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Nogent-sur-Marne

Nogent-sur-Marne (prononcĂ© [nɔ.ˈʒɑ̃ syʁ ˈmaʁn]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Val-de-Marne en rĂ©gion Île-de-France.

Nogent-sur-Marne
Nogent-sur-Marne
La mairie.
Blason de Nogent-sur-Marne
Blason
Nogent-sur-Marne
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Val-de-Marne
(sous-préfecture)
Arrondissement Nogent-sur-Marne
(chef-lieu)
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
Maire
Mandat
Jacques J. P. Martin (LR)
2020-2026
Code postal 94130
Code commune 94052
DĂ©mographie
Gentilé Nogentais
Population
municipale
33 578 hab. (2020 en augmentation de 7,31 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 11 992 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 50â€Č 12″ nord, 2° 28â€Č 57″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 99 m
Superficie 2,80 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂŽle principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Charenton-le-Pont
Canton de Nogent-sur-Marne
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Nogent-sur-Marne
Liens
Site web ville-nogentsurmarne.fr

    C'est l'une des 47 communes de ce département et l'une des deux sous-préfectures. Le , Nogent-sur-Marne est la premiÚre commune du Val-de-Marne à obtenir le label « Commune touristique »[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de Nogent-sur-Marne en région parisienne.

    La commune est limitrophe du 12e arrondissement de Paris, par le bois de Vincennes. Elle se situe Ă  5 km de la porte de Vincennes et Ă  10 km du centre de Paris. Nogent-sur-Marne est situĂ©e dans le grand bassin parisien, et fait partie de l’unitĂ© urbaine de Paris. L’ancien territoire est amputĂ© de sa partie orientale, devenue la commune du Perreux-sur-Marne Ă  la fin du XIXe siĂšcle, le .

    GĂ©ologie et relief

    La commune se situe au flanc d’un coteau dominant au sud et Ă  l’est une boucle de la Marne. Elle possĂšde en cela un grand nombre de rues particuliĂšrement en pente (notamment le bas de la rue Bauyn-de-Perreuse). Elle est limitĂ©e Ă  l’ouest par une ancienne forĂȘt (l’actuel bois de Vincennes qui fait partie de la ville de Paris). Le point culminant de la ville se trouve au nord-est dans le quartier des MarĂ©chaux prĂšs du fort de Nogent.

    Hydrographie

    La commune est bordée au sud par la Marne.

    Île des Loups sur la Marne (partagĂ©e avec Le Perreux-sur-Marne).

    Voies routiĂšres

    Nogent-sur-Marne est desservie par l’autoroute A4 en venant de Paris ou de l'Est de la France ou par l'autoroute A86, le super-pĂ©riphĂ©rique parisien. L'A86 passe sous la partie Est de la ville grĂące Ă  un tunnel. La jonction entre la A86 et la A4 n'est rĂ©alisĂ©e que pour moitiĂ© sous la Marne, ce qui entraĂźne des embouteillages sur le pont[2] enjambant la Marne, dit « Pont de Nogent », permettant de rejoindre Champigny-sur-Marne. Cependant, les travaux sur le pont achevĂ©s en mars 2019 ont conduit Ă  une fluidification de l'infrastructure par la suppression du carrefour Ă  l'indonĂ©sienne qui Ă©tait responsable de la perturbation du flux de vĂ©hicules.

    Plusieurs départementales traversent la ville : la RD 86 (boulevard de Strasbourg, ancienne RN 34) et la RD 120 (traversant Nogent-sur-Marne du bois de Vincennes jusqu'au boulevard Albert-1er).

    Pistes cyclables

    Les pistes cyclables sont prĂ©sentes dans plusieurs quartiers (bordure du bois de Vincennes, rue ThĂ©odore-Honoré ). Trois stations VĂ©lib' sont accessibles Ă  Nogent-sur-Marne : devant le commissariat de police municipal, entre le RER A et le bois de Vincennes, ainsi que sur le parvis de la gare de Nogent - Le Perreux du RER E.

    Transports en commun

    Un MI 09 arrivant en gare de Nogent-sur-Marne.

    Nogent-sur-Marne est particuliĂšrement bien desservie en infrastructures de communications :

    En train, par le (RER) (A) Ă  la gare de Nogent-sur-Marne (branche de Boissy-Saint-LĂ©ger) ou (RER) (E) gare de Nogent - Le Perreux (branche de Villiers-sur-Marne - Tournan-en-Brie) (voir Liste des stations du RER)

    En bus, par les lignes :

    Les lignes 114 et 210 relient Ă©galement les gares de Nogent entre elles avec le mĂ©tro Ă  la station ChĂąteau de Vincennes de la ligne 1 en moins de 10 minutes, ce qui peut ĂȘtre une bonne alternative pour rejoindre l'est parisien ainsi qu'en cas de situation perturbĂ©e.

    Transport fluvial

    Avec une capacitĂ© de 170 emplacements, le port de plaisance est le deuxiĂšme plus important d'Île-de-France aprĂšs le port de l'Arsenal de Paris.

    Urbanisme

    Typologie

    Nogent-sur-Marne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9] - [10].

    Morphologie urbaine

    Bords de Marne à Nogent-sur-Marne depuis le quartier « ßle de Beauté ».

    La commune est divisée en six secteurs représentés depuis fin 2008 par des conseils de quartier : Beauté Baltard, Le Bois-Porte de Nogent, Nogent Village, Plaisance (incluant Les Maréchaux), Le Port sous la Lune et Les Viselets[11].

    Logement

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 15 689, alors qu'il Ă©tait de 14 651 en 1999[a 1].

    Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 10,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 14,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 84,6 % des appartements[a 2].

    La proportion des rĂ©sidences principales, propriĂ©tĂ©s de leurs occupants Ă©tait de 52,7 %, en lĂ©gĂšre hausse par rapport Ă  1999 (50,7 %). La part de logements HLM louĂ©s vides (logements sociaux) Ă©tait toujours infĂ©rieure au seuil lĂ©gal de 20 % et mĂȘme en baisse : 11,6 % contre 13,4 % en 1999[a 3].

    Projets d'aménagements

    Pour les annĂ©es 2014 Ă  2030, le projet d'amĂ©nagement votĂ© au conseil municipal du 27 fĂ©vrier 2013 comporte trois axes. PremiĂšrement, inscrire le territoire dans la dynamique du Grand Paris tout en prĂ©servant l’identitĂ© et la spĂ©cificitĂ© de la commune. DeuxiĂšmement, prĂ©server et valoriser un cadre de vie d’exception par la protection du patrimoine. TroisiĂšmement, renforcer l’attractivitĂ© Ă©conomique, touristique et fonctionnelle de la ville[12]. Les alentours de la gare RER Nogent-sur-Marne sont mis en chantier depuis dĂ©but 2016 pour y construire des bureaux, des nouveaux logements et dĂ©gager une perspective sur le pavillon Baltard[13]. Le marchĂ© central couvert, qui ne rĂ©pond plus aux normes de sĂ©curitĂ©, sera reconstruit.

