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AgnĂšs Buzyn

AgnĂšs Buzyn, nĂ©e le Ă  Paris, est une hĂ©matologue, professeure des universitĂ©s – praticienne hospitaliĂšre et femme politique française.

AgnĂšs Buzyn
Illustration.
AgnĂšs Buzyn en 2018.
Fonctions
ConseillĂšre du 17e arrondissement de Paris
–
(5 mois et 25 jours)
Élection 28 juin 2020
Maire Geoffroy Boulard
Groupe politique En marche
Successeur Bertrand Lavaud
Ministre des Solidarités et de la Santé
–
(2 ans, 8 mois et 30 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Édouard Philippe
Gouvernement Philippe I et II
Prédécesseur Marisol Touraine
(Affaires sociales et Santé)
Successeur Olivier VĂ©ran
Présidente du collÚge
de la Haute Autorité de santé
–
(1 an, 8 mois et 27 jours)
Prédécesseur Jean-Luc Harousseau
(démissionnaire)
Successeur Dominique Le Guludec
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Paris (France)
Nationalité Française
Parti politique SE puis LREM[1]
Pùre Élie Buzyn
MĂšre Etty Wrobel
Conjoint Pierre-François Veil (divorcés)
Yves LĂ©vy
DiplÎmée de Université Paris-Descartes
Profession HĂ©matologue
Professeure des universités-praticienne hospitaliÚre

Spécialiste d'hématologie, d'immunologie des tumeurs et de transplantation, AgnÚs Buzyn a effectué l'essentiel de sa carriÚre de médecin et d'enseignant-chercheur à l'université Paris-Descartes (Paris-V) et à l'hÎpital Necker.

À partir de 2008, elle accĂšde Ă  des responsabilitĂ©s au sein d'institutions publiques liĂ©es Ă  la santĂ© et au nuclĂ©aire : prĂ©sidente du conseil d'administration de l'Institut de radioprotection et de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire (2008-2013), membre du ComitĂ© de l'Ă©nergie atomique du Commissariat Ă  l'Ă©nergie atomique (2009-2015), membre du conseil d'administration (2009), vice-prĂ©sidente (2010) puis prĂ©sidente de l'Institut national du cancer (2011-2016), prĂ©sidente du collĂšge qui dirige la Haute AutoritĂ© de santĂ© (2016-2017).

Sous la prĂ©sidence d'Emmanuel Macron, elle est ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ© au sein du premier et du second gouvernement Édouard Philippe. En pleine pandĂ©mie de Covid-19, elle quitte le gouvernement aprĂšs le retrait de Benjamin Griveaux de la campagne pour les Ă©lections municipales de 2020 Ă  Paris, afin de lui succĂ©der comme tĂȘte de liste LREM ; ses listes arrivent en troisiĂšme position du second tour avec 13 % des voix.

En 2021, elle est nommée envoyée du directeur général pour les affaires multilatérales à l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Elle est nommée conseillÚre maßtre à la Cour des comptes à partir du .

Biographie

Famille

AgnÚs Buzyn naßt le [2], à Paris[3] dans une famille juive ashkénaze.

Sa famille paternelle est originaire de ƁódĆș, en Pologne, oĂč son oncle a Ă©tĂ© fusillĂ© par les nazis en . Ses grands-parents, sa tante et son pĂšre, Élie Buzyn, alors ĂągĂ© de quinze ans, ont Ă©tĂ© dĂ©portĂ©s Ă  Auschwitz. Seul son pĂšre et sa tante en reviennent. Au sortir de la guerre, il s’installe en Palestine mandataire, puis Ă  Oran, en AlgĂ©rie française, et finalement en 1956 en mĂ©tropole, oĂč il exerce comme chirurgien orthopĂ©diste Ă  la clinique Saint-François situĂ©e 36, boulevard Saint-Marcel Ă  Paris[4]. Sa mĂšre, Etty Wrobel, enfant cachĂ© Ă  Miribel[5], Ă  quelques kilomĂštres au nord-est de Lyon, durant la Seconde Guerre mondiale[6], est psychologue, psychanalyste et Ă©crivaine[3].

Elle se marie en premiĂšres noces avec Pierre-François Veil, l’un des fils de Simone Veil[7], avec qui elle a deux fils[8], RaphaĂ«l et Lucas[9]. Ce dernier est mariĂ© Ă  Nelly Auteuil, fille de Daniel Auteuil et Emmanuelle BĂ©art[10]. Elle Ă©pouse en secondes noces Yves LĂ©vy, directeur gĂ©nĂ©ral de l'Institut national de la santĂ© et de la recherche mĂ©dicale (Inserm)[3], avec qui elle a un troisiĂšme fils, Alexandre[9].

