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Courcouronnes

Courcouronnes (prononcĂ© /kuʁ.ku.ʁɔn/ ) est une ancienne commune française situĂ©e Ă  vingt-sept kilomĂštres au sud de Paris, dans le dĂ©partement de l’Essonne en rĂ©gion Île-de-France.

Courcouronnes
Courcouronnes
L’hîtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Essonne
Arrondissement Évry
Statut Ancienne commune
Code postal 91080
Code commune 91182
DĂ©mographie
Gentilé Courcouronnais
Population 13 427 hab. (2016 en diminution de 2,79 % par rapport Ă  2010)
DensitĂ© 3 073 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 37â€Č 02″ nord, 2° 24â€Č 31″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 96 m
Superficie 4,37 km2
Élections
DĂ©partementales Évry
Historique
Commune(s) d'intĂ©gration Évry-Courcouronnes
Localisation
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Courcouronnes
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Courcouronnes

    Auparavant village de moins de deux cents habitants jusqu’à la fin des annĂ©es 1960, la commune voit sa dĂ©mographie exploser Ă  partir du dĂ©but des annĂ©es 1970, avec la rĂ©alisation du projet de ville nouvelle d’Évry.

    TrĂšs rapidement urbanisĂ©e, mĂȘlant quartiers pavillonnaires Ă  l’ouest de l’autoroute A6 et grands ensembles Ă  l’est, le tout sĂ©parĂ© par une vaste zone d'activitĂ© accueillant aujourd’hui des entreprises prestigieuses tel qu'Accor ou Arianespace, Courcouronnes est une commune de banlieue de l’agglomĂ©ration parisienne.

    Ses habitants sont appelés les Courcouronnais[1].

    Le , elle fusionne avec Évry pour former la commune nouvelle d'Évry-Courcouronnes.

    GĂ©ographie

    Situation

    Courcouronnes est situĂ©e dans la rĂ©gion Île-de-France, au nord-est du dĂ©partement de l’Essonne qui est totalement intĂ©grĂ© Ă  l’agglomĂ©ration parisienne, au nord-est de la rĂ©gion naturelle du Hurepoix.

    La commune occupe un territoire de quatre cent trente-sept hectares dont prĂšs de 90 % sont urbanisĂ©s et plus de 60 % construits, compris dans un carrĂ© de trois kilomĂštres de cĂŽtĂ©. L’Institut national de l'information gĂ©ographique et forestiĂšre attribue les coordonnĂ©es gĂ©ographiques 48°37’06" nord et 02°24’29" au point central de ce territoire[2].

    SituĂ© sur un plateau, le territoire s’étage entre les altitudes de soixante-dix-sept mĂštres et quatre-vingt-seize mĂštres. Il est traversĂ© Ă  l’extrĂȘme nord par la ligne de Grigny Ă  Corbeil-Essonnes sans qu’aucune gare ne soit situĂ©e dans la commune, du nord au sud par les tracĂ©s de l’autoroute A6 et de la route nationale 104 ainsi que par les routes dĂ©partementales RD 153 et 446.

    La commune est situĂ©e Ă  vingt-sept kilomĂštres au sud-est de Paris-Notre-Dame[3], point zĂ©ro des routes de France, trois kilomĂštres Ă  l’ouest d’Évry[4], cinq kilomĂštres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[5], dix kilomĂštres Ă  l’est de MontlhĂ©ry[6], douze kilomĂštres au nord-est d’Arpajon[7], quinze kilomĂštres au nord de La FertĂ©-Alais[8], seize kilomĂštres au sud-est de Palaiseau[9], vingt-quatre kilomĂštres au nord-ouest de Milly-la-ForĂȘt[10], vingt-huit kilomĂštres au nord-est d’Étampes[11] et trente et un kilomĂštres au nord-est de Dourdan[12].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau ne traverse le territoire communal. Cependant, plusieurs points d’eau ont Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©s au cours de l’histoire.

    À l’ouest, des rigoles ont Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©es pour drainer le plateau agricole. Du sud au nord, la commune est traversĂ©e par l’aqueduc de la Vanne et du Loing, construit au XIXe siĂšcle, il fournit l’eau potable aux Parisiens en se dĂ©versant dans le rĂ©servoir de Montsouris. Au sud-est a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© dans les annĂ©es 1970 le lac de Courcouronnes, chargĂ© de recevoir les eaux pluviales de l’agglomĂ©ration de la ville nouvelle d’Évry. Il est complĂ©tĂ© par deux canaux, l’un, Ă  proximitĂ© directe, portant le nom de NoĂ«l-Marteau et l’autre ayant donnĂ© son nom au quartier du Canal.