    Toponymie

    Panneau d'entrée depuis Fontenay.

    Le nom de Nogent est un toponyme d'origine gauloise. Comme tous les Nogent recensés par Albert Dauzat et Charles Rostaing[14], attestée sous les formes de vico novigento au VIe siÚcle et Novientus en 848, il est composé par :

    • l'Ă©lĂ©ment celtique qui vient du latin « novio », signifiant neuf ou nouveau, que l'on retrouve Ă©galement dans tous les Noyon, Nouvion, etc., suivi par
    • le suffixe gaulois, lui-mĂȘme provenant du latin « ent » qui dĂ©signe une localisation et que l'on retrouve dans Douvrend (Dovrent, XIIe siĂšcle) semble-t-il[15] et dans Drevant (Derventum, sur dervo, chĂȘne).

    Histoire et Ă©volution

    Moyen Âge

    De par sa position au bord d'une riviĂšre, la Marne, et de la forĂȘt, Nogent-sur-Marne est un lieu propice Ă  la crĂ©ation d'une agglomĂ©ration, ainsi un peuplement de l'Ă©poque gallo-romaine est rĂ©fĂ©rencĂ© Ă  cet endroit.

    Un palais mérovingien de Chilpéric Ier (526-584) aurait été situé à Nogent-sur-Marne. En 581, Grégoire de Tours cite Novigentum comme résidence du roi[16]. Chilpéric y reçoit une délégation de Childebert II, vraisemblablement en 581.

    Par ailleurs, une charte du site nogentais et datée du , aurait été émise par le roi mérovingien Clovis III (670-?)[17].

    Il est possible que Thierry III ait également séjourné à Nogent en 675 ou 676[18].

    D'autres documents officiels attestent également d'une occupation mérovingienne sur le territoire de la commune. La démonstration en est faite lors de fouilles de sauvetage en 1977 et 1987. Lors de ces recherches, un certain nombre de sépulture de cette époque sont mises au jour[19]. La datation de cinq d'entre elles montre une occupation pérenne sur l'ensemble des périodes mérovingiennes et carolingiennes. La plus ancienne est creusée entre 422 et 563 de notre Úre[20]

    Des domaines sont constituĂ©s au Moyen Âge :

    La seigneurie de Nogent appartint aux religieux de Saint-Maur-des-Fossés puis à des rois de France, mais les religieux et Charles VI affranchirent les habitants du droit de prise.

    Une ordonnance du 14 février 1404 statua que les Nogentais faucheraient trois arpents d'une prairie royale, et en transporteraient le foin au chùteau de Vincennes[21].

    En mars 1475, par ses lettres patentes, Louis XI confirma les droits des habitants octroyés par ses prédécesseurs[22].

    Temps modernes

    DĂšs le XVIIe siĂšcle, alors que la population rurale est composĂ©e d’une majoritĂ© de vignerons et d'agriculteurs, la bourgeoisie dĂ©couvre les charmes du pays et s’installe Ă  Nogent-sur-Marne ; entre autres :

    • Jean-Antoine Watteau, le peintre qui vient passer chez M. Lefevre ses derniers instants et y meurt en 1721[23] — le lieu de rĂ©sidence nogentais prĂ©cis oĂč il a vĂ©cu le restant de ses jours a occasionnĂ© un dĂ©bat entre Pierre Champion et Émile Brisson vers la fin du XIXe siĂšcle —. Un monument dĂ©diĂ© Ă  sa mĂ©moire, sous la forme d'un buste supportĂ© par un piĂ©destal, est ultĂ©rieurement inaugurĂ© en 1865[23].
    • Les Coignard, imprimeurs du roi, avec Jean Baptiste II qui imprime la premiĂšre Ă©dition du dictionnaire de l'AcadĂ©mie française, et son fils Jean Baptiste III qui reprend sa charge et devient secrĂ©taire du Roi et conservateur des hypothĂšques.
    • L'abbĂ© de Pomponne, abbĂ© de Saint-MĂ©dard de Soissons, ambassadeur de Venise, aumĂŽnier du roi, conseiller d'État et crĂ©ateur de la premiĂšre compagnie de l'arc Ă  Nogent[24] en 1733.
    • Les Vandenywer, banquiers de la comtesse Dubarry, qui seront guillotinĂ©s avec elle.
    • La comtesse de Larboust[25], petite fille de la nourrice de Louis XV, qui sauva ce dernier d'empoisonnement en le nourrissant exclusivement au sein, le laissant seul hĂ©ritier du trĂŽne, alors que l'on assista aux dĂ©cĂšs rapprochĂ©s de Louis, Grand Dauphin, fils de Louis XIV, de Louis, duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, de son Ă©pouse Marie-AdĂ©laĂŻde de Savoie, et de Louis, duc de Bretagne, frĂšre ainĂ© de Louis XV[26].
    Le viaduc de Nogent, photographié vers 1900, qui marque le paysage de la ville, date de 1854.
    Il permet aux lignes Paris - Mulhouse et de Grande Ceinture de franchir la vallée de la Marne.

    Révolution française et Empire

    En 1789, lors du bouleversement administratif du pays initiĂ© par loi de l’AssemblĂ©e constituante, les archives municipales apparaissent avec la crĂ©ation de la commune de Nogent-sur-Marne dont elles retracent l’activitĂ©. En 1814, Ă  la veille de l’occupation de Nogent par les Cosaques lors de la Campagne de France, les autoritĂ©s communales les mettent en sĂ»retĂ© dans une cave, puis lors de la guerre franco-allemande de 1870, Ă  la veille de l’arrivĂ©e des troupes confĂ©dĂ©rĂ©es allemandes, les transfĂšrent au tribunal de commerce de Paris.

    Époque contemporaine

    Le 26 mars 1872[27], le marĂ©chal Vaillant lĂšgue Ă  la commune sa propriĂ©tĂ© ravagĂ©e par les bombardements prussiens. C'est sur ces terrains que la nouvelle mairie est construite (actuel square d’Estienne-d’Orves) oĂč les archives sont stockĂ©es, puis classĂ©es mĂ©thodiquement une fois les combats de 1940 achevĂ©s, puis relativement dĂ©laissĂ©es de 1950 Ă  1983, et rĂ©organisĂ©es depuis cette date[28].

    En janvier 1904, Émile Armet de Lisle inaugure au 31 rue du Port une usine qui exploite les « sels de radium ». Avec Henri Farjas il fonde une banque du radium et un magazine, Le Radium, pour des applications industrielles[29].

