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VĂ©zac (Dordogne)

Vézac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

VĂ©zac
VĂ©zac (Dordogne)
Le chĂąteau de la Malartrie au bord de la Dordogne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Sarlat-Périgord noir
Maire
Mandat
Christian Robles
2020-2026
Code postal 24220
Code commune 24577
DĂ©mographie
Gentilé Vézacois
Population
municipale
516 hab. (2020 en diminution de 15,55 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 40 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 50â€Č 07″ nord, 1° 09â€Č 55″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 243 m
Superficie 12,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sarlat-la-Canéda
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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VĂ©zac
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VĂ©zac
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VĂ©zac

    GĂ©ographie

    Généralités

    Comprise dans l'aire urbaine de Sarlat-la-Canéda, la commune de Vézac se trouve en Périgord noir, dans le quart sud-est du département de la Dordogne. Elle est implantée à 10 kilomÚtres au sud-ouest de Sarlat-la-Canéda, sur la rive nord de la Dordogne, située dans une petite plaine au débouché du ruisseau du Pontou. L'agglomération principale est à un kilomÚtre de la rive, à proximité de la route départementale 703 qui longe le fleuve et prÚs de la route départementale 57 venant de Sarlat-la-Canéda.

    Des coteaux boisés (appelés pechs en occitan), en calcaire jurassique, enserrent une vallée débouchant au sud sur une plaine s'élargissant dans un méandre de la Dordogne. Le relief, qui comporte des falaises verticales, est de type karstique avec une circulation souterraine des eaux, alimentant des résurgences, dont une tout au sud, en bordure de la Dordogne (source de la Bullide). Un éperon en surplomb de la riviÚre au sud-est, le Pech de l'Aze, offre une vue presque circulaire de la vallée et des falaises qui la bordent.

    L'eau du principal ruisseau, dit de Pontou, et de ses affluents a permis l'irrigation et l'utilisation de l'énergie hydraulique dans les moulins à eau, dont les quatre plus importants subsistent, certains ayant nécessité de gros travaux, comme le creusement du bief dans le roc au Moulin du Trel (ou du Treuil).

    La terre de la plaine et du haut de la vallée est grasse et fertile, ainsi que celle des combes supérieures, permettant des cultures exigeantes, comme le blé, le tabac (culture maintenant en régression importante) et le maïs, mais le tournesol, le colza et les asperges sont aussi les nouvelles productions rémunératrices. Le noyer, culture emblématique de la région, étend son aire de production, car relativement facile à cultiver.

    Les premiĂšres pentes les mieux exposĂ©es au sud Ă©taient autrefois couvertes de vignes, disparues avec la crise du phylloxĂ©ra Ă  la fin du XIXe siĂšcle. Ces mĂȘmes pentes en adret accueillent, par endroits, une flore de type mĂ©diterranĂ©en. La forĂȘt couvre les coteaux, composĂ©e principalement de chĂȘnes verts (yeuses) et de pins Ă  la couleur sombre. Elle a eu une Ă©conomie propre basĂ©e sur la production du bois qui pouvait ĂȘtre facilement descendu jusqu'au port sur la Dordogne (il en reste le nom du Vieux Port).

    La rĂ©colte des chĂątaignes et le pacage des animaux (les porcs Ă©taient nourris des glands des chĂȘnes) ont suscitĂ© la construction de petites habitations paysannes temporaires en pierres sĂšches, appelĂ©es improprement bories, et dont plus d'une quarantaine ont subsistĂ©.

    La commune qui fait partie de la petite région historique du Sarladais (région de Sarlat), qui répond aussi à l'appellation de Périgord Noir, est située entre deux plus beaux villages de France : La Roque-Gageac et Beynac-et-Cazenac qui sont visibles depuis la bande riveraine de la Dordogne.

    Communes limitrophes

    Carte de VĂ©zac et des communes avoisinantes.

