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Bacqueville-en-Caux

Bacqueville-en-Caux est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Bacqueville-en-Caux
Bacqueville-en-Caux
La gare.
Blason de Bacqueville-en-Caux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Terroir de Caux
(siège)
Maire
Mandat
Étienne Delarue
2020-2026
Code postal 76730
Code commune 76051
Démographie
Gentilé Bacquevillais (anciennement Bacquevillois)
Population
municipale
1 904 hab. (2020 en augmentation de 0,47 % par rapport à 2014)
Densité 156 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 47′ 15″ nord, 0° 59′ 58″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 124 m
Superficie 12,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dieppe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Luneray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Bacqueville-en-Caux
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Bacqueville-en-Caux
Liens
Site web http://bacqueville-en-caux.fr/

    Géographie

    Description

    Bacqueville-en-Caux est une commune du pays de Caux située au nord du département dans le canton de Luneray. Cette commune comporte un hameau : « Pierreville » situé à 1,5 km entre celle-ci et Omonville.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La rivière Vienne[1] et son affluent la Saâne confluent sur le territoire de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 899 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 47 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Bacqueville-en-Caux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,5 %), prairies (18 %), zones urbanisées (10,8 %), forêts (10,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 976, alors qu'il était de 915 en 2014 et de 847 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 20,1 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bacqueville-en-Caux en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 49,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (50,4 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Bacqueville-en-Caux en 2019.
    Typologie Bacqueville-en-Caux[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 86,2 87,8 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,6 4 9,7
    Logements vacants (en %) 9,2 8,2 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Bascavilla entre 1040 et 1066, Ecclesie Sancte Mariae de Baschevilla en 1133[22], Balchevilla en 1142[23], Baskervilla en 1155, Baccheville en 1176, Bascervilla en 1179, In Baschevilla en 1180, Sancta Maria de Basquevilla en 1188, Capella Sancti Léonardi de Boschervilla en 1188[24], Ecclesia de Basquevilla vers 1240, Bacquevilla en 1256, Bakevilla et Baskevilla en 1268, Basquevilla en 1337, Basqueville en 1392, Besqueville la Martel entre 1420 et 1452, Basqueville en 1715 et 1788, Bacqueville-en-Caux en 1953[25] - [26].

    Apparemment sans rapport avec Bacqueville (Eure) : Baschivilla vers 1034 ; Baschitvilla en 1096[27].

    Le pays de Caux est une région naturelle de Normandie.

    Le nom de Bacqueville-en-Caux apparaît autour de 1050 lors de la cession des terres aux religieuses de St Armand de Rouen.

    Histoire

    Moyen Âge

    Le château de Bacqueville est livré aux Anglais en 1418 par les Bourguignons après la prise de Rouen.

    Temps modernes

    Durant la Réforme, le bourg est pillé en 1590 par Villars-Brancas[28].

    Époque contemporaine

    • Bacqueville-en-Caux au début du XXe siècle
    • La mairie et le monument aux morts.
      La mairie et le monument aux morts.
    • La mairie.
      La mairie.
    • La place de la mairie.
      La place de la mairie.
    • Entrée du Pays par Lamberville.
      Entrée du Pays par Lamberville.
    • La route de Longueville.
      La route de Longueville.
    • L'église.
      L'église.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1788 1790 Pierre Beatte d'Auseville
    1790 1791 François Osmont
    1791 1792 Jacques Leblond
    1792 1794 Pierre Guérillon
    1794 1795 Pierre-François Duboc
    1795 1797 Jean-Baptiste Caudron
    1797 1799 Pierre Malherbe
    1799 1800 Nicolas Lebourgeois
    1800 1808 Jean-Baptiste Caudron
    1808 1811 François Osmont
    1811 1814 Félix Lepeletier de Saint-Fargeau
    1814 1819 Henri Martel d'Ablemont
    1819 1822 Bonaventure Osmont
    1822 1832 Jacques Lédier
    1840 1847 Bernard Caudron
    1847 1848 Hippolyte Join-Lambert
    1848 1849 Jean-Jacques Le Maréchal
    1849 1870 Stanislas Lédier
    1870 1871 Paul Dupont
    1871 1880 Jules Amédée Morel
    1880 1881 François Perré
    1881 1898 Paul Dupont
    1898 1903 Florentin Biville
    1903 1932 Jules Morel
    1932 1932 Fernand Dupuy
    1944 1947 Albert Curé
    1947 1983 Augustin Mouquet
    1965 1983 Jean Poulain
    1983 2001 Gérard Savoye
    2001 En cours
    (au 18 décembre 2022)
    Étienne Delarue DVD Retraité du secteur privé.
    Président du SIVOS[29]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[30] - [31]

    Distinctions et labels

    Bacqueville-en-Caux a été récompensée en 2022 d'une deuxième fleur au Concours des villes et villages fleuris; dix ans après avoir obtenu la Première fleur. Cette récompense reconnait ainsi le travail de l'équipe de jardiniers municipaux, de leur politique zéro phyto et leur production de 17 000 plantes annuelles par an[32]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 1 904 habitants[Note 8], en augmentation de 0,47 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3702 2792 5142 4852 6852 8102 7202 7122 654
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3742 5632 5202 5182 5122 3212 2412 1882 045
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0522 0431 9141 6611 4851 4551 5461 5321 552
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 7201 6651 6051 7071 6401 6401 7701 7841 800
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 8951 9101 904------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles, sportives et festivités