    Chemin de fer nogentais, viaduc et tramways

    La construction des deux lignes de chemin de fer de Paris à Mulhouse et de la Bastille à La Varenne dans les années 1850 accélÚre encore le processus. Le train arrive à Nogent-sur-Marne dans une gare provisoire le 7 juillet 1856 (actuelle ligne de Paris à Mulhouse). La gare de Nogent - Vincennes ouvre en 1859 sur la ligne de Vincennes.

    Le viaduc de Nogent-sur-Marne dessert la ligne Paris-Mulhouse, et notamment pour la banlieue Paris Gare de l'Est à Tournan-en-Brie (devenu RER E en 1999), construit par les Auvergnats et les Belges est détruit une premiÚre fois le 15 septembre 1870. Ce sont les Italiens qui le reconstruisent. Il sera dynamité à nouveau par les Allemands en 1944, et les arches détruites remplacées par des arches en béton armé en 1945[30].

    Tramway nogentais à impériale, en traction électrique, vers 1900, à l'entrée du Bois de Vincennes.

    1887 voit l'ouverture d’une ligne de tramways « ligne Vincennes - Ville-Evrard », des Chemins de fer nogentais avec traction Ă  air comprimĂ©, puis Ă©lectrique Ă  partir de 1900.

    RĂ©seau de bus

    À partir de 1937, un rĂ©seau d'autobus, partant notamment depuis le terminus du mĂ©tro ligne 1 ChĂąteau de Vincennes, prendra le relais (traversant le Bois de Vincennes via la Porte Jaune) (113 : Le Perreux via le boulevard de Strasbourg, 114 : Le Perreux via la Grande Rue, 120 : Bry-sur-Marne, via la Grande Rue). Ce rĂ©seau continuera jusqu'Ă  l'arrivĂ©e plus pratique du RER A en 1969, s'ensuivant de quelques modifications : Le 313 partant alors du chĂąteau de Vincennes, et tous les autres bus depuis la gare de Nogent.

    Communauté italienne transalpine

    Sans doute attirĂ©e par les travaux de reconstruction, c’est la communautĂ© italienne qui s’implante. Venus pour la majoritĂ© de la province de Plaisance, ils sont originaires du Val de Nure, pas moins de 40 % pour Ferriere, et plus prĂ©cisĂ©ment de la frazione de Rocca, de Bettola, ou du Val Ceno (Bardi), mais aussi de la province de Novare, ou encore du Sud-Tyrol, de Toscane ou du Frioul. L’histoire de cette immigration est immortalisĂ©e par François Cavanna dans son roman Les Ritals.

    L'immigration italienne débuta vers 1870 et connut son apogée vers 1926, en restant importante jusque dans les années 1960[31].

    Isolée depuis 1854 par la construction du viaduc de la ligne Paris-Mulhouse, la commune du Perreux voit le jour aprÚs une lutte de plus de 10 ans en 1887.

    L'urbanisation et l'aménagement du réseau routier se poursuivent avec la construction d'écoles, d'immeubles et du pont de Nogent. AprÚs la Seconde Guerre mondiale, une politique de rénovation est menée, et des ßlots sont construits le long des grands axes routiers. Les bords de Marne sont réaménagés avec le comblement de son bras mort, la construction du centre nautique et du port de plaisance.

    Proximité du Bois de Vincennes

    La forĂȘt cĂŽtoyant Nogent, Ă©tant devenue le bois de Vincennes, entiĂšrement rĂ©amĂ©nagĂ© en 1855 et 1866, Ă  la demande de NapolĂ©on III, sa proximitĂ© sur Saint-MandĂ© Ă  la limite de Nogent, en fait un lieu de loisirs facile d'accĂšs pour les enfants, promeneurs ou cyclistes, en rejoignant le lac des Minimes prĂšs de la porte Jaune.

    Pour davantage d'informations sur l'histoire urbaine et le patrimoine de Nogent-sur-Marne, voir l'ouvrage publiĂ© dans la collection Images du Patrimoine du ministĂšre de la Culture : Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel, RĂ©gion Île-de-France. Isabelle Duhau (rĂ©d.) ; StĂ©phane Asseline et Laurent Kruszyk (photogr.)[32] - [Note 3].

    Les guinguettes du bord de Marne

    Nogent-sur-Marne est bien connu notamment pour ses guinguettes, situĂ©es en majoritĂ© sur les bords de la Marne. DĂšs la deuxiĂšme moitiĂ© du XIXe siĂšcle, le petit peuple de Paris, utilisant le nouveau chemin-de-fer, y venaient en nombre le dimanche pour boire le guinguet, le vin local, exemptĂ© de la taxe parisienne sur l'alcool. De nombreux orchestres de bal musette s'y succĂšdent, de nombreux danseurs ou titis venus "guincher" et s'"encanailler" faisant tournoyer leur cavaliĂšre aux rythmes effrĂ©nĂ©s de l'accordĂ©on, le dimanche aprĂšs-midi notamment[33]. Le nombre de guinguettes Ă©tait particuliĂšrement important au cours de son Ăąge d'or vers 1900[34], favorisĂ©es par l'arrivĂ©e des Italiens. Nogent est alors surnommĂ© l'Eldorado du dimanche et un film documentaire de Marcel CarnĂ© (1929) traite de ce sujet. Les bals musette se rarĂ©fiĂšrent ensuite progressivement, surtout Ă  partir des annĂ©es 1960, dĂ©trĂŽnĂ©s par les nouvelles modes des danses et rythmes venus des États-Unis. La plus cĂ©lĂšbre d'entre elles, toujours existante actuellement, conjointement au "Petit Robinson" de Joinville le Pont (fermĂ© en 2007), est "GĂ©gĂšne"[35]. Les canotiers Ă©taient Ă©galement cĂ©lĂšbres pour effectuer Ă  cette Ă©poque un tour en barque sur la Marne.

    FĂȘte du petit vin blanc

    La fĂȘte du Viaduc avec courses d’aviron et joutes nautiques et parfois lĂąchers de ballons aĂ©rostatiques, avait lieu le 15 aoĂ»t aux dĂ©buts du XXe siĂšcle. Nogent-sur-Marne est renommĂ©e grĂące Ă  la chanson de 1943 sous forme de valse musette, Ah ! le petit vin blanc sur des paroles de Jean DrĂ©jac et la musique de Charles Borel-Clerc, puis interprĂ©tĂ©e par Lina Margy. En juin 1954, sous l'Ă©gide de Roland Nungesser, qui deviendra maire de Nogent-sur-Marne en 1959, la fĂȘte du petit vin blanc fut organisĂ©e, conjointement Ă  la fĂȘte des Guinguettes et Ă  la fĂȘte de la RentrĂ©e, en septembre, du Perreux sur Marne[36].

