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Famille Le Clerc de Juigné

La famille Le Clerc, est une famille de la noblesse française originaire de l'Anjou, qui s'est installée dans le comté du Maine.

Le Clerc
Leclerc
Image illustrative de l’article Famille Le Clerc de JuignĂ©
Armes de la famille.

Blasonnement D'argent, Ă  la croix de gueules, bordĂ©e-engrĂȘlĂ©e de sable et cantonnĂ©e de quatre aigles du mĂȘme, becquĂ©es et armĂ©es du second.
Devise « Ad alta »
Branches de Juigné
de Saultré et des Aulnays
de Coulaines
et de Lassigny
Pays ou province d’origine Drapeau de l'Anjou Anjou
drapeau du Maine Maine
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Badge de l'Armée des princes Armée des princes
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus Juigné-sur-Sarthe
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour De 1753 Ă  1787 en vertu de preuves faites au cabinet des ordres du roi[1] - [2].
Autres Extraction chevaleresque[3] - [1]

Maison d'origine chevaleresque, elle est, « au témoignage de tous les historiens, l'une des plus anciennes de l'Anjou[1] - [4] ». Sa filiation est établie depuis le XIIIe siÚcle[1]. Elle prouve sa noblesse depuis 1362[5]. Elle est éteinte en ligne masculine[5].

Cette famille hérita au XIVe siÚcle de la terre de Juigné, au Maine, de la famille de Lessillé et y resta fixée jusqu'au milieu du XXe siÚcle. Elle a occupé les plus hauts postes aux armées, dans le clergé et la diplomatie, et a donné des chevaliers de l'Ordre du Roi[3].

Généralités


La famille Le Clerc, originaire de l'Anjou, a pour berceau la baronnie de Vihiers érigée depuis en comté[4]. Des titres authentiques[4] la font remonter à la fin du Xe siÚcle, jusqu'à Hisgaud Leclerc[6], qui osa provoquer en duel[4] - [6] Geoffroy Ier, dit Grisegonelle, comte d'Anjou, dont il était le vassal. Celui-ci lui accorda satisfaction sur le pont de Montreuil, en 978. Le comte, sous prétexte de félonie, s'empara de la terre de Villiers, et la donna à Albéric, son parent[7], issu de la maison de Montmorency (fils de Bouchard de Montmorency[8]).

Ainsi, il ne resta aux enfants dudit Le Clerc, que les biens maternels qui Ă©taient « outre » Loire, et consistaient dans les terres de Vignau, Saint-Martin-de-CandĂ© (paroisse de SuillĂ© en Montfort), Saint-Germain, ThisĂ© et autres, en Lodunois, Montbrissois, Douai, et « autres pays circonvoisins », ainsi qu'il est portĂ© dans un cartulaire de l'abbaye Saint-Aubin d'Angers. Ces mĂȘmes biens ont Ă©tĂ© successivement possĂ©dĂ©s par les descendants dudit Hisgaud, jusqu'Ă  Jean Le Clerc, IIe du nom, seigneur de JuignĂ©, qui assigna sur iceux deux cents livres de rente de douaire Ă  Anne de Mellay, dame de Verdelles-en-PoillĂ©, son Ă©pouse, par acte du et par un autre du : il les vendit pour se fixer Ă  JuignĂ©, au Maine, sur la frontiĂšre d'Anjou, terre oĂč ses descendants ont toujours demeurĂ© depuis, et ce, jusqu'au XXe siĂšcle. Cette terre, par la rĂ©union de la baronnie de Champagne, est devenue « une des plus belles[7] » de la province.

On trouve dans Orderic Vital et dans l'Historia novella de Guillaume de Malmesbury qu'un Philippe Leclerc était ami et compagnon d'armes de Guérin de Tannie, qui prit part à la Ire croisade et fut tué à la bataille d'Antioche, le , et que Philippe Leclerc mourut peu aprÚs de ses blessures[9]. Orderic Vital pense[9] que Leclerc était alors un surnom et suppose que ce Philippe était de la maison de Montgommery. Mais différentes chartes de l'abbaye de la Couture du Mans prouvent qu'en 1090 Foulques Leclerc était oncle d'un Guérin de Tannie et qu'ils avaient l'un et l'autre de grands biens au pays du Maine. En effet, Foulques Leclerc avait épousé Raoulette de Tannie, et nous retrouvons plus tard la terre de Tannie entre les mains des seigneurs de Juigné, dont quelques-uns sont qualifiés Leclerc, seigneurs de Tannies, à l'extinction des héritiers mùles de cette maison. Cette alliance entre les maisons de Tannie et de Leclerc fait supposer[9] que Philippe Leclerc, compagnon de Guérin de Tannie, était l'oncle ou le beau-frÚre de Raoulette de Tannie et non un seigneur étranger de la maison de Montgomery.

