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La Rochette (Seine-et-Marne)

Rochette est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France.

La Rochette
La Rochette (Seine-et-Marne)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté d'agglomération Melun Val de Seine
Maire
Mandat
Pierre Yvroud
2020-2026
Code postal 77000
Code commune 77389
DĂ©mographie
Gentilé Rochettois
Population
municipale
3 820 hab. (2020 en augmentation de 16,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 652 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 30â€Č 00″ nord, 2° 40â€Č 00″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 98 m
Superficie 5,86 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Melun
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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La Rochette
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La Rochette
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La Rochette
Liens
Site web ville-la-rochette.fr

    En 2020, elle compte 3 820 habitants.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Rochette se situe au sud-ouest du dĂ©partement de Seine-et-Marne, en rĂ©gion Île-de-France[1]. Limitrophe de Melun, elle est bordĂ©e au sud par la forĂȘt de Fontainebleau et Ă  l'est par la Seine.

    Elle se situe Ă  4,90 km par la route[Note 1] de Melun[2], prĂ©fecture du dĂ©partement et . La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].

    Communes limitrophes

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Livry-sur-Seine (1,6 km), Dammarie-les-Lys (2,2 km), Vaux-le-PĂ©nil (2,4 km), Melun (3,4 km), Chartrettes (3,8 km), Le MĂ©e-sur-Seine (3,9 km), Boissettes (4,2 km), Bois-le-Roi (4,7 km).

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude varie de 36 mĂštres Ă  98 mĂštres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 57 mĂštres d'altitude (mairie)[Carte 1].

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'Úre géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du PaléogÚne au Quaternaire)[4] - [5].

    • Carte montrant en couleurs le relief d'une commune
      Carte du relief de La Rochette.
    • Carte montrant en couleurs le zonage gĂ©ologique simplifiĂ© d'une commune
      Carte géologique vectorisée et harmonisée de La Rochette.
    Géologie de la commune de La_Rochette selon l'échelle des temps géologiques[4] - [5].
    Ères PĂ©riodes gĂ©ologiques Époques gĂ©ologiques Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    X :DĂ©pĂŽts anthropiques, remblais.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Fy :Alluvions anciennes (basse terrasse de 0–10 m) : sables et graviers colluvions alluvions et apports Ă©oliens.
    Fx :Alluvions anciennes (moyenne terrasse de 10–20 m) : sables et graviers .
    Fv :Alluvions anciennes (terrasse de 45–55 m) : sables et graviers (= Cailloutis de SĂ©nart).
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent.
    MiocÚne non présent.
    PaléogÚne OligocÚne
    g1AR :Argile verte, Glaises Ă  CyrĂšnes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
    g1CB :Calcaire de Brie stampien et meuliÚres plio-quaternaire indifférenciées.
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grÚs en place ou peu remanié (versant).
    Éocùne
    e7C :Calcaire de Champigny, Calcaire de ChĂąteau-Landon, Marnes de Nemours.
    e7MS :Marnes supragypseuses : Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil
    PaléocÚne non présent.

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité trÚs faible[6].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de La Rochette.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,19 km[9].

    Par ailleurs, 4,6 % de la superficie de La Rochette, est couverte par des eaux continentales[Note 3].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[10].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associĂ©s », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE couvre deux rĂ©gions, six dĂ©partements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le Syndicat mixte du pays Beauce GĂątinais en Pithiverais, qualifiĂ© de « structure porteuse »[12].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,8 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,4 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 703 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 2,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,3 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[15]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[16], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[18].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[19] - [20].

    La rĂ©serve de biosphĂšre « Fontainebleau et GĂątinais », crĂ©Ă©e en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un espace protĂ©gĂ© sur la commune. Cette rĂ©serve de biosphĂšre, d'une grande biodiversitĂ©, comprend trois grands ensembles : une grande moitiĂ© ouest Ă  dominante agricole, l’emblĂ©matique forĂȘt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine Ă  l’est. La structure de coordination est l'Association de la RĂ©serve de biosphĂšre de Fontainebleau et du GĂątinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les RĂ©serves de biosphĂšre françaises[21] - [22] - [23].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États Membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[24].

    Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune, tant au titre de la « directive Habitats » que de la « directive Oiseaux » : le « Massif de Fontainebleau »[25]. Cet espace constitue le plus ancien exemple français de protection de la nature. Les alignements de buttes grĂ©seuses alternent avec les vallĂ©es sĂšches. Les conditions de sols, d'humiditĂ© et d'expositions sont trĂšs variĂ©es. La forĂȘt de Fontainebleau est rĂ©putĂ©e pour sa remarquable biodiversitĂ© animale et vĂ©gĂ©tale. Ainsi, elle abrite la faune d'arthropodes la plus riche d'Europe (3 300 espĂšces de colĂ©optĂšres, 1 200 de lĂ©pidoptĂšres) ainsi qu'une soixantaine d'espĂšces vĂ©gĂ©tales protĂ©gĂ©es[26]

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal de Rochette comprend une ZNIEFF de type 1[Note 5] - [27] - [Carte 2], le « Massif de Fontainebleau » (20 711,14 ha), couvrant 18 communes dont 17 en Seine-et-Marne et 1 dans l'Essonne[28]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [27], la « vallĂ©e de la Seine entre Melun et Champagne-sur-Seine » (1 062,65 ha), couvrant 15 communes du dĂ©partement[29].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    La Rochette est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [30] - [31] - [32]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[33] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[34] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[36] - [37].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (68,74 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (69,62 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (68,74 %), zones urbanisĂ©es (18,38 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (7,02 %), eaux continentales[Note 3] (4,57 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,28 %)[38].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[38].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    151,39 ha 25,81 % 156,57 ha 26,69 % 5,18 ha en augmentation
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogÚnes)
    0 ha 0,00 % 0 ha 0,00 % 0 ha en stagnation
    ForĂȘts et milieux semi-naturels
    (forĂȘts, milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e, espaces ouverts sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation)
    408,45 ha 69,62 % 403,27 ha 68,74 % −5,18 ha en diminution
    Surfaces en eau
    (eaux continentales, eaux maritimes)
    26,80 ha 4,57 % 26,80 ha 4,57 % 0 ha en stagnation

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[39] - [40] - [Carte 3]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La loi SRU du a incitĂ© les communes Ă  se regrouper au sein d’un Ă©tablissement public, pour dĂ©terminer les partis d’amĂ©nagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratĂ©gique des politiques publiques Ă  une grande Ă©chelle et Ă  un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT RĂ©gion melunaise, dont l'Ă©laboration a Ă©tĂ© engagĂ©e de 2013 Ă  2015, puis poursuivie Ă  partir de 2017 sur un pĂ©rimĂštre diffĂ©rent et portĂ© par la communautĂ© d'agglomĂ©ration Melun Val de Seine[41].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[42]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 5].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Carte du cadastre de la commune de La Rochette.

    La commune compte 14 lieux-dits administratifs[Note 9] répertoriés consultables ici[43] (source : le fichier Fantoir).

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 1 752 dont 41,5 % de maisons et 56,1 % d'appartements[Note 10].

    Parmi ces logements, 89,4 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 59,2 % contre 36,3 % de locataires[44] dont, 8,8 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 11] et, 4,5 % logés gratuitement.

    Voies de communication

    La ligne de chemin de fer de Paris Ă  Marseille traverse l'est du territoire de la commune, du nord au sud, en longeant la rive gauche de la Seine.

    Deux routes départementales relient La Rochette aux communes voisines :

    • la D 142, Ă  Dammarie-les-Lys et Ă  Villiers-en-BiĂšre, au nord-ouest ; et Ă  Fontainebleau, au sud-est ;
    • la D 606, Ă  Melun, au nord ; et Ă  Fontainebleau, au sud.