    Cette fĂȘte rĂ©unissait sous forme de dĂ©filĂ© voire concerts, tous les deux ans en juin durant deux jours consĂ©cutifs, de nombreuses fanfares venues de diffĂ©rents pays, comme notamment celles des villes jumelĂ©es, allemande de Siegbourg et suisse d'Yverdon, ainsi que de Hollande, formĂ©es de cuivres, fifres et tambours, prĂ©cĂ©dĂ©es de majorettes, dont celles du quadrille de Nogent, accompagnĂ©es de corsos composĂ©s de chars fleuris et envois de confettis multicolores. Elle partait depuis le haut du boulevard de Strasbourg, descendant place Leclerc, pour s'acheminer dans la Grande Rue et terminer en se regroupant face Ă  la mairie pour un concert de fanfares sur la place. Elle Ă©tait clĂŽturĂ©e par un feu d'artifice sur les bords de Marne. L'Ă©lection de la "miss" dĂ©signĂ©e "Reine du petit vin blanc" Ă©tait une personnalitĂ© du spectacle (cinĂ©ma, chanson ou tĂ©lĂ©vision). La derniĂšre fĂȘte du petit vin blanc eut lieu en juin 1990[37].

    En hommage Ă  Jean DrĂ©jac disparu en 2003, la ville inaugure en 2007 le square du Petit-Vin-Blanc bordĂ© de vignes et de l’allĂ©e Jean-DrĂ©jac[38].

    Le Quadrille de Nogent-Val de Marne

    Il dĂ©bute en 1966 sous la forme « danses de salon et de la belle Ă©poque », s'inspirant du quadrille des Lanciers, comportant cinq figures. Il prĂ©sente en costume d’époque, oĂč le canotier et promenades en barques des bords de Marne Ă©taient en vogue
 puis participe au carnaval de Siegburg. Les danses folkloriques s'ajoutĂšrent ensuite aux reprĂ©sentations, avec les costumes appropriĂ©s. Il participe Ă  de nombreux dĂ©filĂ©s dont la FĂȘte du petit vin blanc[39].

    Les Moineaux du Val-de-Marne

    En 1953, l'abbé Pierre Tessier crée la chorale-manécanterie des Moineaux de Beauté-Plaisance, référence à deux quartiers de Nogent. Ils deviennent en 1965 Les Moineaux du Val-de-Marne, chantant notamment à l'église Saint Saturnin. Le pÚre Roger Coutelle en assure alors la direction jusque vers 1975. Il écrit et compose également plusieurs chansons religieuses de Noël. Denis Chasset prend la succession. Ils enregistrent plusieurs disques renommés[40].

    Le scoutisme est également trÚs présent prÚs des bords de Marne[41].

    Le stade sous la Lune, la piscine et le RĂ©veil de Nogent

    L'aviron possĂšde aussi son club sportif.

    Au cours des années 1960, fut créé le « Stade sous la lune[42] », puis la jetée du port de plaisance.

    Enfin, en 1972, la piscine fut Ă©rigĂ©e[43], contenant un bassin intĂ©rieur de 25 m, un extĂ©rieur de 50 m, ainsi qu'une fosse au-dessous d'un ensemble de grands plongeoirs de 3, 5, et 7,50 mĂštres, le plus haut s'Ă©levant jusqu'Ă  10 mĂštres[44]. Un bowling s'y adjoignit.

    Le Réveil de Nogent fut fondé en 1883 au départ pour la gymnastique et le tir, puis crée en 1933 une section de basket-ball, de hand-ball en 1953, de danse classique en 1951 et de danse rythmique en 1973[45].

    Art, culture et conférences

    Au 28 rue Émile-Zola, en 1936, une salle de fĂȘtes polyvalente fut amĂ©nagĂ©e avec de belles dĂ©corations et une verriĂšre au cachet particulier "rĂ©tro", Ă  la place d'un ancien gymnase municipal lui-mĂȘme Ă©rigĂ© en 1927, pour des confĂ©rences, votes aux Ă©lections, projections de documentaires, spectacles, danse, rĂ©unions des SociĂ©tĂ©s de Nogent, etc[46].

    La Maison des Jeunes et de la Culture Louis-Lepage (nom de l'ancien adjoint au maire), fut créée dans les années 1970, proposant de nombreuses activités artistiques et culturelles : théùtre, danse, poterie, échecs, atelier littéraire, etc[47].

    La petite place du Théùtre est aussi créée en 1990 prÚs de la gare de Nogent-Le Perreux pour construire La ScÚne Watteau, propice aux piÚces de théùtre, concerts et spectacles[48].

    Cinéma Royal-Palace
    Façade du cinéma.

    En 1921, Albert Klein construit dans la Grande Rue le Royal-Palace, celui-ci Ă©tant aussi utilisĂ© durant l’entre-deux guerres en music-hall, accueillant de grands artistes comme Fernandel.

    En 1972, il se transforme en quatre salles sĂ©parĂ©es Artel-UGC diffusant chacune un film en continu. Face Ă  la crise de l’exploitation cinĂ©matographique, il ferme ses portes au dĂ©but des annĂ©es 1990, puis rouvre en 1997 sous son nom originel du Royal Palace. En 2012, il rajoute deux salles Ă  l'arriĂšre du bĂątiment historique, en le rendant conforme aux normes pour les personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite. Sa façade est classĂ©e aux monuments historiques en 1990.

    Le RER A

    En 1969, les carrefours de la place du GĂ©nĂ©ral Leclerc furent rĂ©amĂ©nagĂ©s, Ă  la suite de l'arrivĂ©e du nouveau RER A desservant Boissy Saint-LĂ©ger jusqu'Ă  Nation dans un premier temps, venu remplacer l'ancien train Ă  locomotive Ă  vapeur qui desservait jusqu'Ă  Bastille. La gare de Nogent - Vincennes est fermĂ©e pour ĂȘtre remplacĂ©e par l'actuelle gare de Nogent-sur-Marne. De nombreux immeubles de 10 Ă©tages y furent construits. Un nouveau marchĂ© couvert s'y implanta ainsi qu'une patinoire qui fonctionna au cours des annĂ©es 1990 sur cette place. L'entrĂ©e se situe avenue des marronniers.

    Le pavillon Baltard

    Pavillon Baltard.

    En 1976, le maire Roland Nungesser rachÚte le 8e pavillon Baltard, construit à l'origine sous Napoléon III et démonté de l'ancien marché des Halles de Paris, pour le faire reconstruire, en réadaptant l'intérieur pour en faire une salle de spectacles.

    Dans ce pavillon, il fait remonter également l'ex-orgue de cinéma du Gaumont-Palace, et installer un morceau des escaliers de la Tour Eiffel ainsi qu'un carrousel de chevaux de bois 1900, une colonne Morris et une fontaine Wallace[49].

    De nombreux artistes et spectacles s'y succÚdent tels que les organistes John Mann ou Rhoda Scott, les chanteurs Georgette Plana, Jack Lantier, Michel Sardou, Les Compagnons de la chanson, Thierry Le Luron, la chorale Vent d'Est avec le groupe andin Los Calchakis et le Quadrille de Nogent (danses de la belle époque et folkloriques)[39]. De 1990 à 1994, Michel Drucker effectue ses émissions diffusées sur TF1 au pavillon Baltard, sous le nom de Stars 90.

