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Auppegard

Auppegard est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Auppegard
Auppegard
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Terroir de Caux
Maire
Mandat
Dominique Laplace
2020-2026
Code postal 76730
Code commune 76036
Démographie
Gentilé Pougarais
Population
municipale
692 hab. (2020 en diminution de 5,72 % par rapport à 2014)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 49″ nord, 1° 01′ 50″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 107 m
Superficie 7,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dieppe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Luneray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Auppegard
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Auppegard
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Auppegard
Liens
Site web http://www.auppegard.fr/

    Les principaux centres d'intérêt patrimoniaux du village sont le manoir seigneurial (ferme des Tourelles), l'église Saint-Pierre et le château ayant notamment appartenu à la peintre américaine Anna Hope Hudson.

    Géographie

    Localisation

    Commune du pays de Caux située dans le canton de Luneray.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe de sept communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 887 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 51 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Auppegard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,1 %), zones urbanisées (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), prairies (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 313, alors qu'il était de 299 en 2014 et de 273 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 89,1 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Auppegard en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,2 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Auppegard en 2019.
    Typologie Auppegard[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 89,1 87,8 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 4 9,7
    Logements vacants (en %) 6,7 8,2 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Appelgart vers 1160 et Alpegart à la fin du XIIe siècle[21].

    Épégard (Eure) présente des formes analogues : Auppegardus en 1181 et Alpegard en 1199[22].

    La forme la plus ancienne d'Auppegard, Appelgart vers 1160, montre que le [l] se trouvait initialement devant le [g]. Une métathèse du [l], commune en ancien français, s'est produite postérieurement, d'où Alpegart au XIIe siècle, puis vocalisation du [l] devant [p], d'où Aup- (cf. latin talpa > taupe). La graphie -art des formes anciennes pour -ard est typique de l'ancien français (cf. Renard, jadis Renart du germanique Renhard).

    Il s'agit d'un composé du vieil anglais æppel « pomme » et du vieux scandinave garðr « enclos, clos », d'où le sens global de « pommeraie »[23]. Cette hypothèse est confortée par la localisation de ces deux noms de lieux dans la zone de diffusion de la toponymie scandinave. Ils remontent probablement au Xe siècle et sont témoins de l'ancienneté de la culture des pommes en Normandie.

    Auppegard a son correspondant exact au Yorkshire, région du Danelaw en Angleterre : Applegarth (en) mentionné sous la forme Appelgard vers 1160.

    Histoire

    Moyen Âge

    Le titre de seigneur d'Auppegard revient au XVe siècle aux Le Marinier, qui le conserveront jusqu'à la Révolution[24].
    Cette famille fera notamment édifier la ferme des Tourelles au XVIe siècle (voir sous-section dédiée).

    Seconde Guerre Mondiale et explosion du V1

    Durant la Seconde Guerre mondiale, à 6 heures 30, le matin du 16 juin 1944, en pleine bataille de Normandie, un V1 est envoyé vers Londres à partir de la piste de Bertreville-Saint-Ouen située à 3 kilomètres. Quelques instant plus tard, après une bruyante mise à feu, le robot, sciant les airs, vient s'écraser dans une cour de ferme à Auppegard. Pour les matinaux, la nouvelle se répand très vite et des centaines de civils viennent s'attrouper autour de l'engin.

    L'explosion de ce dernier a lieu à 7 heures et fait 14 victimes (dont l'une n'est pas identifiée), plusieurs blessés et des dégâts matériels, notamment sur l'église Saint-Pierre. Les vitraux de cette dernière seront toutefois épargnés puisqu'ils avaient été déplacés peu de temps auparavant par les services des Monuments Historiques.

    Un monument commémoratif sera élevé en 1954 pour rendre hommage aux victimes. Un vitrail de l'église, réalisé en style naïf rappelle également cet évènement[24].

    Évidemment on connaissait les obus, les mines et toutes ces choses, mais pas ces robots-là qui produisaient un vacarme absolument terrible.

    Il y avait de la viande dans les pommiers et certains gars ne furent même pas retrouvés, les témoins étaient abasourdis.

