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Paris-Normandie

Paris-Normandie est un journal quotidien régional de la presse écrite française fondé à Rouen (Seine-Maritime) en 1944. Il est diffusé principalement dans l'ancienne Haute-Normandie. Il appartient depuis au groupe Rossel[3], qui l'a acquis au groupe de presse SNIC[4], dont l'actionnaire majoritaire était depuis 2017 Jean-Louis Louvel[5].

Paris-Normandie
Image illustrative de l’article Paris-Normandie
Logo de Paris-Normandie

Pays Drapeau de la France France
Zone de diffusion Eure et Seine-Maritime en version papier, les cinq départements normands (Calvados, Eure, Manche, Orne et Seine-Maritime) en version numérique.
Langue Français
Périodicité Quotidienne
Format TabloĂŻd
Genre Presse régionale
Prix au numéro 1,55 € (semaine)
1,50 € (samedi)[1]
Diffusion en diminution 42 655[2] ex. (2020)
Fondateur Étienne-Vincent Machuel
Date de fondation 1944
Ville d’édition Rouen

Propriétaire Groupe Rossel La Voix ()
Directeur de publication David Guévart (mars 2022)
Directeur de la rédaction Thierry Rabiller
RĂ©dacteur en chef Thierry Rabiller
Comité éditorial Baptiste Laureau (rédacteur en chef délégué, éditeur délégué au Havre), Stéphane Siret (rédacteur en chef adjoint chargé des suppléments et des hors-séries).
ISSN 0999-2154
OCLC 472498041
Site web www.paris-normandie.fr
Supplément

TV Magazine
Version Femina
Normandie Auto (mensuel gratuit)

Normandie Maison (mensuel)
Normandie Santé (numéro spécial annuel)

Déjà présent dans la presse quotidienne régionale en France avec la Voix du Nord, l'Union de Reims, l'Est Éclair, l'Aisne Nouvelle et le Courrier Picard, le Groupe Rossel poursuit son déploiement dans le quart Nord-Ouest de la France.

Le groupe Rossel crée un pôle picardo-normand qui regroupe l'Aisne Nouvelle, le Courrier Picard et Paris-Normandie.

Jusqu'en 1983, Paris-Normandie édite une édition dans le Calvados, se concentrant sur la capitale, Caen, et la zone de Lisieux, la plus proche de l'Eure. En 1983, Robert Hersant préfère stopper cette aventure initiée par Pierre-René Wolf et se reconcentrer sur les hebdomadaires locaux qu'il possède dans la région.

Après avoir été longtemps un journal indépendant, Paris-Normandie devient, dans les années 1970, la propriété du groupe France-Antilles, dirigé par Philippe Hersant, transformé en en groupe Hersant Média.

En , le quotidien est rachetĂ© par les journalistes Xavier Ellie et Denis Huertas. Le , Xavier Ellie est l'unique actionnaire de la SociĂ©tĂ© normande d'information et de communication (SNIC), sociĂ©tĂ© Ă©ditrice de Paris-Normandie, Le Havre Presse, Havre libre, Le Progrès de FĂ©camp, LibertĂ©-Dimanche, Havre Dimanche, Eure Dimanche et Normandie Dimanche. Éric Berthod exerce les fonctions de directeur gĂ©nĂ©ral adjoint de la SNIC et de directeur de la RĂ©gie normande de publicitĂ© (RNP). Arthur de Milleville est secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la SNIC. Le , Xavier Ellie cède l'intĂ©gralitĂ© de ses actions Ă  un entrepreneur normand, Jean-Louis Louvel, prĂ©sident-fondateur de PGS Group (1 500 salariĂ©s, 300 M€ de CA). Romuald Uzan est nommĂ© prĂ©sident et directeur de la publication. PrĂ©cĂ©demment directeur de Marianne (2012- ), FrĂ©dĂ©rick Cassegrain a occupĂ© le poste de directeur gĂ©nĂ©ral d' Ă  , date de la prise de fonction de ValĂ©ry Jimonet qui lui succède.

Le tribunal de commerce de Rouen a acté la reprise de Paris-Normandie par le Groupe Rossel en . Le nouvel actionnaire a nommé Éric Berthod président de la SNIM, la nouvelle société éditrice, et Jean-Dominique Lavazais, directeur général et directeur de la publication.

