Bours (Pas-de-Calais)
Bours [buʁ] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Bours | |||||
Le donjon, classé monument historique. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Beaucamp 2020-2026 |
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Code postal | 62550 | ||||
Code commune | 62166 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Boursicotiers | ||||
Population municipale |
612 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 27′ 19″ nord, 2° 24′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 83 m Max. 184 m |
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Superficie | 11,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Auchel - Lillers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
Législatives | 6e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ses habitants sont appelés les Boursicotiers.
La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Bours se situe à environ, 5 km de Pernes, 12 km de Saint-Pol-sur-Ternoise, 33 km d'Arras et à 54 km de la côte par Berck.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Ferté, cours d'eau naturel non navigable de 5 km, qui prend sa source dans la commune de Valhuon et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Pernes[1]. La Ferté a deux affluents, qui prennent leur source dans la commune de Bours : le Marest[2] et le Baloche[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé de type 3 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[4].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Urbanisme
Typologie
Bours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [5] - [6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auchel - Lillers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), prairies (18,4 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), forêts (4,7 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Voies de communication
La commune est desservie par la route départementale D 89 et la D 916 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Lillers[12].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 4 km de la gare de Pernes - Camblain, située sur la ligne de Fives à Abbeville, desservie par des trains TER Hauts-de-France[13].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Bruz (1154), Bors et Burs (1190), Bours (1370), Bours-les-Pernes (1613), Bours-Gricourt (1720), Bour (XVIIIe siècle), Bielonne (1281), Beloone (1282), Biélone (1296), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554), Camières (1554)[14], Bours depuis 1793 et 1801[15].
Bors en flamand.
Histoire
En 1243, Guillaume de Hameles est bailli de Fauquembergues et vassal de Bours. Il cède la dîme de Moulle au chapitre de chanoines de Thérouanne[16].
La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Noyelles-les-Pernes[15].
Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes françaises stationnent sur Bours, située en arrière du front de l'Artois, par exemple en avril 1915[17].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[18] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[19]. À l'initiative des intercommunalités concernées[20], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[21] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [22] - [23].
La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [24].
Circonscriptions administratives
La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Équipements municipaux
En octobre 2014, la mairie, qui occupait jusqu'alors des locaux dans le donjon de Bours, a été réinstallée dans l'ancien presbytère en face de la famille héritière du roi et leur demeure somptueuse [29].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[30].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Boursicotiers[31].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2020, la commune comptait 612 habitants[Note 5], en augmentation de 1,49 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 318 hommes pour 299 femmes, soit un taux de 51,54 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
- Lors des Journées européennes du patrimoine, les environs du donjon accueillirent à nouveau[37] en 2010 une animation particulière : un vide-greniers sur la place Centrale, mais surtout le campement médiéval de la « Compagnie des Arbalétriers flamands ». En 2011 et 2015, cette animation a été assurée par la Ghilde des Sangliers du Ferrain, basée à Tourcoing[38] - [39] - [40].
- le Les Bours Six Côtes, trail de 8 km, 12 km, 18 km, 24 km organisé par le footing-club de Bours, qui a lieu chaque année le jour de l'Ascension[41] et dont la 8e édition a lieu le [42].
Loisirs
La discothèque, le Kes West, est située au bord de la commune. Elle compte une autre discothèque, le Versus qui a ouvert ses portes en 2016[43].
Culture locale et patrimoine
Monument historique
- Le donjon de Bours : édifiée vers la fin du XIVe siècle, cette maison-forte en pierre de grès fut incendiée en 1537 et 1543 et est classé au titre des monuments historiques depuis le [44].
- Maintes fois restauré, et habité jusqu'en 1735, le donjon était en très mauvais état, jusqu'en 1982, date à laquelle la municipalité décide de son rachat pour y installer la mairie (jusqu'en 2014) et entreprendre une complète restauration[45] - [46] - [47] - [48].