Formation et parcours universitaire et médical

Ancienne Ă©lĂšve de l’École alsacienne[3], elle suit des Ă©tudes de mĂ©decine. Elle est interne des hĂŽpitaux de Paris (IHP) Ă  partir de 1986[3] ; devenue mĂ©decin, elle rĂ©alise la majeure partie de son parcours de mĂ©decin hĂ©matologue et d'universitaire Ă  l’universitĂ© Paris-Descartes (Paris-V) - hĂŽpital Necker, oĂč elle a Ă©tĂ© responsable de l’unitĂ© de soins intensifs d’hĂ©matologie adulte et de greffe de moelle (1992-2011)[3] - [11]. En 2000, elle soutient une thĂšse de doctorat en sciences intitulĂ©e « Étude de l’immunitĂ© anti-tumorale spĂ©cifique dans les leucĂ©mies myĂ©loĂŻdes et perspectives d'applications thĂ©rapeutiques » Ă  l'universitĂ© Paris-Descartes[12], puis est nommĂ©e professeure des universitĂ©s-praticienne hospitaliĂšre en 2004[3] - [13].

Les travaux de cette spécialiste d'hématologie, d'immunologie des tumeurs et de la transplantation[14] ont porté sur la greffe de moelle osseuse, la leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) et la leucémie myéloïde chronique (LMC). Elle a co-écrit de nombreux articles scientifiques, notamment en hématologie et immunologie[15].

De 1998 Ă  , elle organise un congrĂšs annuel sur la greffe de moelle, tĂąche rĂ©munĂ©rĂ©e par le laboratoire pharmaceutique Genzyme[16]. De 2002 Ă  2006 elle dirige une Ă©quipe de l'Institut national de la santĂ© et de la recherche mĂ©dicale (Inserm) travaillant sur l’immunologie des tumeurs Ă  l’Institut Cochin. De 2005 Ă  2011, elle est Ă©galement rĂ©munĂ©rĂ©e pour intervenir dans des congrĂšs concernant trois mĂ©dicaments permettant de lutter contre la LMC : le Glivec, le Tasigna (produits par Novartis) et le Sprycel (produit par Bristol-Myers Squibb)[16]. Elle entre au conseil consultatif de ce dernier mĂ©dicament en 2007, et des deux autres en 2008, rĂŽle qu'elle occupe jusqu'en [16] tout en exerçant de nombreuses fonctions au sein d'organismes publics, ce que Le Canard enchaĂźnĂ© a qualifiĂ© ironiquement de « lĂ©ger conflit d'intĂ©rĂȘts »[17].

Fonctions dans des organismes publics et sociétés de recherche

AgnĂšs Buzyn occupe de nombreuses responsabilitĂ©s dans diverses sociĂ©tĂ©s scientifiques et organismes publics, liĂ©s Ă  la mĂ©decine ou au nuclĂ©aire : elle est ainsi successivement membre du conseil mĂ©dical et scientifique de l'Établissement français des greffes, de celui de l'Agence de la biomĂ©decine de 2001 Ă  2008[16], du conseil scientifique de l'Établissement français du sang, du conseil d'administration de la SociĂ©tĂ© française de greffe de moelle et de thĂ©rapie cellulaire (SFGM-TC) de 2004 Ă  2012, sociĂ©tĂ© dont elle prĂ©side le conseil scientifique de 2008 Ă  2012[16].

De 2008 Ă  2013, elle prĂ©side le conseil d’administration de l’Institut de radioprotection et de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire (IRSN)[18], nommĂ©e en Conseil des ministres sur proposition de Jean-Louis Borloo[13]. En , elle est nommĂ©e membre du ComitĂ© de l'Ă©nergie atomique du Commissariat Ă  l'Ă©nergie atomique[19], fonction qu'elle conserve jusqu'en 2015[20].

En 2009, elle est nommĂ©e membre du conseil d’administration de l’Institut national du cancer (INCa), en tant que personnalitĂ© qualifiĂ©e, puis en devient vice-prĂ©sidente en , un poste selon elle « honorifique »[21]. Pressentie pour en devenir prĂ©sidente, elle met fin Ă  ses fonctions rĂ©munĂ©rĂ©es auprĂšs des laboratoires pharmaceutiques en [21] puis est nommĂ©e prĂ©sidente de l'INCa le [22] - [14]. Cette nouvelle fonction la conduit Ă  prĂ©sider la dĂ©lĂ©gation française du centre international de recherche sur le cancer, organisme dont elle devient vice-prĂ©sidente en [23]. De Ă  , AgnĂšs Buzyn est Ă©galement membre du conseil d'administration de la fondation pour l'universitĂ© de Lyon[23].