    VĂ©zac est limitrophe de sept autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. VĂ©zac est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c3a, date du Coniacien infĂ©rieur, composĂ©e de marnes et calcaires argileux grisĂątres, calcaires marneux et glauconieux Ă  rhynchonelles, calcaires fins Ă  silex noirs (formation de la Rouquette). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles Ă  actuelles. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 808 - Sarlat-la-CanĂ©da » et « no 832 - Gourdon » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de Vézac.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 49 mĂštres[6] au sud-ouest, lĂ  oĂč la Dordogne quitte la commune et sert de limite entre celles de Beynac-et-Cazenac et Castelnaud-la-Chapelle, et 243 mĂštres[6] - [7] au nord-est, prĂšs du lieu-dit les Vitarelles, en limite de la commune de Vitrac[8].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [9]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [10]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 12,97 km2[6] - [12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 13,58 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, le ruisseau de Pontou, le ruisseau du Treuil et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 16 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[17] - [18]. Elle borde la commune au sud sur cinq kilomĂštres, face Ă  CĂ©nac-et-Saint-Julien et Castelnaud-la-Chapelle.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de Pontou traverse le territoire communal du nord à l'ouest sur cinq kilomÚtres, dont prÚs d'un kilomÚtre et demi en limite de Saint-André-d'Allas et Sarlat-la-Canéda.

    Affluent de rive droite d'un bras septentrional du ruisseau de Pontou, le ruisseau du Treuil arrose l'ouest de la commune sur 750 mÚtres dont 550 mÚtres en deux tronçons, face à Beynac-et-Cazenac.

    • La falaise de VĂ©zac, le long de la Dordogne, vue depuis l'amont.
      La falaise de VĂ©zac, le long de la Dordogne, vue depuis l'amont.
    • Idem, vue depuis l'aval.
      Idem, vue depuis l'aval.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de VĂ©zac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [20].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[21]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 925 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[25] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[26] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-CanĂ©da, mise en service en 1995[27] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[28] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 854,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[29]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  20 km[30], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[31], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[32], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[33].

    Milieux naturels et biodiversité

    Vue sur la Dordogne et La Roque-Gageac depuis les jardins de Marqueyssac.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Vézac[34] - [35]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[36].

    La zone Coteaux calcaires de la vallĂ©e de la Dordogne, qui s'Ă©tend au total sur 3 686 hectares et est partagĂ©e avec vingt-quatre autres communes, fait Ă©galement partie du rĂ©seau Natura 2000[37] - [38]. Deux espĂšces de chauves-souris inscrites Ă  l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union europĂ©enne y ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es[37] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'Ă©tend sur environ trois kilomĂštres carrĂ©s et correspond aux coteaux situĂ©s au nord de la route dĂ©partementale 703, en deux sites sĂ©parĂ©s, notamment le long du ruisseau de Pontou — et de son affluent le ruisseau du Treuil — et de la Dordogne.

    ZNIEFF

    VĂ©zac fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[39] - [40], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[41].

    Urbanisme

    Typologie

    Vézac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [42] - [43] - [44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-CanĂ©da, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[45] - [46].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (56 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (55,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (56 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (22,1 %), terres arables (19,1 %), eaux continentales[Note 10] (2,8 %)[47].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de VĂ©zac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[48]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[49].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le CĂ©ou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1996, 1997, 1999, 2020 et 2021[50] - [48]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne amont » approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[51] - [52].

    VĂ©zac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[53]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[54] - [55].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vézac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[56]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[57]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[58]. 21,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [59].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, par des mouvements de terrain en 1999 et et par des éboulements et/ou chutes de blocs en 1994[48].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 12] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[61].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Vesac[62].

    Histoire

    Les coteaux calcaires, sont, comme dans la toute proche vallĂ©e de la VĂ©zĂšre, parsemĂ©s de grottes naturelles parfois assez profondes, car creusĂ©es par d'anciennes rĂ©surgences. Une seule est connue pour avoir servi d'abri aux hommes du PalĂ©olithique supĂ©rieur, Ă  la pĂ©riode de l'Aurignacien. La grotte du Roc, au-dessus du hameau du mĂȘme nom, a Ă©tĂ© fouillĂ©e par le cĂ©lĂšbre prĂ©historien Denis Peyrony, puis Ă©tudiĂ©e en dĂ©tail par Jean-Philippe Rigaud. Entre 30000 et 20000 av. J.-C., des dessins et des reliefs y ont Ă©tĂ© peints, gravĂ©s ou sculptĂ©s. Un dolmen situĂ© au hameau de Peyrelevade Ă  Vitrac sur la route dite "romaine" qui fait la limite Ă  l'Est, est le tĂ©moin de la prĂ©sence des hommes protohistoriques (vers 4000 av. J.-C.). La route n'apparaĂźt pas sur une carte avant le XIIIe siĂšcle, mais semble ĂȘtre un itinĂ©raire antique de Limoges Ă  Cahors, via Sarlat. Un abri sur une faille dĂ©coupant la falaise de la Malartrie a conservĂ© des vestiges de l'Ăąge du bronze final (autour de 1000 av. J.-C.).