Parmi les premiers Le Clerc Ă  s'illustrer, on trouve Guillaume et Humbert, croisĂ©s en 1190, puis Colas (Nicolas Ier), tuĂ© Ă  la bataille de Poitiers (1356)[10]. À dĂ©faut d'une certitude positive[9] Ă  l'Ă©gard de Philippe, les armes de la famille Leclerc de JuignĂ© figurent Ă  Versailles « dans la IIIe croisade, Ă  raison d'Humbert et Guillaume Leclerc » (1re salle des Croisades). Une obligation « per fidem », contractĂ©e au mois de devant Acre, par Humbert Leclerc, porte qu'il se substitue Ă  son frĂšre Guillaume, mort Ă  la croisade, avec la garantie de noble seigneur G. de Chaorse, (aujourd'hui Sourches), au Maine. Au XIXe siĂšcle, la famille de JuignĂ© possĂ©dait en outre dans ses archives une copie authentique d'un titre d'. C'Ă©tait un marchĂ© passĂ© par HervĂ© Leclerc, Geoffroy Duplessis, Guillaume de Chastellar et MacĂ© de Kedillac, pour leur transport de Limassol Ă  Damiette[9].

Cette maison a depuis produit plusieurs gentilshommes de la chambre de Charles IX et de Henri IV de France[11], des lieutenants généraux, maréchaux-de-camps et brigadiers des armées du Roi, nombre d'officiers supérieurs, des chevaliers de l'ordre du roi et de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, un ministre plénipotentiaire en Russie en 1774[1], etc., etc.

Unie aux familles de La SaugÚre et Lessillé, la maison Le Clerc de Juigné se trouva alliée aux anciennes maisons de Craon, de Flandre, de Beaumont-le-Vicomte, de Neuvillette, du Plessis-Baudouin, de Bois-Saint-PÚre, de Pointeau, du Bois-Dauphin, de la Plesse, d'Aubéry, de Bordier, de Villeneuve et autres.

À partir de 1750, les Leclerc de JuignĂ© sont de riches dĂ©tenteurs de terres et de forĂȘts, ainsi que du lac de Grand-Lieu[12].

Charles Philibert Gabriel Le Clerc de JuignĂ© et Jacques Gabriel Louis Le Clerc de JuignĂ©, marquis de JuignĂ© et de Montaigu, lieutenant-gĂ©nĂ©ral des armĂ©es du roi, comparurent, en 1789, Ă  l'AssemblĂ©e Ă©lectorale de la noblesse du Poitou[13] - [14]. La famille comparut Ă©galement Ă  l'AssemblĂ©e de la noblesse de l'Anjou et de l'Île-de-France[14].

Charles-Philibert-Gabriel Le Clerc, marquis de Juigné, a été élevé à la dignité de pair de France, par Louis XVIII, en 1815[1].

Le nom de Juigné est porté par des personnes étrangÚres à la famille Leclerc de Juigné[2].

Régis Valette écrit que cette famille a prouvé sa noblesse depuis 1362 et qu'elle est éteinte en ligne masculine de nos jours[5].

Personnalités

Les ecclésiastiques

Les militaires

Emery Le Clerc des Roches

Emery (ou Méri) Le Clerc[15], seigneur des Roches, était gouverneur du chùteau de Sablé (1490) et enseigne des gardes du corps du roi Charles VIII.

Il suivit le roi en Italie, au recouvrement du royaume de Naples. À son retour, il combattit, en 1494, prĂšs de la personne de ce monarque, Ă  la bataille de Fornoue (1495), oĂč, « Ă  la tĂȘte de huit mille hommes harassĂ©s de fatigues[15] », ce prince remporta une victoire signalĂ©e sur ses ennemis liguĂ©s, au nombre de trente mille hommes qui lui disputaient le passage.

AprĂšs la mort de ce prince, il continua de servir les rois Louis XII et François Ier, qu'il suivit en Italie, le premier Ă  la conquĂȘte du mĂȘme royaume de Naples, sur Ferdinand II d'Aragon, qui fut fait prisonnier[15], et le second, Ă  celle du duchĂ© de Milan, auprĂšs duquel il fut blessĂ©, Ă  la bataille de Marignan (1515), oĂč le monarque demeura victorieux.

René II Le Clerc de Juigné

René II Le Clerc[16], seigneur de Juigné et de Verdelles, seigneur (1600) puis baron de Champagne (1619), acquit, en 1600, de la maison de Maillé-Bénéhart, la chùtellenie de Champagne (Champagne-Hommet, à Avoise).

« Il rendit des services importants, fut utile[16] », dans les guerres civiles, à Henri IV.

En récompense de ses services, la chùtellenie de Champagne fut érigée en baronnie en 1615[3], et il lui fut permis de faire bùtir un chùteau fort à Verdelles.

Il avait Ă©pousĂ©, le , Marie (nĂ©e vers 1560), fille de Nicolas Campaing (vers 1515-1574), seigneur de Fresnay, chancelier du roi de Navarre (1566), et d’Anne Courtin de Rosay.

Urbain Le Clerc de Juigné

Urbain Le Clerc de JuignĂ©[17], qui obtint, par commission du , la lieutenance-colonelle du rĂ©giment d’infanterie de Schomberg, levĂ© depuis deux ans. Il combattit avec ce rĂ©giment Ă  Épouilles, en 1677, et servit au siĂšge de PuigcerdĂ  en 1678, au siĂšge et Ă  l'assaut de Gironne en 1684.

Brigadier des armĂ©es du Roi par brevet du , il fut employĂ© Ă  l'armĂ©e de Roussillon, par lettres du 7 avril, se trouva Ă  la reprise de Saint-Jean-de-las-BaldesĂšs et de Ripouille, et au blocus de Gironne la mĂȘme annĂ©e. Il fut nommĂ© inspecteur gĂ©nĂ©ral de l'infanterie pour le dĂ©partement de Provence, par commission du : il quitta la lieutenance-colonelle de son rĂ©giment, passa l’hiver en Provence, retourna servir en Roussillon, et se trouva au siĂšge d'Urgel, Ă  la prise des chĂąteaux de Valence (Espagne) et de Boy, et au secours de Prats-de-Molou, la mĂȘme annĂ©e.

