AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Dammarie-les-Lys

Dammarie-les-Lys est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France. En 2020, elle compte 22 318 habitants.

Dammarie-les-Lys
Dammarie-les-Lys
L'hĂŽtel de ville.
Blason de Dammarie-les-Lys
Blason
Dammarie-les-Lys
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté d'agglomération Melun Val de Seine
Maire
Mandat
Gilles Battail
2020-2026
Code postal 77190
Code commune 77152
DĂ©mographie
Gentilé Dammariens
Population
municipale
22 318 hab. (2020 en augmentation de 3,3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2 182 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 30â€Č 51″ nord, 2° 38â€Č 06″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 93 m
Superficie 10,23 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune d'un pĂŽle secondaire)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Fargeau-Ponthierry
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dammarie-les-Lys
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dammarie-les-Lys
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Dammarie-les-Lys
GĂ©olocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Dammarie-les-Lys
Liens
Site web mairie-dammarie-les-lys.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de Dammarie-les-Lys dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Dammarie-les-Lys se trouve dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1].

    Elle se situe Ă  4,33 km par la route[Note 1] de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de Dammarie-les-Lys.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Boissettes (2,0 km), La Rochette (2,2 km), Le MĂ©e-sur-Seine (2,5 km), Melun (3,3 km), Villiers-en-BiĂšre (3,5 km), Boissise-la-Bertrand (3,6 km), Vaux-le-PĂ©nil (3,7 km), Livry-sur-Seine (3,7 km).

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude varie de 43 mĂštres Ă  93 mĂštres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant Ă  environ 67 mĂštres d'altitude (hĂŽtel de ville)[Carte 1].

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[4] - [5].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de Dammarie-les-Lys.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de Dammarie-les-Lys.
    Géologie de la commune de Dammarie-les-Lys selon l'échelle des temps géologiques[4] - [5].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    X :DĂ©pĂŽts anthropiques, remblais.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Fy :Alluvions anciennes (basse terrasse de 0–10 m) : sables et graviers colluvions alluvions et apports Ă©oliens.
    Fx :Alluvions anciennes (moyenne terrasse de 10–20 m) : sables et graviers .
    Fv :Alluvions anciennes (terrasse de 45–55 m) : sables et graviers (= Cailloutis de SĂ©nart).
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent.
    MiocÚne non présent.
    PaléogÚne OligocÚne
    g1AR :Argile verte, Glaises Ă  CyrĂšnes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
    g1CB :Calcaire de Brie stampien et meuliÚres plio-quaternaire indifférenciées.
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grÚs en place ou peu remanié (versant).
    Éocùne
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de ChĂąteau-Landon, Marnes de Nemours.
    e7MS :Marnes supragypseuses : Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil
    PaléocÚne non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[6].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Dammarie-les-Lys.

    Le rĂ©seau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau rĂ©fĂ©rencĂ© : la Seine, fleuve long de 774,76 km[7], en bordure nord-ouest de la commune.

    Sa longueur totale sur la commune est de 0,78 km[8].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[11].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 2,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,7 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 692 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,6 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[12].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[14]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[15], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[16] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[17].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[18] - [19].

    La rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un espace protĂ©gĂ© prĂ©sent sur la commune. Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[20] - [21] - [22].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[23].

    Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » : le « Massif de Fontainebleau »[24]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes grĂ©seuses alternent avec les vallĂ©es sĂšches. Les conditions de sols, d'humiditĂ© et d'expositions sont trĂšs variĂ©es. La forĂȘt de Fontainebleau est rĂ©putĂ©e pour sa remarquable biodiversitĂ© animale et vĂ©gĂ©tale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espĂšces de colĂ©optĂšres, 1 200 de lĂ©pidoptĂšres) ainsi qu'une soixantaine d'espĂšces vĂ©gĂ©tales protĂ©gĂ©es[25]

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Dammarie-les-Lys comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] - [26] - [Carte 2], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Dammarie-les-Lys est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [28] - [29] - [30]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[31] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32] - [33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pĂŽle secondaire[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[34] - [35].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (63,58 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (62,99 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (43,31 %), forĂȘts (31,16 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (17,68 %), eaux continentales[Note 7] (3,95 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,59 %), terres arables (1,31 %)[36].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[36].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    644,95 ha 62,99 % 650,99 ha 63,58 % 6,04 ha en augmentation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    12,78 ha 1,25 % 13,39 ha 1,31 % 0,62 ha en augmentation
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    325,69 ha 31,81 % 319,03 ha 31,16 % −6,66 ha en diminution
    Surfaces en eau
    (eaux continentales, eaux maritimes)
    40,40 ha 3,95 % 40,40 ha 3,95 % 0 ha en stagnation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[37] - [38] - [Carte 3]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT RĂ©gion melunaise, dont l'Ă©laboration a Ă©tĂ© engagĂ©e de 2013 Ă  2015, puis poursuivie Ă  partir de 2017 sur un pĂ©rimĂštre diffĂ©rent et portĂ© par la communautĂ© d'agglomĂ©ration Melun Val de Seine[39].