    Relief et géologie

    La commune est implantĂ©e Ă  l’est du plateau du Hurepoix, le territoire est relativement plat avec une altitude minimale fixĂ©e Ă  soixante-dix-sept mĂštres au nord dans le quartier du Canal[13] et une altitude maximale Ă  quatre-vingt-seize mĂštres dans le centre-ville et centre du territoire[14], la borne la plus proche Ă©tant fixĂ©e Ă  quatre-vingt-onze mĂštres[15], distante de mille cinq cents mĂštres. Ce point culminant domine un territoire en pente douce vers l’ouest Ă  soixante-dix-huit mĂštres[16], le sud et l’est avec une altitude de quatre-vingt-un mĂštres[17] - [18].

    Le sous-sol est composé de successions de couches de sable et de meuliÚre, de marne et de gypse sur une couche profonde de calcaire, typique du Bassin parisien.

    Communes limitrophes

    Le territoire municipal est limitrophe de plusieurs autres communes constituantes de la ville nouvelle d’Évry dont au nord-est et Ă  l’est la ville centre Évry, sĂ©parĂ©e par la ligne de Grigny Ă  Corbeil-Essonnes, le boulevard de l’Europe, le boulevard des Champs-ÉlysĂ©es, le boulevard de l’Yerres et l’autoroute A6, au sud se trouve Lisses, frontiĂšre en partie marquĂ©e par l’avenue du 8 mai 1945 et le chemin de ChĂątre, au sud-ouest et Ă  l’ouest est implantĂ©e Bondoufle, au nord-ouest et au nord se trouve la seule commune hors pĂ©rimĂštre de la ville nouvelle, Ris-Orangis, pour partie sĂ©parĂ©e par la route de Mennecy.

    Climat

    Courcouronnes, situĂ©e en Île-de-France bĂ©nĂ©ficie d’un climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© aux hivers frais et aux Ă©tĂ©s doux, en Ă©tant rĂ©guliĂšrement arrosĂ©e sur l’ensemble de l’annĂ©e. En moyenne brute annuelle, la tempĂ©rature s’établit Ă  10,8 °C, avec une moyenne maximale de 15,2 °C et une moyenne minimale Ă  6,4 °C. Les tempĂ©ratures moyennes mensuelles extrĂȘmes relevĂ©es sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum, mais les records enregistrĂ©s s’établissent Ă  38,2 °C le et −19,6 °C le . Du fait de la moindre densitĂ© urbaine entre Paris et sa banlieue, une diffĂ©rence nĂ©gative de un Ă  deux degrĂ©s Celsius se fait sentir, surtout en dĂ©but de journĂ©e. L’ensoleillement est comparable Ă  la moyenne des rĂ©gions du nord de la Loire avec un total de 1 798 heures par an, une moyenne haute Ă  deux cent quarante heures en juillet et basse Ă  cinquante trois heures en dĂ©cembre. Les prĂ©cipitations sont Ă©galement rĂ©parties sur l’annĂ©e, avec un total annuel de 598,3 millimĂštres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimĂštres par mois.

    Données climatiques à Courcouronnes.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1 2,8 4,8 8,3 11,1 13 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
    Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
    Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2
    Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
    Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[19] - [20].

    Voies de communication et transports

    Courcouronnes
    Gare Evry-Courcouronnes.

    Le territoire communal est traversĂ© par plusieurs axes routiers majeurs dont Ă  l’est l’autoroute A6 avec l’échangeur autoroutier no 34 dans le sens province vers Paris, Ă  laquelle s’ajoute en parallĂšle sur la portion communale la route nationale 104 (aussi appelĂ©e la Francilienne) accessible par l’échangeur no 36.

    Un peu plus Ă  l’ouest se trouve la route dĂ©partementale 446, ancienne route de Versailles Ă  Melun, la RD 153 suivant le mĂȘme parcours.

    En 2012, la ville est desservie par diverses lignes d’autobus dont les lignes du rĂ©seau de bus TICE 401[21], 402[22], 403[23], 404[24], 405[25], 409[26], 413[27], 414[28], 415[29] et 453[30], les lignes du rĂ©seau de bus Albatrans 91.04[31] et 91.05[32], la ligne 6 du rĂ©seau de bus Athis Cars[33].

    La ligne 402 pourrait Ă  horizon 2020 ĂȘtre en partie remplacĂ©e par un tramway sur pneumatiques pour devenir la ligne 4 du T Zen en complĂ©ment ou double emploi du projet de la ligne 12 Express du tramway d'Île-de-France Ă  horizon 2020.

    Bien que le territoire soit traversĂ© au nord-est par la ligne de Grigny Ă  Corbeil-Essonnes, aucune gare n’est implantĂ©e dans la commune. Les plus proches sont celles d'Orangis - Bois de l’Épine Ă  Ris-Orangis et d’Évry - Courcouronnes Ă  Évry, toutes deux desservies par la ligne D du RER d'Île-de-France.