Il continua d’inspecter les troupes en Provence pendant l’hiver, servit pendant la campagne de 1692, en Roussillon, oĂč on se tint sur la dĂ©fensive ; se trouva au siĂšge de Roses (1693), et fut employĂ© brigadier et inspecteur en Provence et au comtĂ© de Nice, pendant l’hiver. Par lettres du ; fut employĂ© Ă  l'armĂ©e de Catalogne, par lettres du ; il combattit avec la plus grande valeur sur le Ter ; servit aux siĂšges de PalamĂłs, de Gironne, d’Ostalric et de Castelfollit, qui se rendit le . Il y fut mis pour commander et y passa l’hiver.

Sorti le , de cette place avec huit cents hommes, « pour exĂ©cuter quelques villages qui refusaient les contributions, il en brula deux[17] ». AttaquĂ© Ă  Saint-FĂ©lix de Pallarole, par le viguier de Vic, avec quatre Ă  cinq mille hommes, il se retira en combattant, jusqu’au pont de Saint-Roch, dont il chassa les troupes qui le gardaient : ce pont passĂ©, il se retira jusqu’à Aulat. « Ses troupes, excĂ©dĂ©es de fatigue et accablĂ©es par le nombre, se jetĂšrent dans l'Ă©glise des Carmes, oĂč tout ce qui se prĂ©senta d’ennemis fut tuĂ©[17] ». Les ennemis, dĂ©sespĂ©rant de la forcer, y mirent le feu, qui contraignit le « marquis[17] » de JuignĂ© de se rendre. Il avait Ă©tĂ© dangereusement blessĂ©, et mourut Ă  Aulat, de cette blessure, le .

Son nom est Ă  Versailles sur les tables de marbre[11] ;

Anne Léon Antoine Le Clerc de Juigné

Anne-LĂ©on-Antoine Le Clerc[18] (° † ), comte LĂ©on de JuignĂ©. Il entra au service, en qualitĂ© d'enseigne au rĂ©giment des Gardes françaises, en 1784.

ÉmigrĂ© en 1791, il servit les Bourbons, en pays Ă©tranger, pendant onze ans.

Il fut créé, par Louis XVIII, chevalier de Saint-Louis le , et nommé, le , colonel de la légion (de gardes nationales) de la Seine.

Chevalier de la LĂ©gion d'honneur[19] depuis de , le comte LĂ©on de JuignĂ© Ă©tait, l'annĂ©e suivante, colonel du 55e rĂ©giment de ligne. Il commanda, en 1823, le 2e corps de rĂ©serve Ă  l'armĂ©e des PyrĂ©nĂ©es, sous les ordres du duc d'AngoulĂȘme.

Louis-Henri Le Clerc de Lassigny de Juigné

Louis-Henri Le Clerc[20] (Lorgues - 27 thermidor an V (), Les Arcs (Var) - ), vicomte de Lassigny de Juigné, est entré dans les gardes du corps du roi, compagnie de Luxembourg, le .

Breveté lieutenant de cavalerie le suivant, il a été nommé lieutenant dans le régiment des chasseurs du Gard (10e) à la fin de l'année 1815, lors de la formation de ce régiment.

Le vicomte Henri de JuignĂ©, qui se trouvait en congĂ© Ă  Lorgues Ă  l'Ă©poque du retour de l'Ăźle d'Elbe, fit partie d'un petit corps de cavalerie qui marcha Ă  sa poursuite de NapolĂ©on jusqu'Ă  Gap (sous les ordres de M. de Perier-la-Garde), gui lui dĂ©livra un certificat trĂšs honorable lorsqu'il quitta ce corps pour rejoindre les gardes Ă  Paris. Le vicomte de JuignĂ©, en passant Ă  NĂźmes, fut prĂ©sentĂ© au duc d'AngoulĂȘme, qui « daigna l'accueillir avec une extrĂȘme bontĂ© », et qui lui donna l'ordre de continuer sa route pour Paris ; mais ayant appris Ă  Montauban l'occupation de Paris, il se rendit de suite Ă  Toulouse oĂč se trouvaient rĂ©unis, Ă  cette Ă©poque, des militaires des divers corps de la maison du Roi, auxquels il se joignit.

Il ne quitta Toulouse que lorsque le drapeau tricolore y eut été arboré, et il revint ensuite à Lorguesle . Il fut du nombre des jeunes gens de Lorgues qui enlevÚrent le drapeau tricolore pour y substituer le drapeau blanc, « que les habitants de cette ville fidÚle, et de tout tems dévouée aux Bourbons, eurent le courage de conserver » malgré les menaces du maréchal Brune, dont le quartier général n'était éloigné, à cette époque, que de quelques lieues de Lorgues.

Il Ă©tait chevalier de la LĂ©gion d'honneur ()[21] et chevalier de 2e classe de l'ordre royal et militaire de Saint-Ferdinand d'Espagne (, autorisation du ).

