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Liste de personnalités italiennes en France

Cet article liste des personnalités italiennes qui se sont illustrées en France au cours de l'histoire, par ordre chronologique.

Dès avant les grandes vagues migratoires des XIXe et XXe siècles, des personnalités originaires des régions qui ne constitueront que plus tard l'unité italienne ont traversé les Alpes ou la Méditerranée, appelées par les princes ou parties chercher fortune, quittant la péninsule pour s'installer en France et participer à son rayonnement dans le domaine des arts, de la finance, de la politique, des armes ou de la religion[1].

Moyen Ă‚ge et Renaissance

La fontaine de Vaucluse chère à Pétrarque (1304-1374).
Christine de Pisan (1364-v. 1430)
L'escalier à vis du chateau de Chambord attribué à Léonard de Vinci (1452-1519)
La fameuse salière réalisée pour François Ier par Benvenuto Cellini (1500-1571).
Le chariot du Ballet comique de la reine de Baldassare da Belgioioso (v. 1535-1587).
Isabella Andreini (1562-1604).
Illustration du Cantus circaeus, l'un des ouvrages Ă©crits Ă  Paris par Giordano Bruno (1548-1600).

XVIIe et XVIIIe siècles

Le cardinal Mazarin (1602-1661)
Salle méridienne de l'Observatoire de Paris dirigé par la dynastie d'astronomes fondée par Jean-Dominique Cassini (1625-1712).
Le Mezzetin d'Angelo Costantini (1655-1730), par Antoine Watteau
Les feux d'artifice royaux, spécialité des frères Ruggieri arrivés de Bologne en 1730
  • Marie-FĂ©licie des Ursins (1600-1666), (Maria Felice Orsini en italien), nĂ©e au Palais Pitti Ă  Florence. Petite-fille de Cosme de MĂ©dicis, elle devient duchesse de Montmorency en Ă©pousant Henri II de Montmorency, gouverneur du Languedoc, et vit au château de Chantilly. Après l'exĂ©cution de son mari en 1632 elle se retire au couvent de la Visitation Ă  Moulins oĂą elle meurt.
  • Jules Mazarin (1602-1661), (Giulio Mazarini ou Mazzarini en italien), diplomate et homme politique nĂ© Ă  Pescina (Abruzzes) dans une famille modeste d'origine gĂ©noise. D'abord au service de la PapautĂ©, il est vice-lĂ©gat d'Avignon en 1634, puis nonce Ă  Paris de 1634 en 1636. En 1639 il est naturalisĂ© français et reçoit le chapeau de cardinal en 1640. Il succède Ă  Richelieu en tant que principal ministre de 1643 Ă  1661. Il Ă©paula les rois Louis XIII et Louis XIV dans l'administration du Royaume de France.
  • Giacomo Torelli (1608-1678), peintre, scĂ©nographe et ingĂ©nieur nĂ© Ă  Fano dans les Marches. En 1641, il est ingĂ©nieur militaire Ă  Venise oĂą il construit deux Ă©glises et le Novissimo teatro amĂ©nagĂ© avec une scène tournante et un système de changement de dĂ©cors. Mazarin l'introduit en France vers 1645 pour la reprĂ©sentation de La finta pazza. Il Ă©quipe le théâtre du Petit-Bourbon Ă  Paris avec des mĂ©canismes efficaces pour des changements rapides ce qui favorise le dĂ©veloppement des effets de scène Ă©laborĂ©s. Il triomphe en 1650 avec la production de l'Andromède de Pierre Corneille. Ses inventions lui valent le titre de il stregone gran (« le grand sorcier »). Il retourne en 1662 dans sa ville natale oĂą il meurt.
  • Tiberio Fiorilli (1608-1694), acteur de la commedia dell’arte nĂ© Ă  Naples, crĂ©ateur du personnage de Scaramouche, directeur de la troupe des ComĂ©diens-Italiens. Son père, dĂ©corĂ© du titre de capitaine de chevaux, avait dĂ» fuir Capoue après un meurtre et il passe lui-mĂŞme quelques jours aux galères Ă  la suite de diverses escroqueries avant de monter sur des trĂ©teaux avec un certain succès. Il voyage de Civitavecchia Ă  Bologne, de Florence Ă  Livourne, risque la pendaison, Ă©pouse une actrice de sa compagnie, quitte l'Italie vers 1640 et arrive Ă  Paris sous le règne de Louis XIII. Son jeu plaĂ®t Ă  la reine et il devient, dans le costume de Scaramouche, le plus grand amusement de Louis XIV enfant. Le roi le protège jusqu'Ă  la fin de sa vie. Il partage avec Molière dont il est l’ami le théâtre du Petit-Bourbon, et le théâtre du Palais-Royal. Molière admiratif l'Ă©tudie avec soin pour ses rĂ´les de farces. CĂ©lèbre dans toute l'Europe, il joue la comĂ©die jusqu'Ă  l'âge de quatre-vingt-trois ans. Il a pour biographe et ami Angelo Constantini autre acteur de la ComĂ©die-Italienne.
