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ZĂ©ro

ZĂ©ro est un chiffre et un nombre. Son nom a Ă©tĂ© empruntĂ© en 1485 Ă  l’italien zero, contraction de zefiro, issu du latin mĂ©diĂ©val zephirum, qui reprĂ©sente une transcription de l’arabe áčŁÄ­fr (Ű”ÙŰ±), le vide[2] (qui en français a Ă©galement donnĂ© chiffre). Le zĂ©ro est notĂ© sous forme d’une figure fermĂ©e simple : 0.

−1 —0— 1
Cardinal zéro
Ordinal zéroiÚme[1]
Propriétés
Facteurs premiers aucun
Diviseurs tous les entiers
SystÚme de numération aucun
Autres numérations
Numération romaine inexistant
NumĂ©ration chinoise 〇, 零, 掞
NumĂ©ration indo-arabe Ù 
SystĂšme binaire 0
SystĂšme octal 0
SystÚme duodécimal 0
SystÚme hexadécimal 0

En tant que chiffre, il est utilisĂ© pour « garder le rang »[3] et marquer une position vide dans l’écriture des nombres en notation positionnelle.

En tant que nombre, zĂ©ro est un objet mathĂ©matique permettant d’exprimer une absence comme une quantitĂ© nulle : c'est le nombre d'Ă©lĂ©ments de l’ensemble vide. Il est le plus petit des entiers positifs ou nuls. Ses propriĂ©tĂ©s arithmĂ©tiques particuliĂšres, notamment l’impossibilitĂ© de la division par zĂ©ro, impliquent parfois de traiter son cas Ă  part. Il sĂ©pare les nombres rĂ©els en positifs et nĂ©gatifs et tient lieu d’origine pour repĂ©rer des points sur la droite rĂ©elle.

En algĂšbre, 0 est souvent utilisĂ© comme symbole pour dĂ©signer l’élĂ©ment neutre pour l’addition dans la plupart des groupes abĂ©liens et en particulier dans les anneaux, corps, espaces vectoriels et algĂšbres, parfois sous le nom d’élĂ©ment nul. Il est aussi l'Ă©lĂ©ment absorbant pour la multiplication.

Les Babyloniens ont utilisĂ© les premiers, un peu plus de 200 ans av. J.-C., une forme de chiffre zĂ©ro Ă  l’intĂ©rieur d’un nombre (par exemple : 304) mais jamais Ă  droite du nombre, ni Ă  gauche. C’est l’Inde qui perfectionne la numĂ©ration dĂ©cimale. Elle n’utilise pas seulement le zĂ©ro comme notation Ă  la maniĂšre babylonienne, mais aussi comme un nombre avec lequel opĂ©rer. La notion et la notation indienne du zĂ©ro sont ensuite empruntĂ©es par les mathĂ©maticiens arabes[4] qui les ont transmises Ă  l'Europe.

Il faut noter la place particuliĂšre des Mayas, seuls arithmĂ©ticiens de l’AntiquitĂ© Ă  dĂ©finir deux zĂ©ros, l’un cardinal, l’autre ordinal, comme l’illustre le verso de la plaque de Leyde[5].

Histoire

Zéro en tant qu'absence d'élément

L'une des premiĂšres apparitions d'un symbole pour indiquer l'absence de tout Ă©lĂ©ment se trouve dans l'AáčŁáč­ÄdhyāyÄ«, traitĂ© de grammaire en sanskrit attribuĂ© au grammairien Pāáč‡ini et rĂ©digĂ© au plus tard au IVe siĂšcle av. J.-C. La plupart des formes nominales du sanskrit peuvent ĂȘtre reprĂ©sentĂ©es par des segments phonĂ©tiques rĂ©els selon la sĂ©quence racine + suffixe de thĂšme + suffixe flexionnel. Certaines des formes nominales Ă©chappent cependant Ă  cette rĂšgle. Ainsi le mot bajham (« partage ») est formĂ© de la racine bajh- et du suffixe flexionnel -am sans faire intervenir de suffixe de thĂšme pour sa formation. L'auteur de l'AáčŁáč­ÄdhyāyÄ« a choisi d'indiquer son absence en la reprĂ©sentant par un symbole[6].

ZĂ©ro en tant que chiffre

Les systÚmes de numération positionnels sont de bons candidats pour l'apparition du zéro en tant que chiffre. Il est ainsi apparu plusieurs fois dans ceux élaborés par différents peuples et civilisations. Le chiffre zéro n'y est cependant pas nécessaire: des civilisations comme la Chine ou la Mésopotamie s'en sont passé durant des siÚcles.