Les politiques

Dans la législature

  • Messire Loys Leclerc, chevalier[11], seigneur de Coulaines, prend part, dans l'ordre des seigneurs, Ă  la rĂ©vision de la coutume du Maine[2] ;

Les courtisans

Galerie de portraits

Arbre généalogique descendant

  • ° : naissance ;
  • ∞ : union ;
  • † : dĂ©cĂšs.

Origines

  • Adam Ier Le Clerc, chevalier, comparut en personne, en cette qualitĂ©, Ă  Tours, dans la quinzaine de PĂąques de l'an 1272, pour servir dans l'armĂ©e du roi de France, devant Ferrare, sous les ordres de Duvernon, marĂ©chal de France[7].
    • Adam II Le Clerc († 1356 - Bataille de Poitiers), seigneur des Roches ∞ (1322) Isabeau, fille de Jean de Turpin, et d'Isabeau de CoĂ«smes, dont il eut :
      • Roland Le Clerc ∞ Marthe LessillĂ©, « demoiselle de grande extraction[7] », fille de Nicolas LessillĂ©, et de ThiĂ©phaine Poussin, dame de JuignĂ©. Les enfants issus de ce mariage sont :
        • Colas ou Nicolas Ier Le Clerc, « premier seigneur de JuignĂ© Ă  titre successif » de son oncle Jean de LessillĂ© († 1384) ∞ Marguerite de La SaugĂšre. De ce mariage sont issus :
          • Colas ou Nicolas II Le Clerc ( † avant 1420), seigneur de JuignĂ©, de Coulaines, du Vignau, de Saint-Martin de CandĂ©, de La Mothe, d'ArthezĂ©, de La NouilliĂšre, etc.
            ∞ (1°) (vers 1385) Jeanne de Bouvards
            ∞ (2°)Marguerite Le Voyer de BallĂ©e. Ses enfants furent :
          • Perrot ou Pierre ;
          • Marie, dont on ignore la destinĂ©e ;
        • Une fille, mariĂ©e Ă  Guillaume du Bois-de-Saint-PĂšre ;
        • Une autre fille, mariĂ©e Ă  Jean Pierres, sieur du Plessis-Baudouin ;

Branche de Juigné

Jean Ier Le Clerc, dit l'aĂźnĂ© († vers 1418[25]), seigneur de JuignĂ©, du Vignau, de Saint-Martin-de-CandĂ©, de La Mothe d'ArthezĂ©, d'HierrĂ© et de La NoulliĂšre, Ă©chanson du roi Charles VI Ă©pousa Guillemette, fille de Jean Pointeau, seigneur de Boisdauphin, chancelier de Louis, duc d'Anjou et de N. LessillĂ©. Ce mariage donna des alliances avec les maisons de Laval-Boisdauphin, de SouvrĂ©, de Beauvau, de PrĂ©cigny, de Rohan-GuĂ©menĂ©, de CrĂ©quy, de RiccĂ©, et autres


  • Ensemble, ils eurent :
    • Jean II Le Clerc[26] († 1470), seigneur de JuignĂ©, prend part Ă  la bataille de Saint-Denis-d'Anjou[27]
      ∞ (1.) () Anne de Mellay († 1463), dame de Verdelles[28], Ă  laquelle il assigna un douaire sur les biens qui furent Ă  son ancĂȘtre Hisgaud Le Clerc ;
      ∞ (2.) (1464) Marguerite d’AulniĂšres, veuve de Jean, seigneur de La RoĂ«. Ses enfants furent :
      • (1.) Nicolas III Le Clerc († 1507), seigneur de JuignĂ© et de Verdelles ∞ Louise d'Hauteville[29], veuve d’Ambroise de Cornillau, seigneur du Fay, dont il eut :
      • (1.) Jean, seigneur de Burons, mort sans alliance ;
      • (1.) Jeanne ∞ Jean Le Maczon, seigneur du Grand-Anvers et de Foulletourte, dont postĂ©ritĂ© ;
      • (1.) Françoise
        ∞ (1.) Robert de Rotroux, seigneur du Coudray et de Saint-Denis-du-Maine († avant 1464)
        ∞ (2.) Jean de La RoĂ«, fils aĂźnĂ© de Jean, seigneur de La RoĂ«, et de Marguerite d’AulniĂšres, dont postĂ©ritĂ© ;
      • (1.) Marguerite (Radegonde) ∞ Geoffroy de Clefs, Ă©cuyer, seigneur de CelliĂšre (Anjou) ;
      • (1.) Rollande, morte sans postĂ©ritĂ©
        ∞ (1.) Jean Simon Affagart, seigneur de Courteilles
        ∞ (2.) Jacques de Taillemant, Ă©cuyer, seigneur de Loresse
        ∞ (3.) François de La Bessiùre, chevalier, seigneur de La Foretiùre
      • (2.) François, seigneur de MoirĂ© ∞ () avec Louise de Bastard[40] ;
      • (2.) Abel, mort en bas Ăąge ;
      • (2.) Jeanne ∞ RenĂ© d'Anthenaise, dont postĂ©ritĂ© ;
    • Louis Le Clerc, seigneur des Roches ∞ () avec « Jean » de La Vergne, auteur du :
    • Jeanne Le Clerc de JuignĂ©.

Rameau aßné de Juigné

Les Le Clerc éteints, les chùteaux de Juigné et du Bois-Rouaud passent aux Durfort-Civrac de Lorges.