    La sous-préfecture du Val-de-Marne

    Vers 1978, les plus vieux bĂątiments situĂ©s entre la Grande rue Charles-de-Gaulle et la rue Pierre-Brossolette sont dĂ©molis, pour y faire construire la nouvelle sous-prĂ©fecture du Val-de-Marne. Roland Nungesser baptise l'esplanade adjacente en hommage aux aviateurs Nungesser et Coli, honorant ainsi la mĂ©moire de son oncle. Le parc Watteau, jusqu'ici privĂ©, devient Ă  cette mĂȘme pĂ©riode accessible au public[50].

    Le parc de l'Institut Biblique possĂšde l'un des plus grands cĂšdres du Liban de la banlieue parisienne, patrimoine arboricole, le second n'ayant pu ĂȘtre conservĂ© lors de l'amĂ©nagement de la sous-prĂ©fecture. La rue qui le borde s'appelait d'ailleurs rue du CĂšdre avant d'ĂȘtre rebaptisĂ©e rue Jean Moulin vers 1959 en hommage au hĂ©ros de la RĂ©sistance,

    Au dĂ©but des annĂ©es 1990, la place du MarchĂ© est rĂ©amĂ©nagĂ©e avec un kiosque, de nouveaux bĂątiments remplacent les anciens de maniĂšre plus "conviviale" et progressivement au fil des annĂ©es, tout l'ensemble de la Grande Rue, ainsi que la rue Jacques-KablĂ©. La rue BaĂŒyn-de-Perreuse oĂč se situent l'Ă©cole primaire suivie du lycĂ©e Edouard-Branly (l'une des plus pentue proche de Paris), devient entiĂšrement piĂ©tonne pour les Ă©lĂšves.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[51], la commune faisait partie du dĂ©partement de la Seine. Le redĂ©coupage des anciens dĂ©partements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient dĂ©sormais au Val-de-Marne Ă  la suite d'un transfert administratif effectif le .

    La commune fait partie du canton de Nogent-sur-Marne du département de la Seine créé en 1893. Il est recréé lors de la création du Val-de-Marne et comprend la totalité de la commune. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le canton de Nogent-sur-Marne est remanié, et la commune est désormais divisée entre ce canton et celui de Charenton-le-Pont.

    Nogent-sur-Marne possĂšde un tribunal d'instance. En revanche, le tribunal de grande instance, le tribunal pour enfants et la cour d'assises du Val-de-Marne sont Ă  CrĂ©teil, de mĂȘme que le tribunal de commerce. Nogent-sur-Marne dĂ©pend du tribunal administratif de Melun, de la cour administrative d'appel de Paris, et pour le conseil des prud’hommes, de Villeneuve-Saint-Georges.

    Intercommunalité

    Les communes de Nogent-sur-Marne et du Perreux-sur-Marne ont créé en 2000 la communauté d'agglomération de la Vallée de la Marne (CAVM), qui ne comptait que ces deux villes.

    Dans le cadre de la mise en Ɠuvre de la volontĂ© gouvernementale de favoriser le dĂ©veloppement du centre de l'agglomĂ©ration parisienne comme pĂŽle mondial est crĂ©Ă©e, le , la mĂ©tropole du Grand Paris (MGP), Ă  laquelle la commune a Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e[52].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matiÚre de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

    La commune fait donc également partie depuis le de l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[53] créé par un décret du 11 décembre 2015[54], et qui a remplacé la CAVM.

    Tendances politiques et résultats

    Les derniÚres tendances politiques et résultats de plusieurs élections montrent que la ville penche nettement à droite.

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste UMP menĂ©e par le maire sortant Jacques J. P. Martin obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 5 553 voix (50,77 %, 30 conseillers municipaux Ă©lus dont 8 communautaire), devançant trĂšs largement les listes menĂ©es respectivement par[55] :
    - Karine Renouil (UDI, 1 924 voix, 17,59 %, 3conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire) ;
    - Michel Gilles (DVD, 1 731 voix, 15,82 %, 3 conseillers municipaux Ă©lus) ;
    - Nicolas Leblanc (PS, 1 728 voix, 15,80, % 3 conseillers municipaux Ă©lus).
    Lors de ce scrutin, 50,87 % des Ă©lecteurs se sont abstenus.

    Lors du premier tour de l’élection prĂ©sidentielle française de 2017, Emmanuel Macron (EM) arrive en tĂȘte dans la ville avec 34,5 % des suffrages devant François Fillon (LR) qui lui rĂ©colte prĂšs de 32 % des suffrages. Ensuite arrive en troisiĂšme position Jean-Luc MĂ©lenchon (FI) avec 13,5 % des voix, Marine Le Pen (FN) quatriĂšme avec 7,3 % des voix et cinquiĂšme BenoĂźt Hamon (PS) avec 6,9 % des voix. Lors du second tour, Emmanuel Macron (EM) arrive en tĂȘte avec 85,47 %[56].

    Lors du second tour des Ă©lections municipales de 2020 Ă  Nogent-sur-Marne, la liste LR menĂ©e par le maire sortant Jacques J. P. Martin — qui bĂ©nĂ©ficiait de la fusion de la liste LREM-MR du premier tour menĂ©e par Philippe Pereira — obtient la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s, avec 3 239 voix (41,80 %, 28 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 mĂ©tropolitain).
    Elle devance de 100 voix celle DVD menĂ©e par Gilles HagĂšge — fiusionnĂ©e avec la liste DVC du premier tour menĂ©e par FrĂ©dĂ©ric Lamprecht — qui a recueilli 3 139 voix (40,51 %, 8 conseillers municipaux Ă©lus).
    La troisiĂšme liste EÉLV-PS-PCF-LFI-G.s menĂ©e par Paola Pietrandrea a obtenu 1 371 voix (17,69 %, 3 conseillers municipaux Ă©lus).
    Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 64,25 % des électeurs se sont abstenus[57].

    Politique locale

    Nogent-sur-Marne dispose d'un conseil des Jeunes Nogentais et d'un conseil des sages.

    En 2007 un arrĂȘtĂ© anti-mendicitĂ©[58] fut instituĂ© de mi-septembre Ă  fin avril et de 8h Ă  17h sur une partie importante du domaine communal. Un autre arrĂȘtĂ©, pris le 16 septembre 2011[59], interdit de fouiller dans les poubelles et containers dĂ©posĂ©s sur la voie publique, de renverser leur contenu au sol, d'uriner ou de cracher sur la voie publique, ou de souiller celle-ci de quelque maniĂšre que ce soit ; le tarif de l'amende s'Ă©leva Ă  38 euros. Le maire justifia cette mesure par des raisons de santĂ© publique et d'esthĂ©tique urbaine. Cet arrĂȘtĂ© crĂ©a une grande controverse Ă  la suite de la reprise de l'information par l'ensemble des mĂ©dias. Il a Ă©tĂ© suspendu par le tribunal administratif de Melun fin novembre 2011[60].