  • Jean-Dominique Cassini (1625-1712), (Giovanni Domenico Cassini en italien), astronome et ingĂ©nieur nĂ© Ă  Perinaldo, alors dans le ComtĂ© de Nice appartenant au DuchĂ© de Savoie, aujourd'hui en Ligurie. Il travaille Ă  l'Observatoire de Panzano Ă  Castelfranco Emilia et enseigne Ă  l'UniversitĂ© de Bologne. Le sĂ©nat et le pape le chargent de plusieurs missions scientifiques et politiques. AttirĂ© en France par Colbert en 1669, il est reçu membre de l'AcadĂ©mie des sciences. Il dirige, Ă  la demande de Louis XIV, l'Observatoire de Paris Ă  partir de 1671. NaturalisĂ© en 1673, il Ă©pouse Geneviève Delaistre, fille du lieutenant gĂ©nĂ©ral de Clermont en Beauvaisis. Père de Jacques Cassini, grand-père de CĂ©sar-François Cassini et arrière-grand-père de Jean-Dominique, comte de Cassini, il est le premier d'une dynastie d'astronomes et cartographes français.
  • Jean-Baptiste Lully (1632-1687) (Giovanni Battista Lulli en italien), musicien, danseur, chorĂ©graphe, compositeur, surintendant de la musique de Louis XIV nĂ© Ă  Florence. Fils du meunier Lorenzo di Maldo Lulli et de Catarina del Sera, elle-mĂŞme fille de meunier, il est remarquĂ© vers 1645 par Roger de Lorraine. ArrivĂ© en France l'annĂ©e suivante, il apprend le violon, le clavecin, la thĂ©orie et la composition musicale avec Nicolas Metru et se montre excellent danseur. Il entre au service de la duchesse de Montpensier pour laquelle il crĂ©e la « Compagnie des violons de Mademoiselle ». En 1652, Louis XIV l'engage dans la Grande Bande des Violons du Roi. Il obtient rapidement la direction d'un nouvel ensemble : la Bande des Petits Violons. Parfait courtisan, homme d'affaires habile et appuyĂ© par Louis XIV, il devient compositeur de la chambre, puis surintendant de la musique royale. NaturalisĂ© français en 1661, il Ă©pouse Madeleine Lambert, dont le père, Michel Lambert, dirige la musique chez la duchesse de Montpensier. Ils ont six enfants, dont trois fils musiciens Ă  leur tour (Louis, Jean-Baptiste II et Jean-Louis) et trois filles dont l'aĂ®nĂ©e, Catherine-Madeleine, Ă©pousera Jean-Nicolas de Francine, successeur de Lully Ă  la tĂŞte de l'AcadĂ©mie royale de musique. Ă€ partir de 1664, Lully travaille rĂ©gulièrement avec Molière mais en 1671 les deux hommes deviennent ennemis. En 1672, Lully achète le privilège de l'AcadĂ©mie royale de musique. ComblĂ© d'honneurs et de richesses il Ă©clipse, par la faveur dont il jouit auprès du roi, tous les compositeurs dramatiques de son Ă©poque. En 1681, Lully atteint l'apogĂ©e de sa carrière en devenant secrĂ©taire du roi. Il meurt Ă  Paris.
  • Michelangelo Fracanzani (1632-???), acteur de la commedia dell'arte nĂ© Ă  Naples. Il se rend en France en 1685 avec sa femme et son fils Antonio et est engagĂ© Ă  la ComĂ©die-Italienne.Le Pulcinella napolitain devient avec Fracanzani le Polichinelle français que dĂ©couvre la cour rĂ©unie Ă  Fontainebleau, « bossu par devant et par derrière ». Fracanzani est naturalisĂ© français avec toute sa famille en 1688. Il joue dans la troupe de la ComĂ©die-Italienne jusqu'Ă  la fermeture du théâtre de l'HĂ´tel de Bourgogne ordonnĂ©e par Louis XIV en 1697.
  • Domenico Giuseppe Biancolelli (1636-1688), dit Dominique, acteur nĂ© Ă  Bologne. Fils de Francesco Biancolelli et d'Isabella Franchini (titulaire du rĂ´le de Colombina), il est initiĂ© au rĂ´le du second Zanni par son parrain Carlo CantĂą (cĂ©lèbre sous le nom de Buffetto). Il vient Ă  Paris en 1662 au retour de la troupe de Scaramouche dont il devient l'une des vedettes et l'Arlequin le plus cĂ©lèbre de toute la pĂ©riode française de la commedia dell'arte. La ComĂ©die-Italienne commence Ă  jouer en français sous sa direction. Il Ă©pouse en 1663 Orsola Cortesi et tous deux sont naturalisĂ©s français en 1680. Leur fils, Pierre-François Biancolelli, dĂ©bute dans la troupe avec le rĂ´le du Pierrot.