    La commune ne disposait pas en 2019 de document d'urbanisme opérationnel et le rÚglement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[40].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de Dammarie-les-Lys.

    La commune compte 28 lieux-dits administratifs[Note 8] répertoriés consultables ici[41] dont Vosves.

    Quartiers

    La Justice, Farcy, la Plaine-du-Lys, la Croix-Saint-Jacques.

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 9 552 dont 36,8 % de maisons et 59,8 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 93,3 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants.

    La part des mĂ©nages fiscaux propriĂ©taires de leur rĂ©sidence principale s’élevait Ă  44,9 % contre 53,7 % de locataires[42] -[Note 9], dont 35,8 % de logements HLM louĂ©s vides (logements sociaux)[Note 10] et 1,4 % logĂ©s gratuitement.

    Voies de communication

    La ligne de chemin de fer de Corbeil-Essonnes Ă  Montereau traverse le nord du territoire de la commune en longeant la rive gauche de la Seine.

    Plusieurs routes départementales relient Dammarie-les-Lys aux communes voisines :

    • la D 132, Ă  Melun, au nord-est ; et Ă  Villiers-en-BiĂšre et Ă  Fontainebleau, au sud ;
    • la D 142, Ă  Boissise-le-Roi, au nord-ouest ; et Ă  Fontainebleau et Ă  La Rochette, au sud-est ;
    • la D 372, Ă  Melun, au nord-est; et Ă  Villiers-en-BiĂšre, au sud-ouest.

    Transports

    La gare de Vosves.

    La gare de Vosves, située à l'ouest de la commune, est desservie par les trains de la ligne D du RER qui assurent des liaisons entre les gares de Corbeil-Essonnes et de Melun. La gare de Melun, située à quelques centaines de mÚtres au nord-est de Dammarie-les-Lys, est desservie par les trains de la ligne D qui relient Melun à Paris, ainsi que par les trains de la ligne R du Transilien qui relient Melun à Paris, à Montereau-Fault-Yonne et à Montargis.

    La commune est desservie par plusieurs lignes de bus du rĂ©seau Transdev Île-de-France[43] - [44] :

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Danemarie en 1253[47] - [48] ; Domna Maria subtus Lilium vers 1350 (Pouillé) ; Dannemarie lez le Lys en 1379[49] ; Dannemarie en 1385[50] ; Dannemarie lez Meleun en 1454[51] ; Dammarie sur le Lis en 1695[52]; Dammarie les Fontaines en 1793[53] pendant la Révolution française[54] - [Note 11] ; Dammarie en l'an IX[55].

    L'hagiotoponyme cachĂ© de la commune provient d'un oratoire dĂ©diĂ© Ă  la Vierge Marie. Le prĂ©fixe dam, similaire au titre dom, marque la saintetĂ©, comme dans les nombreux lieux-dits Dammartin par exemple. Dammarie est donc un hagiotoponyme cachĂ©, qui peut ĂȘtre mis en Ă©vidence par la graphie « Dame Marie (mĂšre de JĂ©sus) ».

    À Dammarie est accolĂ©, Ă  l'aide de la prĂ©position lĂšs, le nom de l'abbaye du Lys, qui est situĂ©e sur le territoire de la paroisse. Historiquement, on a donc Dammarie-lĂšs-Lys, qui signifie l'oratoire de la Vierge situĂ© Ă  cĂŽtĂ© de l'abbaye du Lys.

    De nos jours, on écrit Dammarie-les-Lys (sans accent). Cette orthographe est reprise par le Code géographique français et est donc la seule orthographe officielle.

    Histoire

    De l'Antiquité à la Résistance

    Dammarie-les-Lys existait déjà (sous une forme différente) dans l'Antiquité[56] mais est mentionnée dÚs le Xe siÚcle.

    Le village était formé de plusieurs hameaux : Dammarie-lÚs-Lys, Vosves et Farcy-lÚs-Lys.

    La ville comporte les ruines de l'abbaye royale du Lys, abbaye cistercienne pour femmes, fondée en 1251 par Blanche de Castille et Saint Louis.