    Le nom de VĂ©zac est, apparemment, une trace de la prĂ©sence gallo-romaine (Vetiacus? Domaine de Vetius ou Vitius?), mais le terroir est plutĂŽt une dĂ©pendance agricole de Beynac, la paroisse voisine, couronnĂ©e de son chĂąteau-fort haut perchĂ© qui a remplacĂ© un proche village fortifiĂ© datant d'avant 1000 av. J.-C. La Dordogne est Ă  la fois l'artĂšre vitale et le lieu du danger qui amĂšnent les ennemis comme les Vikings aux Xe siĂšcle. L'Ă©peron du Pech de l'Aze, idĂ©alement placĂ© pour surveiller l'amont et l'aval, est certainement fortifiĂ©, au haut Moyen Âge, au lieu-dit Marqueyssac, et devient un relais militaire du puissant seigneur de Beynac qui doit tenir en respect celui de Castelnaud, juchĂ© sur la falaise d'outre-riviĂšre. Lors de l'essor agricole du Moyen Âge, les habitants sont assez riches pour que soit construit, puis agrandi un sanctuaire en pierres de taille. L'Ă©glise paroissiale, dĂ©diĂ©e Ă  Saint-Urbain, a un chevet roman commencĂ© au XIIe siĂšcle et une nef, qui, malgrĂ© les remaniements, garde ce style d'origine. Les chapelles latĂ©rales sont construites selon les canons de l'art ogival au XIIIe siĂšcle.

    À la fin du XIIe siĂšcle, l'influence politique des rois PlantagenĂȘts, maĂźtres de l'Aquitaine, parvient sur la Dordogne et le chĂąteau de Beynac est briĂšvement donnĂ© par le roi anglais, Richard CƓur de Lion, Ă  l'un de ses lieutenants. Au XIVe siĂšcle, VĂ©zac est sur la ligne de front de la Guerre de Cent Ans, car la rive Sud avec Castelnaud comme point d'appui est souvent aux mains de l'Anglais, le sire de Beynac et l'Ă©vĂȘque-comte de Sarlat tenant pour le roi de France. En 1350, le petit chĂąteau-fort de Marqueyssac est pris et brĂ»lĂ© par les troupes anglaises, son seigneur, HĂ©lie, devant se rĂ©fugier Ă  Castelnaud[Note 13]. Cependant, lors de pĂ©riodes de paix, la concurrence est vive entre l'Ă©vĂȘque de Sarlat qui possĂšde La Roque-Gageac et ses rivaux de Castelnaud et de Beynac. On a remarquĂ© que les falaises qui font face Ă  La Roque-Gageac ont Ă©tĂ© fortifiĂ©es Ă  une Ă©poque inconnue. Une fois, les guerres anglo-françaises et les guerres de religion terminĂ©es, les chĂąteaux et maisons nobles se transforment en rĂ©sidences d'apparat. Le manoir de Rochecourbe construit au dĂ©but du XVIe siĂšcle est ensuite remaniĂ© au XVIIe et au XVIIIe et dotĂ© de trĂšs beaux plafonds ornĂ©s Ă  la française. Le manoir de Soulvignac[Note 14], qui a appartenu Ă  la puissante famille pĂ©rigordine des Solminihac[Note 15], garde des traces du style ogival, mais est aussi complĂštement rĂ©amĂ©nagĂ© au XVIIIe siĂšcle. Une lĂ©gende voulait que les premiers jardins "suspendus" de Marqueyssac, Ă©tablis Ă  flanc de coteau, aient Ă©tĂ© dessinĂ©s par AndrĂ© Le NĂŽtre, mais il semble que cela soit l'Ɠuvre d'un de ses Ă©lĂšves, Porcher[Note 16], Ă  la demande du magistrat, Bertrand Vernet, conseiller du Roi au prĂ©sidial de Sarlat. La seigneurie passĂ©e aux mains de François Lavergne de Cerval, celui-ci fait Ă©difier, Ă  la fin du XVIIIe siĂšcle, au sommet du coteau, un chĂąteau rĂ©sidentiel de style classique, couvert de lauzes, mais gardant la tour d'escalier plus ancienne.