Rameau cadet de Juigné

Rameau de Saultré et des Aulnays

Nous ne connaissons pas la postérité de Louis Le Clerc, seigneur des Roches et de « Jean » de La Vergne, néanmoins, nous pouvons citer parmi leur descendance :

  • RenĂ© Le Clerc († vers 1640), Ă©cuyer, seigneur des Roches et gentilhomme ordinaire de la vĂ©nerie du roi[49], seigneur des Aulnays[50] (achetĂ©s le 12 aoĂ»t 1609, Ă  Louis de Beauvau et sa femme Charlotte de Brillouet)
    • RenĂ© Le Clerc, baron de SaultrĂ©, demeurant paroisse de Feneu (Ă©lection d'Angers). Il comparut, en 1666, tant pour lui que pour son frĂšre, Louis Le Clerc, seigneur des Aulnais et pour son cousin germain, Urbain Le Clerc, seigneur du Genetay. Il entendit maintenir sa qualitĂ© d'Ă©cuyer, disant qu'il Ă©tait « l'aĂźnĂ© d'une branche cadette, dont Jacques le Clerc, Sgr de JuignĂ©, Ă©tait l'aĂźnĂ©, et qu'aussi Louis le Clerc, Sgr de Coulaines, demeurant paroisse de LouĂ©, pays du Maine, est issu d'une branche de cadets, et qu'il n'en connaĂźt pas d'autres. Il dĂ©clarait porter : d'argent Ă  une croix dentĂ©e de gueules, cantonnĂ©e de 4 aigles de sable, bectĂ©es et armĂ©es de gueules. » Ils justifiĂšrent la possession du titre de noblesse depuis l'an 1471, en la personne de leur trisayeul.
    • Louis Le Clerc († vers 1670), qui hĂ©ritier de la seigneurie des Aulnais ;
      • Pierre Le Clerc († vers 1640), fils aĂźnĂ© du prĂ©cĂ©dent, seigneur des Aulnais.
    • Pierre, entrĂ© dans les ordres ;

Les terres des Aulnais passÚrent dans la famille des Laurens à la suite du mariage de GeneviÚve-Eulalie Le Clerc de Brion avec Pierre de Laurens, le 13 août 1731.

Branche de Coulaines

Jean Le Clerc, dit le Jeune, marié avec Jeanne de La Mothe-Fouqué, est l'auteur de la branche des Le Clerc de Coulaines (ou Coulennes), « qui s'est toujours trÚs bien alliée[51] », et a fourni plusieurs militaires de distinction, sous divers rois de France, et des chevaliers de l'ordre du Roi (Ordre de Saint-Michel) aux XVe et XVIe siÚcles.

Louis le Clerc, Sgr de Coulaines, figure dans l'ordre de la noblesse à l'assemblée des trois ordres de la province du Maine pour l'adoption et la publication de la Coutume du Maine. Joseph-Ignace Le Clerc de Coulaines, chanoine de Saint-Pierre-la-Cour, du Mans, frÚre du sus-nommé, a reçu le titre de vénérable[3].

Les Le Clerc sont convoqués à l'arriÚre-ban du Maine en 1674, 1675 et 1689 comme seigneurs de Souligné, à Poillé, de Villiers et de Montoron, à Saint-Jean-sur-Erve. La dame veuve de Coulaines, sus-inscrite, y fut aussi convoquée en 1689 et offrit de coutribuer[3].

La branche cadette de Coulaines à laquelle appartenait Jean-Baptiste-Théodore Le Clerc, s'est éteinte au XVIIIe siÚcle[3]. Elle s'était alliée[51] aux :

Maisons de Montmorency, de Clermont-Gallerande, de Saint-Aignan, de Vassé, d'Assé, de Froulay, de Montgommery, de Rabodanges, de Grancey, (Rouxel) de Médavy, et autres


Branche des Roches et de Lassigny

Alliances notables


 ainsi qu'aux :

Armoiries

Image Armoiries
D'argent, Ă  la croix de gueules, bordĂ©e d'une engrĂȘlure de sable, et cantonnĂ©e de quatre aigles du mĂȘme, becquĂ©es et armĂ©es de gueules.[73] - [74] - [75] - [14] - [76]
Cimier
un coq essorant[74] - [14] - [76].
Devise
« Ad alta[74] - [14] - [76]. » (en français : « Au plus haut Â»)
Cri
BATTONS ET ABATTONS[74] - [10] - [14] - [76] !

Selon François-Alexandre Aubert de La Chenaye-Desbois et Nicolas Viton de Saint-Allais, « la croix vient du temps des Croisades.[77] - [78] »

Armes d'Antoine-ÉlĂ©onor-LĂ©on, comte Leclerc de JuignĂ© et de l'Empire

D'argent Ă  la croix engrelĂ©e de gueules cantonnĂ©e de quatre coqs Ă  ailes ouvertes de sable becquĂ©s et onglĂ©s de gueules ; quartier des comtes-archevĂȘques brochant sur le tout.[79] - [80]

Titres

La seigneurie de Juigné, au Maine, possédée par cette maison depuis le XIVe siÚcle, unie à la chùtellenie de Champagne-Homet, fut érigé, en baronnie, par lettres de l'an 1647, registrées au bureau des finances à Tours, et en la sénéchaussée les 28 juin et [1], en faveur de Georges Le Clerc, seigneur de Juigné et de Champagne. « Par l'ordonnance royale qui assigne le rang et la qualité de chaque pair, la branche de cette maison, qui est en possession de la pairie, a le titre légal de marquis. Les autres branches ont dans les actes publics et brevets de nos rois le titre de comte de Juigné[76] ».