Dans la civilisation mĂ©sopotamienne, un systĂšme sexagĂ©simal de position apparait dĂšs le XXIe siĂšcle av. J.-C.[7]. Ce systĂšme n'utilisait pas de zĂ©ro, ni pour indiquer l'ordre de grandeur, puisqu'ils travaillaient sur un systĂšme apparentĂ© Ă  la virgule flottante[8] ni pour indiquer une absence au sein de la numĂ©ration oĂč d'autres moyens Ă©taient utilisĂ©s comme l'espacement[9]. La premiĂšre apparition du zĂ©ro en MĂ©sopotamie semble remonter au IIIe siĂšcle av. J.-C., Ă  l’époque des SĂ©leucides. Il n’était cependant pas utilisĂ© dans les calculs et ne servait que comme chiffre (marquage d’une position vide dans le systĂšme de numĂ©ration babylonienne)[10]. IgnorĂ© par les Romains, il fut repris et mieux utilisĂ© encore par les astronomes grecs.

Les inscriptions sur os et Ă©cailles (jiaguwen) dĂ©couvertes dans la rĂ©gion de Anyang, dans l’actuelle province du Henan, Ă  la fin du XIXe siĂšcle, nous apprennent que, dĂšs les XIVe – XIe siĂšcles av. J.-C., les Chinois utilisaient une numĂ©ration dĂ©cimale de type « hybride », combinant neuf signes fixes pour les unitĂ©s de 1 Ă  9, avec des marqueurs de position particuliers pour les dizaines, centaines, milliers et myriades. Au Ier siĂšcle av. J.-C., en Chine antique, la numĂ©ration Ă  bĂątons utilise des espaces entre les chiffres pour reprĂ©senter les zĂ©ros[11]. Le zĂ©ro s'y rencontre tardivement probablement sous influence babylonienne ou grecque[12].

Une autre prĂ©sence concerne le systĂšme dont nous sommes toujours hĂ©ritiers, apparue vraisemblablement dans le monde indien au IIIe siĂšcle ou mĂȘme avant[13]. La premiĂšre trace Ă©crite conservĂ©e du 0 se trouverait dans le manuscrit de Bakhshali (IIIe ou IVe siĂšcle apr. J.-C.)[14].

L'utilisation d'un zéro positionnel est également avéré dans le systÚme de numération maya, au IVe siÚcle, qui dispose en outre d'un zéro ordinal[15].

En tant que nombre

Son usage moderne, Ă  la fois comme chiffre et comme nombre, est hĂ©ritĂ© de l’invention indienne des chiffres nagari vers le Ve siĂšcle. Le mot indien dĂ©signant le zĂ©ro Ă©tait ƛƫnya (çûnya), qui signifie « vide », « espace » ou « vacant ». Le mathĂ©maticien et astronome indien Brahmagupta est le premier Ă  dĂ©finir le zĂ©ro dans son ouvrage BrĂąhma SiddhĂąnta. Ce mot, d'abord traduit en arabe par « áčŁifr », ce qui signifie « vide » et « grain », a ensuite donnĂ© en français les mots chiffre et zĂ©ro (de par la traduction de sifr en l’italien zephiro, Ă  partir duquel a Ă©tĂ© formĂ© zevero qui est devenu zero). La graphie du zĂ©ro, d’abord un cercle, est inspirĂ©e de la reprĂ©sentation de la voĂ»te cĂ©leste.

Comme l’indique l’étymologie, son introduction en Occident est consĂ©cutive Ă  la traduction de mathĂ©matiques arabes, notamment les travaux d’al-KhwārizmÄ«, vers le VIIIe siĂšcle. En 976, Muhammad Ibn Ahmad, dans ses ClĂ©s des Sciences suggĂšre — si aucun nombre n'apparait Ă  la place des dizaines — d'employer un petit cercle pour « garder le rang »[16].

Les chiffres indiens sont importĂ©s d’Espagne en Europe chrĂ©tienne aux environs de l’an mil. Cette introduction a souvent Ă©tĂ© attribuĂ©e Ă  Gerbert d’Aurillac, devenu pape sous le nom de Sylvestre II. Il est cependant douteux qu'il en ait vĂ©ritablement Ă©tĂ© le responsable. Dans tous les cas, le zĂ©ro n'est pas encore couramment utilisĂ© en Europe chrĂ©tienne, les chiffres indiens servant surtout Ă  marquer les jetons d’abaque de 1 Ă  9[17].