Pressentie dÚs comme présidente du collÚge de la Haute Autorité de santé[24], elle y est officiellement nommée en [25] - [24].

Gaspard Gantzer, conseiller en communication de François Hollande, indique que le palais de l'ÉlysĂ©e envisage, en , la nomination de Muriel PĂ©nicaud ou d'AgnĂšs Buzyn, au sein d'un Ă©ventuel gouvernement dirigĂ© par Emmanuel Macron[26].

Ministre des Solidarités et de la Santé

AgnĂšs Buzyn en 2017.

Le , elle est nommĂ©e ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©[27] au sein du premier gouvernement Édouard Philippe, puis confirmĂ©e le dans le second gouvernement Édouard Philippe.

Son directeur de cabinet, Gilles de Margerie, est un ancien inspecteur des finances, banquier et directeur gĂ©nĂ©ral adjoint du groupe mutualiste Humanis[28] ; il a coordonnĂ© les travaux liĂ©s Ă  l’action publique au sein de La RĂ©publique en marche[29]. Son directeur adjoint chargĂ© de la santĂ© est Yann Bubien, ex-directeur du Centre hospitalier universitaire d'Angers[30]. Sa chef de cabinet est Sophie Ferracci qui occupait le mĂȘme poste auprĂšs d'Emmanuel Macron lors de sa campagne prĂ©sidentielle[29].

Son Ă©poux Yves LĂ©vy dirigeant l'Institut national de la santĂ© et de la recherche mĂ©dicale (Inserm), la ministre se trouve potentiellement en situation de conflit d'intĂ©rĂȘts, car si son ministĂšre (de la santĂ©) ne finance pas l'Inserm (dont les crĂ©dits viennent du ministĂšre de la Recherche), il en est ministĂšre de cotutelle politique, et plusieurs des membres du conseil d’administration de l'Inserm y reprĂ©sentent le ministĂšre de la santĂ©[31]. Ce risque a Ă©tĂ© « clairement identifiĂ© » par le secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral de l’ÉlysĂ©e selon le cabinet de la ministre qui annonce le que celle-ci « ne traitera pas les sujets en lien avec l'Inserm » grĂące Ă  un « systĂšme de dĂ©port » (dans une situation similaire, GeneviĂšve Fioraso avait officiellement demandĂ© Ă  ĂȘtre dĂ©chargĂ©e par dĂ©cret de toute dĂ©cision concernant la direction de la recherche technologique du Commissariat Ă  l’énergie atomique (CEA) alors dirigĂ© par son compagnon[31]). Selon le journal La Croix qui estime qu'un dĂ©port ponctuel, ne serait « guĂšre adaptĂ© Ă  la situation d’une ministre ayant une tutelle continue sur son mari » le dĂ©cret du relatif Ă  la prĂ©vention des conflits d’intĂ©rĂȘts dans l'exercice des fonctions ministĂ©rielles orienterait plutĂŽt vers une cotutelle (voire une tutelle unique) de l’Inserm par le Premier ministre Édouard Philippe au cĂŽtĂ© du ministĂšre de la Recherche[31].

En 2018, d'aprĂšs Le Canard enchaĂźnĂ©, elle fait « un chantage Ă  la dĂ©mission » pour renouveler son Ă©poux Yves LĂ©vy Ă  la tĂȘte de l'Inserm[32]. Le quotidien LibĂ©ration dĂ©crit ce conflit d'intĂ©rĂȘts qui scandalise certains chercheurs et « embarrasse les politiques »[33]. Le Monde affirme que « la question sera tranchĂ©e au sommet de l’État, tant le sujet est sensible[34]. » Yves LĂ©vy est reconduit le par intĂ©rim[35] ; d'aprĂšs LibĂ©ration, ce n'est que pour « repousse[r] le choix[36]. » Dans un Ă©ditorial disponible en français[37] - [38], la revue scientifique mĂ©dicale britannique The Lancet considĂšre que l'opacitĂ© de la procĂ©dure de nomination ternit l'image de la France et demande « la publication des noms des candidats et des membres du comitĂ©, et du contenu des dĂ©libĂ©rations »[39] - [40]. D'aprĂšs le magazine Sciences et Avenir, « la rĂ©glementation prĂ©voit que les noms restent confidentiels »[41], mais Philippe Froguel et Jessica Zucman-Rossi ont rendu leur candidature publique[39]. La composition du comitĂ© paraĂźt le [42], et six candidats sont auditionnĂ©s le . Il s'agit de Philippe Amouyel, Michel CognĂ©, Ali SaĂŻb, Philippe Froguel, Jessica Zucman-Rossi et Yves LĂ©vy[43], mais ce dernier retire sa candidature jugĂ©e embarrassante par le gouvernement[44], et le ministĂšre relance la procĂ©dure Ă  zĂ©ro[45] pour finalement nommer Gilles Bloch Ă  l'automne 2018[46].