    À l'Ă©tĂ© 1789, les habitants de VĂ©zac refusent d'arracher les "arbres de mai" que les communautĂ©s du Sarladais avaient plantĂ©s en signe de solidaritĂ© avec le mouvement antifĂ©odal et les autoritĂ©s envoyĂšrent des troupes pour le faire. Ces arbres de mai sont une prĂ©figuration des arbres de la LibertĂ© qui seront plantĂ©s, peu aprĂšs, partout en France. Dans la deuxiĂšme moitiĂ© du XIXe siĂšcle, l'agriculture connaĂźt un dĂ©veloppement important, grĂące Ă  l'amĂ©lioration des techniques et Ă  l'Ă©tablissement de moyens de transports rapides. La construction du pont routier de Fayrac en 1880 et celle de la route directe vers Sarlat (D 57) forment un carrefour routier, tandis que le chemin de fer arrive de Bordeaux pour relier Sarlat en 1884 et c'est Ă  VĂ©zac qu'est implantĂ©e la gare qui dessert les proches communes voisines, dont l'attrait touristique (les deux villages les plus voisins sont classĂ©s "plus beaux villages de France") commence Ă  ĂȘtre connu bien au-delĂ  du Sarladais. Le tabac et les cĂ©rĂ©ales trouvent des dĂ©bouchĂ©s faciles et, comme ailleurs, c'est la pĂ©riode de constructions de beaux bĂątiments agricoles en pierre calcaire blonde sous des toits de lauzes ou de tuiles. La dĂ©prise agricole en fera des lieux d'habitation de choix pour des citadins ou des Ă©trangers attirĂ©s par les richesses culturelles et par le climat de la rĂ©gion.
    ParallĂšlement, la batellerie fluviale qui faisait de la riviĂšre un moyen de transport sĂ©culaire (exportation du bois, des pierres et des produits agricoles), s'Ă©teint du fait de la concurrence de la route et du fer. Sous le Second Empire, Julien de Lavergne de Cerval, un autre magistrat de Sarlat, hĂ©rite de Marqueyssac et entreprend d'agrandir les jardins dans un goĂ»t italien. En y ajoutant l'idĂ©e de crĂ©er des massifs de buis taillĂ©s selon les rĂšgles de l'art topiaire, il met en place ce qui deviendra le fleuron touristique de VĂ©zac, grĂące au travail de rĂ©habilitation entrepris Ă  la fin du XXe siĂšcle. Les archives judiciaires gardent la trace d'un procĂšs pittoresque intentĂ© par un couple d'agriculteurs, les Camuzard, aux curĂ©s de VĂ©zac et de Beynac. Un jour de 1890, les hommes d'Ă©glise, tenant les chauve-souris pour des ĂȘtres malĂ©fiques, Ă©taient venus en tuer 200 Ă  coups de fusil dans la fameuse grotte du Roc. Les excrĂ©ments des petits animaux Ă©taient nĂ©cessaires Ă  la fumure des champs en terrasse de la petite ferme, en partie troglodytique, mais l'issue du procĂšs n'est pas connue.

