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Drocourt (Pas-de-Calais)

Drocourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Drocourt
Drocourt (Pas-de-Calais)
L'église Sainte-Barbe.
Blason de Drocourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité CA Hénin-Carvin
Maire
Mandat
Bernard Czerwinski
2020-2026
Code postal 62320
Code commune 62277
Démographie
Gentilé Drocourtois
Population
municipale
2 935 hab. (2020 en diminution de 0,88 % par rapport à 2014)
Densité 863 hab./km2
Population
agglomération
552 694 hab.
Géographie
Coordonnées 50° 23′ 31″ nord, 2° 55′ 39″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 68 m
Superficie 3,4 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hénin-Beaumont-2
Législatives 11e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Drocourt
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Drocourt
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Drocourt
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Drocourt
Liens
Site web http://www.mairie-drocourt.fr mairie-drocourt.fr]

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin qui regroupe 14 communes et compte 126 965 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Drocourt est située en bordure de l'ancien bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

    La commune de Drocourt comprend deux parties, le secteur sud est le chef-lieu de la commune appelé Drocourt village, le secteur nord est constitué principalement par une ancienne cité minière appelée La Parisienne.

    Ces deux entités étaient séparées par une voie ferrée (ancienne ligne Avion-Corbehem) remplacée par une route départementale qui se branche sur l'autoroute A1.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 720 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Urbanisme

    Typologie

    Drocourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[5] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8] - [9].

    La cité minière de La Parisienne a été créée au XIXe siècle à proximité de la fosse du même nom située sur le territoire de Hénin-Liétard (Hénin-Beaumont). Elle comportait des corons dont la plupart ont été conservés et rénovés, des écoles, une église.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,6 %), zones urbanisées (24,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 40, D 40e et D 919 et est à km de la sortie no 16.1 de l'autoroute A1 reliant Paris à Lille[12].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve à km, au sud-ouest, de la gare d'Hénin-Beaumont, située sur la ligne de Lens à Ostricourt, desservie par des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[13].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Droecort, Drauecort en 1171 ; Drohaucort en 1198 ; Draucourt, Draucurt au XIIe siècle ; Drahaucourt en 1206 ; Drehaucort en 1213 ; Dreaucurt en 1213 ; Draaucurt en 1213 ; Drehaucourt en 1290 ; Drehaucoucourt en 1294 ; Drehaucourt en 1323 ; Derehaucourt en 1337 ; Derraucourt en 1430 ; Drecourt en 1469 ; Derraucourt en 1565 ; Drochourt en 1565 ; Deraucourt en 1640[14], Drocourt en 1793 ; Draucourt et Drocourt depuis 1801[15].

    Histoire

    Exploitation minière

    La société civile a commencé dès 1879 avec l'ouverture d'un puits, no 1 ou La Parisienne, au sud de la commune d'Hénin-Beaumont, près du sondage de Drocourt qui a fait de belles découvertes. À peine entré dans le niveau, la venue d'eau s'élève à 80 000 hectolitres par 24 heures. Les terrains sont désagrégés et exigent, pour être maintenus en place, un boisage provisoire très soigné. Le cuvelage est constitué de dix-huit pans de bois. Il a fallu mettre en marche une machine d'épuisement à traction directe de 150 chevaux et deux pompes de 55 centimètres de diamètre.

    Fosse 1 de Drocourt en 1900.

    Mais les terrains se raffermissent dans la profondeur et des picotages successifs retiennent bientôt les eaux. Le cuvelage commencé le 25 octobre 1880 a été terminé le 20 mars 1881 à 79,48 mètres de profondeur. Le puits de Drocourt est creusé au diamètre de 4,50 mètres dans le cuvelage. L'extraction des déblais s'effectue au moyen d'une machine à deux cylindres conjugués et horizontaux de la force de cent chevaux. Le 1er mai 1881, le puits a atteint la profondeur de 112 mètres.

    Une fois ces niveaux franchis, le creusement progresse beaucoup plus vite. En 1883, le terrain houiller est rencontré à 291,80 mètres. L'extraction commence avec une production de 1 524 tonnes de charbon gras. Des étages de recette sont ouverts à 250, 592, 550 et 609 mètres. Le puits est remblayé en 1952.

    La fosse est devenue le siège du service géologie des houillères du bassin du Nord-Pas-de-Calais et possède notamment un simulateur d'aérage. Toute activité industrielle s'éteindra avec la fermeture de la cokerie de Drocourt.