Action ministérielle

Fin , elle annonce envisager de porter de trois à onze le nombre de vaccins obligatoires pour les enfants (ajoutant aux vaccins contre la poliomyélite, le tétanos et la diphtérie, ceux contre la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'hépatite B, l'infection par la bactérie Haemophilus influenzae, le pneumocoque et le méningocoque C) et d'augmenter le prix des paquets de cigarettes[47]. Ces onze vaccins deviennent obligatoires à partir du .

Le , elle signe un arrĂȘtĂ© Ă  effet immĂ©diat interdisant la dĂ©livrance en pharmacie sans ordonnance de mĂ©dicaments antalgiques opiacĂ©s faibles (paracĂ©tamol codĂ©inĂ© notamment). Cette dĂ©cision, prise dans un contexte Ă©motionnel lourd[48] mais sans concertation avec les professionnels de la pharmacie[49], doit permettre de prĂ©server plus efficacement les adolescents d'une utilisation dĂ©tournĂ©e. Cette mesure est critiquĂ©e par les usagers rĂ©guliers de mĂ©dicaments opiacĂ©s faibles en auto-mĂ©dication pour le traitement de la douleur[50].

Elle présente, le , un plan d'action contre les déserts médicaux, qui prévoit notamment de doubler le nombre de maisons de santé pluri-professionnelles[51].

Le , lors du 42e congrÚs de la Mutualité française à Montpellier, elle présente la réforme 100 % santé[52].

Elle dĂ©cide l'arrĂȘt du remboursement de quatre mĂ©dicaments contre le dĂ©veloppement de la maladie d'Alzheimer, mesure qui prend effet le . Ce choix est critiquĂ© par le prĂ©sident de la fondation France Alzheimer[53]. En revanche, la revue Prescrire salue la mesure, rappelant que ces mĂ©dicaments « ont une efficacitĂ© minime et transitoire. Ils sont peu maniables en raison d'effets indĂ©sirables disproportionnĂ©s et exposent Ă  de nombreuses interactions. Aucun de ces mĂ©dicaments n'a d'efficacitĂ© dĂ©montrĂ©e pour ralentir l'Ă©volution vers la dĂ©pendance et ils exposent Ă  des effets indĂ©sirables graves, parfois mortels »[54].

Le , AgnĂšs Buzyn Ă©voque l'idĂ©e d'un recul de l'Ăąge lĂ©gal de dĂ©part Ă  la retraite Ă  65 ans[55]. Des propos qu'elle formule « Ă  titre personnel » et non en tant que ministre du gouvernement. « Je suis mĂ©decin, je vois que la durĂ©e de vie augmente d’annĂ©e en annĂ©e. Est-ce que [
] nous allons pouvoir maintenir sur les actifs le poids des retraites qui vont augmenter ? »[56]. Une argumentation qui rejoint la prise de parole du Premier ministre Édouard Philippe le , qui a affirmĂ© que l'Ăąge lĂ©gal de dĂ©part Ă  la retraite Ă©tait « un sujet de dĂ©bat public ». « C’est une provocation que de voir une ministre, en responsabilitĂ© sur ce sujet, tenir ce genre de propos », dĂ©nonce RĂ©gis Mezzasalma de la CGT. « Ça jette de l’huile sur le feu ». Jean-Paul Delevoye, le haut-commissaire Ă  la rĂ©forme des retraites s'est dit « trĂšs surpris » par les propos tenus par la ministre[57].

En , aprĂšs avoir sollicitĂ© l'avis de la Haute AutoritĂ© de santĂ©, qui a conclu a une absence d'efficacitĂ© prouvĂ©e, elle annonce l'arrĂȘt du remboursement des prĂ©parations homĂ©opathiques par la SĂ©curitĂ© sociale, en vigueur depuis une dĂ©cision de la ministre Georgina Dufoix en 1984. Le taux de remboursement, fixĂ© Ă  30 % depuis 2011[58], passe Ă  15 % au , avant la fin de tout remboursement au [59].

À partir de , son ministĂšre est chargĂ© de la rĂ©forme des retraites, par l'intermĂ©diaire de Jean-Paul Delevoye, nommĂ© haut-commissaire aux Retraites auprĂšs de la ministre[60], puis de Laurent Pietraszewski, nommĂ© secrĂ©taire d’État aux Retraites auprĂšs de la ministre en . Cette rĂ©forme suscite un important mouvement social d'opposition.