En mars 2022, David Guévart a succédé à Jean-Dominique Lavazais au poste de directeur général et de directeur de la publication.

Histoire

Ă€ la LibĂ©ration, le Journal de Rouen est interdit de publication pour collaboration. Il devient Normandie, puis Paris-Normandie en 1947. Sa gestion est confiĂ©e Ă  la SociĂ©tĂ© normande de presse rĂ©publicaine, au sein de laquelle siègent 36 membres dĂ©signĂ©s par la RĂ©sistance. Pierre-RenĂ© Wolf est nommĂ© directeur.

Dans les années 1950-1960, les lecteurs participent avec ferveur au concours annuel Poustiquet.

Après avoir été longtemps un journal dynamique et réputé, Paris-Normandie est plongé dans un profond déclin qui menace son existence même. Un plan dit « de modernisation sociale » aboutit, en 2005, au départ de nombreux salariés et à la fermeture de plusieurs rédactions locales, notamment à Pont-Audemer, aux Andelys et à Verneuil-sur-Avre.

Le quotidien passe au format tabloĂŻd le .

Le , pour la demi-finale de la coupe de France US Quevilly / Paris Saint Germain, le quotidien se rebaptise Quevilly Normandie.

Le , le journal lance son nouveau site web, devenu payant.

Au dĂ©but 2012, les syndicats du journal font part de leur inquiĂ©tude pour l'avenir du titre, qu'ils estiment gravement menacĂ©, au point de craindre, disent-ils, « au minimum un plan social, au pire un dĂ©pĂ´t de bilan »[6]. Le , le tribunal de commerce du Havre place en redressement judiciaire pour six semaines la SociĂ©tĂ© normande de presse d'Ă©dition et d'impression (SNPEI) qui Ă©dite le quotidien et les titres qui lui sont associĂ©s[7]. En , la SociĂ©tĂ© normande de presse d'Ă©dition et d'impression semble s'acheminer vers une liquidation judiciaire[8]. Le , le tribunal de commerce du Havre autorise la reprise du quotidien par les journalistes Xavier Ellie et Denis Huertas. Cette offre prĂ©voit la suppression de 85 emplois sur 357[9]. Depuis le , Paris-Normandie et ses titres associĂ©s (Le Havre Presse, Havre Libre et Le Progrès de FĂ©camp) continuent de couvrir les deux dĂ©partements de la Haute-Normandie, la Seine-Maritime et l'Eure, avec neuf Ă©ditions du lundi au samedi. Paris-Normandie possède des agences Ă  Rouen, Dieppe, Neufchâtel-en-Bray, Yvetot, Lillebonne, FĂ©camp, Le Havre, Évreux, Bernay, Louviers et Vernon.

En , Paris-Normandie installe le « paywall » (ou mur de paiement) sur son site Internet qui est le site le plus prisĂ© en Haute-Normandie avec plus de un million de visites par mois et entre trois et cinq millions de pages vues.

Présent sur les principaux réseaux sociaux, Paris-Normandie possède plus de 85 000 abonnés à son compte Twitter, 199 000 fans sur Facebook et 16 000 abonnés sur Instagram.

Depuis la reprise par Ellie et Huertas, Paris-Normandie intensifie ses développements numériques. Fin 2013, il s'équipe d'un studio TV qui lui permet de créer puis de diffuser des émissions sur le web (https://www.paris-normandie.fr/nos-videos).

Paris-Normandie s'est aussi doté d'une solution de feuilletage numérique sur tous supports (tablettes, mobiles), un feuilletage enrichi avec des vidéos, des diaporamas, des liens hypertextes, des compléments rédactionnels.

En 2014, la SNIC dépose un dossier de reprise des titres Nice-Matin et Var-Matin, en dépôt de bilan. Xavier Ellie défend sa position le devant le tribunal de commerce de Nice. En vain. Cette même année, Paris-Normandie se sépare de son dernier photographe à l'agence du Havre.

Le , pour tenir compte de la rĂ©unification de la Normandie et surtout pour tenter de contrer l'arrivĂ©e de Ouest-France sur ses terres, Paris-Normandie sort une nouvelle Ă©dition France Paris-Normandie qui publie une synthèse de l'information sur l'ensemble de la nouvelle rĂ©gion. TirĂ©e Ă  4 000 exemplaires, elle est diffusĂ©e dans la partie est du Calvados, ainsi qu'Ă  Caen, et dans les principales villes haut-normandes[10].