    Par ailleurs, Courcouronne est situĂ©e Ă  treize kilomĂštres au sud-est de l’aĂ©roport Paris-Orly et quarante-cinq kilomĂštres au sud-ouest de l’aĂ©roport Paris-Charles-de-Gaulle. Jusqu’en 1998, la commune accueillait enfin l’hĂ©liport d'Évry.

    Urbanisme

    Structuration urbaine

    Occupation des sols en 2008.
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 63,6 % 288,43
    Espace urbain non construit 24,3 % 110,34
    Espace rural 12,1 % 54,94
    Source : Iaurif-MOS 2008[34]

    La commune est composĂ©e de trois grandes zones : deux zones d’habitation (le Village et le Canal) sont sĂ©parĂ©es par l’autoroute A6 et une zone d’activitĂ©s industrielle et commerciale.

    Le quartier du Canal, qui a vu le jour dans les annĂ©es 1970, est situĂ© au nord de la commune, sĂ©parĂ© du centre-ville par l’autoroute et est limitrophe d’Évry et de Ris-Orangis. Il est classĂ© quartier prioritaire, avec prĂšs de 5 000 habitants en 2018[35].

    Le Village, zone correspondant au centre historique de la commune, est composé de plusieurs quartiers non officiellement définis : Bel Air, les Bocages, le Bois, le Bon Puits, le Centre, la Chùtaigneraie, la Ferme, la Garenne, le Lac.

    Les zones d’activitĂ©s commerciales du Bois de l’Épine (Ă  cheval sur Courcouronnes et Ris-Orangis) et de Saint-GuĂ©nault et les zones industrielles du Bois Briard et de la Petite Montagne Nord sont longĂ©s par l’autoroute A6.

    L’Insee dĂ©coupe la commune en sept IRIS soit trois pour l’ensemble du Canal, Courcouronnes Centre Nord, Courcouronnes Centre Sud, la zone d’activitĂ©s Nord-Ouest et la zone d’activitĂ©s Sud-Est[36].

    Logement

    En 2010, la commune disposait sur son territoire de mille neuf cent deux logements HLM répartis entre douze bailleurs sociaux[37], soit 37,20 % du parc total de logement, bien au-delà des 20 ou 25 % exigés par la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains.

    Toponymie

    Corcorona au XIIIe siĂšcle, Cors Coronae[38].

    Le nom de la commune provient du mot gaulois cour-cou-ronne signifiant « village en couronne sur la hauteur »[39]. La commune fut créée en 1793 sous son nom actuel, une orthographe alternative Courcouronne fut introduite par le Bulletin des lois en 1801[40].

    Histoire

    Origines

     Courcouronnes au XVIIIe siĂšcle.
    Carte de Cassini représentant la région de Courcouronnes au XVIIIe siÚcle.

    L’existence du village est attestĂ©e depuis le Xe siĂšcle[41].

    Vers 966, le prĂ©vĂŽt de Paris Theudon offrit l’asile aux reliques de saint GwenaĂ«l, au lieu-dit aujourd’hui appelĂ© Saint-GuĂ©nault[41] et, en 1191 est construite la premiĂšre Ă©glise Ă  proximitĂ© de l’ancienne route de Versailles[41].

    Au XVIIe siĂšcle le domaine appartenait au ministre Nicolas de Bailleul[42].

    Lors de la Révolution française, en 1793, le domaine de Courcouronnes est vendu comme bien national à la famille Decauville[41].

    En 1855 fut construite la premiĂšre Ă©cole du village[43].

    Construction d’une ville nouvelle

    Le quartier du Canal en 1986.

    Au dĂ©but des annĂ©es 1960, le gouvernement lança le projet des villes nouvelles, avec pour l’une d’elles le choix d’implantation dans la rĂ©gion d’Évry[41].

    En 1966 est crĂ©Ă© le syndicat intercommunal d’étude et d’amĂ©nagement de la rĂ©gion d’Évry[41].

    Les premiers habitants s'installent en 1971 et, en 1981 ouvre l’hĂŽpital Louise-Michel, alors un des plus grands du secteur[41]. Le quartier du Canal est inaugurĂ© en 1985.

    La mosquĂ©e d'Évry-Courcouronnes ouvre en 1994[44] et l’église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© est restaurĂ©e en 1997[41].

    Le , un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral entĂ©rine la fusion entre Évry et Courcouronnes au sein de la commune nouvelle d'Évry-Courcouronnes qui entre en vigueur le [45].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    courcouronnes 91080
    Position de Courcouronnes en Essonne.