    Témoignage d'un habitant du village (2017)

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bacqueville-en-Caux[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Luneray

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    Auppegard était membre de la communauté de communes Saâne et Vienne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Terroir de Caux dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1912 Émile Baudouin
    Les données manquantes sont à compléter.
    1956[26] 1999 Michel Dupuis
    février 1999 mars 2001 Francis Thomas Professeur en lycée technique
    2001[26] 2008 Jean-Pierre Martine Instituteur
    mars 2008 mai 2020[27] Jacques Deprez Retraité
    mai 2020[28] - [29] En cours
    (au 19 juillet 2022)
    M. Dominique Laplace Chargé d’études et de projets
    Vice-président de la CC Terroir de Caux (2020 → )

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 692 habitants[Note 8], en diminution de 5,72 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600612647689677771749754821
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    744709702663632598548528479
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    503521551450433444453495467
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    451422468523551561633656711
    2014 2019 2020 - - - - - -
    734692692------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Patrimoine culturel

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre :
      L'édifice date des XVIe et XVIIe siècles[33] et possède un clocher tors[34] - [35], caractéristique de certaines églises de la région. De même, sa nef en forme de carène inversée est typique du style régional. L'église Saint-Pierre est inscrite (mais pas classée) au titre des Monuments Historiques depuis le 6 janvier 1926. À cet égard, trois statues, la porte latérale sud et l'autel de l'église font l'objet d'une notice du Ministère de la Culture.
      Une des cloches, bénite en 1644, fait mention d'Anne Le Marinier, la fille d'Antoine Le Marinier alors seigneur d'Auppegard, et de Jacob Bontemps, capitaine de navire et sieur de Vaux et probable premier propriétaire du château d'Auppegard.
    • Le manoir seigneurial ou ferme des Tourelles :
      Ce manoir est construit vers 1560 et sera la propriété des seigneurs d'Auppegard, à savoir les Le Marinier, jusqu'à la Révolution. Le bâtiment est en briques et grès, avec des pignons à redans et des ouvertures asymétriques.
      Un colombier pour l'élevage des pigeons est situé sur la propriété. Ce type d'ouvrage était alors réservé à la Noblesse.
    • Le château, datant des XVIIe et XVIIIe siècles.
      Sa construction est attribuée à Jacob Bontemps (1604-1664), marin dieppois anobli pour son travail en tant que capitaine de la marine pour le Roi et acquisiteur de la terre autour de 1640 (fief du "Vaux du Parc"). Il est devenu plus tard seigneur d'Omonville[36].
      Le château est agrandi en 1773 par la famille Jean, héritiers de la famille Delestre. Dans les années 1920, il est acheté et aménagé par la peintre Anna Hope Hudson (voir section dédiée) et sa compagne.
      Il devient la propriété des châtelains de Miromesnil en 1938.
    • Le Monument commémoratif, inauguré le à la mémoire des victimes du missile V1, dix ans plus tôt[37].

    Personnalités liées à la commune

    • La peintre américaine expatriée Anna Hope Hudson, achète le château d'Auppegard dans les années 1920 et s'y installe avec sa compagne Ethel Sands. Elles étaient toutes les deux membres du Camden Town Group à l'instar de plusieurs artistes postimpressionnistes britanniques. Ensemble, elles rénovent la bâtisse, engagent de nombreux artisans locaux et commandent pour la loggia des fresques murales aux artistes Vanessa Bell et Duncan Grant[38].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime - ouvrage collectif - Flohic Editions, collection Le Patrimoine des communes de France - 1997

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Auppegard », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Auppegard et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Auppegard et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Dieppe », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5, OCLC 6403150), p. 33.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 978-2-7084-0067-2, OCLC 9675154), p. 104.
    23. François de Beaurepaire, op. cit.
    24. Collectif, Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Flohic éditions, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1342 p. (ISBN 2-84234-017-5), p. 67-68 (tome I)
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Auppegard », Les communes seinomarines, sur https://seine76.fr (consulté le ).
    27. « En Seine-Maritime, le maire d’Auppegard ne briguera pas un nouveau mandat : En mars prochain, le maire d’Auppegard ne se représentera pas. Il l’a annoncé lors du dîner de la municipalité », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jacques Deprez a annoncé à l’assemblée, lors de son discours de bienvenue, qu’il ne se représentera pas à sa propre succession en mars prochain lors des élections municipales. « Il y a un temps pour tout et je n’ai pas encore connu les plaisirs de la retraite, ayant été élu il y a bientôt douze ans », a souligné le maire ».
    28. « Dominique Laplace présente une liste à Auppegard, pour les élections municipales de mars 2020 : Dominique Laplace se présente aux élections municipales de mars 2020 à Auppegard, à la tête de la liste « Une équipe, des projets d’avenir », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    29. « Liste des maires du département de la Seine-Maritime : Mise à jour le 10 août 2020- Liste définitive » [PDF], Listes des élus, Préfecture de Seine-maritime (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Notice no PA00100551, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Photos de l'église et du « clocher tors »
    35. Quelques autres clichés du « clocher tors »
    36. « Généalogie - Jacob Bontemps », sur geneanet.org
    37. Site aerosteles.net
    38. (en) Nicola Moorby, The Camden Town Group in Context, Tate Britain, (ISBN 978-1-84976-385-1, lire en ligne), Anna Hope Hudson
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