En 2016, l'entreprise connaît d'importantes difficultés de trésorerie consécutives à une nouvelle baisse de ses ventes et de ses recettes publicitaires[11]. Le , le tribunal de commerce de Rouen la place en redressement judiciaire, assorti d'une période d'observation de six mois[12]. Le suivant, le tribunal prolonge la période d'observation de quatre mois. Le , le tribunal de commerce de Rouen choisit la continuité en préférant l'offre de l'actuel PDG Xavier Élie à celle du groupe belge Rossel, contre l'avis de la rédaction qui avait affiché sa préférence pour ce dernier[13].

En , il absorbe le quotidien local Havre libre.

En , un industriel normand, Jean-Louis Louvel, PDG du groupe PGS, basĂ© Ă  Saint-Étienne-du-Rouvray, spĂ©cialisĂ© dans la fabrication des palettes en bois, prend 49 % du capital pour 750 000 â‚¬[14]. Le , Xavier Ellie cède l'intĂ©gralitĂ© de ses actions (51 %) Ă  Jean-Louis Louvel. Devenu actionnaire majoritaire de la SNIC, Jean-Louis Louvel nomme au poste de prĂ©sident et directeur de la publication Romuald Uzan. RecrutĂ© en pour remplacer Éric Berthod (parti Ă  La Voix du Nord), FrĂ©dĂ©rick Cassegrain est confirmĂ© par le nouvel actionnaire au poste de directeur gĂ©nĂ©ral.

Sous l'impulsion de sa nouvelle direction, Paris-Normandie lance lors du second trimestre 2017 une collection de hors-séries : Les Géants au Havre, Les Grandes Voiles au Havre, Les grandes affaires criminelles de Normandie.

Le , Paris-Normandie lance avec son édition « Grand Rouen » un hebdomadaire Sortir à Rouen.

Fin , une polĂ©mique Ă©clate au sein de la direction du journal : FrĂ©dĂ©rick Cassegrain, le directeur de la publication, s'oppose publiquement au fait que le propriĂ©taire de Paris-Normandie, Jean-Louis Louvel, s'engage en politique (il est le candidat officiel de la LREM Ă  la mairie de Rouen pour les Ă©lections municipales de 2020)[15]. FrĂ©dĂ©rick Cassegrain prĂ©tend faire les frais de sa prise de position et est Ă©vincĂ© du journal[16]. Jean-Louis Louvel, de son cĂ´tĂ©, rĂ©itère son envie de voir un nouvel actionnaire s'engager Ă  ses cĂ´tĂ©s en lui cĂ©dant un pourcentage de ses parts[17]. En , une sociĂ©tĂ© des journalistes est crĂ©Ă©e et un « pĂ´le d'indĂ©pendance » est mis en place pour tenter de garantir l'indĂ©pendance de l'information, notamment en pĂ©riode Ă©lectorale ; le patron du journal, Jean-Louis Louvel, Ă©tant candidat aux Ă©lections municipales Ă  Rouen[18]. L'arrivĂ©e d'un nouvel actionnaire majoritaire, le producteur de tĂ©lĂ©vision normande Pierre-Antoine Capton, est annoncĂ©e comme imminente Ă  la fin [19]. La direction du quotidien repousse finalement cette proposition qu'il juge « inacceptable en l'Ă©tat »[20].

Le , la SociĂ©tĂ© normande d'information et de communication est placĂ©e en redressement judiciaire[21]. Le , la direction annonce qu'elle va demander son placement en liquidation judiciaire[22] - [23]. La crise liĂ©e au Covid-19 finit d'achever le quotidien dĂ©jĂ  fragile et qui a perdu près de 490 000 euros au mois de , en raison notamment d'une perte de 90 % des recettes publicitaires et de 60 % de ses annonces lĂ©gales[20]. Le , le tribunal de commerce de Rouen prononce la liquidation de la sociĂ©tĂ© Ă©ditrice avec prolongation de l'activitĂ© pendant trois mois[24]. Au cours de ce dĂ©lai de trois mois, la meilleure offre de reprise sera retenue par le tribunal, faute de quoi le journal sera amenĂ© Ă  disparaĂ®tre[25] - [26]. Le , trois offres de reprise ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©es auprès du tribunal de commerce de Rouen[27]. Les trois candidats sont :

Le tribunal se donne quinze jours pour valider ou non l'une de ces trois offres[29]. Le , le tribunal de commerce de Rouen choisit le groupe Rossel comme repreneur[3]. Le groupe Rossel décide de créer un pôle qui réunit ses titres en Normandie (Paris-Normandie) et en Picardie (Courrier Picard et Aisne Nouvelle). Le directeur général de ces trois titres est David Guévart.