Elle porte également un projet de loi bioéthique, présenté au Sénat en , dont la mesure phare est l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires[61].

Le , elle fait classer l’hydroxychloroquine sur la liste II des "substances vĂ©nĂ©neuses", rendant le mĂ©dicament prescriptible uniquement sur ordonnance, et non plus en vente libre[62] - [63] - [64].

Mouvement social dans les hĂŽpitaux

Elle doit affronter un mouvement social d'ampleur Ă  partir de dans les services d'urgence des hĂŽpitaux. Le mardi , 95 services sont en grĂšve[65]. Certains d'entre eux, comme celui de Pau, compte 100 % de grĂ©vistes[66]. Elle est interpellĂ©e par Fabien Roussel, dĂ©putĂ© du Nord et secrĂ©taire du PCF le , affirmant que face Ă  la crise des services d'urgence elle « ne rĂ©pond pas comme quelqu'un qui n'irait jamais elle-mĂȘme dans ces services d'urgence »[67]. Fin septembre, le mouvement concerne 260 services, soit prĂšs de la moitiĂ© des services de France[68]. En , environ 1 100 mĂ©decins occupant des fonctions de chefs de pĂŽle, de chefs de service, ou d’élus en commissions mĂ©dicales d’établissement, dĂ©missionnent de leurs fonctions administratives[69].

Élections europĂ©ennes de 2019

AgnÚs Buzyn envisage de conduire la liste LREM aux élections européennes de 2019, finalement menée par Nathalie Loiseau[70].

DĂ©signation et premier tour

François Bayrou, prĂ©sident du MoDem, la suggĂšre comme tĂȘte de liste pour les Ă©lections municipales de 2020 Ă  Paris dĂšs [70]. Deux mois plus tard, en , elle annonce ĂȘtre en discussion avec Benjamin Griveaux pour rejoindre sa campagne[71]. Le , elle est dĂ©signĂ©e par LREM pour remplacer Benjamin Griveaux, qui a retirĂ© sa candidature aprĂšs la diffusion de vidĂ©os intimes[72]. Elle annonce qu'elle s'apprĂȘte Ă  quitter le gouvernement ; deux jours auparavant, elle excluait pourtant toute candidature aux municipales en raison d’« un agenda trop chargĂ© » Ă  son ministĂšre[73] - [74].

Au lendemain du premier tour, oĂč ses listes sont arrivĂ©es en troisiĂšme position au niveau de l’ensemble de la ville avec 17,26 %, elle indique sur Twitter l'interruption de sa campagne dans le cadre de la pandĂ©mie de Covid-19 en France alors en cours, sans attendre les consignes du mouvement LREM[75]. Elle met vigoureusement en cause la gestion de la crise sanitaire par l’exĂ©cutif et qualifie le dĂ©roulement du scrutin de « mascarade », terme dont elle regrette ensuite l'utilisation[76].

Silence et réintégration à l'AP-HP

Le , le journal Le Parisien indique qu'AgnĂšs Buzyn a demandĂ© sa rĂ©intĂ©gration provisoire Ă  l'Assistance publique - HĂŽpitaux de Paris dans le cadre de la pandĂ©mie de Covid-19 en France[77]. Elle est « mise Ă  disposition Ă  titre gratuit » par l'AP-HP auprĂšs du Service de santĂ© des armĂ©es, et exerce dans une « cellule Covid-19 » de l'hĂŽpital d'instruction des armĂ©es Percy de Clamart[78] ; elle y a pour collĂšgue la secrĂ©taire d'État GeneviĂšve Darrieussecq[79]. Jusqu’à la fin mai, elle se tient en retrait de la scĂšne publique, contrairement Ă  ses rivales Anne Hidalgo (PS) et Rachida Dati (LR)[80] - [81].

Second tour

CritiquĂ©e pour son action au ministĂšre de la SantĂ© et au sein de son parti (pour avoir dĂ©clarĂ© qu’elle avait informĂ© l’exĂ©cutif de la gravitĂ© de l’épidĂ©mie dĂšs et que la tenue du premier tour Ă©tait une « mascarade »), AgnĂšs Buzyn hĂ©site longtemps Ă  maintenir sa candidature ; l’hypothĂšse de son remplacement par Stanislas Guerini, dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral de LREM, est alors largement Ă©voquĂ©e[82] - [83] - [84]. Finalement, le , elle confirme son maintien comme tĂȘte de liste en vue du second tour, prĂ©vu le suivant[85]. DĂ©crite comme fragilisĂ©e par les mĂ©dias, elle repart alors en campagne, sous protection policiĂšre[86] - [87].