    De simple village rural de 182 habitants en 1881, Drocourt connaît un essor démographique fulgurant en dix ans, puisque l'afflux de mineurs et d'ouvriers avec leurs familles fait passer la population de Drocourt à près de deux mille habitants en 1891. Désormais, Drocourt est partagé en Drocourt-Village autour de l'ancien village et de son église Saint-Léger, au bord de la route d'Hénin-Liétard et Drocourt-Mines avec ses corons, vers la route d'Arras. Ville minière formée de corons, Drocourt atteint près de trois mille habitants en 1911 et encore plus de deux mille six-cents habitants en 1931. Le pic de population est en 1982 avec plus de trois mille quatre-cents habitants.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais depuis 2015, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement d'Arras[15].

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté d'agglomération Hénin-Carvin.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Hénin-Beaumont-2.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la onzième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1965 juin 1995 André Pouly PCF Employé aux HBNPC
    juin 1995 En cours
    (au 13 février 2022)
    Bernard Czerwinski PCF Instituteur
    Réélu pour le mandat 2014-2020[16] - [17] - [18] - [19]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[20] - [21]

    Jumelages

    La commune est jumelée avec :

    Jumelages et partenariats de Drocourt.
    VillePaysPériode
    Tokarnia[22] - [23]Polognedepuis

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

    La ville administre trois établissements ; l'école maternelle Jeannette Prin, l'école primaire Maurice Thorez et l’école élémentaire Joliot-Curie[24].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[25].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Drocourtois[26].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2020, la commune comptait 2 935 habitants[Note 5], en diminution de 0,88 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    179151153206223179159157171
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1671671721851771824471 9432 206
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4352 4782 9091 5172 5832 6462 2752 5172 567
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 4752 3613 0353 4583 3413 1042 9452 9882 936
    2020 - - - - - - - -
    2 935--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 442 hommes pour 1 482 femmes, soit un taux de 50,68 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,1
    3,8
    75-89 ans
    6,7
    15,5
    60-74 ans
    18,4
    17,6
    45-59 ans
    15,8
    21,6
    30-44 ans
    21,4
    17,6
    15-29 ans
    16,9
    23,7
    0-14 ans
    19,7
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Économie

    La ville possédait sur une partie de son territoire la plus grande cokerie d'Europe[32], la cokerie de Drocourt. Construite par la Compagnie des mines de Drocourt, puis les HBNPC, ce sera une des dernières unités de traitement du charbon (avec la centrale d'Hornaing) exploitée par les Charbonnages de France. Elle ferme le et est totalement détruite entre 2002 et 2003.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine mondial

    Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 49 de Drocourt est composé de la cité de corons de la Parisienne, de l'école, et de l'église Sainte-Barbe, à Drocourt. Ces éléments ont été bâtis par la Compagnie des mines de Drocourt pour sa fosse no 1, située à Hénin-Beaumont[33] - [34].

    Autres lieux et monuments

    Héraldique

    Blason de Drocourt Blason
    De gueules à l'épi de blé d'or posé en barre et accompagné en chef d'une colombe volante d'argent tenant dans son bec un rameau d'olivier du même, et en pointe de quatre chevalets de puits de mine d'argent rangés en fasce[36].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Le blason de Drocourt rappelle l'existence de la Compagnie des mines
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Personnalités liées à la commune

    • André Drouart (1896-1943), résistant, mort décapité en Allemagne en 1943, né à Drocourt.
    • Leon PodsiadÅ‚y (pl) (1932-2020), sculpteur, peintre et dessinateur polonais, né à Drocourt.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    13. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare d'Hénin-Beaumont », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    14. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Bilan du maire - Drocourt : Bernard Czerwinski prêt pour un quatrième mandat : En 1995, pour sa première candidature, il avait un adversaire. Puis en 2001 et 2008, Bernard Czerwinski était seul à présenter une liste, communiste, dans une commune rouge depuis 1935. En 2014, il sera de nouveau candidat. Sans doute le seul encore une fois. Mais le maire de Drocourt commence déjà a préparé l’après… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    17. Jean-Pierre Debris (CLP), « Drocourt : réélu, Bernard Czerwinski veut faire encore plus et mieux pour la population », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    18. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    19. « Bernard Czerwinski veut renforcer les liens entre quartiers et harmoniser la commune : Drocourt est une ville coupée en deux, voire en trois. D’un côté, le Drocourt mine et sa cité La Parisienne. De l’autre, Drocourt village et sa cité Palma refermée sur elle-même. Au milieu, le CD 40. Et si les Drocourtois se réunissaient ? C’est l’idée du maire, Bernard Czerwinski, qui entame son 4e mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    22. « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=26971 »
    23. « https://mairie-drocourt.fr/fr/rb/397581/jumelage-15 »
    24. « Établissements scolaires de Drocourt », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
    25. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    26. « Les habitants du Pas-de-Calais - Gentilé », sur habitants.fr (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Drocourt (62277) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    32. « La cokerie de Drocourt cesse sa production », sur Les Echos, (consulté le ).
    33. « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
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    35. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
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