    AntĂ©rieurement Ă  la loi du 10 juillet 1964[46], la commune faisait partie du dĂ©partement de Seine-et-Oise. La rĂ©organisation de la rĂ©gion parisienne en 1964 fit que la commune appartient dĂ©sormais au dĂ©partement de l'Essonne et Ă  son arrondissement d'Évry, aprĂšs un transfert administratif effectif au . Pour l'Ă©lection des dĂ©putĂ©s, elle fait partie de la premiĂšre circonscription de l'Essonne

    Elle faisait partie de 1806 Ă  1964 du canton de Corbeil-Essonnes, annĂ©e oĂč ce canton est scindĂ© et la commune intĂšgre le canton de Corbeil-Essonnes-Nord du dĂ©partement de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de l'Essonne, elle est rattachĂ©e en 1967 au canton d'Évry puis, en 1985, au canton d'Évry-Nord[40]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, le canton d'Évry est recrĂ©Ă©, comprenant notamment Courcouronnes.

    L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables courcouronnais au tribunaux d’instance, de grande instance, de commerce et conseil de prud’hommes d’Évry[47].

    Intercommunalité

    Localisation de Courcouronnes dans la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart.

    La commune Ă©tait membre de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Évry Centre Essonne, hĂ©ritiĂšre directe du projet de ville nouvelle d’Évry, mis en Ɠuvre par le syndicat communautaire d’amĂ©nagement crĂ©Ă© en 1973, puis du syndicat d'agglomĂ©ration nouvelle d’Évry de 1984.

    Dans le cadre de la mise en Ɠuvre de la loi MAPAM du , qui prĂ©voit la gĂ©nĂ©ralisation de l'intercommunalitĂ© Ă  l'ensemble des communes et la crĂ©ation d'intercommunalitĂ©s de taille importante en Ăźle-de-France afin de pouvoir dialoguer avec la mĂ©tropole du Grand Paris, le prĂ©fet de la rĂ©gion d'Île-de-France approuve le un schĂ©ma rĂ©gional de coopĂ©ration intercommunale qui prĂ©voit notamment la « fusion de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Évry Centre Essonne (91), de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Seine-Essonne (91), de la communautĂ© d’agglomĂ©ration de SĂ©nart en Essonne (91), et de la communautĂ© d'agglomĂ©ration de SĂ©nart (77) et (l')extension du nouveau groupement Ă  la commune de Grigny (91)[48] », antĂ©rieurement membre de la communautĂ© d'agglomĂ©ration Les Lacs de l'Essonne.

    C'est ainsi qu'a été créé le la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, dont est désormais membre la commune[49].

    En 2010 la commune adhÚre au syndicat mixte Paris Métropole, devenu Forum métropolitain du Grand Paris[50], dont elle est toujours membre en 2017[51].

    Tendances et résultats politiques

    DirigĂ©e depuis 2001 par un maire Les RĂ©publicains puis divers droite, rĂ©Ă©lu avec plus de 70 % dĂšs le premier tour lors des municipales de 2008, les Ă©lecteurs courcouronnais lui ayant accordĂ© leur confiance pour le siĂšge de conseiller gĂ©nĂ©ral du canton d’Évry-Nord Ă  plus de 56 % (Ă  l’inverse du reste du canton, qui a votĂ© lors des Ă©lections cantonales françaises de 2008 Ă  plus de 58 % pour le socialiste Michel Berson), la commune apparaĂźt pourtant, au regard des rĂ©sultats Ă©lectoraux depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, ancrĂ©e Ă  gauche, poussant ponctuellement la droite locale Ă  s’allier au Front national pour emporter la mairie lors des Ă©lections municipales de 1995[52].

    Ainsi, si le candidat UMP Serge Dassault arriva lĂ©gĂšrement en tĂȘte lors des Ă©lections lĂ©gislatives de 2002, le dĂ©putĂ© Manuel Valls remporta systĂ©matiquement le siĂšge avec des scores importants. De mĂȘme, lors des Ă©lections prĂ©sidentielles, les candidats SĂ©golĂšne Royal et encore plus, François Hollande enregistraient dans la commune de nettes majoritĂ©s. De mĂȘme, lors des Ă©lections rĂ©gionales, le candidat socialiste Jean-Paul Huchon l’emportait Ă  Courcouronnes avec prĂšs de 60 % des suffrages. En 2005, Ă  l’encontre des rĂ©sultats nationaux, les Ă©lecteurs courcouronnais approuvĂšrent d’une courte majoritĂ© le traitĂ© de Rome, comme ils avaient acceptĂ© Ă  plus de 60 % le traitĂ© de Maastricht[53].