    Sa construction débuta en 1244 et se termina vers 1253 sur une ancienne parcelle de vigne. En 1252, Blanche de Castille y fit sa derniÚre aumÎne. L'abbaye fut saccagée par les révolutionnaires vers 1793. Vendue en 1797, elle continua à se délabrer malgré les différentes restaurations entreprises.

    Dammarie-lÚs-Lys entrera définitivement dans le XXe siÚcle avec l'apparition de l'industrie sur ses terres.

    La fonderie Delatre & Frouard fut édifiée en 1911 par Pierre Courtier et inaugurée en 1917. Elle se situait à l'emplacement de l'ancienne fonderie Frébault. En 1949, elle se changea en laminoir. Sa fermeture définitive intervint en 1965. De cette société naßtra un ensemble de maisons individuelles construites aprÚs la PremiÚre Guerre mondiale en 1919.

    La confiserie-chocolaterie Jacquin fut inaugurée en 1872. Elle se situait sur l'avenue de Chailly. L'entreprise fut cédée au groupe Perrier en 1962, puis une fusion d'entreprise s'opéra 1968 avec un déménagement sur Le Mée-sur-Seine en 1971. Sa fermeture définitive intervßnt en 1980.

    L'usine Everitube fut édifiée en 1927. Sa fermeture définitive intervint en 1996.

    En 1959, un arrĂȘtĂ© ministĂ©riel met en place la zone Ă  urbaniser en prioritĂ© (ZUP) de la Plaine du Lys : 2 359 logements sont construits de 1965 Ă  1973. Louis Arretche, architecte ayant dĂ©jĂ  officiĂ© dans les quartiers nord de Melun, en est l'urbaniste en chef. Elle regroupe de nos jours prĂšs de la moitiĂ© des habitants de la ville.

    Les premiĂšres constructions se cantonnĂšrent aux alentours de l'abbaye puis sur le site des anciennes citĂ©s de l'usine Delattre et Frouard Ă  partir de 1972. PlutĂŽt que de rĂ©habiliter le quartier le maire de l'Ă©poque a prĂ©fĂ©rĂ© y Ă©difier un ensemble d'immeubles Ă  l'image des villes voisines alors que le tissu industriel Ă©tait dĂ©jĂ  sur le dĂ©clin avec la fermeture dĂ©finitive des fonderies Delattre et Frouard (+/- 800 pers.) en 1965, Ideal Standard (environ 1 200 pers.) en 1975 et le dĂ©mĂ©nagement de la confiserie Jacquin en 1971.

    En 1997, le quartier de la Plaine du Lys connaßt de violentes émeutes à la suite du décÚs d'un jeune de la cité (Abdelkader Bouziane) lors d'une intervention de police. En 2002, deux autres jeunes de la ville, Xavier Dem et Mohamed Berrichi, décédÚrent à deux jours d'intervalle, toujours dans le cadre d'opérations de police. S'ensuivit alors une longue bataille judiciaire et médiatique entre la municipalité et l'association Bouge qui bouge notamment, qui a fait l'objet d'un reportage sur Canal+, dans l'émission 90 minutes. Tour à tour l'OPHLM, puis la mairie et son maire Jean-Claude Mignon, furent condamnés à l'issue des actions en justice intentées par l'association Bouge qui bouge.

    De 2011 à février 2014, la ville accueillait un parc d'attractions situé sur le terrain de la Cartonnerie, « Ty' Bamboo », dont les attractions étaient conçues pour des enfants entre 0 et 12 ans et dont Marcel Campion était le créateur.

    Dans la RĂ©sistance

    Un groupe de Résistants était formé dans la ville durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945)[57].

    Politique et administration

    L'hĂŽtel de ville.

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie de 1801 Ă  1975 du canton de Melun-Sud, annĂ©e oĂč elle intĂšgre le canton de Perthes[54]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, la commune est dĂ©sormais rattachĂ©e au canton de Saint-Fargeau-Ponthierry.

    La commune est rattachée au tribunal de Melun.

    Intercommunalité

    La commune a adhĂ©rĂ© en 1997 au DAM - District de l'AgglomĂ©ration Melunaise (ancien District Melun – Le-MĂ©e-sur-Seine), qui s'est transformĂ© en 2002 en communautĂ© d'agglomĂ©ration sous le nom de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Melun Val de Seine.