- Une nouvelle campagne de restauration est menée à partir de 2015 par l'intercommunalité[49] - [50]. Le projet comprend la restauration intérieure du donjon, ainsi qu'un aménagement paysager et la création d’un double accès permettant de créer une allée circulaire et de rendre accessible le monument à tous publics sur deux niveaux. Le coût prévisionnel est de 1 797 600 € dont une recette de 880 000 € du Fonds européen de développement régional (FEDR)[51].
Autres lieux et monuments
- L'église Sainte-Austreberthe, dont la nef à quatre travées date du XIIIe siècle, les parties basses du chœur du XIe siècle et les parties hautes ont été reconstruites en style gothique flamboyant. Les bas-côtés ont été refaits au XVIIe siècle et probablement au XIXe siècle. Le portail sud semble appartenir à la 2e moitié du XIIIe siècle, sauf les tympans et fronton datés de 1665. Le clocher porte le millésime 1586[52].
- Le monument aux morts[53].
- L'église entourée du cimetière.
- Le portail.
- La nef.
Héraldique
Blason | De gueules à la bande de vair[54]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Bours », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Bours » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - la Ferté (E3641250 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Marest (E3641260 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Baloche (E3640710 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auchel - Lillers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Pernes - Camblain », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 65.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1243.
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
- n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques - « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Aline Chartrel, « Bours : «Des projets de sécurité routière ont été abordés» : Depuis six mois qu’elle a été réinvestie dans ses fonctions de maire, Bernadette Noé et son équipe ne se tournent pas les pouces. Quelques travaux de voirie ont été entrepris, et les chantiers devraient se multiplier d’ici la fin de l’année. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Charles Demey, « À Bours, la nouvelle mairie inaugurée en grande pompe : C’était l’effervescence vendredi soir dans la commune de 600 habitants. Bours inaugurait sa nouvelle mairie flambant neuve, en présence de personnalités politiques et de nombreux Boursicotiers », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bours (62166) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Photos de l'édition 2007 de la fête médiévale
- Programme officiel 2010 des Journées européennes du Patrimoine
- Site de la Compagnie médiévale des Arbalétriers flamands
- « Bours : un grand succès pour la 3e édition de «La nuit au donjon» », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Les Bours Six Côtes 2017 seront stabilisées à huit cents coureurs : Le trail des Bours Six Côtes est vite arrivé sur le tapis, lors de la dernière réunion des adhérents du footing-club. L’événement, qui jouit d’une excellente réputation, reviendra en force dès l’an prochain… », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Les Bours six côtes », Site officiel de l'association, (consulté le ).
- « Même boss, autre clientèle : le Versus, voisin du Kes West, ouvre samedi à Bours : Il aurait pu s’appeler La Suite – patronyme après coup trop usité selon son géniteur – ou L’Icône. Ce sera finalement Le Versus. Samedi, le nouveau club voisin du Kes West, mais totalement indépendant, ouvrira ses portes à son cœur de cible : les 25-55 ans. Une annonce exclusive de « La Voix du Nord », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Le donjon », notice no PA00108236, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Site de l'association C.R.A.H.G.
- Site Normag.fr
- Autre site de l'association locale
- Page spécifique du site de l'Office de tourisme
- « Le donjon de Bours retrouve ses couleurs d’origine : Autre chantier phare du Pernois, celui du donjon de Bours, dont la com de com est le maître d’ouvrage. La première tranche des travaux de restauration, entamée en septembre, sera achevée dans cinq mois », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Aline Chartrel, « La restauration du donjon de Bours ne met pas tout le monde d’accord : Il a fallu voter le nouveau financement des travaux au donjon la semaine dernière en conseil communautaire, dont les travaux ont été revus à la hausse. Certains élus, à Floringhem et à Pernes, décrochent (encore). Les investissements ont néanmoins été adoptés à la majorité », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- Ch. D., « Le site est «endormi» avant le lancement de gros chantiers », L'Abeille de la Ternoise, nos 8573-1622, , p. 30.
- « L'église », Cercle de recherches archéologiques, historiques et généalogiques (CRAHG) de Bours, (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).