Le , elle arrive en troisiĂšme position avec 13,04 % au niveau de Paris. Dans le 17e arrondissement, oĂč elle est tĂȘte de liste, elle recueille 13,02 % des voix, ce qui ne lui permet pas d'obtenir un siĂšge au Conseil de Paris[88]. Elle est Ă©lue au conseil d'arrondissement dans l'opposition[89], dont elle dĂ©missionne le , au lendemain de sa nomination Ă  l'OMS (voir infra), laissant sa place Ă  Bertrand Lavaud[90].

Organisation mondiale de la santé

Le , AgnÚs Buzyn est nommée envoyée du directeur général pour les affaires multilatérales à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à GenÚve[91] - [92], et le Directrice exécutive de l'Académie de l'Organisation mondiale de la santé[93].

Le , elle est nommée en Conseil des ministres conseillÚre maßtre en service extraordinaire à la Cour des comptes, à compter du [94].

Prises de position

En tant que prĂ©sidente de l'Institut national du cancer, elle soutient en 2015 le projet de loi concernant le droit Ă  l'oubli pour les anciens malades du cancer[95]. Ce droit entre en vigueur le , permettant aux personnes ayant Ă©tĂ© atteintes de cancers et de l’hĂ©patite C de ne plus le mentionner lors d’une demande d’assurance emprunteur[96].

En , engagĂ©e dans la lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme, elle dĂ©nonce l’action des groupes de pression lors du vote des amendements remettant en cause la loi Évin. Dans un entretien au journal La Croix, elle se dit « profondĂ©ment atterrĂ©e par cette initiative de certains parlementaires qui obĂ©issent Ă  des lobbys trĂšs puissants et trĂšs bien installĂ©s en France, ceux des producteurs de vin »[97].

Elle critique en les pratiques de certains laboratoires qui aboutissent à une augmentation excessive des prix des nouveaux médicaments anti-cancéreux. Elle se dit favorable à une modularité des prix en fonction de l'indication[98].

En , AgnĂšs Buzyn a un entretien tĂ©lĂ©phonique[99] avec l'Ă©crivaine Anne Bert qui consacre les derniers mois de sa vie Ă  sa bataille pour que soit votĂ©e une loi sur l'euthanasie et l'aide Ă  mourir car elle est atteinte de la maladie de Charcot. Anne Bert a dĂ©clarĂ© publiquement qu'elle partira en Belgique vers la fin de l'Ă©tĂ© 2017 pour obtenir l'aide qu'on lui refuse en France, faute de loi l'autorisant. Cet entretien a fait l'objet d'une longue interview sur France 3[100] dans laquelle Anne Bert raconte qu'AgnĂšs Buzyn a fait machine arriĂšre sur la dĂ©claration qu'elle avait faite Ă  l'occasion d'un colloque organisĂ© par le Grand Orient de France[101] en 2015. Elle disait alors ĂȘtre favorable Ă  une aide Ă  mourir du type de ce qui existe en Belgique. À Anne Bert, elle a dit que la loi Claeys-Leonetti[102] Ă©tait suffisante et qu'il fallait surtout la faire connaĂźtre aux Français.

Controverses et polémiques

Question des liens ou conflits d’intĂ©rĂȘts

En , AgnĂšs Buzyn estime devant la commission des affaires sociales du SĂ©nat que l’obligation de dĂ©clarer publiquement tout conflit d'intĂ©rĂȘts avec l'industrie pharmaceutique instaurĂ©e en 2011 par la loi Bertrand afin de renforcer l’indĂ©pendance de l’expertise sanitaire publique serait devenue trop « handicapante » pour certains chercheurs qui « ne le supportent plus et refusent de venir aux expertises de l'INCA »[21]. Selon elle, « vouloir des experts sans aucun lien avec l’industrie pharmaceutique pose la question de la compĂ©tence des experts »[21]. IrĂšne Frachon, mĂ©decin Ă  l'origine de la rĂ©vĂ©lation du scandale du Mediator qui a conduit Ă  la loi Bertrand, rĂ©torque alors que ces « liens d'intĂ©rĂȘts » peuvent conduire Ă  ce que « des experts indiscutablement « compĂ©tents » [restent] solidaires d’un industriel lourdement criminel » et que la seule solution est de mieux rĂ©munĂ©rer les chercheurs afin d'Ă©viter leur « captation par l'industrie »[21].

Son mari, Yves LĂ©vy, est nommĂ© en 2014 directeur gĂ©nĂ©ral de l'Inserm. En , alors qu’elle avait promis de se dĂ©porter de tout dossier concernant cet institut, AgnĂšs Buzyn dĂ©cide, avec FrĂ©dĂ©rique Vidal, de geler un appel Ă  projets visant Ă  crĂ©er de nouveaux instituts hospitalo-universitaires (IHU). Cette mesure est conforme Ă  une demande de son mari dans le cadre d’« une lutte d’influence Ă  laquelle l’Inserm est partie prenante » indique Marianne, tandis que Didier Raoult prĂ©cise que celui-ci souhaite diriger les IHU « depuis Paris »[103].