Leonardo Fibonacci a une influence dĂ©terminante. Il reste plusieurs annĂ©es Ă  BĂ©jaĂŻa, au Maghreb central (actuelle AlgĂ©rie), et Ă©tudie auprĂšs d’un professeur local. Il voyage Ă©galement en GrĂšce, en Égypte, dans le Proche-Orient et confirme l’avis de Sylvestre II sur les avantages de la numĂ©ration de position. En 1202, il publie le Liber Abaci, recueil qui rassemble pratiquement toutes les connaissances mathĂ©matiques de l’époque et qui, malgrĂ© son nom, enseigne Ă  calculer sans abaque.

Dans son ouvrage Zéro, la biographie d'une idée dangereuse, Charles Seife explique en quoi le zéro a permis la compréhension de nombreux concepts dans plusieurs domaines en plus des mathématiques, notamment la thermodynamique et la mécanique quantique ; entre autres, les travaux de Isaac Newton, Gottfried Wilhelm Leibniz, Richard Swineshead et Nicole Oresme à propos des suites mathématiques, lient étroitement zéro avec l'infini.

Les deux zéros des Mayas

SigneSens
0 ordinal : dates
0 cardinal : durées

Le zĂ©ro est utilisĂ© par les Mayas durant le Ier millĂ©naire, comme chiffre dans leur systĂšme de numĂ©ration de position, comme nombre et comme ordinal dans le calendrier, oĂč il correspond Ă  l’introduction des mois. Sylvanus Morley a confondu ces deux utilisations dans une transcription unique, nĂ©gligeant le fait qu’il s’agit de deux concepts et de deux zĂ©ros diffĂ©rents[5] : l’un correspond Ă  un zĂ©ro ordinal des dates, l’autre est un zĂ©ro cardinal des durĂ©es[18], jamais confondus dans leurs usages par les scribes[19].

Perception animale du nombre zéro

Des tests appropriĂ©s permettent d'Ă©valuer la capacitĂ© des animaux Ă  compter, Ă  Ă©valuer si un nombre est plus grand qu'un autre, et mĂȘme Ă  considĂ©rer le zĂ©ro (l'absence d'items) comme un nombre infĂ©rieur aux autres. Cette capacitĂ© a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e chez les gris du Gabon[20], chez les singes rhĂ©sus[21] et chez les abeilles domestiques[22].

Graphies actuelles

La graphie « 0 » n’est pas la seule utilisĂ©e dans le monde ; un certain nombre d’alphabets — particuliĂšrement ceux des langues du sous-continent indien, du sud-est asiatique et d'extrĂȘme orient — utilisent des graphies diffĂ©rentes.

AlphabetChiffre
Birman၀
Devanagarià„Š
Gujaratià«Š
GurmukhĂźà©Š
KannaraàłŠ
AlphabetChiffre
Khmer໐
Malayalamà”Š
Oriyaà­Š
TamoulàŻŠ
TĂ©lougouొ
AlphabetChiffre
ThaĂŻàč
TibĂ©tainàŒ 
Sinogramme simplifié〇
Sinogramme traditionnel零

Voici le zéro en afficheur 7 segments :

On utilise des conventions typographiques comme le zéro barré ou le zéro pointé afin d'éviter de confondre ce chiffre avec d'autres glyphes.

Utilisations

Il est aujourd’hui Ă  la base du systĂšme de mesure de la tempĂ©rature :

Il n’y a pas d’annĂ©e zĂ©ro dans le calendrier grĂ©gorien. En effet, l’usage du nombre 0 en Europe est postĂ©rieur Ă  la crĂ©ation de l’anno Domini par Dionysius Exiguus au VIe siĂšcle. Cependant pour simplifier les calculs d’éphĂ©mĂ©rides, les astronomes dĂ©finissent une annĂ©e 0 qui correspond Ă  l’annĂ©e -1 des historiens, l’an -1 des astronomes correspondant Ă  l’an -2 des historiens et ainsi de suite.

C’est ainsi que le IIIe millĂ©naire et le XXIe siĂšcle ont commencĂ© le .

Minuit peut se noter 00:00.

