Corsept
Corsept [kɔʁsɛ] est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Corsept | |||||
Église Saint-Martin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Saint-Nazaire | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Estuaire | ||||
Maire Mandat |
Hervé Gentes 2020-2026 |
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Code postal | 44560 | ||||
Code commune | 44046 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Corseptins | ||||
Population municipale |
2 658 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 113 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 16′ 42″ nord, 2° 03′ 28″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 26 m |
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Superficie | 23,62 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Nazaire (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Brevin-les-Pins | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.corsept.fr/ | ||||
La commune fait partie du pays de Retz.
Corsept compte 2 707 habitants au recensement de 2014. Ses habitants s'appellent les Corseptins.
Géographie
Corsept est située sur la rive sud de l'estuaire de la Loire, à 19 km au sud-est de Saint-Nazaire et 50 km à l'ouest de Nantes.
Les communes limitrophes sont Saint-Brevin-les-Pins, Saint-Père-en-Retz et Paimbœuf.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,3 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Corsept est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [12] - [13] - [14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15] - [16].
La commune, bordée par l'estuaire de la Loire, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (25 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones humides côtières (20,5 %), prairies (19,3 %), eaux maritimes (8,6 %), zones urbanisées (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Corsuito au XIIe siècle, Corseth en 1142, Corset en 1654[22].
Il s'agit peut-être d'un dérivé du vieux breton cors « roseau, marais » suivi du suffixe -etum [?][23], suffixe gallo-roman qui désigne un ensemble de végétaux appartenant à la même espèce (cf. suffixe français -aie : chênaie, etc.).
La forme ancienne Corseth évoque le breton moderne korzid « roselière ». L’avantage de cette hypothèse est de correspondre à la réalité du terrain, riche en marais et roseraies, cependant dans Corsuit, le radical est plutôt Corsu- et il existe dans la toponymie française plusieurs occurrences similaires : Corset à Naintré, Corset à Retournac, etc. Une autre explication ne peut donc pas être du tout écartée.
Korzed en breton[22].
Corsept possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Corsèt (écriture ELG et MOGA), prononcé [kɔr.sɛ][24] - [25].
Histoire
La seigneurie appartient en 1040 à Raoul de Corsept. Un oratoire est mentionné sur l'île Saint-Nicolas-des-Défunts (Saint-Nicolas-du-Corsept) en 1137. Ce lieu est tenu par les moines de l'abbaye de Tiron (fondée par saint Bernard de Ponthieu vers 1109) jusqu'au XVIIe siècle.
Le siège de la juridiction, après avoir été au logis de la Cour, à la sortie du bourg, se tient par la suite au Plessis-la-Guesne (ou Guesche), où se trouvaient jadis l'auditoire et la prison.
Les acquéreurs de ce domaine national sont à partir du début du XIXe siècle les familles Museau, Lucas, Ramet, Audureau (tous marchands de Paimbœuf).
Plus tard, le négociant Sallentin réunit le Plessis à ses vastes propriétés.
Le site de Corsept étant abandonné, Louis XVIII acquiert celui-ci pour y installer un lazaret qui finalement sera installé à Saint-Brevin-les-Pins.
Comme ses voisines de l'arrière pays nazairien, Corsept s'est trouvée prise à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans la Poche de Saint-Nazaire, ce qui lui valut une prolongation de l'Occupation allemande de 9 mois de plus que le reste de la région nantaise (d' au ).
Politique et administration
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Corsept est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie de Saint-Père-en-Retz. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[28]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 6 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires », 89 % dans des zones « peu denses » et 5 % dans des zones « très peu denses »[29].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2020, la commune comptait 2 658 habitants[Note 6], en diminution de 1,81 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,6 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 357 hommes pour 1 294 femmes, soit un taux de 51,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Patrimoine et culture locale
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin[36].