    Transports

    La gare de Melun, située à quelques centaines de mÚtres au nord de La Rochette, est desservie par les trains de la ligne D qui relient Melun à Paris, et par les trains de la ligne R du Transilien qui relient Melun à Paris, à Montereau-Fault-Yonne et à Montargis.

    La commune est desservie par deux lignes du réseau de bus Melibus[45] - [46] :

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa Rocheta en 1170[47] ; Rocheta vers 1350 (Pouillé)[48] ; La ville de la Rochette emprez Meleun en 1384[49] ; La Rochete lez Meleun en 1385[50].

    Dérive du nord-provençal roucheto, désignant une petite fortification.
    Le chĂąteau de La Rochette est bĂąti sur un escarpement rocheux converti en terrasses, il domine le fleuve d'une trentaine de mĂštres.

    Histoire

    Le document le plus ancien mentionnant la ville de La Rochette est une charte de 1047. La ville dépend alors du prieuré Saint-Sauveur de Melun qui fit construire l'église. La ville s'est ensuite étendue et a prospéré avec l'installation en 1753 de M. Moreau, directeur des fermes du roy. Il fut anobli en 1768 et pris le nom de François-Thomas Moreau de la Rochette. Il est à l'origine de la construction du chùteau. La ville fut ensuite étendue au nord jusqu'à Melun par la vente du bois de l'Ermitage en lotissement en 1925[51].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[52]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1795 Sectint
    1800 1810 Moreau d'Olibon
    1810 1836 Jean-Baptiste Moreau Baron
    1836 1838 Bafset
    1838 1842 Michel de Chavagnac
    1842 1848 François Besnard
    1848 1889 Charles Moreau Droite Baron
    1889 1925 Armand de la Rochette
    1925 1945 Louis de la Rochette
    1945 1947 Marcel Jacqueau
    octobre 1947 mars 1965 Georges Marguerie
    mars 1965 1986
    (décÚs)
    RenĂ© Tabourot UDF-CDS Conseiller gĂ©nĂ©ral de Melun-Sud (1979 → 1986)
    1986 mars 1989 Jean Clerc-Renaud
    mars 1989 mars 2008 Jean-Claude Agisson UDF puis UMP Chef d'entreprise
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Melun-Sud (1986 → 2011)
    mars 2008 En cours Pierre Yvroud[53] UDI Retraité de la SNCF
    6e vice-président de la CA Melun Val de Seine

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [54] - [55].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de La Rochette est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [56] - [57] - [58].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[59]. La communautĂ© d'agglomĂ©ration Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[56] - [60].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [56] - [61] - [62].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[64].

    En 2020, la commune comptait 3 820 habitants[Note 12], en augmentation de 16,57 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    177138163186201198187217194
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    195179179182168208184178159
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1631591711972221742555301 172
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 9032 8773 0962 9922 8612 7592 9303 1513 365
    2020 - - - - - - - -
    3 820--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[65] puis Insee Ă  partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    École Maternelle

    • École Henri-Matisse : 31, rue Henri-Matisse[67]

    École Primaire

    • École Alfred-Sisley : 11, rue Van-Gogh[67]

    Lycée Benjamin-Franklin

    Le lycée Benjamin-Franklin, métiers du bùtiment

    Dans ce lycĂ©e ce sont les mĂ©tiers du bĂątiment qui sont appris, les diplĂŽmes qui peuvent ĂȘtre dĂ©cernĂ©s sont le CAP, le BEP et le BaccalaurĂ©at professionnel. Une classe de TroisiĂšme Professionnelle est Ă©galement prĂ©sente pour apprendre les diffĂ©rents corps de mĂ©tiers.

    Le lycée est composé d'un internat, d'un self, de salles de cours et des ateliers correspondant au corps de métier.