Dans de nombreux langages de programmation (tels le C ou le Python), l'indexation s'effectue Ă  partir de 0 (en) et non de 1. La raison en est que la numĂ©rotation d’élĂ©ments stockĂ©s de façon continue dans une zone de stockage (disque, mĂ©moire, etc.) se fait par dĂ©calage par rapport Ă  une adresse de dĂ©but : le premier Ă©lĂ©ment est celui au dĂ©but de la zone (+ 0), le second Ă©lĂ©ment est le suivant (+ 1), etc. L'indexation Ă  partir de 1, encore utilisĂ©e par certains logiciels (comme MATLAB), est la source de nombreuses erreurs de programmation.

Le zéro comme notation des bases 2, 8, 10, 16


Dans la base dix que l’on utilise, le chiffre le plus Ă  droite indique les unitĂ©s, le deuxiĂšme chiffre indique les dizaines, le troisiĂšme les centaines, le quatriĂšme les milliers


Le zĂ©ro joue donc un rĂŽle particulier dans le systĂšme arithmĂ©tique positionnel, quel qu’il soit du reste.

Rappelons que l’usage de la base 10, en provenance de l’Inde, s’est imposĂ© en France par rapport Ă  d’autres bases, par exemple 12 et 60 qui Ă©taient utilisĂ©es dans certaines civilisations, le systĂšme vicĂ©simal ayant laissĂ© des traces dans la langue française, et le systĂšme duodĂ©cimal des modes de calcul chez les Britanniques.

Lorsqu’il y a des unitĂ©s rĂ©siduelles, par exemple dans trente-deux (32), le chiffre des unitĂ©s (2) permet de comprendre que l’autre chiffre (3) indique les dizaines.

Si l’on a un nombre entier de dizaines (par exemple trois dizaines, trente), il n’y a pas d’unitĂ© rĂ©siduelle. Il faut donc un caractĂšre qui permette de marquer que le 3 correspond aux dizaines, et ce caractĂšre est le 0 ; c’est ainsi que l’on comprend que « 30 » signifie « trois dizaines ».

On aurait pu utiliser n’importe quel autre caractĂšre, par exemple un point ; ainsi, deux-cent trois se noterait « 2.3 ».

L’utilisation d’un caractĂšre « bouche-trou » remonte Ă  la numĂ©ration babylonienne, comme indiquĂ© ci-dessus, mais il ne s’agit pas du concept d’« absence de quantitĂ© », il s’agit juste d’une commoditĂ© de notation. Dans la numĂ©ration romaine, cet artifice n’est pas utile puisque les unitĂ©s (I, V), les dizaines (X, L), les centaines (C, D) et les milliers (M) sont notĂ©s avec des caractĂšres diffĂ©rents. En contrepartie, la notation de nombres supĂ©rieurs Ă  8 999 devient problĂ©matique et les reconnaissances de structures pour le calcul mental rapide bien plus pĂ©nibles.

Le zéro comme absence de quantité

Le fait d’exprimer l’absence de quantitĂ© par un nombre n’est pas une Ă©vidence en soi. L’absence d’un objet s’exprime par la phrase « il n’y en a pas » (ou « plus »).

Les nombres sont dĂ©jĂ  une abstraction : on ne s’intĂ©resse pas Ă  la qualitĂ© d’un objet, mais juste Ă  sa quantitĂ©, la dĂ©nombrabilitĂ© (le fait que des objets soient similaires mais distincts). Avec le zĂ©ro, on va jusqu’à nier la quantitĂ©.

Lorsque l’on additionne ou multiplie deux nombres, on a derriĂšre l’image de regrouper deux tas d’objets semblables, deux troupeaux. Cette image ne tient plus lorsque l’on manipule le zĂ©ro.

L’invention du zĂ©ro a permis l’invention des nombres nĂ©gatifs.

Propriétés arithmétiques et algébriques

ZĂ©ro est le premier nombre entier naturel, dans l'ordre usuel.

Il est divisible par tout autre entier relatif.