    Tendances politiques et résultats

    La ville, gérée depuis 1959 par le parti communiste, est passée à droite en 1983.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[58]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    octobre 1947 Jean Sauret
    mars 1959 novembre 1964
    (décÚs)
    Marcel Pouvreau[59] PCF Préparateur en pharmacie puis journaliste
    décembre 1964 mars 1977 Maryvonne Pouvreau[60] PCF Institutrice, épouse du précédent
    mars 1977 mars 1983 Robert Laporte[61] PCF RĂ©sistant
    Maire-adjoint de Vitry-sur-Seine (1959 → 1977)
    mars 1983 mars 2014[62] Jean-Claude Mignon RPR
    puis UMP
    Directeur d'entreprise
    DĂ©putĂ© de Seine-et-Marne (1re circ.) (1988 → 2017)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Perthes (1982 → 1995)
    PrĂ©sident de l'AssemblĂ©e parlementaire du Conseil de l'Europe (2012[63] → 2014)
    mars 2014[64] - [65] En cours (12/12/2021) Gilles Battail LR Docteur vétérinaire, chef d'entreprise[66]
    Conseiller rĂ©gional d'Île-de-France (2015 → )
    1er vice-président de la CA Melun Val de Seine

    Jumelages

    Montebelluna - Fontaine de la place Dammarie-les-Lys
    Jumelages et partenariats de Dammarie-les-Lys.
    VillePaysPĂ©riode
    Arcos de Valdevez[67]Portugaldepuis le
    Eppelheim[67]Allemagnedepuis le
    Montebelluna[67]Italiedepuis le
    Tata[67]Hongriedepuis le

    .

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [68] - [69].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Dammarie-les-Lys est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [70] - [71] - [72].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[73]. La communautĂ© d'agglomĂ©ration Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[70] - [74].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [70] - [75] - [76].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[77] - [Note 12].

    En 2020, la commune comptait 22 318 habitants[Note 13], en augmentation de 3,3 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    601677613719802880894882905
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9369991 0971 2091 2191 2841 4471 5521 683
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7341 9472 1912 7553 4415 0744 8935 8617 057
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    10 24612 05719 74119 79421 14820 65920 83820 66121 891
    2020 - - - - - - - -
    22 318--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee Ă  partir de 2006[78].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le graphique montre bien l'industrialisation de la commune à partir du début du XXe siÚcle qui a entraßné l'arrivée d'une population importante. La construction des grands ensembles de l'Abbaye (années 1950) et de la Plaine du Lys (années 1970) font également progresser la population de plusieurs milliers d'habitants à ces périodes.

    Enseignement

    Dammarie-les-Lys est située dans l'académie de Créteil.

    La ville administre six écoles maternelles et six écoles élémentaires communales[79].

    Le département de Seine-&-Marne gÚre 2 collÚges.

    La rĂ©gion d'Île-de-France gĂšre 1 lycĂ©e.

    Enseignement public

    • Écoles primaires
    Les 6 primaires sont François-de-Tessan, René-Coty, Paul-Doumer, Vosves, Maurice-de-Seynes, Henri-Wallon.
    • CollĂšges
    Les deux collĂšges sont Georges-Politzer, Robert-Doisneau.
    • LycĂ©e
    Un lycée polyvalent Fréderic-Joliot-Curie.

    Enseignement privé

    • Les deux Ă©coles privĂ©es sont Sainte-Marie, École adventiste du Lys.

    Santé

    La commune possédait autrefois la Clinique de l'Ermitage située au centre-ville, qui s'est ralliée aujourd'hui avec l'hÎpital de Melun..

    Sports

    Combat au Master d'Escrime 2013 qui s'est déroulé à l'EPB (Espace Pierre Bachelet)
    Combat au master d'escrime 2013 qui s'est déroulé à l'EPB (espace Pierre-Bachelet).

    Hockey sur glace : les Caribous de Seine-et-Marne sont le seul club de hockey à évoluer dans le département, ils jouent à « La Cartonnerie ». Ils sont les héritiers du « Lys Hockey Club ».

    Patinage artistique : le Club des sports de glace est le seul club de patinage artistique de Seine-et-Marne. Parmi ses licenciés figurent les champions de France Yrétha Silete en « Dames » et Morgan CiprÚs en « Couple » avec sa partenaire Vanessa James.

    Taekwondo : ESD taekwondo est un club de taekwondo se localisant Ă  Dammarie-lĂšs-Lys.

    Natation : Jean Boiteux est une piscine semi olympique. C'est aussi la piscine municipale, un club y est présent et des cours y sont enseignés. Dans cette piscine, il y a aussi possibilité de nager sans s'inscrire dans le club.

    Un club de football, de voile (FFV), de basket-ball, de cyclisme, de karaté notamment, y sont implantés.