    Élections prĂ©sidentielles

    RĂ©sultats des deuxiĂšmes tours :


    Élections lĂ©gislatives

    RĂ©sultats des deuxiĂšmes tours :


    Élections europĂ©ennes

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :


    Élections rĂ©gionales

    RĂ©sultats des deux meilleurs scores :


    Élections cantonales et dĂ©partementales

    RĂ©sultats des deuxiĂšmes tours :


    Élections municipales

    RĂ©sultats des deuxiĂšmes tours :


    Référendums

    Politique locale

    Conseil municipal de Courcouronnes (mandature 2014-2020).
    Liste Tendance Président Effectif Statut
    « Unis pour Courcouronnes » UMP Stéphane Beaudet 30 Majorité
    « Vivre ensemble à Courcouronnes » PS Marie-Christine Perrignon 3 Opposition

    Création d'une commune nouvelle

    DĂ©but 2018, les maires d'Évry et de Courcouronnes annoncent leur volontĂ© de fusionner leurs villes au sein d'une commune nouvelle qui serait crĂ©Ă©e le , afin de mieux peser face Ă  la MĂ©tropole du Grand Paris et bĂ©nĂ©ficier d'une dotation globale de fonctionnement (DGF) augmentĂ©e de 5 % pendant trois ans[76] - [77] - [78].

    La commune nouvelle d'Évry-Courcouronnes est ainsi crĂ©Ă©e au par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [79].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[80]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1965 mars 1977 Claude MĂ©tivet
    mars 1977 décembre 1997 Guy Briantais[81] - [82] PS Fonctionnaire des PTT
    DĂ©missionnaire
    décembre 1997[83] mars 2001[84] Bernard Bragard PS Ancien conseiller du ministre Max Gallo
    mars 2001[85] - [86] - [87] dĂ©cembre 2018 StĂ©phane Beaudet[88] UMP → LR
    puis DVD[89]
    Directeur de relations publiques
    Conseiller rĂ©gional d'Île-de-France (2010 → )
    Vice-prĂ©sident du conseil rĂ©gional (2015 → )
    Vice-prĂ©sident de la CA Grand Paris Sud Seine-Essonne-SĂ©nart (2016 → )
    Maire d'Évry-Courcouronnes (2019 → )

    DĂ©mocratie participative

    En 2012, la commune dispose de conseils de quartiers pour les sept ensembles définis[90] et d'un conseil municipal des enfants[91].

    Finances locales et budget

    En 2017, la commune disposait d’un budget de 30 497 760 € dont 23 719 880 € de fonctionnement et 6 777 880 € d’investissement[92].

    En 2010, elle Ă©tait financĂ©e Ă  45,27 % par les impĂŽts locaux[93] avec des taux d'imposition fixĂ©s Ă  25,36 % pour la taxe d'habitation, 32,10 % et 144,95 % pour la taxe fonciĂšre sur le bĂąti et le non-bĂąti[94] ; cette mĂȘme annĂ©e, l'endettement municipal atteignait 33 337 000 €[95].

    Labellisations

    En 2010, Courcouronnes était récompensée par deux fleurs au concours des villes et villages fleuris[96].

    Jumelages

    Courcouronnes a développé des associations de jumelage avec[97] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă  la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[99] - [Note 1].

    En 2016, la commune comptait 13 427 habitants[Note 2], en diminution de 2,79 % par rapport Ă  2010 (Essonne : +2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    154182142148171181163168170
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    175199200198205201202192191
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    180178174195158178185183185
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1641794 3095 07113 26213 95414 40913 69613 427
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[100].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lors du premier recensement des personnes Ă©tabli en 1793, le village de Courcouronnes comptait cent cinquante-quatre habitants, il connut une forte croissance jusqu’en 1800 pour atteindre plus de cent quatre-vingts rĂ©sidents avant de perdre plus de quarante habitants en six ans. Une lente pĂ©riode de croissance fut entamĂ©e pour atteindre le cap des deux cents habitants en 1866, la commune ne comptant au dĂ©but du XXe siĂšcle que cent quatre-vingt habitants et ce jusqu’au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

    Une chute intervint en 1962, avant que la commune ne soit intĂ©grĂ©e au projet de la ville nouvelle d’Évry qui dĂ©clencha une urbanisation extrĂȘmement rapide, Courcouronnes passant de cent soixante-dix neuf habitants en 1968 Ă  plus de quatre mille trois cents en 1975 et plus de treize mille en 1990, pour atteindre un pic dĂ©mographique fixĂ© Ă  quatorze mille quatre cent neuf habitants en 2006.

    L’immigration compte pour une part relativement faible dans cette croissance puisqu’en 1999 seulement 10,3 % de la population Ă©tait de nationalitĂ© Ă©trangĂšre[101], dont 1,61 % de Marocains, 1,04 % d’AlgĂ©riens, 0,81 % de Portugais, 0,69 % de Tunisiens, 0,68 % de Turcs, 0,13 % d’Italiens et 0,12 % d’Espagnols et 10,4 % des habitants avaient acquis la nationalitĂ© française[102].