    Un diplomate trĂšs en vue, le comte Charles de Beaupoil de Sainte-Aulaire, a jetĂ© son dĂ©volu sur le piĂ©mont de falaise de la Malartrie qui domine la Dordogne et fait construire, au dĂ©but du XXe siĂšcle, en une trentaine d'annĂ©es, un Ă©lĂ©gant chĂąteau nĂ©o-Renaissance sur une terrasse Ă©largie Ă  coup d'explosifs. Dans la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle, l'exode rural commence, amplifiĂ© par le ravage du vignoble par le phylloxĂ©ra et aggravĂ© par les pertes humaines de la Grande Guerre et provoque le dĂ©clin dĂ©mographique pendant plusieurs dizaines d'annĂ©es. Pendant la guerre de 1939-1945, des groupes clandestins se crĂ©ent sous le patronage de l'ArmĂ©e secrĂšte et le secrĂ©taire de mairie et instituteur, Abel Laviale, les soutient en fabriquant des faux papiers et en les ravitaillant. En 1944, un groupe de soldats allemands vient Ă  la mairie de VĂ©zac, le trouve Ă  son travail de secrĂ©taire de mairie et lui demande de les conduire auprĂšs du maire. Il fait quelques pas avec eux puis s'enfuit dans des vignes. Un soldat allemand l'abat par rĂ©flexe, ce qui motivera l'officier commandant le groupe Ă  expliquer au maire quelques minutes plus tard, que ce n'Ă©tait pas son intention initiale. Un dĂ©tachement des Chantiers de la jeunesse, qui fournit de la main-d'Ɠuvre Ă  la SociĂ©tĂ© Guyenne-PĂ©trole, installe sur la commune, en 1943-1944, un chantier de carbonisation[63]. La paix revenue, VĂ©zac se glorifie d'ĂȘtre dans "La VallĂ©e des cinq chĂąteaux"[Note 17] et s'est Ă©quipĂ©e pour l'accueil des touristes. Des hĂŽtels, puis des rĂ©sidences hĂŽteliĂšres de type gĂźte rural ou chambre d'hĂŽtes fournissent un accueil de qualitĂ© et plusieurs terrains de camping (5 en 2011) permettent des sĂ©jours de moins en moins rustiques. Un projet de place centrale de style mĂ©ridional et selon les plans de Jean Nouvel n'a pu voir le jour. Il n'y a donc pas de vĂ©ritable agglomĂ©ration centrale et la gare a Ă©tĂ© fermĂ©e. L'un des points d'attraction est la Dordogne, dont le cours paisible accueille, en Ă©tĂ©, des baigneurs et des petites embarcations de plaisance pour lesquelles une base de plein air a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e face Ă  la Malartrie. La plus grande partie du domaine de Marqueyssac, incluant le chĂąteau classĂ© et ses jardins, sont louĂ©s Ă  la sociĂ©tĂ© KlĂ©ber Rossillon, spĂ©cialisĂ©e dans la gestion de sites culturels et touristiques, et qui gĂšre aussi le chĂąteau de Castelnaud voisin (musĂ©e des arts militaires du Moyen Âge). AprĂšs un important travail de rĂ©habilitation, l'ouverture au public a eu lieu en mars 1997 et le succĂšs est au rendez-vous avec 190 000 visiteurs annuels. GrĂące Ă  ses atouts naturels et patrimoniaux et Ă  une gestion prudente qui a amenĂ© au classement en zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP), ce qui permet de maintenir une harmonie paysagĂšre et architecturale, VĂ©zac a repris le chemin de la croissance dĂ©mographique.

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[64] - [65].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1995 Fernand Peiro PS
    juin 1995[66] mai 2020 Jean-Claude Castagnau SE[67] puis DVG Retraité de l'éducation nationale
    mai 2020 En cours Christian Robles

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, VĂ©zac relĂšve[68] :

    DĂ©mographie

    Les habitants de VĂ©zac se nomment les VĂ©zacois[69].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[71].