- « Le Pasquiaud », en bordure de Loire dans l'estuaire, vis-à-vis de Donges, fut une des habitations du peintre paysagiste nantais Charles Le Roux (1814-1895). Son épouse Marie Euphémie Affilé reçut ce domaine en 1848, des mains de son grand-père négociant à Paimbœuf. Le couple y recevait les amis peintres : Théodore Rousseau, Gustave Doré, Louis Cabat, Jean-Baptiste Corot (les bouquets, redécouverts en 1984[37], peints sur les murs du salon lui sont attribués) etc. Charles Le Roux avait son atelier dans un moulin voisin : le moulin Perret. On peut voir au musée d'Orsay le tableau Prairie et marais de Corsept à l'embouchure de la Loire au mois d'Août présenté au Salon de 1859[38].
- Les mégalithes : « Pierre-Bonde », « le Menhir des Cassis »[39] ainsi que « les Pierres Blanches »[40].
- Menhir de Pierre-Bonde.
- Menhir de Pierre-Bonde.
- Menhir des Cassis.
- Menhir des Cassis.
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé : aux premier et au quatrième, d'azur à sept cœurs d'or, ordonnés 3, 2, 1 et 1 dans le premier quartier et 1, 1, 2 et 3 dans le quatrième ; aux deuxième et au troisième, d'argent plain ; sur le tout, d'argent à la croix de sable[41].
Commentaires : Armes parlantes (les sept cœurs rappellent le nom de la ville : Corpus Septimum : « Septième Corps », désignant la septième paroisse des bords de la Loire créée par Saint Martin de Vertou). |
Auparavant, le blasonnement de Corsept était : D'azur aux sept cœurs d'or posés trois, deux, un et un. Armes parlantes (les sept cœurs rappellent le nom de la ville : Corpus Septimum : « Septième Corps », désignant la septième paroisse des bords de la Loire créée par Saint Martin de Vertou). Ce blason est une réduction de la bannière présentée à La Sicaudais (1946), qui portait : écartelé : aux premier et au quatrième, d'azur à sept cœurs d'argent ; aux deuxième et au troisième, de gueules ; l'écusson de Retz (d'or à la croix de sable) sur le tout. Blason conçu par Mme Humblot (délibération municipale du ), enregistré le .
Personnalités liées à la commune
- Arnaud Chiron, curé de la paroisse (1735-1762). Très proche de la cause ouvrière, il quitte le clergé en 1762 à la suite de désaccords avec Pierre Mauclerc de La Musanchère, alors évêque de Nantes[42].
- Charles Le Roux, artiste peintre paysagiste né et mort à Nantes (1814-1895), résida et travailla à Corsept au Pasquiaud où il reçut de nombreuses fois ses amis peintres de l'école de Barbizon. Camille Corot réalisa les personnages de son tableau Prairie et marais de Corsept au mois d’août à l’embouchure de la Loire en 1859. Cette huile sur toile est conservé au Musée d'Orsay à Paris[43].
- Maria Humblot (1899-1988), née Boismain, seule architecte navale à son époque, élue au conseil municipal de Corsept lors des premières élections auxquelles les femmes ont eu le droit de vote en France, puis élue maire, une des 250 femmes dans ce cas en France, et la seule du pays de Retz. En 1972, « seule femme architecte navale au monde », elle est faite chevalier dans l'Ordre national de la Légion d'honneur[44].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Saint-Nazaire-Montoir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Corsept et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
- Maria Boismain Humblot
- « Hervé Gentes revêt l’écharpe de maire à Corsept », Le Courrier du pays de Retz, (lire en ligne).
- « Commune de Corsept (44046) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Corsept (44046) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- - L'église St Martin sur www.paysderetz.info, consulté le .
- Loire-Atlantique, Paris, Guides Gallimard, , 399 p. (ISBN 2-7424-0008-7), p. 236.
- « L'histoire de Corsept - Sur les traces de Charles Le Roux », mairie de Corsept (consulté le ).
- Curiosités - Les mégalithes de Corsept sur www.paysderetz.info, consulté le .
- Tourisme sur www.corsept.fr, consulté le .
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Collectif, L'Ami de la religion et du roi : journal ecclésiastique, politique et littéraire, A. le Clere, Paris, , p. 38.
- Tableau de Roux et Corot à Orsay
- « Le fabuleux destin de Maria Humblot, élue en 1945 », Ouest-France, (consulté le ).