    Pyramide des Ăąges en 2009

    L’analyse de la pyramide des Ăąges de Courcouronnes comparĂ©e Ă  celle du dĂ©partement de l’Essonne montre la jeunesse de la commune et de son peuplement, avec une prĂ©sence supĂ©rieure des habitants ĂągĂ©s de moins de quarante-cinq ans et plus encore des habitants de moins de quatorze ans et Ă  l’inverse une prĂ©sence moindre de rĂ©sidents de plus de soixante ans et une quasi absence de Courcouronnais de plus de quatre-vingt-dix ans. Ainsi en 1999, 40,6 % de la population avait moins de vingt-cinq ans[101].

    Pyramide des Ăąges Ă  Courcouronnes en 2009 en pourcentages[103].
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ans ou +
    0,2
    2,1
    75 Ă  89 ans
    2,1
    8,7
    60 Ă  74 ans
    8,6
    19,7
    45 Ă  59 ans
    19,3
    22,3
    30 Ă  44 ans
    21,9
    22,4
    15 Ă  29 ans
    24,4
    24,8
    0 Ă  14 ans
    23,6
    Pyramide des Ăąges en Essonne en 2009 en pourcentages[104].
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,3
    90 ans ou +
    0,8
    4,4
    75 Ă  89 ans
    6,7
    11,3
    60 Ă  74 ans
    11,9
    19,9
    45 Ă  59 ans
    20,0
    21,9
    30 Ă  44 ans
    21,4
    20,6
    15 Ă  29 ans
    19,2
    21,7
    0 Ă  14 ans
    20,0

    Enseignement

    Le lycée Georges-Brassens de Courcouronnes.

    Les Ă©lĂšves de Courcouronnes sont rattachĂ©s Ă  l’acadĂ©mie de Versailles.

    En 2010, la commune dispose sur son territoire des écoles primaires Paul-Gauguin, Vincent-van-Gogh, Jacques-Brel, Jules-Ferry, Paul-Bert et Jacques-Tati[105], du collÚge Paul-Fort et du lycée polyvalent Georges-Brassens[106].

    En 2012, hors pĂ©riodes scolaires, les enfants sont accueillis dans les centres de loisirs Charles-Perrault et du Bois de mon cƓur, dans les ludothĂšques Abracadajeux et Andersen[107], dans les espaces Michel-Colucci et Pierre-Nicolas[108]. Les jeunes enfants sont accueillis aux relais d'assistantes maternelles du Bois de mon cƓur, Ă  la crĂšche collective Françoise-Dolto, Ă  la crĂšche familiale Colin-maillard[109].

    La Croix-Rouge française dispose en 2012 d'un institut de formation des ambulanciers[110]. L’acadĂ©mie Accor dispose Ă©galement d'un site de formation dans la commune[111].

    Courcouronnes accueille Ă©galement sur son territoire l'IUP (institut universitaire professionnel) de l'universitĂ© d'Évry-Val d'Essonne dans le bĂątiment Pelvoux.

    Culture

    La salle polyvalente Claude-Nougaro est la principale salle de spectacle et de confĂ©rences de Courcouronnes. La ferme des Mathurines accueille de nombreuses expositions et une salle de danse. Les espaces Brel-Brassens (centre social) et Simone-Signoret (MJC) accueillent de nombreuses manifestations culturelles en plus de leurs activitĂ©s respectives. Enfin, la commune dispose de la mĂ©diathĂšque Georges-Perec et d’une maison des associations[112]. Plusieurs associations animent la vie culturelle de la commune[113].

    Sports

    La commune dispose en 2012 du complexe sportif JosĂ©ane-AdĂ©laĂŻde, complĂ©tĂ© d’un terrain de basket-ball, du gymnase Colette-Besson, du complexe sportif du Lac, complĂ©tĂ© d’un boulodrome, des courts de tennis de l’Aqueduc et d’un espace municipal de musculation[114].

    Le club omnisports de Courcouronnes (COC), doté de seize sections encadre en 2012 la plupart des activités sportives dans la commune, complété par diverses associations[115].

    Santé

    Depuis la fermeture du centre hospitalier Louise-Michel, dont les activitĂ©s sont transfĂ©rĂ©es dans le nouveau complexe du centre hospitalier sud francilien Ă  Corbeil-Essonnes, plus aucun Ă©tablissement de santĂ© n’est prĂ©sent sur le territoire communal.

    En 2012, un centre de protection maternelle et infantile est installé en centre-ville[116], et dix-sept médecins[117], seize chirurgiens-dentistes[118] et onze pharmaciens[119] sont alors implantés dans la commune.