La perspective d’un renouvellement du mandat de son mari en 2018 provoque dans les mĂ©dias des accusations de conflits d'intĂ©rĂȘts, compte tenu du poste d'AgnĂšs Buzyn comme ministre de la SantĂ©[33] - [34]. Face Ă  l'Ă©cho donnĂ© par les mĂ©dias, Yves LĂ©vy annonce le sa dĂ©cision de retirer sa candidature Ă  un second mandat[44]. Deux mois plus tard, il est nommĂ© conseiller d'État en service extraordinaire, sur proposition de Nicole Belloubet, ministre de la Justice[104] ; il ne perçoit aucune rĂ©munĂ©ration puisqu'il reste rĂ©munĂ©rĂ© par son administration d'origine[105] et continue d'exercer en parallĂšle son activitĂ© professionnelle de mĂ©decin et d'enseignant[106]. À ce poste, Yves LĂ©vy est invitĂ© Ă  conseiller juridiquement le gouvernement[106] - [107].

Lien entre chlordécone et cancer de la prostate

En Martinique, l'Ă©tude Madiprostate lancĂ©e en 2013 sur le mĂȘme modĂšle que l'Ă©tude « Karuprostate » vise Ă  mener une recherche statistique d’un lien entre chlordĂ©cone et cancer de la prostate dans la population martiniquaise afin de confirmer les rĂ©sultats de Karuprostate. Mais le retrait, en 2014, des financements par l'INCA, alors dirigĂ© par AgnĂšs Buzyn, enterre le projet sans qu’aucune justification ne soit fournie[108]. En 2021, deux plaintes pour faux tĂ©moignage sont intentĂ©es dont une en avril 2021 par l'Association mĂ©dicale de sauvegarde de l'environnement et de la santĂ© (Amses), cette plainte Ă©tait dirigĂ©e contre cinq anciens ministres de la SantĂ© (Xavier Bertrand, Marisol Touraine) et de l'Agriculture (Dominique Bussereau, Louis Mermaz et Jean-Pierre Soisson), dont l'association estimait « qu'ils avaient contribuĂ© dans l'exercice de leur fonction Ă  la contamination des terres et de la population » soit en ayant prolongĂ© l'autorisation du pesticide jusqu'en 1993, malgrĂ© sa toxicitĂ© Ă©tablie, soit en ayant tolĂ©rĂ© des seuils de rĂ©sidus trop Ă©levĂ©s dans l'alimentation et l'autre en juin 2021 par le syndicat l'Union gĂ©nĂ©rale des travailleurs de Guadeloupe, via l'Association guadeloupĂ©enne d'action contre le chlordĂ©cone (Agac), qui estimait que les ministres avaient menti sous serment pour disculper l'État devant la commission d'enquĂȘte parlementaire sur le chlordĂ©cone qui avait remis ses travaux en dĂ©cembre 2019. Cette action judiciaire avait Ă©tĂ© lancĂ©e aprĂšs la menace d'un possible non-lieu aprĂšs la plainte pour empoisonnement, dĂ©posĂ©e en 2006, par plusieurs associations martiniquaises et guadeloupĂ©ennes[109] - [110] devant la Cour de justice de la RĂ©publique (CJR) contre AgnĂšs Buzyn, Didier Guillaume, ex-ministre de l'Agriculture, JĂ©rĂŽme Salomon directeur gĂ©nĂ©ral de la SantĂ© et Bruno Ferreira, directeur gĂ©nĂ©ral de l'alimentation[111]. Le un dĂ©cret publiĂ© au Journal officiel indique que le cancer de la prostate liĂ© Ă  l'exposition au chlordĂ©cone est reconnu comme maladie professionnelle[112]. Les plaintes dĂ©posĂ©es par deux associations contre d'anciens ministres sont dĂ©clarĂ©es irrecevables par la CJR pour dĂ©faut d'intĂ©rĂȘt Ă  agir, a indiquĂ©, le , le parquet gĂ©nĂ©ral prĂšs la Cour de cassation[110] - [109].