Le , Paris-Normandie a lancé un journal tout en images, le 7 Minutes, diffusé du lundi au vendredi à 18 heures sur le site du journal.

Anciens directeurs

  • 1944 - 1945 : Charles Vilain
  • 1945 - 1972 : Pierre-RenĂ© Wolf
  • 1972 - 1982 : Raoul Leprettre
  • 1982 - 1993 : Jean Allard
  • 1993 - 1995 : Pierre-Jean Bozo
  • 1995 - 1998 : Jacques BĂ©nesse
  • 1998 - 2003 : Amaury Dewavrin
  • 2003 - 2006 : Antoine Rousteau
  • 2006 - 2012 : Michel LĂ©pinay
  • 2012 - 2014 : Denis Huertas
  • 2014 (1er septembre) : Xavier Ellie*
  • 2017 : FrĂ©dĂ©rick Cassegrain
  • 2017 () : Romuald Uzan
  • 2020 (juin) : Jean-Dominique Lavazais
  • 2022 (mars): David GuĂ©vart

Les rédacteurs en chef

  • 1944-1975 : Jacques Chopart
  • 1975-1976 : Jean-Paul DĂ©ron
  • 1976-1977 : Jean Miot
  • ????-1993 : Marc Rouzier
  • 1993-1999 : Dominique Raffin
  • 1999-2004 : Gilles Dauxerre
  • 2004-2007 : Michel Mekki
  • 2007-2012 : Sophie Bloch
  • 2012- : Thierry Rabiller

Anciens journalistes

par ordre alphabétique
A
  • Pascal Audoux
B
  • SĂ©bastien Bailly
  • Roger Balavoine
  • William Beaufils (Will)
  • Nicolas Bernard
  • Raymond Bertrand
  • Annick Billon
  • Roger Biot
  • Marc Blaise
  • Franck Boitelle
  • Marc Braun
  • François Bruant
  • CĂ©line Buchard
  • Emmanuel Bunoz
  • Didier Bureau
  • Patrice Burnat
C
  • François Charmot
  • StĂ©phane Canu
  • Jean-Pierre Carpentier
  • Yves Casse
  • Sandrine Champalaune
  • Geneviève Cheval
  • RenĂ© Collinet
  • Elizabeth Coquart
  • Vincent CotĂ©
D
  • Agostinho Da Silva
  • Emmanuel d'Astorg
  • Thierry Delacourt
  • Laurent Derouet
  • Jean-Yves Donor (Doron)
  • Jack Durvicq
  • Jean-Pierre Durand (Naddrun)
  • Jean-Pierre Duval
E
  • Isabelle Évrard
F
  • Daniel Fleury
  • NoĂ«l Fournaiseau
G
  • Pierre-Jean Gallas
  • AndrĂ© Garnier
  • Alain Geslin
  • Marc Ghigou
  • MichaĂ«l Gossent
  • Annie Guilbert (Marie Malone)
H
  • Yvon Hecht
  • François Henriot
  • Gabriel HĂ©richer
  • Vincent HervĂ©
  • Philippe Huet
J
  • Patrick Jolivet
  • Pierre Joly
K
  • Alex Kromwel
L
M
  • François Manoury
  • Daniel Marnier
  • Pierre Massicard
  • Claude Masson
  • Raymond MĂ©nard
  • Pierre Merlin
  • Antoine Mermet
  • Allain Morineau
  • Maurice Morisset
  • Paul Mouchel
  • JosĂ© Mouret
O
  • Serge OrtolĂ©
  • Jean-Louis Ozanne
P
Q
  • Hubert Quint
R
S
  • Marie-Paule Salmon
  • JĂ©rĂ´me Savoye
  • JosĂ© Soto
T
  • Philippe Tual
  • Samuel Thomas
  • Xavier Tondi
V
  • Roland Vagnier (Bindle)
  • Jean Verdier

Diffusion

La diffusion totale de Paris-Normandie s'établit officiellement comme suit, selon l'Alliance pour les chiffres de la presse et des médias (anciennement OJD)[30] - [2] :

Année 1993 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Diffusion115 00085 64181 55180 48178 23576 20171 58267 71264 11161 42558 68354 35151 83647 58544 25741 37046 248*51 92145 65042 655 39 689 37 716

Ă€ partir du , le chiffre inclut la diffusion du Havre Presse et de Havre Libre.