    En 2020, la commune comptait 516 habitants[Note 18], en diminution de 15,55 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    512296464515558567580612654
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    664642602572549606609574569
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    529542501467484443464434416
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    405356427547620594586602617
    2014 2019 2020 - - - - - -
    611524516------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[72].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[73], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 264 personnes, soit 43,1 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (vingt-sept) a diminuĂ© par rapport Ă  2010 (trente-cinq) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  10,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 103 Ă©tablissements[74], dont 75 au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, sept dans l'industrie, et cinq relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[75].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    "Photo du chĂąteau de Marqueyssac depuis le chĂąteau de Castelnaud."
    Le chĂąteau de Marqueyssac.
    Le chĂąteau de la Malartrie.
    • Le chĂąteau de la Malartrie qui surplombe la Dordogne, bien que proche du bourg de La Roque-Gageac, est situĂ© sur le territoire de la commune de VĂ©zac. Le site remonterait au XIIe siĂšcle[Note 19]. Petit chĂąteau de style nĂ©o-Renaissance construit Ă  la fin du XIXe siĂšcle par le comte Auguste de Sainte-Aulaire, ambassadeur de France.
    • Le manoir de Rochecourbe (XVIe – XVIIIe siĂšcle) prĂ©sente des plafonds peints[80]. reprĂ©sentant les chĂąteaux du voisinage.
    • Le manoir de Soulvignac (XVIe – XVIIIe siĂšcle). Pigeonnier. Le moulin ancien, dit moulin de Soulvignac ou Moulin-Caillou, existe encore, un peu plus loin.
    • La croix de chemin sculptĂ©e.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Romain Bondonneau, VĂ©zac : Nature, Histoire, Jardins de Marqueyssac, Association PĂ©rigord Patrimoine, 2009, 36 p. (ISBN 978-2-9529765-3-4)
    • Marie Chaussivert, Les Ă©glises mĂ©diĂ©vales du canton de Sarlat en Dordogne, Travail d'Ă©tude et de recherche, Bordeaux, UniversitĂ© Michel de Montaigne, 2003, 132 p. + 12 p. de pl.
    • Jean-Philippe Rigaud, Le PalĂ©olithique supĂ©rieur de l'abri Pataud (Dordogne) : Les fouilles de H. L. Movius Jr., suivi d'un inventaire analytique des sites aurignaciens et pĂ©rigordiens de Dordogne, ThĂšse de doctorat, Paris, Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme, 1995, 328 p. (ISBN 2-7351-0628-4)
    • Francis Guichard, Le procĂšs des chauve-souris de la grotte du Roc Ă  VĂ©zac, il y a cent ans, in : Bulletin de la SociĂ©tĂ© des Amis de Sarlat, no 48, 1992.
    • Jean Maubourguet, La Renaissance au cƓur du PĂ©rigord Noir ou le Sarladais au XVe et XVIe siĂšcles, PĂ©rigueux, Éditions Pierre Fanlac, 1976, 168 p.
    • Georges BussiĂšres, La RĂ©volution en PĂ©rigord, 2 vol. 1903.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Céou, affluent de rive gauche de la Dordogne, n'arrose pas la commune de Vézac située entiÚrement en rive droite.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[23].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[24].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[60].
    13. Avancé par Maubourguet dans l'ouvrage cité, mais sans donner de source.
    14. Par lettre patente du 22 octobre 1590, Henri IV nomme le sieur de Fayrac à la capitainerie de Domme, au détriment du seigneur de Soulvignac qui est révoqué comme rebelle, sans doute pour excÚs de fanatisme en faveur de la Sainte Ligue.
    15. Son reprĂ©sentant le plus connu est Alain de Solminihac, abbĂ© de Chancelade et Ă©vĂȘque de Cahors dans la premiĂšre moitiĂ© du XVIe siĂšcle. Il a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© bienheureux en 1981.
    16. Indication donnée par Maubourguet, sans source.
    17. Sont visibles depuis les bas de la commune, Ă  Beynac-et-Cazenac, le chĂąteau de Beynac, Ă  Castelnaud-et-Saint-Julien, les chĂąteaux de Castelnaud, de Fayrac et de Lacoste et, Ă  VĂ©zac mĂȘme, le chĂąteau de Marqueyssac.
    18. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    19. La Malartrie est interprétée comme maladrerie (léproserie).
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Vézac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    2. « Carte géologique de Vézac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de VĂ©zac », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 808 - Sarlat-la-CanĂ©da de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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    7. « 243 » sur Géoportail (consulté le 8 juillet 2022)..
    8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Vézac », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
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    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
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    17. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'AmbÚs » sur Géoportail (consulté le 12 novembre 2022)..
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    19. « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
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