Gestion de la pandémie de Covid-19

Le , trois premiers cas de Covid-19 sont enregistrĂ©s en France. AgnĂšs Buzyn, alors ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©, dĂ©clare Ă  propos de la Covid-19 que « le risque d'importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul » et que « le risque de propagation est trĂšs faible » ; ces propos font polĂ©mique quelques semaines plus tard, lorsque le virus circule de plus en plus activement dans le pays[113]. Le 16 fĂ©vrier 2020, elle dĂ©missionne du ministĂšre de la SantĂ© pour se prĂ©senter aux Ă©lections municipales de 2020 Ă  Paris[114]. Lorsqu’elle dĂ©missionne en pleine pandĂ©mie de Covid-19, l'opposition et des professionnels de santĂ© dĂ©noncent un « abandon de poste »[115].

Par ailleurs, durant la campagne municipale pour l'Ă©lection Ă  la mairie de Paris, elle dĂ©clare que « les agents de la mairie de Paris ne sont pas formĂ©s ni prĂ©parĂ©s » Ă  l'arrivĂ©e du coronavirus, invoquant la responsabilitĂ© d'Anne Hidalgo[116], avec qui elle prĂ©cise n'avoir eu « aucun contact » dans ce cadre en tant que ministre, ce que la maire sortante dĂ©ment en publiant des courriers envoyĂ©s par AgnĂšs Buzyn alors qu’elle Ă©tait encore ministre de la SantĂ© et dans lesquels cette derniĂšre remercie la maire de Paris pour sa mobilisation[117].

Le , deux jours aprĂšs le premier tour des Ă©lections municipales, AgnĂšs Buzyn affirme au Monde avoir alertĂ© l'exĂ©cutif de la gravitĂ© de la pandĂ©mie de Covid-19 dĂšs le mais avoir malgrĂ© tout fait le choix de se porter candidate Ă  la mairie de Paris par fidĂ©litĂ© politique au mouvement LREM[76]. Elle affirme dans cette interview que « Quand j'ai quittĂ© le ministĂšre, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami Ă©tait devant nous »[118]. Elle dit avoir plaidĂ© pour un report du scrutin des Ă©lections auprĂšs d'Emmanuel Macron[119]. Elle estime que le scrutin n’aurait pas dĂ» ĂȘtre tenu, le qualifiant de « mascarade »[76]. Ses dĂ©clarations suscitent les critiques de la classe politique, qui se demande pourquoi ni elle ni le reste de l’exĂ©cutif n’ont tirĂ© de consĂ©quences du risque d’épidĂ©mie portĂ© Ă  leur connaissance[120] - [121].

AuditionnĂ©e le par la commission d'enquĂȘte parlementaire sur la gestion de la pandĂ©mie, AgnĂšs Buzyn dĂ©fend les mesures qu’elle a prises Ă  son ministĂšre[122]. Les dĂ©putĂ©s se montrent souvent sceptiques devant ses rĂ©ponses[123]. Une opĂ©ration de perquisition est menĂ©e Ă  son domicile dans le cadre d'une information judiciaire ouverte par la Cour de justice de la RĂ©publique (CJR), seule habilitĂ©e Ă  juger les membres du gouvernement dans l’exercice de leur fonction, en [124] - [125]. Au total, sur les 14 500 plaintes liĂ©es Ă  la gestion de la crise, la CJR en juge seize recevables[126] - [127].

Le , AgnĂšs Buzyn est convoquĂ©e par la CJR, aprĂšs avoir refusĂ© de se rendre Ă  une premiĂšre convocation de la CJR en juillet[128]. Elle est mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui et placĂ©e sous le statut de tĂ©moin assistĂ© pour les faits d’abstention de combattre un sinistre ce mĂȘme jour[129] - [130].

Le , elle est nommée chevalier de la Légion d'honneur aux cÎtés d'autres professionnels de la santé impliqués dans la lutte contre la pandémie de Covid-19[131]. Cette décoration est critiquée par plusieurs personnalités politiques de différents bords, au vu de la procédure judiciaire engagée contre elle à ce sujet[132] - [133].

Le , la Cour de cassation annule sa mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui en annonçant dans un communiquĂ© de presse « qu'aucun des textes auxquels s'est rĂ©fĂ©rĂ©e la commission d'instruction de la CJR ne prĂ©voit d'obligation particuliĂšre de prudence ou de sĂ©curitĂ© ». Buzyn passe sous le statut de tĂ©moin assistĂ©, et ne peut plus ĂȘtre renvoyĂ©e devant la CJR pour y ĂȘtre jugĂ©e[134] - [135] - [136].

SynthÚse des résultats électoraux

Élections municipales

Les rĂ©sultats ci-dessous concernent uniquement les Ă©lections oĂč elle est tĂȘte de liste.

Année Parti Commune 1er tour 2d tour SiÚges obtenus
Voix % Rang Voix % Rang CP CM
2020 LREM Paris 99 767 18,04 3e 60 470 13,04 3e
6 / 163
1 / 60

DĂ©corations

Notes et références

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