    La Cartonnerie

    • 8 000 m2 entiĂšrement consacrĂ©s au 7e art : 10 salles de cinĂ©ma dont 3 salles numĂ©riques permettant la diffusion de films en 3D, de 128 Ă  442 places pour accueillir 2 150 spectateurs au total. Le complexe possĂšde aussi une partie consacrĂ©e aux jeux vidĂ©o et d’arcades.
    • Un des plus grands kartings in door d’Europe
    Surface de prĂšs de 4 000 m2 - un circuit de 500 m de dĂ©veloppĂ© - des karts de toute derniĂšre gĂ©nĂ©ration - un espace dĂ©tente avec Ă©crans gĂ©ants - Ă  l’étage, un espace rĂ©union destinĂ© aux sĂ©minaires des entreprises.
    Sur 3 000 m2 - 24 pistes de bowling - 10 billards anglais - espace jeux d’arcades
    Sur 4 000 m2 - une piste sportive (56 Ă— 26 m) - une seconde piste plus ludique.
    Dans cet ensemble, on trouve de nombreux restaurants de diverses cultures culinaires, comme chinoise, japonaise, italienne ou française.
    • L'Espace Pierre-Bachelet [EPB]
    Dans le complexe de la Cartonnerie, une salle de spectacles de 2 000 places et de nombreux espaces sportifs ont Ă©tĂ© construits pour les associations dammariennes, entre autres. Il s'agit de la plus grande salle de spectacle de Seine-et-Marne[80].

    Manifestations culturelles et festivités

    Dans la ville est organisée « L'estival du Lys » depuis 2018[81].

    Le 14 juillet a lieu un feu d'artifice, comme dans de nombreuses villes de France.

    MĂ©dias

    Le quotidien rĂ©gional Le Parisien, dans son Ă©dition locale Seine-et-Marne, ainsi que l’hebdomadaire La RĂ©publique de Seine-et-Marne, relatent les informations locales.

    La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision France 3 Paris Île-de-France et d'IDF1.

    L’information institutionnelle est assurĂ©e par plusieurs publications pĂ©riodiques : le « Lys mag », journal municipal d’information diffusĂ© par la ville ; le magazine d’information de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Melun Val de Seine ; Seine-et-Marne Magazine, mensuel diffusĂ© par le conseil dĂ©partemental de Seine-et-Marne et le Journal du Conseil rĂ©gional, bimensuel diffusĂ© par le conseil rĂ©gional d'Île-de-France73.

    Cultes

    Dans la ville sont bùtis une église catholique dans le centre-ville, une chapelle polonaise et une mosquée.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 8 701 (dont 50 % imposĂ©s), reprĂ©sentant 21 659 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 18 800 euros[82].

    Emploi

    Il y a une antenne du PĂŽle emploi[83].

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 6 357, occupant 8 393 actifs rĂ©sidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à 60,6 % contre un taux de chÎmage de 11,8 %.

    Les 27,7 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 10,4 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 5,1 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 12,1 % pour les autres inactifs[84].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 1 346 dont 6 dans l'agriculture-sylviculture-pĂȘche, 55 dans l’industrie, 187 dans la construction, 894 dans le commerce-transports-services divers et 204 Ă©taient relatifs au secteur administratif[85].

    Ces Ă©tablissements ont pourvu 5 298 postes salariĂ©s.

    Supermarchés

    La commune compte un Aldi, un Lidl, un E.Leclerc, un Coccinelle express ainsi qu'Ines market, un Exo-mama et marka maket.

    Magasins non-alimentaires

    La commune compte un Jardiland, un Distri-center, un Bricoman, une Foir'Fouille, un Cuisinella, un Schmidt, un Norauto et un Speedy

    Agriculture

    Dammarie-les-Lys est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e le « Pays de BiĂšre et ForĂȘt de Fontainebleau », couvrant le Pays de BiĂšre et la forĂȘt de Fontainebleau[Carte 5]. En 2010, aucune orientation technico-Ă©conomique[Note 14] de l'agriculture ne se dĂ©gage sur la commune[86].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[87]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune oĂč le nombre d’exploitations est passĂ© de 2 en 1988 Ă  0 en 2010[86]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Dammarie-les-Lys, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Dammarie-les-Lys entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[86] - [Note 15]
    Nombre d’exploitations (u) 2 0 0
    Travail (UTA) 5 0 0
    Surface agricole utilisée (ha) 0 0 0
    Cultures[88]
    Terres labourables (ha) 0 0 0
    Céréales (ha) 0
    dont blé tendre (ha) 0
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 0
    Tournesol (ha) 0
    Colza et navette (ha) 0
    Élevage[86]
    Cheptel (UGBTA[Note 16]) 33 0

    Culture locale et patrimoine

    Vue des ruines de l'abbaye royale du Lys.
    Le chĂąteau des Bouillants.
    Le chĂąteau de Soubiran.