    • Foire aux antiquités le 1er week-end de mars.
    • Foire agricole le 8 mai.
    • Marchés nocturnes, premier vendredi du mois entre juin et septembre.
    • Fête du Tortill'Art, début juillet.
    • Tournoi de football inter quartiers, juillet.
    • Salon du mariage, octobre.
    • Fête foraine le 11 novembre.
    • Kermesse de la Saint-Eutrope en juin.
    • Courses hippiques l'été.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre du XVIe siècle, endommagée durant la Seconde Guerre mondiale. Elle abrite des statues anciennes dont celles de saint Crespin et de saint Pierre et une œuvre moderne, le Christ en céramique du maître-autel réalisé par Georges Mirianon.
    • Monument aux morts inauguré le 5 juin 1922 sur la place du village, sous la présidence du ministre de l'Agriculture Henry Chéron. La sculpture est signée Albert Guilloux, sculpteur parisien, qui fut chargé de camper un poilu victorieux mais résigné sortant d'une tranchée pour rejoindre l'arrière ; il tient son fusil sur l'épaule orné d'un bouquet de fleurs et porte un casque allemand dans sa main gauche.
    • La croix Saint-Léonard fut érigée au XIIIe siècle à l'initiative de Guillaume IV Martel, puis fut relevée en 1756. D'après la croyance locale, elle aiderait à faire marcher les enfants. Il suffirait d'attacher un ruban autour de la croix, faire trois fois le tour de la croix à l'enfant en récitant une prière. Cette croix se trouve au bord de la route dans la plaine entre Bacqueville-en-Caux et le hameau d'Ablemont. Initialement, la croix se trouvait au cœur de la plaine mais fut déplacée par un agriculteur (il reste une plaque à l'emplacement originel). D'après la légende, cet agriculteur aurait perdu l'usage de ses jambes peu de temps après.
    • La croix Mangea-Là fut érigée au XIIIe siècle à l'initiative de Guillaume IV Martel ; réédifiée en 1937 à l'initiative de l'abbé Demeillers.
    • Plaque commémorative dans le Bas de Bacqueville en hommage aux libérateurx canadiens le .
    • Hippodrome de Bacqueville-en-Caux. Société des courses de Bacqueville fondée en 1891. Les courses hippiques ont lieu 2 fois pendant le mois d'août.
    • Gare de Bacqueville-en-Caux du chemin de fer de Normandie.

    Pierreville

    Saint-Eutrope de Pierreville fut premièrement une chapelle dépendante de la cure de Bacqueville-en-Caux, l'église en briques fut construite en 1768 et bénite par le cardinal de La Rochefoucauld, en 1770. Saint Eutrope, évêque d'Orange, y était l'objet d'un pèlerinage très fréquenté.

    Lieu-dit de Varenville accolé à Pierreville, dans ce lieu-dit est présent la ferme des Écussons (manoir XVIe siècle), lieu de balade et de vie de monsieur Poulain.

    Puis la ferme des « Toucheux de Vaques », ancien manoir du XVIIIe encore présent.

    Et l'ancienne école des filles sur la place de Pierreville, construite entre 1882 et 1883, école encore active jusqu'en 2010 (transformée en école mixte) puis en habitat maintenant. Il est également important de noter que cet endroit est également utilisé par la mairie comme lieu de vote pour les habitants du hameau.

    La place est un lieu de kermesse au mois de mai ou juin. L'ancien calvaire a été rénové le dimanche 3 mai 2014 par l'abbé Stéphane Ansart à l'issue d'une messe organisée dans l'église Saint-Eutrope.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Bacqueville-en-Caux Blason
    Parti: au 1er d'or à trois marteaux de gueules, au 2e d'azur à croisettes d'or[37].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Bacqueville-en-Caux
    Alias du blason de Bacqueville-en-Caux
    D’or aux trois marteaux de gueules.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bacqueville-en-Caux », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Vienne (G4100600) » (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Bacqueville-en-Caux et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Bacqueville-en-Caux et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Archives départementales de la Seine-Maritime, D 194.
    23. Archives de Seine-Maritime 16 H.
    24. Archives de Seine-Maritime, D 195.
    25. Archives de Seine-Maritime, G 739.
    26. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 38.
    27. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, 1981, page 58.
    28. Eugène Sauvagz, Histoire populaire du bourg de Bacqueville en Caux.
    29. SIVOS des écoles élémentaires et maternelles de Bacqueville-en-Caux.
    30. « Municipales 2020. Le maire sortant de Bacqueville-en-Caux, Étienne Delarue, organise une réunion : Bacqueville-en-Caux. Étienne Delarue, candidat aux élections municipales de mars 2020, présentera son programme lors d'une réunion publique », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire sortant Étienne Delarue, brigue un 4e mandat de maire aux élections municipales de mars 2020 avec sa liste « Ensemble bâtissons demain » qui compte sept conseillers sortants ».
    31. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    32. Maxime Cartier, « Dix ans après, Bacqueville-en-Caux obtient sa deuxième fleur : La municipalité de Bacqueville-en-Caux (Seine-Maritime) a obtenu sa deuxième fleur. Cette distinction a été célébrée le 2 décembre 2022en compagnie du personnel des espaces verts », Les Informations dieppoises, (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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