  • Francesco Procopio dei Coltelli (1651-1727), nĂ© Procopio Cutò Ă  Palerme. Cuisinier considĂ©rĂ© comme le père de la crème glacĂ©e et fondateur du cafĂ© Procope de Paris. Son nom sicilien, Procopio Cutò, devenu en Français, du fait d'une mauvaise comprĂ©hension, Procope-des-Couteaux, fut retraduit en italien par Procopio dei Coltelli (traduction de « couteaux »). Lors de sa pĂ©riode d'activitĂ© Ă  Aci Trezza, il aurait, grâce au commerce de la neige de l'Etna, imaginĂ© le gelato. Il arrive en 1670 Ă  Paris oĂą il travaille comme garçon chez un cafetier Ă  la foire Saint-Germain et donne son nom au plus ancien cafĂ© de Paris, qu'il rachète en 1686, le CafĂ© Procope. Très en vogue durant les XVIIIe et XIXe siècles, le cafĂ© Procope est frĂ©quentĂ© par des personnalitĂ©s de la politique et de la culture telles que Robespierre, Danton, Marat, Voltaire, Balzac ou Hugo. Il a treize enfants avec ses trois Ă©pouses successives.
  • Angelo Costantini (1655-1730), acteur nĂ© Ă  VĂ©rone. EngagĂ© dans l’ancienne troupe italienne de Paris, pour doubler le fameux Dominique qui s’était acquis une si grande popularitĂ© dans le rĂ´le d’Arlequin, il imagine, pour Ă©chapper Ă  une comparaison accablante, de renouveler l’emploi en faisant un Arlequin moitiĂ© aventurier, moitiĂ© valet, qu’il appelle Mezzetin, pour exprimer ce mĂ©lange. Le personnage et l’acteur connaissent une grande vogue Ă  Paris jusqu’à la suppression de la ComĂ©die italienne en 1697. Il a servi de modèle Ă  Molière pour le Scapin des Fourberies.
  • Luigi Riccoboni (1676-1753), acteur nĂ© Ă  Modène connu au théâtre sous le nom de LĂ©lio, par lequel on dĂ©signait l’emploi des amoureux. Il vient Ă  Paris avec le fameux Dominique, oĂą il partage ses succès. Il devient directeur de la ComĂ©die-Italienne, qui obtient un rapide succès et oĂą il joue plusieurs pièces composĂ©es dans sa jeunesse et dont le recueil paraĂ®t sous le titre de Nouveau Théâtre italien. Renonçant Ă  l’art dramatique, il publie de nombreux ouvrages sur le théâtre. Il a de sa femme Elena Balletti, Ă©galement actrice et femmes de lettres, l’acteur Antoine-François Riccoboni.
  • les frères Ruggieri, artificiers, quittent Bologne pour Paris en 1730. Les cinq frères Antonio, Francesco, Gaetano, Petronio et Pietro, formĂ©s Ă  l'art pyrotechnique dans leur pays, donnent un spectacle Ă©blouissant Ă  Versailles Ă  l'occasion du mariage de Madame avec l'infant Philippe d'Espagne en . Louis XV les charge ensuite d'organiser les divertissements destinĂ©s Ă  son « bon peuple ». La direction de l'entreprise est assurĂ©e par l'aĂ®nĂ©, Petronio, qui se voit accorder par le roi des lettres de grande naturalisation et le titre de gentilhomme de la Chambre. Les deux fils de Petronio (mort en 1794), Michel (mort en 1849) et Claude (mort en 1841) sont les artificiers de NapolĂ©on Ier et de Louis XVIII. Le fils de Claude, DĂ©sirĂ©-Eugène (1817-1885) reprend l’entreprise familiale et devient l'artificier et le protĂ©gĂ© de NapolĂ©on III. Grand bibliophile, il fut l’élève d'Ingres.
  • Jean-Paul Marat (1743-1793), Ă©crivain, politique, nĂ© Ă  Boudry (Neuchâtel, Suisse) d'un père sarde et d'une mère rouergate.
  • Ennius Quirinus Visconti (1751, Rome - 1818, Paris), fils d'un archĂ©ologue de renom et archĂ©ologue lui-mĂŞme. Ministre de la RĂ©publique romaine en 1798, il est le premier conservateur des antiques et tableaux du MusĂ©e du Louvre, en 1803. Par ordonnance du roi, il lui est accordĂ© des lettres de dĂ©claration de « naturalitĂ© » (le ). De son union avec Angela Theresa Doria naissent quatre enfants dont Louis, cĂ©lèbre architecte.

