entre ses mandats de parlementaire et de conseiller municipal aux Pavillons-sous-Bois. Il a opté pour sa ville. Le maire du Blanc-Mesnil siégera donc à sa place à Paris », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La loi sur le cumul des mandats obligeait Philippe Dallier (LR) à renoncer à son mandat de sénateur ou à celui de conseiller municipal. Il a choisi de conserver le second, à la surprise de nombre d’observateurs ».
    32. Hélène Haus, « Les Pavillons : pour la première fois, le maire est une femme : Jusqu’alors première adjointe, Katia Coppi (LR) succède à Philippe Dallier (LR), qui quitte son fauteuil pour devenir 1er vice-président du Sénat », Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La nouvelle première magistrate de 68 ans a donc été élue avec 32 voix sur 35, lors d’un conseil municipal exceptionnel, face à l’opposant socialiste Bernard Deny ».
    33. Hélène Haus, « Les Pavillons-sous-Bois : la maire Katia Coppi démissionne, l’ex-sénateur Philippe Dallier devrait lui succéder : L’élue de 73 ans, qui dirigeait la ville depuis 2017, a annoncé ce vendredi qu’elle allait passer la main, tout en demeurant conseillère municipale. Son successeur devrait être désigné le 9 février. Il devrait s’agir de son prédécesseur, qui a abandonné son mandat parlementaire en 2021 », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Dallier n’étant plus parlementaire depuis juillet 2021, rien ne l’empêche de reprendre la tête de la ville. Faut-il y voir un lien avec la démission de Katia Coppi ? « Il n’y en a aucun », certifient les deux intéressés ».
    34. Réélue pour le mandat 2020-2026 : « Compte-rendu de la séance du conseil municipal du 25 mai 2020 » [PDF], Les séances du conseil municipal, sur https://www.les-pavillons-sous-bois.fr (consulté le ).
    35. Leo Da Veiga, « Pavillons Sous-Bois : Philippe Dallier élu maire sur fond de tensions avec l'intercommunalité : Le chef de file de la droite en Seine-Saint-Denis, et ancien maire de la commune, retrouve ainsi son siège après la démission de Katia Coppi, en même temps que celui de vice-président de Grand-Paris-Grand-Est. Une intercommunalité contre laquelle il veut entamer une action judiciaire. », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Site web de l'APJC
    39. Cyberespace
    40. Cinéma
    41. Telmedia, « Les équipements sportifs / Culture, associations & sports / Accueil - Site de la ville des Pavillons-sous-Bois », sur www.les-pavillons-sous-bois.fr (consulté le ).
    42. Associations
    43. Emploi
    44. La biographie de Lilly-Fleur Pointeaux - Actustar.com
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