    Autres services publics

    En 2011, les habitants disposent d’une agence postale en centre-ville[120] et dans le quartier du Canal[121].

    Lieux de culte

    La paroisse catholique de Courcouronnes est rattachĂ©e au secteur pastoral d’Évry et au diocĂšse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l’église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©-de-la-TrĂšs-Sainte-Vierge et de l’église Saint-GuĂ©nault[122].

    La ville accueille aussi la mosquée de Courcouronnes, la plus grande mosquée de France[123].

    La communautĂ© protestante Ă©vangĂ©lique dispose dans la commune du temple Martin-Luther-King affiliĂ© Ă  l’Union d'assemblĂ©es protestantes en mission[124].

    • L’église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©-de-la-TrĂšs-Sainte-Vierge.
      L’église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©-de-la-TrĂšs-Sainte-Vierge.
    • L’église Saint-GuĂ©nault.
      L’église Saint-GuĂ©nault.
    • L’église Ă©vangĂ©lique Martin-Luther-King.
      L’église Ă©vangĂ©lique Martin-Luther-King.

    MĂ©dias

    L’hebdomadaire Le RĂ©publicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et TĂ©lĂ©ssonne intĂ©grĂ© Ă  TĂ©lif. Le service communication de la municipalitĂ© publie de nombreux guides pratiques sur la commune et diffuse chaque semaine, Ă  domicile, L’hebdo, quatre pages d’informations sur la vie pratique et les manifestations culturelles et sportives Ă  Courcouronnes.

    Économie

    Le siùge social d’Arianespace.

    Courcouronnes est intĂ©grĂ©e par l’Insee au bassin d'emploi d’Évry qui regroupait en 1999 soixante-six communes et 271 329 habitants[125], les courcouronnais reprĂ©sentant 5,14 % de la population totale de la zone.

    En 2012, la commune est partagĂ©e entre quartiers rĂ©sidentiels et zones d’activitĂ©s, dont le Bois Briard et Saint-GuĂ©nault. La commune accueille notamment le siĂšge de la sociĂ©tĂ© Arianespace[126] et Ă  ce titre est membre de la communautĂ© des Villes Ariane[127], le siĂšge de Carrefour Entreprises et CollectivitĂ©s[128], Carrefour Banque[129] et Carrefour Voyages[130], le siĂšge français du constructeur d’engins MAN[131], le siĂšge opĂ©rationnel d’Accor[132] et de sa filiale AcadĂ©mie Accor[133], le siĂšge opĂ©rationnel de JCDecaux[134], le siĂšge de la Snecma[135].

    En 2011, la commune accueillait sur son territoire 907 entreprises dont 75 % exerçaient dans le secteur tertiaire, aucune exploitation agricole ne subsistant sur le territoire et seulement trois hÎtels étaient en activité[136].

    Deux marchés sont organisés dans la commune, le jeudi aprÚs-midi dans le quartier du Canal et le samedi matin dans le centre-ville[137].

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2011, la commune comptait une population active de 7 124 personnes mais ne disposait sur son territoire que de 5 265 emplois, obligeant prĂšs de 85 % des travailleurs Ă  quitter la commune pour exercer leur ma activitĂ©.

    En 2009, le taux de chĂŽmage s’élevait Ă  14,6 %, dans la mĂȘme pĂ©riode, 83 % des actifs ayant un emploi Ă©tait titulaires de la fonction publique ou employĂ©s en contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Cette situation crĂ©Ă©e une certaine disparitĂ© de revenus et de niveau de vie entre les habitants, 43 % des foyers fiscaux n’étant pas imposables et le revenu net moyen dĂ©clarĂ© s’établissant Ă  22 556 €. Les parts de propriĂ©taires et de locataires Ă©taient Ă©gales Ă  49 %, plus de 38 % des habitants bĂ©nĂ©ficiant d’une habitation Ă  loyer modĂ©rĂ©[138].

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 31 681 €, ce qui plaçait Courcouronnes au 11 232e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole[139].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
    Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Courcouronnes 0,0 % 2,2 % 23,7 % 29,9 % 32,2 % 12,1 %
    Zone d’emploi d’Évry 0,3 % 4,0 % 20,2 % 29,6 % 28,2 % 17,7 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    RĂ©partition des emplois par secteurs d’activitĂ©s en 2006.
    Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    Courcouronnes 0,4 % 9,3 % 1,6 % 10,6 % 24,5 % 5,1 %
    Zone d’emploi d’Évry 0,9 % 13,5 % 5,4 % 14,6 % 16,2 % 6,9 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[140] - [141] - [142]

    Culture locale et patrimoine

    Le parc du Lac.
    La Dame du Lac.