Au Maine[3]
En Anjou[3]
  • Sgrs de SaultrĂ© et La Roche-Joulain (Ă  Feneu), barons de SaultrĂ© (1617[3]),
  • Sgrs de Noyant (Ă  Soulaire),
  • Sgrs de Feneu, Sceaux, Grez-Neuville, Lasse, des Roches et de Genetay (Ă  Morannes),
  • Sgrs de Saint-Martin-de-CandĂ©, La Mothe-d'ArthezĂ© (Ă  ArthezĂ©)
  • Sgrs de ChampagnĂ© (Ă  Saint-Loup),
  • Sgrs des Aulnays (1609[49] - [82]) ;
  • etc. ;
En Bretagne[10]
Dans les Marches[10]
En Poitou
  • Barons de La Lande (1633) : dot d'Elisabeth des Nouhes ;
Titres obtenus par Jacques Gabriel Louis Le Clerc de Juigné
Titres obtenus par Antoine-ÉlĂ©onor-LĂ©on Leclerc de JuignĂ©
Pairs de France[75] (membres de la Chambre des pairs) au XIXe siĂšcle (1815-1830)

ChĂąteaux & hĂŽtels

Autres seigneuries & terres

Carte manuscrite ancienne du lac, portant de nombreuses indications de noms de lieux.
Cartographie Cassini du lac de Grand-Lieu et ses environs (1783-1786).