XIXe et XXe siècles

La lutte contre l'occupant autrichien et la préparation de l'unité italienne amènent les révolutionnaires à se réfugier ou à se rassembler en France en ce début de siècle. La transition démographique provoquée par l'industrialisation du pays unifié a ensuite été la source de plusieurs flux migratoires dès les années 1880. Le destin de millions d'immigrés se réalise notamment en France et le nom d'un grand nombre de personnalités qui ont contribué à l'éclat du pays dans le domaine des arts, des lettres ou des spectacles, des sciences ou de l'industrie, du sport ou de la politique reste dans les mémoires[1].

Ce paragraphe regroupe des Italiens et des Français d'ascendance italienne.

  • Amedeo Modigliani (1884-1920), peintre.
  • Rose Repetto (1900-1982), danseuse, styliste, d'origine italienne.
  • Fernandel (1903-1971), acteur, nĂ© de famille piĂ©montaise (Meano, PĂ©rouse) Ă©migrĂ©e Ă  Marseille.
  • LĂ©on Gambetta (1838-1882), homme politique. Son grand-père Ă©tait nĂ© en Ligurie.
  • Émile Zola (1840-1902), Ă©crivain et journaliste. Son père Ă©tait nĂ© Ă  Venise.
  • Ettore Bugatti (1881-1947), constructeur des automobiles Bugatti, nĂ© Ă  Milan.
  • Paul Belmondo (1898-1982), sculpteur, père de l'acteur Jean-Paul Belmondo, nĂ© en 1933. Le père de Paul, donc le grand-père de Jean-Paul, Ă©tait nĂ© Ă  Borgo San Dalmazzo dans le PiĂ©mont et sa mère Ă  CefalĂą en Sicile.