    Patrimoine environnemental

    Le bois de la Garenne au nord-ouest de la commune, d’une superficie de quinze hectares, a Ă©tĂ© intĂ©grĂ© aux zones de prĂ©emption du conseil gĂ©nĂ©ral de l’Essonne dans un but de prĂ©servation des espaces naturels[143].

    Il est complĂ©tĂ© par le bois des Folies et le bois de Mon CƓur, par le parc du Lac et le parc Rondeau.

    La commune dispose Ă©galement de jardins familiaux.

    Lieux et monuments

    Il n’en subsiste aujourd’hui que le chƓur et la pointe du clocher[146].
    • La ferme du Bois Briard du XVIIIe siĂšcle[147].
    • La sculpture d'escalade intitulĂ©e La Dame du Lac, construite en 1975 par l’artiste d'origine hongroise Pierre Szekely[148].

    Personnalités liées à la commune

    Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Courcouronnes :

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Courcouronnes », p. 376–378
    • Jean-Pierre Bourgeron et Élisabeth Grunberg, Le Hurepoix. 3. : Évry, Ris-Orangis. Bondoufle, Courcouronnes, Lisses, J.-P. Bourgeron, (ISBN 978-2-903097-03-5)
    • Jacques Guyard, C’était en 1900, Bondoufle, Courcouronnes, Évry, Lisses, Ris-Orangis, Adef,
    • Bernard Bragard, Maire Ă  tout faire : Courcouronnes Carnets de vie d’une commune, Michel Lafon, (ISBN 978-2-84098-640-9)
    • Collectif d'auteurs, Courcouronnes, Chronique de mon Village, AmattĂ©is, (ISBN 978-2-86849-265-4)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.

    Références

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    5. Orthodromie entre Courcouronnes et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 12/08/2012.
    6. Orthodromie entre Courcouronnes et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 12/08/2012.
    7. Orthodromie entre Courcouronnes et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 12/08/2012.
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    78. Florian Garcia, « Ce qu’il faut savoir sur la fusion d’Evry et Courcouronnes : Evry et Courcouronnes se sont lancĂ©es dans la rĂ©daction d’une charte qui scellera les fondements de leur fusion annoncĂ©e en dĂ©but d’annĂ©e. L’occasion de revenir, point par point, sur les questions que se posent les habitants », Le Parisien, Ă©dition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    82. « L'ancien maire de Courcouronnes est dĂ©cĂ©dĂ© », Le Parisien, Ă©dition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « l fut maire socialiste de Courcouronnes pendant 20 ans, de 1977 Ă  1997 ».
    83. « Échos de campagne », Le Parisien, Ă©dition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Bernard Bragard lance sa liste. Bernard Bragard, maire sortant, se lance Ă  son tour dans la bataille Ă©lectorale sous les couleurs du PS avec sa liste baptisĂ©e « Evidemment ». Maire depuis dĂ©cembre 1997, Ă  la suite de la dĂ©mission de Guy Briantais (PS), Bernard Bragard cherche Ă  obtenir, pour ce second mandat, une consĂ©cration venue des urnes ».
    84. Sandrine Binet, « L'ancien maire PS de Courcouronnes rĂšgle ses comptes », Le Parisien, Ă©dition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « AssommĂ© par la sanction des urnes (56 % des voix pour StĂ©phane Beaudet, son jeune rival RPR), Bernard Bragard, dĂ©jĂ  auteur de « Maire Ă  tout faire », a dĂ©cidĂ© de coucher ses pensĂ©es sur le papier ».
    85. Éric Berger, « La prime aux maires sortants », Le Parisien, Ă©dition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « C'est l'une des surprises du scrutin. Avec 56 % des voix, StĂ©phane Beaudet, jeune candidat RPR, fait chuter le maire sortant socialiste Bernard Bragard. La tĂȘte de liste gaulliste avait axĂ© sa campagne sur la sĂ©curitĂ© ; thĂšme porteur dans une ville marquĂ©e ces derniers mois par une sĂ©rie de drames ».
    86. Sandrine Binet, « StĂ©phane Beaudet, plus jeune maire du dĂ©partement », Le Parisien, Ă©dition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Colleur d'affiches Ă  15 ans, adhĂ©rent du RPR Ă  22, chef de cabinet Ă  25 et aujourd'hui, maire de Courcouronnes Ă  28 ans. En chassant le socialiste Bernard Bragard de l'hĂŽtel de ville, StĂ©phane Beaudet a rĂ©ussi une double performance. Ce blond aux cheveux sagement coupĂ©s a fait tomber ce bastion de gauche depuis un quart de siĂšcle. Et il est devenu le plus jeune maire de l'Essonne ».
    87. SĂ©bastien Ramnoux, « A Courcouronnes, le jeune maire a fait ses preuves », Le Parisien, Ă©dition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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