    Les métiers enseignés au lycée sont :

    • CAP Serrurier mĂ©tallier, CAP Maçon, CAP Couvreur, CAP Peintre applicateur de revĂȘtement, CAP Installateur sanitaire, CAP Menuisier (fabricant de menuiserie, mobilier, agencement) ;
    • BEP Techniques de l'architecture et de l'habitat, BEP Techniques du Gros ƒuvre du bĂątiment, BEP Techniques des mĂ©taux du verre et des matĂ©riaux de synthĂšse du bĂątiment, BEP Techniques des installations sanitaires et thermiques, BEP MĂ©tiers du bois, BEP Techniques du Toit, BEP Finition dominante : Peinture Vitrerie RevĂȘtement ;
    • BAC PRO Technicien menuisier agenceur, BAC PRO Technicien du bĂątiment : Ă©tudes et Ă©conomie, BAC PRO AmĂ©nagement-Finition du bĂątiment, BAC PRO Ouvrage du bĂątiment : MĂ©tal alu verre et matĂ©riaux de synthĂšse, BAC PRO Technicien de maintenance de systĂšmes Ă©nergĂ©tiques et climatiques, BAC PRO Technicien en installation de systĂšmes Ă©nergĂ©tiques et climatiques.

    Sports

    Le gymnase Tabourot oĂč joue les Ă©quipes fĂ©minines de volley-ball.

    Le gymnase Tabourot abrite les rencontres du club de La Rochette volley (Melun Val de Seine La Rochette volley-ball jusqu'à la fin de la saison 2008-2009) dont l'équipe 1 senior féminine évoluait au niveau national en ligue A et réguliÚrement en coupe d'Europe.

    Un autre salle de sport RenĂ©-Huard au cƓur du stade de La Rochette permet la pratique d'autres sports en salle. Elle est Ă©galement la salle de repli de l'Ă©quipe de volley.

    La ville dispose d'un tennis club avec 3 terrains extérieurs et 2 couverts (accueillant également le club de tir à l'arc).

    Un centre équestre est également présent à la Rochette village.

    Lieux de cultes

    La ville dispose de deux Ă©glises :

    • l'Ă©glise Notre-Dame-de-la-Visitation qui n'est que rarement utilisĂ©e ;
    • l'Ă©glise Saint-Paul qui est le lieu de culte principal de la commune.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 1 496 (dont 68 % imposĂ©s), reprĂ©sentant 3 354 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 26 440 euros[68].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 955, occupant 1 551 actifs rĂ©sidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) ùgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69 % contre un taux de chÎmage de 9 %.

    Les 22,1 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 12 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 4,9 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 5,2 % pour les autres inactifs[69].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d'Ă©tablissements actifs Ă©tait de 291 dont 11 dans l’industrie, 39 dans la construction, 197 dans le commerce-transports-services divers et 44 Ă©taient relatifs au secteur administratif[70].

    Ces Ă©tablissements ont pourvu 1 087 postes salariĂ©s.

    Les commerces sont regroupĂ©s au cƓur de village et couvrent tous les mĂ©tiers de bouche.

    En bord de Seine, la zone d'activité est plus centrée sur les métiers du bùtiment.

    La commune abrite également un stock pétrolier, site classé Seveso « seuil haut », donnant lieu à l'élaboration d'un plan de prévention des risques technologiques (PPRT).

    Agriculture

    La Rochette est dans la petite rĂ©gion agricole dĂ©nommĂ©e le « Pays de BiĂšre et ForĂȘt de Fontainebleau », couvrant le Pays de BiĂšre et la forĂȘt de Fontainebleau[Carte 6].

    Culture locale et patrimoine

    Le chĂąteau de La Rochette en 2008.
    L'Ă©glise Notre-Dame de la Visitation.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armes de La Rochette sont en fait celle de François-Thomas Moreau

    • ÉcartelĂ© : aux 1) et 4) d'argent Ă  trois tĂȘtes de Maures de sable tortillĂ©es du champ; aux 2) et 3) coupĂ© d'or Ă  deux roses de gueules, et d'azur Ă  une rose d'argent

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « La Rochette », p. 896–899

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    10. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    11. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « La Rochette » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Zones ZNIEFF de Rochette » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « La Rochette - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
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    5. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    9. Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 8 septembre 2018
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