    Le 11 fĂ©vrier 2012 est annoncĂ©e par le maire l'Ă©rection d'une statue en bronze de 2 mĂštres de hauteur reprĂ©sentant Carla Bruni, alors premiĂšre dame. Cela a dĂ©clenchĂ© une vive polĂ©mique aux niveaux local et national[61], cette annonce intervenant en pleine campagne prĂ©sidentielle. La mairie a finalement renoncĂ© Ă  prendre en charge une partie des coĂ»ts et la statue est financĂ©e intĂ©gralement par le promoteur Cogedim et inaugurĂ©e en septembre 2012[62].

    Liste des maires

    Depuis la Libération de la France, six maires se sont succédé :

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 1945 Georges Charles Vilbert
    1945 1947 Pierre Chapel DVD ?
    1947 1959 Charles LĂ©on Gabriel Jobelin RPF
    1959 1995[63] Roland Nungesser RPR Conseiller gĂ©nĂ©ral de Nogent-sur-Marne (1967 → 1988)
    PrĂ©sident du Conseil gĂ©nĂ©ral (1970 → 1976)
    DĂ©putĂ© de la Seine (1958 → 1966) et du Val-de-Marne (1968 → 1997)
    Ministre (1966 → 1968)
    Officier de la LĂ©gion d'honneur[64]
    1995[65] 2001 Estelle Debaecker[66] UDF Directrice générale d'une société de conseil
    ConseillÚre régionale (1997-2002)
    2001 En cours
    (au 3 février 2022)
    Jacques J. P. Martin UMP → LR
    puis DVD[67]
    Conseiller gĂ©nĂ©ral (1988 → 2015)
    PrĂ©sident de la CA VallĂ©e de la Marne (? → 2015)
    PrĂ©sident de l'EPT Paris-Est-Marne et Bois (2016→2020)
    PrĂ©sident du SIPPEREC (201[68] → 2020 )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[69]

    Jumelages

    Au 20 février 2013, Nogent-sur-Marne est jumelée avec[70] :

    La ville a également signé des accords d'amitié avec Jezzine (Liban) et Metoula (Israël).

    Par ailleurs, la commune a signé en 1992 un accord de coopération (eau et assainissement) avec la commune de Keur Massene en Mauritanie[70].

    Équipements et services publics

    Enseignement

    École Paul Bert.

    HĂ©ritage du XIXe siĂšcle oĂč Nogent-sur-Marne s'urbanisa plus rapidement que les villages alentours du fait de l'arrivĂ©e de la ligne de chemin de fer, la ville constitue un pĂŽle important en matiĂšre d’éducation, puisqu'on y trouve un grand nombre d'Ă©tablissements au regard de sa population. Les Ă©tablissements nogentais accueillent des Ă©lĂšves de toutes les communes avoisinantes. On trouve Ă  la fois des lycĂ©es publics et sous contrat, gĂ©nĂ©raux et professionnels.

    Nogent-sur-Marne compte cinq écoles maternelles publiques : Gallieni, Val-de-Beauté, Fontenay, Léonard-de-Vinci, Victor-Hugo et trois privés St André, Albert de Mun et Montalembert.

    En cours primaire, il y a cinq écoles publiques : Val-de-Beauté, Paul-Bert, Guy-MÎquet, Victor-Hugo et Léonard-de-Vinci, et trois privées St André, Albert de Mun et Montalembert.

    La ville accueille cinq collĂšges. Le collĂšge Watteau et le collĂšge Édouard-Branly sont publics, alors que Saint-AndrĂ©, Albert de Mun, Montalembert et le Cours Nogentais sont privĂ©s.

    Nogent-sur-Marne a Ă©galement de nombreux lycĂ©es. Le lycĂ©e gĂ©nĂ©ral Édouard-Branly, le lycĂ©e technologique Louis-Armand et le lycĂ©e professionnel Edmond-Rostand sont issus de la division du lycĂ©e de Nogent-sur-Marne en 1967. L'EREA est un lycĂ©e professionnel pour les mĂ©tiers du tourisme, et La-Source forme aux mĂ©tiers de la mode. Val-de-BeautĂ© est le quatriĂšme lycĂ©e professionnel de Nogent-sur-Marne. Nogent-sur-Marne compte aussi deux lycĂ©es privĂ©s gĂ©nĂ©raux, le lycĂ©e Albert-de-Mun[73] et l'Institut Montalembert[74].

    Santé

    L'hÎpital privé Armand Brillard de Nogent-sur-Marne a fusionné avec la clinique de l'Orangerie au Perreux-sur-Marne. Il est équipé notamment d'un service d'urgence, d'un pÎle maternité et d'un pÎle d'imagerie médicale. Il est situé vers le bas de Nogent-sur-Marne, prÚs du bois de Vincennes et du RER A.

    Il fait partie du groupe Ramsay Générale de Santé[75]

    Équipements sportifs

    Les principaux équipements sportifs de Nogent-sur-Marne sont le stade Alain-Mimoun, avec un terrain synthétique, l'espace David-Douillet pour les arts martiaux, un centre nautique avec bassin extérieur, des courts de tennis et six gymnases.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[76] - [Note 4].

    En 2020, la commune comptait 33 578 habitants[Note 5], en augmentation de 7,31 % par rapport Ă  2014 (Val-de-Marne : +3,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1981 2561 0041 1701 2011 4961 8281 9962 104
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5513 5634 9766 2647 5599 49112 9728 3999 413
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    10 58611 72114 05117 46419 76521 32421 05621 54723 581
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    24 50126 23825 63424 63025 24828 19130 63231 79531 947
    2020 - - - - - - - -
    33 578--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[77] puis Insee Ă  partir de 2006[78].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  35,6 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 23,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 19,9 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 15 352 hommes pour 17 570 femmes, soit un taux de 53,37 % de femmes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,91 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[79]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    1,9
    5,7
    75-89 ans
    8,2
    13,8
    60-74 ans
    15,5
    18,9
    45-59 ans
    18,6
    22,5
    30-44 ans
    22,6
    17,9
    15-29 ans
    16,4
    20,4
    0-14 ans
    16,8
    Pyramide des ùges du département du Val-de-Marne en 2018 en pourcentage[80]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    4,9
    75-89 ans
    7,1
    12,4
    60-74 ans
    13,3
    19,6
    45-59 ans
    19,3
    21,3
    30-44 ans
    21,2
    20,6
    15-29 ans
    19,2
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Manifestations culturelles et festivités

    De nombreux événements ont lieu tout au long de l'année :