Bibliographie

  • CĂ©cile-Anne Sibout, Les hommes de presse de l'agglomĂ©ration rouennaise, collection « histoire(s) d'agglo », AgglomĂ©ration de Rouen, 2002 (ISBN 2-913914-48-9).
  • CĂ©cile-Anne Sibout, Paris Normandie, la saga du quotidien normand (1944-2005), Ă©d. PTC, Rouen, 2005 (ISBN 2-350-38005-X).
  • Yvon Pailhès, Rouen : du passĂ© toujours prĂ©sent… au passĂ© perdu : les Ă©glises, les monuments, rues et places, Luneray, Bertout, , 230 p. (ISBN 2-86743-539-0), p. 56-57.

Notes et références

  1. « "Le quotidien "Paris-Normandie" augmente son prix de vente, on vous explique pourquoi" », sur francebleu.fr (consulté le ).
  2. « Paris-Normandie - ACPM », sur www.acpm.fr (consulté le ).
  3. « Paris-Normandie : la justice choisit l'offre du belge Rossel, 60 licenciements », AFP, 15 juin 2020.
  4. « Le quotidien Paris-Normandie pourrait déposer son bilan », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  5. « La vente du journal Paris-Normandie en négociation », sur Les Échos, (consulté le ).
  6. « Les syndicats craignent pour l'avenir de Paris-Normandie », AFP, 20 février 2012.
  7. « Paris-Normandie en redressement judiciaire pour six semaines », AFP, 29 fĂ©vrier 2012.
  8. « Paris-Normandie se dirige vers la liquidation », Les Échos, 14 juin 2012 .
  9. « Paris-Normandie : deux journalistes désignés comme repreneurs », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  10. « Le quotidien Ouest-France étend son empire en Haute-Normandie, Paris-Normandie réplique », AFP, 2 décembre 2015.
  11. « Paris-Normandie a l'intention de se déclarer en cessation de paiement le », AFP, 25 mars 2016.
  12. « Paris-Normandie placĂ© en redressement judiciaire », Presse Nexs, .
  13. « Paris-Normandie : le tribunal de commerce choisit la continuité contre Rossel », AFP, 15 mars 2017.
  14. « Un industriel normand prend 49 % de Paris-Normandie », Ouest-France, 29-30 avril 2017.
  15. « Le propriétaire de Paris-Normandie évince le DG Frédérick Cassegrain », sur La Lettre A, (consulté le ).
  16. « Presse : le DG de Paris-Normandie évincé, en désaccord avec son patron, candidat LREM à Rouen », sur TV5Monde, (consulté le ).
  17. « Opposé à l’engagement politique de son patron, le directeur général du quotidien Paris-Normandie évincé », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Sébastien Bailly, « Paris-Normandie lance son « paratonnerre » », Ouest-France, 5 février 2020.
  19. « Pierre-Antoine Capton à la tête de Paris-Normandie », Ouest-France, 17 janvier 2020.
  20. Sébastien Bailly, « Paris-Normandie en cessation de paiements », Ouest-France, 17 avril 2020.
  21. « Normande d'information et de communication : redressement judiciaire », sur societe.com (consulté le ).
  22. « Le journal Paris-Normandie mis en liquidation annonce la direction », France Bleu, (consulté le ).
  23. « Le journal Paris-Normandie demande la mise en liquidation », Les Échos, (consulté le ).
  24. « La justice liquide Paris-Normandie avec prolongation d'activité », AFP, 21 avril 2010.
  25. « Le quotidien Paris-Normandie se voit accorder un sursis », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Le journal Paris-Normandie liquidé avec une prolongation d'activité de trois mois », France 3 Normandie (consulté le ).
  27. « Trois offres de reprises ont été déposées pour Paris-Normandie », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  28. « Trois offres de reprise déposées pour Paris Normandie », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Reprise de Paris-Normandie : trois offres déposées vendredi », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  30. Fiche ACPM.

Liens externes

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