Pour tout nombre réel (ou complexe) :

Usage étendu de zéro en mathématiques

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « 0 » (voir la liste des auteurs).
  1. Informations lexicographiques et étymologiques de « zéroiÚme » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  2. Le Robert historique de la langue française, 1992, 1998.
  3. Selon l'expression de Muhammad Ibn Ahmad dans son ouvrage Les Clés des Sciences rédigé en 976 et cité par JC Risler dans « La civilisation arabe », Payot, Paris, 1955.
  4. Pierre Germa, Depuis quand ?, dictionnaire des inventions. Berger-Levrault, Paris (1979), p. 382 (ISBN 978-2-7013-0329-1).
  5. André Cauty, Jean-Michel Hoppan, Et un, et deux zéros mayas, in Pour la science, Dossier mathématiques exotiques, avril/juin 2005.
  6. Robert Henry Robins, BrĂšve histoire de la linguistique : de Platon Ă  Chomsky, Paris, Editions du Seuil, (ISBN 9782020044790 et 202004479X), p. 155-156
  7. (en) Eleanor Robson, « Mesopotamian Mathematics », dans Victor J. Katz, The Mathematics of Egypt, Mesopotamia, China, India, and Islam: A Sourcebook, Princeton University Press, (lire en ligne) - p. 78
  8. (en) Donald E. Knuth, « Ancient Babylonian Algorithms », Communications of the ACM, vol. 15, no 7,‎ , p. 671-677 (lire en ligne) - p. 671.
  9. Georges Ifrah, Histoire universelle des chiffres, Paris, Seghers, , 567 p. (ISBN 2-221-50205-1) - RĂ©Ă©dition 1994, Éditions Laffont, (ISBN 2-221-07838-1) - p.192
  10. Otto Neugebauer, Les Sciences exactes dans l’AntiquitĂ©, 1969, chapitre 1. p. 20-27 Lire en ligne sur Google Livres.
  11. « Numération chinoise ancienne », sur Chine - Informations
  12. Jean-Claude Martzloff, « Sur la trace du zĂ©ro en Chine
 », Les GĂ©nies de la science, no 28,‎
  13. (en) Kim Plofker, « Mathematics in India », dans Victor J. Katz, The mathematics of Egypt, Mesopotamia, China, India, and Islam : A sourcebook, Princeton University Press, (ISBN 978-0-691-11485-9), p. 396.
  14. Hannah Devlin, Much ado about nothing: ancient Indian text contains earliest zero symbol, The Guardian (14 septembre 2017).
  15. André Cauty, Numérotations à deux « zéros » chez les Mayas, RepÚres, IREM, no 41, octobre 2000 (lire en ligne [PDF]), pp. 37;39.
  16. JC Risler, La civilisation arabe, Payot, Paris 1955, p. 152-153.
  17. (it) Nadia Ambrosetti, L'ereditĂ  arabo-islamica nelle scienze e nelle arti del calcolo dell'Europa medievale, Milan, LED, (ISBN 978-88-7916-388-0, lire en ligne), p. 96-98
  18. AndrĂ© Cauty, J.-M. Hoppan, É. TrĂ©lut, NumĂ©rotation et action. Le cas des numĂ©rotations mayas, dans Journal des anthropologues, no 85-86, 2001 (lire en ligne [PDF]).
  19. André Cauty, Numérotations à deux « zéros » chez les Mayas, RepÚres, IREM, no 41, octobre 2000 (lire en ligne [PDF]).
  20. (en) Irene M. Pepperberg et Jesse D. Gordon, « Number comprehension by a grey parrot (Psittacus erithacus), including a zero-like concept », Journal of Comparative Psychology, vol. 119, no 2,‎ , p. 197-209 (DOI 10.1037/0735-7036.119.2.197).
  21. (en) D. J. Merritt, R. Rugani R et E. M. Brannon, « Empty sets as part of the numerical continuum: conceptual precursors to the zero concept in rhesus monkeys », Journal of Experimental Psychology. General, vol. 138, no 2,‎ , p. 258-269 (DOI 10.1037/a0015231).
  22. (en) Scarlett R. Howard, Aurore AvarguĂšs-Weber, Jair E. Garcia1, Andrew D. Greentree et Adrian G. Dyer1, « Numerical ordering of zero in honey bees », Science, vol. 360, no 6393,‎ , p. 1124-1126 (DOI 10.1126/science.aar4975).
  23. Pour en finir avec 00 sur forums.futura-sciences.com

Voir aussi

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Articles connexes

Bibliographie

  • Georges Ifrah, Histoire universelle des chiffres, l’intelligence des hommes racontĂ©e par les nombres et le calcul, Robert Laffont, collection Bouquins. (ISBN 978-2-221-90100-7). Tome 1, 1 042 pages, tome 2, 1 010 pages. Janvier 1994. (illustrations en couleur)
  • Charles Seife, ZĂ©ro : la biographie d’une idĂ©e dangereuse, Paris, Hachette, (ISBN 978-2-01-279192-3).

Radiographie

Vidéographie

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