    • Salon de l'artisanat et des mĂ©tiers d'art (dĂ©but dĂ©cembre)
    • TĂ©lĂ©thon (dĂ©but dĂ©cembre)
    • Durablement Nogent-sur-Marne : animations, exposition sur le dĂ©veloppement durable (dĂ©but avril)
    • Animaflore (dĂ©but mai)
    • Vive l'art rue, avec des spectacles d'art de la rue, organisĂ© par le comitĂ© dĂ©partemental des MJC (mi-mai)
    • Les MĂ©diĂ©vales (fin mai)
    • Festival de l'OH! (organisĂ© par le conseil gĂ©nĂ©ral au printemps un an sur deux)
    • Foire aux Trouvailles, grand vide-grenier, (fin juin et fin septembre)
    • FĂȘte de la musique, avec plusieurs concerts sur le thĂ©Ăątre d'eau (21 juin)
    • CinĂ©ma en plein air, en partenariat avec la Maison d’art Bernard-Anthonioz. (fin juin)
    • Feu d'artifice et bal des pompiers du 13 juillet.
    • Village des associations (dĂ©but septembre)
    • JournĂ©es du patrimoine. Une exposition, un spectacle, des visites sont organisĂ©s avec un thĂšme diffĂ©rent chaque annĂ©e (3e week-end de septembre)
    • FĂȘte des Jardins (fin septembre)
    • Festival de courts-mĂ©trages cinĂ©matographiques et d'animation « Autour du Court »

    Associations

    Nogent-sur-Marne possÚde de nombreuses associations trÚs actives, qui participent aux différentes manifestations tout au long de l'année (Village des Associations, Téléthon
) ou aux stages sportifs (appelés SMS) durant les vacances scolaires.

    • La commune est le siĂšge de la FĂ©dĂ©ration Française des SociĂ©tĂ©s d’aviron, situĂ© en bord de Marne. Clubs : Club nautique de Nogent et Encou (SociĂ©tĂ© d'Encouragement du Sport Nautique)
    • La Maison des Jeunes et de la Culture Louis-Lepage,
    • Club de football de district jouant au Stade sous la Lune Alain-Mimoun : FC Nogent-sur-Marne
    • Club de Basket-ball : le NBC[81]
    • La ville dĂ©tient le plus gros club de karatĂ© (en termes d'adhĂ©rents) du Val-de-Marne : KaratĂ© club de Nogent
    • Club de volley-ball : le VCN (Volley Club Nogentais)[82]
    • Son club d'athlĂ©tisme s'appelle l'UAI Nogent (Union athlĂ©tique Intergatz'Arts)
    • Le RĂ©veil De Nogent Handball (RNHB) est l'association de handball de la ville qui est en quatriĂšme division de handball français.
    • Le RĂ©veil de Nogent Gymnastique (RNGYM) est l'association de gymnastique de la ville.
    • Club de judo : JKC NOGENT (Judo Kano Club Nogent)
    • Club d'aĂŻkido : AKDN. Cette association est reconnue association d’amitiĂ© franco-japonaise par l’ambassade du Japon. Elle est la seule association d’aĂŻkido en France Ă  bĂ©nĂ©ficier de cet agrĂ©ment qui exige une pratique sportive mais Ă©galement une action dans le domaine socioculturel franco-japonais.
    • Le RĂ©veil de Nogent (RN) regroupe plusieurs disciplines : gymnastique, handball (RNHB, voir ci-dessus)
    • Natation : Nogent Natation 94 et Les Dauphins de Nogent
    • Baseball : « Les Bandits de Nogent »
    • Rugby : Union des bords de Marne. (rugby hommes, femmes et enfants)
    • Aviron : plusieurs clubs d'aviron le long de la Marne, dont l'Encou qui a remportĂ© plusieurs titres nationaux, dans diffĂ©rentes catĂ©gories.

    MĂ©dias

    Il existe un magazine municipal (le Magazine de Nogent-sur-Marne). Les actualités sont également relayées par les médias régionaux (Le Parisien, Val-de-Marne infos, les échos du Val-de-Marne). Une télévision locale, Télé du Val-de-Marne, a été créée au printemps 2013. L'information relative à Nogent-sur-Marne est également diffusée sur le site de presse en ligne Nogent-Citoyen[83].

    Cultes

    Église Saint-Saturnin.

    Plusieurs confessions chrétiennes et le judaïsme sont représentés à Nogent-sur-Marne :

    • le culte catholique Ă  la paroisse Saint-Saturnin, Ă  la chapelle Sainte-Anne (rue Saint-Quentin), Ă  Sainte-Marie-du-Val (avenue Charles-V), au Carmel (rue de Plaisance) et aux couvents des SƓurs Disciples du Divin MaĂźtre (rue de Plaisance) et des SƓurs missionnaires du Saint-Esprit (rue de Plaisance)
    • le culte Ă©vangĂ©lique Ă  l'Église Ă©vangĂ©lique de Nogent (rue ThĂ©odore-HonorĂ©)
    • le culte mormon, Ă  la paroisse de Nogent (rue LĂ©on-Lepoutre)
    • le culte israĂ©lite au Centre communautaire israĂ©lite Ain-Beth MeĂŻr (rue Henri-Dunant)

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 40 896 €, ce qui plaçait Nogent-sur-Marne au 2 086e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole[84].

    Emploi

    En 2009, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  20 695 personnes, parmi lesquelles on comptait 78,9 % d'actifs dont 71,7 % ayant un emploi et 7,2 % de chĂŽmeurs[a 4].

    On comptait 8 512 emplois dans la zone d'emploi, contre 7 988 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la zone d'emploi Ă©tant de 14 989, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] est de 56,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un peu plus d'un emploi pour deux habitants actifs[a 5].

    Entreprises et commerces

    Au 31 dĂ©cembre 2010, Nogent-sur-Marne comptait 2 788 Ă©tablissements : 5 dans l’agriculture-sylviculture-pĂȘche, 82 dans l'industrie, 152 dans la construction, 2 067 dans le commerce-transports-services divers et 482 Ă©taient relatifs au secteur administratif[a 6].