Notes et références

  1. Lainé 1818, p. 194.
  2. Fourmont 1867, p. 126.
  3. Fingonnet 2004.
  4. Fourmont 1867, p. 124.
  5. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 120.
  6. Viton de Saint Allais 1817, p. 111.
  7. Viton de Saint Allais 1817, p. 112.
  8. Cartulaire de l'abbaye Saint-Aubin d'Angers, Hist. de Sablé, par Ménage, p. 5, in-folio.
  9. Fourmont 1867, p. 123.
  10. Potier de Courcy 1890, p. 257.
  11. Fourmont 1867, p. 125.
  12. Frey 2012, p. Touvois.
  13. La Roque & Barthélemy 1866, p. 47.
  14. MĂ©moires 1866, p. 542.
  15. Viton de Saint Allais 1817, p. 114.
  16. Viton de Saint Allais 1817, p. 79.
  17. Viton de Saint Allais 1817, p. 80.
  18. Courcelles 1826, p. 181.
  19. « Cote LH/1531/25 », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
  20. Viton de Saint Allais 1817, p. 122.
  21. « Cote LH/1531/29 », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
  22. Della Sudda 2012.
  23. Notice no 50350113077, base Joconde, ministÚre français de la Culture.
  24. Notice no 50350113079, base Joconde, ministÚre français de la Culture.
  25. Testa le .
  26. Viton de Saint Allais 1817, p. 77.
  27. Annales d'Anjou, par Bourdigné
  28. Anne de Mellay était la fille aßnée de Guillaume de Mellay, écuyer, seigneur de Verdelles, et de Marie du Chastelet et de Bernay
  29. Fille de François d'Auteville, Louise d'Auteville était, selon Viton de Saint-Allais, « d'illustre maison, descendante de Rollon, premier duc de Normandie, issu du sang des rois de Danemarck ». Néanmoins, s'il s'agit d'une branche de la puissante famille de ce nom, rois de Sicile, etc, il nous manque environ six générations pour les relier....
    Le fief de Hauteville en question ici (dont les ruines du chùteau se dressent tristement, ayant été incendié accidentellement en 1922) est situé à Charchigné (Mayenne)... loin du fief des normands futurs régnants en Sicile...
  30. RenĂ©e de Champagne Ă©tait la fille de Pierre III (1480-1529), seigneur de Champagne, de Pescheseul, du Bailleul, de La Mothe-Achard, de ParcĂ© et d'Avoise, baron du Maine, conseiller d'État, ambassadeur extraordinaire en Angleterre, chambellan et de Anne de FromentiĂšres, dame de Beaumont-la-Ronce († 1540).
  31. Viton de Saint Allais 1817, p. 78.
  32. Madelaine Affagard Ă©tait d’une ancienne famille noble, fille de Greffin Affagard (ca 1490-ca 1557), seigneur de Courteilles, et de Françoise AuvĂ©, dame de Loisail. Elle se remaria, le Ă  ColombiĂšres, avec Antoine de Lenfernat (ca 1535-1606), seigneur de Villiers-Au-Perche, dont postĂ©ritĂ©.
  33. Georges Le Clerc avait épousé, le , Elisabeth des Noues (° - Saumur), laquelle lui apporta en dot la [baronnie] de La Lande en Poitou. Elle était la fille de Jacques des Noues, marquis de La TabariÚre, baron de Sainte-Hermine, et d'Anne de Mornay, fille du célÚbre Duplessis-Mornay, et de Charlotte Arbaleste (des vicomtes de Melun).
  34. Henriette était la fille de Gabriel de La Lande de Machecoul (1601-1660), seigneur de Vieillevigne (Loire-Atlantique), et de RocheserviÚre et de Renée d'Avaugour (1605-1672), dame de Kergroix et du Bois-Rouaud
  35. Louise-Henriette de Crux Ă©tait la fille d’Antoine de Crux, chevalier, marquis de Corboyer, et de Louise (de La Lande) de Machecoul
  36. Marie-Gabrielle Le Cirier de Neufchelles Ă©tait la fille LĂ©on Le Cirier († 1733), maquis de Neufchelles, seigneur d'HĂ©nonville, marĂ©chal des camps et armĂ©es du Roy, gouverneur de Sainte-Menehould, lieutenant des gardes du corps du roi, chevalier de Saint-Louismarquis de Neufchelles, et de Marie-Louise Le Menestrel de Hauguel.
  37. Emprisonné à la Bastille comme huguenot puis transféré à Angers en 1687, Philippe Le Clerc de Juigné fut expulsé de la France.
    Tout nous porte Ă  croire qu'il est le mĂȘme que l'auteur de la DĂ©fense du parlement d'Angleterre dans la cause de Jacques II, oĂč il est traitĂ© de la puissance des rois et du droit des peuples par les anciens concils et par les sentimens des sages et des savans, particulairement de l'Église romaine ; et enfin par des raisons tirĂ©es du droit de la nature et des gens, auxquelles ont fait voir que l'Écriture sainte s'accorde parfaitement bien, loin d'y ĂȘtre contraire. DĂ©diĂ© aux États-GĂ©nĂ©raux de Hollande par de Vrigny, petit-fils de Duplessis-Mornay et rĂ©fugiĂ© en Hollande. Rott. A.Archer, 1692, in 12.
  38. Georges Le Clerc de JuignĂ© fut emprisonnĂ© plus de huit mois au For-l'ÉvĂȘque pour cause de religion. Savant et pieux, il confondit tous les convertisseurs qu'on lui envoya... Les incommoditĂ©s de sa prison lui donnĂšrent, en 1686, une dysenterie dont il moutut en six semaines.
  39. Anne de Maillé était la fille de Jacques II de Maillé et de Marie de Villebresmes de FougÚres.
    Jacques II de MaillĂ© († ExĂ©cutĂ© en 1589 : massacrĂ© par les protestants aprĂšs la prise de VendĂŽme), seigneur de BĂ©nĂ©hart, de ChampagnĂ©, de La Novaraye, et autres lieux, lieutenant gĂ©nĂ©ral en Bretagne, gouverneur du VendĂŽmois pour la Ligue catholique.
    Jacques MaillĂ©, seigneur de BĂ©nĂ©hart, est connu sous le nom de MaillĂ©-BĂ©nĂ©hart, gouverneur de VendĂŽme de 1584 Ă  1589. Il Ă©tait gouverneur au moment oĂč le roi Henri IV vint mettre le siĂšge devant VendĂŽme en novembre 1589. Il dut subir les injonctions des habitants qui fanatisĂ©s par les prĂ©dications du PĂšre ChessĂ©, cordelier, refusĂšrent de livrer leur ville Ă  un prince Huguenot, pourtant possesseur lui-mĂȘme de la ville et du duchĂ© de VendĂŽme qui constituaient son propre hĂ©ritage paternel. Il se dĂ©termina donc, probablement Ă  contre cƓur, Ă  soutenir un siĂšge sans espoir, contre une armĂ©e aguerrie et n'ayant Ă  lui opposer que 400 hommes de troupes, plus environ 800 bourgeois plus ou moins armĂ©s, mais pleins d'ardeur fanatique. MaillĂ© rĂ©sista le plus longtemps qu'il put en se retranchant dans sa maison de la place du MarchĂ© et finalement fut pris et dĂ©capitĂ©. Sa tĂȘte et celle du PĂšre ChessĂ© furent placĂ©es sur une corniche surmontant, Ă  l'intĂ©rieur, la porte principale de l'Ă©glise Saint-Martin. Elles restĂšrent lĂ  environ 250 ans. Au XIXe siĂšcle, ses crĂąnes dĂ©nudĂ©s furent transportĂ©s Ă  l'HĂŽtel de Ville oĂč ils ornĂšrent le cabinet du Maire, puis enfin furent dĂ©posĂ©s au musĂ©e. Portrait de Jacques de MaillĂ©-BĂ©nĂ©hart, reprĂ©sentĂ© en buste de profil, richement vĂȘtu.