    Lieux et monuments

    De l'abbaye cistercienne fondée par la reine de France Blanche de Castille (mÚre du roi Louis IX) subsistent les ruines de l'église abbatiale valorisées par leur classement aux monuments historiques en 1934 et les jardins et parc qui les entourent (parc de l'abbaye)[89].
    Le ru du Lys a été recreusé en 2011.
    • Le chĂąteau du Lys
    Ancien « pavillon des HÎtes » de l'abbaye, il fut le chùteau de Victor de Fay de Latour-Maubourg. AprÚs avoir été un centre aéré et une école maternelle sous le nom d'Arthur-Chaussy, il abrite aujourd'hui le centre des musiques Didier Lockwood.
    • Le chĂąteau des Bouillants 48° 30â€Č 41″ N, 2° 37â€Č 57″ E
    Le chĂąteau des Bouillants est une ancienne maison de maĂźtre, comme on en construisait beaucoup Ă  Dammarie-lĂšs-Lys au XIXe siĂšcle, pour ces familles fortunĂ©es qui venaient s’y dĂ©tendre non loin de Paris. Le gĂ©nĂ©ral Julien Loizillon y a vĂ©cu et y est dĂ©cĂ©dĂ©[90].
    NommĂ© Ă©galement chĂąteau des Hauts-Bouillants et villa KĂ©ranic, le chĂąteau fut achetĂ© par la ville en 1986. RestaurĂ©, il est devenu, depuis 1993, l’espace municipal d’expositions. C’est ainsi qu’il accueille, chaque saison, des expositions touchant des domaines aussi divers que la peinture, la sculpture, la photographie, mais aussi la gravure, les sciences et l’histoire.
    • Le chĂąteau de Soubiran 48° 30â€Č 47″ N, 2° 37â€Č 59″ E
    Le chĂąteau Soubiran[91], proche de la forĂȘt de Fontainebleau, date du XIXe siĂšcle et est entourĂ© d’un parc d’environ 7 hectares. Le chĂąteau, dotĂ© d’une source alimentant un plan d’eau, accueille une ferme enfantine, oĂč l’on peut observer de nombreux animaux. On peut aussi y pique-niquer, et y pratiquer un parcours de santĂ©.
    Un oratoire consacré à la Vierge fut élevé à la fin du XIe siÚcle ; l'église fut recons truite en 1535 et en 1859 ; elle possÚde un orgue[94].
    L'église en plan allongé est orientée et dispose d'une nef avec une voûte en berceau et de collatéraux. Elle est terminée par un chevet polygonal. Elle a un clocher-porche couvert d'une toiture en pavillon.
    L'intĂ©rieur de l'Ă©glise est voĂ»tĂ© d'ogives pour la nef et voĂ»te d'arĂȘtes pour les bas-cĂŽtĂ©s[95].
    L’éducation publique devient la seule activitĂ© du bĂątiment lors du dĂ©mĂ©nagement de la municipalitĂ©, en 1934, dans l’actuel HĂŽtel de Ville ; puis la bĂątisse est rĂ©amĂ©nagĂ©e en salle des fĂȘtes en 1937. Dans les annĂ©es 1960, elle porte le nom du comĂ©dien Raymond BussiĂšres. La ville y organise ses festivitĂ©s et expositions et accueille les spectacles et concerts[94]. :En 2004, d’importants travaux sont engagĂ©s et c’est l’Espace Nino-Ferrer : une salle de spectacles de 285 places numĂ©rotĂ©es.

    ChĂąteaux disparus

    • Le chĂąteau de Bel-Ombre (ou de Bellombre) a Ă©tĂ© dĂ©moli par son dernier propriĂ©taire[97].
    • Le chĂąteau Gaillard bĂąti au XIIIe siĂšcle, dĂ©moli en 1971 dont il ne subsiste que le parc et une statue d'Alfred Lenoir[98].

    Patrimoine culturel

    Patrimoine naturel

    Militaires et nobles

    Personnalités de la Monarchie française

    À noter que[102] la plupart des rois de France sont venus à l'Abbaye.

    Artistes & sportifs

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Armes de Dammarie-les-Lys

    Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :
    parti, au premier d'azur semé de fleurs de lys d'or, au second de gueules semé de chùteaux donjonnés de trois tours d'or maçonnées de sable.