    En 2011, 330 entreprises ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es Ă  Nogent-sur-Marne[a 7], dont 190 l'ont Ă©tĂ© par des autoentrepreneurs[a 8].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte un site classé et cinq monuments[85] inscrits à l'inventaire des monuments historiques :

    • le chĂąteau Smith-Champion et son jardin anglais (lieu fermĂ© au public, d'une surface de 9,2 hectares)[86] (site classĂ©)
    • l’HĂŽtel des Coignard, construit au XVIIe siĂšcle, fut occupĂ© durant le XVIIIe siĂšcle par une dynastie d’imprimeurs du roi, qui lui ont donnĂ© son nom. Cette demeure devint propriĂ©tĂ© communale en 1914. Le Conservatoire de musique et d’art dramatique Francis Poulenc y est installĂ© depuis 2002. Au rez-de-chaussĂ©e, le « CarrĂ© des Coignard » accueille des expositions de peinture, de sculpture, ainsi que parfois des rĂ©citals de poĂ©sie ou des animations, comme le festival du dĂ©veloppement durable[87].
    • l’église Saint-Saturnin est une des plus grandes Ă©glises du dĂ©partement.
      Église Saint-Saturnin.
      Sa construction a Ă©tĂ© commencĂ©e au XIIe siĂšcle. De cette Ă©poque ne subsiste que le clocher qui est classĂ©. Ensuite, jusqu’au dĂ©but du XXe siĂšcle, des amĂ©nagements et agrandissements lui ont Ă©tĂ© apportĂ©s pour aboutir Ă  sa forme actuelle. Elle est de style gothique et abrite des peintures du Moyen Âge rĂ©cemment mises au jour lors d'une rĂ©novation[88].
    • le cinĂ©ma Royal Palace : construit de 1919 Ă  1921, dont la façade est inscrite Ă  l’Inventaire des monuments historiques en 1991, ce cinĂ©ma fut aussi un des lieux phares du music-hall parisien[89].
    • le pavillon Baltard : en 1977, le maire Roland Nungesser inaugure le pavillon Baltard (ancien pavillon de la volaille et des Ɠufs aux Halles de Paris achetĂ© en 1973), que la commune a achetĂ© et fait installer dans la commune, le sauvant ainsi de la destruction. Il y installe l'orgue du Gaumont-Palace, dernier orgue de cinĂ©ma installĂ© en France, vendu aux enchĂšres Ă  Drouot aprĂšs la fermeture du cinĂ©ma en 1972, et le fait entiĂšrement restaurer[90] - [91]. Depuis, le pavillon reçoit manifestations, spectacles et Ă©missions de tĂ©lĂ©vision.
    • la villa La DĂ©tente (propriĂ©tĂ© privĂ©e), construite en 1904 par l'architecte Georges Nachbaur, sise au 3 boulevard de la RĂ©publique[92]. Inscrite Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire en juillet 2013.

    On peut Ă©galement citer :

    Patrimoine culturel

    Équipements culturels

    • CarrĂ© des Coignard, espace d'exposition d'art contemporain (peinture, sculpture), situĂ© dans l'hĂŽtel des Coignard.
    • Conservatoire municipal Francis-Poulenc.
    • BibliothĂšque municipale Cavanna.
    • Archives municipales : Ă©galement lieu d'exposition.
    • La ScĂšne Watteau (thĂ©Ăątre conventionnĂ©).
    • La Maison d’art Bernard-Anthonioz (MaBA)[98] : lieu d’exposition d’art contemporain financĂ© par la Fondation nationale des arts graphiques et plastiques.
    • La Maison nationale des artistes est une maison de retraite pour artistes (gĂ©rĂ©e par la Fondation nationale des arts graphiques et plastiques). Elle abrite un lieu d'exposition.
    • MJC Louis-Lepage : activitĂ©s rĂ©guliĂšres, Ă©vĂ©nements (concerts, festivals...), expositions, vestiaire solidaire, ressourcerie, jardin partagĂ©, ateliers gratuits, accueil inconditionnel.
    • Le Royal Palace, cinĂ©ma Art et Essai de six salles.
    • L'association HĂ©lices poĂ©sie, dirigĂ©e par Emmanuel Berland, regroupe poĂštes et musiciens, officie au CarrĂ© des Coignard dans un rĂ©cital de poĂ©sie suivie d'une scĂšne ouverte depuis 2003.

    Personnalités liées à la commune

    Artistes ayant vécu à Nogent-sur-Marne :

    • l'accordĂ©oniste Yvette Horner sĂ©journa Ă  Nogent-sur-Marne de 1955 Ă  2005[99].
    • Charles Trenet habita les derniĂšres annĂ©es (1990 Ă  2001) Ă  Nogent-sur-Marne[100].
    • Laurent Voulzy y vĂ©cut durant toute sa jeunesse[101] - [102].
    • Jean Sablon y est nĂ© en 1906 et en 2006 en bord de Marne est inaugurĂ©e la promenade Jean-Sablon, dans le prolongement du quai du Port passant sous le viaduc ferroviaire[103].
    • L'Ă©crivain François Cavanna est nĂ© Ă  Nogent-sur-Marne en 1923, et y a passĂ© sa jeunesse[104]. Il a donnĂ© son nom Ă  la bibliothĂšque municipale de la ville.
    • La danseuse Marion Barbeau est nĂ©e Ă  Nogent-sur-Marne en 1991.

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Les armes de Nogent-sur-Marne se blasonnent ainsi : CoupĂ© : au 1er, d'azur aux deux Ă©pis de blĂ© passĂ©s en sautoir, cantonnĂ©s, en chef et aux flancs, de trois fleurs de lis et, en pointe, d'une grappe de raisin tigĂ©e et feuillĂ©e, le tout d'or ; au 2e de gueules de deux tours crĂ©nelĂ©es de cinq piĂšces d'argent ouvertes, ajourĂ©es et maçonnĂ©es de sable, posĂ©es sur deux rochers aussi d'argent issant d'ondes du mĂȘme mouvant de la pointe[105].

    La devise de la commune est : Beauté - Plaisance

    • Logo de 2009 Ă  2019.
      Logo de 2009 Ă  2019.
    • Logo depuis 2019.
      Logo depuis 2019.

    Un logo de la commune a été réalisé fin 2009. Il allie tradition et modernité, avec une police à empattement sur la partie gauche du N, et une police contemporaine sur la partie droite. Les deux couleurs, le vert et le bleu, symbolisent respectivement le bois de Vincennes et la Marne. Il est remplacé par un nouveau en 2019.

    Un logo spécifique a également été réalisé pour symboliser Nogent-sur-Marne en tant que commune touristique.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • France Inventaire gĂ©nĂ©ral des monuments et des richesses artistiques de la France Commission rĂ©gionale Île-de-France, Nogent et Le Perreux : l’eldorado en bord de Marne : Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel, [rĂ©gion] Île-de-France, texte d’Isabelle Duhau avec la participation de Laurence de Finance, photographies de StĂ©phane Asseline et Laurent Kruszyk, avec la participation de Christian DĂ©camps, [sous la direction de Dominique Hervier], Paris, APPIF, 2005, 144 pages, 30 cm, (ISBN 2-905913-44-4).
    • Mis de Perreuse, Notice historique sur Nogent-sur-Marne, Imprimerie de J.-B. Gros, (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Voir également les bases de données nationales du ministÚre de la Culture : Mérimée pour l'architecture, Palissy pour les objets mobilier et Mémoire pour l'iconographie.
    4. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

    Insee

    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catĂ©gorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - RĂ©sidences principales selon le statut d'occupation.
    4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    5. EMP T5 - Emploi et activité.
    6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© au 31 dĂ©cembre 2010.
    7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
    8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

    Autres sources

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