AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Brias

Brias (Bryas avant 1997) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Brias
Brias
La mairie.
Blason de Brias
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
CĂ©dric Demoulin
2020-2026
Code postal 62130
Code commune 62180
DĂ©mographie
Gentilé Briasois
Population
municipale
293 hab. (2020 en diminution de 7,86 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 38 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 24â€Č 34″ nord, 2° 22â€Č 56″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 166 m
Superficie 7,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
LĂ©gislatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Brias
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Brias
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Brias
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Brias

    Ses habitants sont appelés les Briasois.

    La commune fait partie de la communautĂ© de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est limitrophe au sud-ouest de Saint-Pol-sur-Ternoise (chef-lieu de canton).

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique semi continental de type 2 »[Note 1] , selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 868 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,7 j

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le bois de Saint-Michel-sur-Ternoise. Cette ZNIEFF est occupĂ©e dans sa partie centrale par un massif forestier typique des bois artĂ©siens avec hĂȘtraie, Ă©rablaie et frĂȘnaie[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Brias est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (96,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), prairies (7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,8 %), zones urbanisĂ©es (4,9 %), forĂȘts (3,6 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[9].

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 916, reliant Hazebrouck à Doullens, et D 930 reliant Bruay-la-BuissiÚre à Saint-Pol-sur-Ternoise[10].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve Ă  km de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise, situĂ©e sur les lignes de Lille-Flandres Ă  Saint-Pol-sur-Ternoise, d'Arras Ă  Saint-Pol-sur-Ternoise et de Saint-Pol-sur-Ternoise Ă  Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[11].

    La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.

    Énergie

    Deux Ă©oliennes d'une hauteur de 120 m sont installĂ©es Ă  la limite avec Valhuon.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Briastrum (1096), Briast (1190), Bria (1246), Briias (1250), Briastre (1352), Bryach (1528), Briat-Britel (1720)[12], Bryas (1793 et 1801) et Brias depuis 1997[13].

    Toponyme évoquant une hauteur, pluriel du gaulois -briga « mont , forteresse ».

    Histoire

    L'ancienne gare.

    Brias fut fondée en 1212 par Gilles de la Tourette alias « Croix de vie »[Note 6].

    Brias est le berceau de la famille de Bryas, qui gardera cette terre en seigneurie et fut également connue au Cateau-en-Cambrésis. Le 30 mai 1649, la terre de Brias est érigée en comté (titre de comte), en faveur de Charles de Brias[14].

    La commune fut le terminus de la ligne de Bully - Grenay à Brias, principalement affectée au transport du charbon, qui a été déclarée d'utilité publique en 1876, et a perdu son trafic passagers dans les années 1950. Le fret a cessé toute activité en 1990[15].

    Pendant la PremiÚre Guerre mondiale, Brias est à l'arriÚre du front qui se situe vers Arras. Des troupes retirées de la premiÚre ligne viennent séjourner parfois dans les villages de l'arriÚre. C'est le cas pour Brias en novembre 1914[16] ou encore en avril 1915[17].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Pol de 1801 à 1925, puis, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[13].

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[18] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmÚtres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[19]. À l'initiative des intercommunalitĂ©s concernĂ©es[20], la Commission dĂ©partementale de coopĂ©ration intercommunale (CDCI) adopte le 26 fĂ©vrier 2016 le principe de la fusion de :

    La communautĂ© de communes du Ternois, qui rĂ©sulte de cette fusion et dont la commune fait dĂ©sormais partie, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral qui a pris effet le [24].

    Circonscriptions administratives

    La commune fait partie depuis 1801 du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifié et regroupe désormais 88 communes, dont Brias.

    Circonscriptions Ă©lectorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la premiÚre circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1995 Paul-Henri Clay[26]
    1995 2008 Noël Brodel
    2008 2020 Régis Mehl DVG Retraité[27]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020[28] - [29]
    3 juillet 2020 En cours
    (au 3 février 2020)
    CĂ©dric Demoulin Agriculteur[30] - [31]

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[32].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Briasois[33].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[35].

    En 2020, la commune comptait 293 habitants[Note 7], en diminution de 7,86 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    302306345323364315344338318
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    334356361366407410385393386
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    391405406397356366363316337
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    315269264278264235281318292
    2020 - - - - - - - -
    293--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  38,0 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 20,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 144 hommes pour 147 femmes, soit un taux de 50,52 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,4
    90 ou +
    2,0
    2,1
    75-89 ans
    3,4
    13,9
    60-74 ans
    17,6
    18,7
    45-59 ans
    16,2
    23,6
    30-44 ans
    25,0
    11,8
    15-29 ans
    20,3
    28,5
    0-14 ans
    15,5
    Pyramide des ùges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Manifestations culturelles et festivités