    D'aprĂšs le site de la ville, le logo traduit la volontĂ© de la commune d'afficher le visage vivant et colorĂ© d'une ville de 20 262 habitants, fiĂšre de son passĂ© et rĂ©solument tournĂ©e vers l'avenir. On y retrouve des Ă©lĂ©ments caractĂ©ristiques de Dammarie-lĂšs-Lys : la silhouette de l'abbaye en gris, et la fleur de lys d'une couleur chaude et lumineuse, qui tĂ©moignent de l'histoire de la commune : la Seine Ă©voquĂ©e par le fil bleu, la forĂȘt symbolisĂ©e par la couleur verte qui Ă©voque, Ă©galement, le dynamisme de la ville". (voir image ci-contre)

    La commune est dĂ©pourvue de devise mais a pour slogan Être proche, voir loin !.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Dammarie-les-Lys », p. 1208–1211
    • Fernand Bridoux (prĂ©f. Jean Hubert), La fin du Lys : l'Abbaye Royale du Lys pendant la RĂ©volution, .

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    9. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    10. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    11. Pendant la révolution, on s'est attaché à supprimer « les-Lys », symbole royal, sans voir que Dammarie signifie « sainte Marie ».
    12. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    14. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    16. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Dammarie-les-Lys » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Zones ZNIEFF de Dammarie-les-Lys » sur Géoportail (consulté le 14 janvier 2021)..
    3. « Dammarie-les-Lys - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Dammarie-les-Lys », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Distance entre Dammarie-les-Lys et Melun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Dammarie-les-Lys », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
    5. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM) (consulté le ).
    6. « Plan séisme consulté le 18 novembre 2020 ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) ».
    8. Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 28 dĂ©cembre 2018
    9. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    10. « SAGE Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    11. « le Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux de la nappe de Beauce », sur www.sage-beauce.fr (consulté le ).
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    13. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    15. « Orthodromie entre Dammarie-les-Lys et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
    19. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Réserve de biosphÚre de « Fontainebleau et Gùtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
    21. « la zone centrale de la réserve de biosphÚre « Fontainebleau et Gùtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « la zone de transition de la réserve de biosphÚre « Fontainebleau et Gùtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du MinistÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Dammarie-les-Lys », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR1100795 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Dammarie-les-Lys », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « Massif de Fontainebleau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    32. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    33. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    34. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    37. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    38. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    39. « Le SCOT Région melunaise », sur www.seine-port.f (consulté le ).
    40. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    41. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    42. Statistiques officielles de l'Insee.
    43. « 77 - Seine-et-Marne », sur iledefrance-mobilites.fr (consulté le ) (Plan 56 : secteur de Melun).
    44. « Plans & horaires - Dammarie-les-Lys », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    45. « Réseaux de bus - Transdev Ile-de-France St-Fargeau-Ponthierry », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    46. « Réseau de bus - Transdev Ile-de-France Vaux-le-Pénil », sur transdev-idf.com (consulté le ).
    47. l'origine de Dammarie-lĂšs-Lys d'aprĂšs E. NĂšgre, 1990
    48. Cartulaire de Saint-Spire de Corbeil, p. 126.
    49. Archives nationales, P 141, fol. 44.
    50. Archives nationales, P 131, fol. 30.
    51. Archives nationales, P 131, fol. 89 v°.
    52. Archives de la Seine-et-Marne, E 902.
    53. Archives nationales, F17 10043, no 643.
    54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    55. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 178.
    56. « L'histoire de Dammarie-lÚs-Lys », sur http://www.mairie-dammarie-les-lys.fr/, (consulté le ).
    57. CG Seine-et-Marne, 39-45 en Seine-et-Marne des lieux, des hommes..., /, ~2012, 71 (total) (lire en ligne), Page 39.
    58. « Les maires de Dammarie-les-Lys », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    59. Fiche biographique de POUVREAU Marcel, Louis sur le Maitron en ligne
    60. Fiche biographique de POUVREAU Maryvonne sur le Maitron en ligne
    61. « Chronique de la vie communiste - Le PCF au 1er semestre 1983 », Communisme - Revue d'Ă©tudes pluridisciplinaire publiĂ©e avec le concours du CNRS, no 4,‎ , p. 137 (ISBN 2-13038147-2, lire en ligne).