1900

  • Lino Ventura (1919-1987), acteur, nĂ© Ă  Parme.
  • Yves Montand (1921-1991), pseudonyme de Ivo Livi, chanteur et acteur, nĂ© Ă  Monsummano Terme en Toscane
  • Pierre Cardin (1922-2020), couturier, nĂ© Pietro Costante Ă  Sant'Andrea di Barbarana en VĂ©nĂ©tie.
  • Serge Reggiani (1922-2004), chanteur et acteur, nĂ© Ă  Reggio d'Emilie.
  • François Cavanna (1923-2014), journaliste et dessinateur humoristique. Son père Ă©tait nĂ© Ă  Bettola, dans la province de Plaisance
  • Michel Piccoli (1925-2020), acteur. MalgrĂ© son nom, ses origines, dans le Tessin, sont assez lointaines.
  • Francesco Smalto (1927-2015), couturier italo-français.
  • Marcel Azzola (1927-2019), musicien, de famille de Pradalunga (Bergame).
  • Albert Uderzo (1927-2020), dessinateur et scĂ©nariste de bandes dessinĂ©es. Bien que nĂ© en France dans la Marne, d'une famille d'immigrĂ©s italiens, il ne sera naturalisĂ© français qu'en 1934.
  • Robert Enrico (1931-2001), scĂ©nariste, rĂ©alisateur, de famille Ă©migrĂ©e italienne Ă  Toulon.
  • Max Gallo (1932-2017), Ă©crivain, politique, nĂ© Ă  Nice de famille immigrĂ©e (PiĂ©mont, Parme).
  • Marc Fumaroli (1932-2020), universitaire, linguiste, de famille italienne Ă©migrĂ©e Ă  Fès.
  • Dalida (1933-1987), pseudonyme de Iolanda Gigliotti, chanteuse et actrice, nĂ©e au Caire. Ses deux parents Ă©taient nĂ©s Ă  Serrastretta en Calabre.
  • Jean-Paul Belmondo (1935), acteur, nĂ© Ă  Neuilly-sur-Seine. Son père Ă©tait d'origine piĂ©montaise et sicilienne.
  • Nino Ferrer (1934-1998), pseudonyme de Nino Ferrari, chanteur, auteur et compositeur, nĂ© Ă  GĂŞnes.
  • Aldo Maccione (1935-), acteur et chanteur italien, nĂ© Ă  Turin.
  • Salvatore Adamo (1943-), chanteur-auteur-compositeur italo-belge francophone.
  • Coluche (1944-1986), pseudonyme de Michel Colucci, humoriste et comĂ©dien. Son père Ă©tait nĂ© dans la province du Latium.
  • Vic Laurens (1945), chanteur (groupe rock Les Vautours), musicien, auteur, compositeur, ses parents sont nĂ©s Ă  Palerme.

1950


Notes et références

Voir aussi

Bibliographie

  • Pierre Milza, Voyage en Ritalie, Paris, Éditions Payot & Rivages, , 638 p. (ISBN 2-228-89850-3), 1re Ă©d. Paris, Éditions Plon, 1993, 532 p. (ISBN 2-259-02512-9).
  • Pierre Milza et Marianne Amar L'Immigration en France au XXe siècle, Paris, A.Colin, 1990.
  • Jean-Charles Vegliante, 'Gli italiani all'estero', sĂ©rie (1 : Dati introduttivi 1861-1981, Paris, PSN 1986 ; 2 Passage des Italiens ; 3 Luigi Campolonghi, une vie d'exil [co-Ă©d. CEDEI] ; etc.) ; Que reste-t-il de tout cela [avec I. Felici], 2016.
  • La Trace, Cahiers du Centre d'Ă©tudes et de documentation sur l'Ă©migration italienne, Paris, CEDEI, (ISSN 0997-0843).
  • M.C. Blanc ChalĂ©ard, A. Becchelloni, Les Italiens en France depuis 1945, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2003, (ISBN 2-86847-757-7).
  • L'Immigration italienne en France dans les annĂ©es 20, Paris, CEDEI, 1988.
  • François Cavanna, Les Ritals, Paris, Belfond, 1978, 277 p. (ISBN 2-7144-1168-1).
  • Stefano Palombari - L'Italie Ă  Paris, Paris, Parigramme, 2003, (ISBN 2-84096-274-8).
  • Michele Canonica et Florence Vidal, Italiens Ă  Paris et en ĂŽle-de-France, Paris, Association L'Italie en direct-L'Italia in diretta, 2001.
  • Jean-Luc Huart, Les Italiens, histoire d'une communautĂ© en RhĂ´ne-Alpes, Veurey, Ă©ditions Le DauphinĂ© libĂ©rĂ©, 2012, (ISBN 978-2-8110-0022-6).
  • Radici-Racines, MĂ©moires d'Ă©migration. Au cĹ“ur des racines et des hommes, Toulouse, Editalie Ă©ditions.
  • Isabelle Felici, Sur Brassens et autres « enfants Â» d'Italiens, Montpellier, Presses universitaires de la MĂ©diterranĂ©e, 2017, (ISBN 978-2-36781-237-3)
  • Judith Rainhorn, Petites Italies dans l'Europe du Nord-Ouest : appartenances territoriales et identitĂ©s collectives Ă  l'ère de la migration italienne de masse milieu XIXe siècle - fin XXe siècle, Presses universitaires de Valenciennes, 2005

Articles connexes

Liens externes

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