    Une brocante est organisĂ©e par l’association Brias Loisirs. la 8e Ă©dition a eu lieu le [39]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La façade du chùteau.
    CitĂ©e dĂšs le Haut Moyen Âge, la famille de Bryas a possĂ©dĂ© la terre sans interruption. Le chĂąteau primitif s’élevait prĂšs de l’actuelle chapelle funĂ©raire. DĂ©truit sur l’ordre d’Henri II, lorsque l’Artois Ă©tait espagnol, il fut reconstruit par la suite sur le mĂȘme emplacement.
    À la fin de l’Ancien RĂ©gime, le comte de Bryas dĂ©cida la construction du chĂąteau actuel sur des plans grandioses et dans un style qui rappelle la maniĂšre de Contant d’lvry. Les gros murs n’étaient pas achevĂ©s quand la RĂ©volution interrompit les travaux, qui ne furent repris que sous l’Empire, et terminĂ©s en 1820.
    SituĂ© en 1914-18 Ă  proximitĂ© du front, le chĂąteau abrita le quartier gĂ©nĂ©ral du marĂ©chal Foch pendant la bataille d’Artois[40]. Y vinrent Ă©galement le roi Albert Ier, le roi George V et les rois de Serbie et de MontĂ©nĂ©gro.
    En 1940-1944, c’est Hermann Göring qui vint inspecter le centre de la Luftwaffe installĂ© dans le chĂąteau. Les installations ont Ă©tĂ© bombardĂ©es par l'aviation amĂ©ricaine, notamment le 17 aoĂ»t 1943[41].Le parc est encore encombrĂ© de nombreux abris bĂ©tonnĂ©s construits Ă  cette Ă©poque, et quasiment indestructibles.
    L'église et, dressé dans l'axe de son portail, le monument aux morts.
    L'église Saint-Martin a été rebùtie en 1883 à l'emplacement de l'ancien chùteau, détruit pendant la Révolution française, dans le style ogival par l'architecte Edmond Duthoit. Cette relative jeunesse explique son style sensiblement différent de ce que l'on peut rencontrer dans la région. Cette église fut la chapelle du Comte de Brias et a été cédée à la commune en 2011 par la fille du dernier comte de Bryas[42]

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Brias Blason
    D'argent Ă  la fasce de sable, surmontĂ©e de trois cormorans du mĂȘme, becquĂ©s et membrĂ©s de gueules, rangĂ©s en fasce[44].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat semi-continental de type 2 fait transition entre les climats de montagne et, au nord, le type 3, au sud-ouest, le type 4, au sud-est, le type 8. Il regroupe les pĂ©riphĂ©ries montagnardes et s'Ă©tend sur de vastes secteurs en Bourgogne, Lorraine et Alsace oĂč les tempĂ©ratures sont moins froides qu'en montagne (elles sont cependant, Ă  altitude Ă©gale, plus froides que partout ailleurs), les prĂ©cipitations lĂ©gĂšrement plus faibles et moins frĂ©quentes, mais la variabilitĂ© climatique sur la normale 1971-2000 tout aussi Ă©levĂ©e. Le faible rapport entre les prĂ©cipitations d’automne et d’étĂ© est une autre caractĂ©ristique de ce type(Source : CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Ce Gilles de la Tourette, du XIIIe, n'a rien Ă  voir avec la « Maladie de Gilles de La Tourette », un syndrome trĂšs spĂ©cifique appelĂ© trouble obsessionnel compulsif (ou T.O.C.) qui ne sera dĂ©crit qu'en 1885 par un spĂ©cialiste du mĂȘme nom, Gilles de La Tourette (peut-ĂȘtre un lointain descendant).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « ZNIEFF 310030047 - Bois de Saint-Michel-sur-Ternoise », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    10. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
    11. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
    12. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 74.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    14. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 281, lire en ligne.
    15. Christine Cerdeiro, « Le train repassera-t-il un jour par le Bruaysis ? », sur lavenirdelartois.fr, L'Avenir de l'Artois, .
    16. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
    17. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
    18. no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    19. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    20. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est dĂ©jĂ  sur de bons rails : C’est l’actualitĂ© du moment : dans la plupart des communautĂ©s de communes, les Ă©lus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige Ă  fusionner pour crĂ©er des intercommunalitĂ©s de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, RĂ©gion de FrĂ©vent) font office de trĂšs bon Ă©lĂšve et en sont dĂ©jĂ  Ă  discuter des modalitĂ©s de l’« aprĂšs-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    21. Les populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hÎpitaux, couvents, prisons
). Dans les tableaux de population présents dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnées que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres donnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    22. « ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 30 mars 2017 portant schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, PrĂ©fecture du Pas-de-Calais (consultĂ© le ).
    23. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    24. « ArrĂȘtĂ© interprĂ©fectoral du 30 aoĂ»t 2016 portant crĂ©ation d'une communautĂ© de communes issue de la fusion des communautĂ©s de communes de l'Auxilois, de la rĂ©gion de FrĂ©vent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la PrĂ©fecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
    25. « Les maires de Brias », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    26. « Brias : Paul-Henri Clay veille une bonne fois pour toutes sur la salle des fĂȘtes : La salle des fĂȘtes de Brias porte dĂ©sormais le nom de l’ancien maire de la commune, Paul-Henri Clay. Une plaque a ainsi Ă©tĂ© dĂ©voilĂ© samedi matin devant un nombreux parterre d’élus et d’habitants. L’occasion de rendre hommage Ă  l’ancien magistrat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    27. « Résultats municipales 2020 à Brias », sur Le Monde.fr (consulté le ).
    28. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    29. Quentin Pourbaix, « Une mandature sous le signe des Ă©conomies d’énergies Ă  Brias : Suite de nos entretiens avec les maires du Ternois. Rencontre avec le maire de Brias, 318 habitants. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
    32. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    33. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brias (62180) », (consultĂ© le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
    39. « Joli succĂšs pour la 8e Ă©dition », L'Abeille de la Ternoise, nos 8589-1638,‎ , p. 22.
    40. « L'aérodrome Allemand de Brias (Pas de calais) » (consulté le ).
    41. « http://i76.servimg.com/u/f76/16/96/78/60/bryas_10.jpg », sur i76.servimg.com (consulté le ).
    42. « L'arriÚre-petite-fille de la comtesse de Bryas a cédé l'église à la commune » (consulté le ).
    43. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    44. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.