    62. Sophie Bordier, « LĂ©gislatives. Pourquoi Jean-Claude Mignon ne briguera pas un 7e mandat : DĂ©putĂ© depuis 1988 sur la 1re circonscription de Seine-et-Marne (Melun-Dammarie-les-Lys), Jean-Claude Mignon (LR), 67 ans, retire donc sa candidature aprĂšs une investiture pourtant obtenue fin 2016 », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    63. « Jean-Claude Mignon Ă©lu
 et dĂ©jĂ  attaquĂ© », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
    64. GisĂšle Le Guen, « Municipales Ă  Dammarie : Battail (UMP) succĂšde Ă  Mignon », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
    65. Vanessa Relouzat, « Municipales Ă  Dammarie : Gilles Battail (UMP) Ă©lu avec 64,47% des voix : Surprise Ă  Dammarie-lĂšs-Lys ! Gilles Battail (UMP) est Ă©lu, dĂšs le premier tour. », La RĂ©publique de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
    66. Sophie Bordier, « Nemours-Melun : il va commercialiser le Chassebleau et les BĂ»chettes sĂ©nonaises : En rachetant les deux marques Ă  leur propriĂ©taire respectif, le patron de Des Lis Chocolat, Denis Jullemier, remet sur le marchĂ© ces deux bonbons dont la production et la vente s’étaient Ă©teintes », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    67. « Nos villes jumelles » (consulté le )
    68. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consultĂ© le ).
    69. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    70. « Commune de Dammarie-les-Lys - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    71. « CA Melun Val de Seine (CAMVS) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    72. « CA Melun Val de Seine (CAMVS) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    73. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministĂ©riel de l'assainissement non collectif (consultĂ© le ).
    74. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    75. « Melun - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    76. « Melun - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    77. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    78. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    79. « L'éducation, le périscolaire et la vie scolaire », sur www.mairie-dammarie-les-lys.fr, aucune date (consulté le ), Page n°1; sur le cÎté droit, en bas.
    80. « L'EPB », sur http://epb-dammarieleslys.fr/, (consulté le ).
    81. « FĂȘte du terroir, 15 juin 2014 », sur www.mairie-dammarie-les-lys.fr (consultĂ© en ).
    82. Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 18 novembre 2020
    83. « L'emploi », sur www.mairie-dammarie-les-lys.fr (consulté le ).
    84. Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chÎmage au sens du recensement en 2017 », consulté le 18 novembre 2020
    85. Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 18 novembre 2020
    86. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Dammarie-les-Lys », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    87. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    88. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siĂšge dans la commune de Dammarie-les-Lys », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministĂšre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la ForĂȘt. (consultĂ© le ).
    89. « Dammarie-lÚs-Lys et son abbaye Notre-Dame du Lys », sur http://archives.seine-et-marne.fr (consulté en ).
    90. « Patrimoine architectural de la ville ».
    91. « Chùteau Soubiran - Dammarie-les-Lys », sur http://fr.topic-topos.com (consulté en ).
    92. « Chùteau de Mun - Dammarie-les-Lys », sur http://fr.topic-topos.com (consulté en ).
    93. « Église Notre-Dame-de-la-Visitation - Dammarie-les-Lys », sur http://fr.topic-topos.com (consultĂ© en ).
    94. http://www.mairie-dammarie-les-lys.fr/la-ville/patrimoine/patrimoine-historique/notre-patrimoine-historique
    95. « Eglise Notre-Dame-de-la-Visitation - Eglises et patrimoine religieux de France », sur www.patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
    96. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    97. « Les pépiniÚres à Dammarie-lÚs-Lys », sur http://archives.seine-et-marne.fr (consulté en ).
    98. « Jeune fille au vase - Dammarie-les-Lys », sur http://fr.topic-topos.com (consulté en ).
    99. « Les mécomptes d'Ideal Standard », sur http://dammarie-les-lys.info (consulté en ).
    100. « Histoire de Dammarie-lÚs-Lys », sur http://www.mairie-dammarie-les-lys.fr.
    101. Reines, MaĂźtresses & Favorites : MARIE MANCINI, Hachette histoire, , 55 p., Page 49 : L'ingratitude de Marie : Il est convenu que Marie doit se retiter Ă  l'abbaye de Dammarie-lĂšs-Lys.
    102. Mairie de Dammarie-lÚs-Lys, « Chroniques de Dammarie-lÚs-Lys », Chroniques du Lys'Mag, sur http://www.mairie-dammarie-les-lys.fr, .
    103. Sophie Bordier, « Dammarie-les-Lys : Didier Lockwood quitte son poste d’adjoint Ă  la Culture », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
    104. Faustine LĂ©o, « Dammarie-les-Lys n’oubliera pas les airs de violon de Didier Lockwood : DĂ©cĂ©dĂ© ce dimanche Ă  62 ans, le violoniste Didier Locwood laissera son empreinte dans la ville, notamment Ă  travers son Centre des musiques qui a formĂ© les meilleurs musiciens de maintenant, dont ses beaux-fils David et Thomas Enhco », Le Parisien, Ă©dition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.