    Source Notice no M0277000419, base Joconde, ministÚre français de la Culture.
  40. Louise de Bastard se remaria avec Gervais Chabot
  41. « Cote LH/1531/27 », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
  42. Pierrelée Allocution.
  43. Décret du , décorée de la main du maréchal Pétain le dans une « réunion de famille »). « Cote 19800035/118/14943 », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
  44. Antoinette Louise de Durfort(-Deyme) (° 1779) Ă©tait la fille d'Étienne Narcisse, comte de Durfort (1753-1837), laquelle Ă©tait veuve d'AndrĂ© Hector de Galard de Brassac de BĂ©arn (1778-1806).
    Source
    Hyacinthe-D. de Fourmont, L'Ouest aux croisades, impr. de la Vve Forest, (lire en ligne), p. 123-126 « Le Clerc de Juigné ».
  45. IrĂšne Ranfer (1806-1888) Ă©tait la fille de Simon Pierre Bernard Ranfer (1766-1841), baron de BreteniĂšres, conseiller d'État, premier prĂ©sident de la cour royale, dont
  46. Andrée Louise Aimée de Thiboutot de Montgommery (° 1782) était la fille de Jean Léon de Thiboutot (° 1734), comte de Montgommery
  47. « Cote LH/1531/26 », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
  48. Henriette marquis de Civrac († 1881) Ă©tait la fille d'Alexandre Émeric de Durfort-Civrac (1770-1835), marquis de Civrac, colonel, dĂ©putĂ© de Maine-et-Loire puis Pair de France, chevalier de la LĂ©gion d'honneur et de Saint-Louis
  49. Port 1878, p. 158.
  50. Le 14 octobre 1624, René Le Clerc rendit aveu à Christophe Fouquet, seigneur de Challain pour sa « maison seigneuriale des Aulnays, composée de chapelle, fuie et granges, écuries, portail avec pont-levis, tours avec canonniÚres à flanc, droit de forteresse, jardins ; le tout entouré à circuit de grandes douves, larges et creuses, pleines d'eau, avec droit de pont-levis, contenant ensemble par fonds six boisselées de terre environ ».
  51. Viton de Saint Allais 1817, p. 76.
  52. Par contrat de mariage passé devant Me Guyet, notaire, à Paris.
  53. Renée Meslet était la fille de « noble homme » Jean Meslet, seigneur de La Besserie et de Mondonnay, et de défunte Anne le Masson
  54. Contrat passé devant Me Boucher, notaire à Paris.
  55. Jeanne Fournier Ă©tait la fille de noble homme Jean Fournier, Ă©cuyer, seigneur de La GrueriniĂšre et de La VardouliĂšre et de Marguerite de Saint-Denis.
  56. Par contrat de mariage passé devant Mes mberi et Arragon, notaires à Paris.
  57. Marguerite Louchard Ă©tait la fille de messire Claude Louchard et de Marguerite de Creil
  58. Par contrat passé à Toulon, notaire Cogorde.
  59. Marie de Villeneuve Ă©tait la fille de messire Hercule de Villeneuve, seigneur de La Roque, baron des Arcs, et de dame Marguerite d'AlĂšgre.
  60. Ondoyé le , tenu sur les fonts baptismaux, le 16 juillet 1659, par messire Jean de Forbin, marquis de Solliers, et dame Marguerite de Broves.
  61. Par contrat du 2 juin 1678, notaire Haguenier.
  62. Michelle Robert Ă©tait la fille de messire Claude Robert et de dame Bernarde de Rebourg.
  63. Par contrat du 11 juin 1713, notaire Aubain aux Arcs.
  64. Par contrat du 12 mars 1750, notaire Digne Ă  Bargemont.
  65. Marie Anne de Villeneuve-Bargemont (Bargemon, - Lorgues, ) Ă©tait la fille de messire Joseph de Villeneuve (1675-1752), baron de Bargemon et de Vauclause, etc., page de la petite Ă©curie, lieutenant dans le rĂ©giment de la marine (1693), mousquetaire, procureur d'Aix-en-Provence, et de dame Élisabeth de Flotte d'Agoult (1687-1762), dame de Saint Auban.
  66. Ordonnance royale du 4 février 1818.
  67. Claire-Charlotte de Gasquet (1777-1854), dame pour accompagner la dauphine Marie-ThérÚse de Bourbon (1815-1851) était la fille de Jean-Bernard de Gasquet, seigneur de l'Esquivit, capitaine de vaisseau, chevalier de Saint-Louis, et de dame Louise-Charlotte Mariany
  68. Par contrat signé du roi et de la famille royale.
  69. Contrat passé devant les notaires d'Estrochy et Contenot, à Paris
  70. Par contrat de mariage passé devant François Herbin, et Claude Vour, notaire au Chùtelet de Paris.
  71. Lalanne 1872, p. 919.
  72. Il fit son testament, le 14 février 1654, chez notaire Garsin, à Entrevaux, en faveur de messire Louis Le Clerc, seigneur de Lassigny, son neveu.
  73. Rietstap 1884.
  74. Courcelles 1826, p. 183.
  75. Velde 2005.
  76. Lainé 1818, p. 195.
  77. De La Chesnaye Des Bois 1778, p. 872.
  78. Viton de Saint Allais 1817, p. 123.
  79. Archives nationales 2012.
  80. Révérend 1896, p. 74.
  81. Borel d'Hauterive 1849, p. 296.
  82. Halbert 2012, p. Leclerc.
  83. « Canton de Montaigu » [PDF], sur montaiguvendee.fr (consulté le ).
  84. Bisaïeul du « Tigre ».
  85. [PDF]Sylvie Yavchitz-Koehler, « La Sous-préfecture de Montaigu », sur montaiguvendee.fr (consulté le ).
  86. « DĂ©crouvrir - Terres de
 - Terres d'Histoire - Patrimoine civil », sur www.terresdemontaigu.fr, communautĂ© de communes Terres-de-Montaigu (consultĂ© le ).
  87. En 1844, Jacques Leclerc, marquis de Juigné, vendit le chùteau de Montaigu et ses dépendances à la municipalité
    Source
    « Le chùteau de Montaigu », Chùteaux en Vendée, sur www.vendee1.eu (consulté le ).
  88. Frey 2012, p. Vieillevigne.
  89. Notice no PA00109779, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
  90. Notice no IA00058466, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.

Annexes

Articles connexes

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