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Sion-les-Mines

Sion-les-Mines est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Sion-les-Mines
Sion-les-Mines
L'église Saint-Melaine.
Blason de Sion-les-Mines
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes Châteaubriant-Derval
Maire
Mandat
Bruno Debray
2020-2026
Code postal 44590
Code commune 44197
Démographie
Gentilé Sionnais
Population
municipale
1 651 hab. (2020 en augmentation de 0,36 % par rapport à 2014)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 09″ nord, 1° 35′ 26″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 88 m
Superficie 54,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Sion-les-Mines
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Sion-les-Mines
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Sion-les-Mines
Liens
Site web http://www.mairie-sionlesmines.fr/

    Géographie

    Situation de la commune de Sion-les-Mines dans le département de la Loire-Atlantique

    Sion-les-Mines est située à 20 km à l'ouest de Châteaubriant.

    Les communes limitrophes sont Ruffigné, Saint-Aubin-des-Châteaux, Lusanger et Mouais en Loire-Atlantique, Saint-Sulpice-des-Landes et La Dominelais en Ille-et-Vilaine.

    Sion-les-Mines est ponctuellement limitrophes de Saint-Vincent-des-Landes.

    Carte de la commune.

    Selon le classement établi par l’Insee en 1999, Sion-les-Mines était une commune rurale non polarisée (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 733 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Derval », sur la commune de Derval, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 767,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sion-les-Mines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), zones agricoles hétérogènes (22,7 %), prairies (8,5 %), forêts (7,7 %), zones urbanisées (2 %), eaux continentales[Note 5] (0,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

    En 2020, la commune comptait 1 651 habitants[Note 6], en augmentation de 0,36 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1002 1522 2322 5252 6232 5362 4812 5732 717
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6722 8562 8192 9152 9953 3283 2183 4563 374
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 2123 2133 2582 6962 6162 6382 5432 3352 256
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 2832 0391 7861 6271 4991 3671 5241 5111 678
    2015 2020 - - - - - - -
    1 6121 651-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 813 hommes pour 795 femmes, soit un taux de 50,56 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,2
    7,1
    75-89 ans
    10,3
    19,3
    60-74 ans
    17,8
    21,6
    45-59 ans
    20,2
    17,7
    30-44 ans
    17,6
    14,5
    15-29 ans
    13,6
    19,2
    0-14 ans
    19,2
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Syun en 1248, Soyon en 1287[27] et Syon en 1321.

    Le nom de Sion-les-Mines vient du latin Sium (une plante que l'on trouve au bord de la rivière de La Chère). Dans toutes les zones humides au bord de la Chère pousse une plante semi-aquatique, l’ache d’eau, que les Romains appelaient « sium » et les Grecs « sion ». Le premier camp établi sur la Chère en tira son nom, mentionné en divers actes bien avant l’implantation du bourg.

    C'est par décret du Président de la République, en , que Sion devient Sion-les-Mines.

    En 1944, Théophile Jeusset crée un premier nom de la localité en breton : Hezin[28]. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Hezin-ar-Mengleuzioù[27].

    Histoire

    La commune est située dans une zone de forte densité de monuments mégalithiques. Elle a été occupée dès le Néolithique, comme l'attestent la présence de plusieurs monuments encore visibles (menhir de Briangault, menhir de Pierre-Pin, La Roche à la Bergère). L'alignement de la Grée à Midi et l'allée couverte de Pir-Han ont été démantelés et une partie des pierres réutilisée pour la construction du calvaire situé près de la D1.

    Sion-les-Mines, anciennement appelé Syon, est établi sur le coteau dominant de 25 m la Chère et le Méguinel. Il était environné de forêts (Domnech, Teillay) et d’étangs.

    Les Romains s’installèrent à Domnech pour exploiter le minerai de fer très abondant à fleur de terre et y construisirent un camp fortifié ultérieurement transformé en château.

    Sion, éloigné de toute ville, connaît une évolution paisible des petites communes rurales. Les mines de fer employaient une main d’œuvre nombreuse jusque dans les années 1970 où leur exploitation cessa définitivement.

    La commune de Sion-les-Mines est dénommée Sion jusqu'au décret du .

    Les vingt-sept, de la carrière de la Sablière à Châteaubriant, le

    1re Sépulture : Sion les Mines

    Maurice Gardette : 49 ans, de Paris (20e), conseiller général communiste de la Seine. Son corps a été transféré dans le cimetière parisien du Père Lachaise.

    Claude Lalet : 21 ans, né à Montmorency (Val-d'Oise), militant communiste. Son corps a été transféré dans le cimetière parisien du Père Lachaise.

    Charles Michels : 38 ans, né à Paris (13e). Député communiste de la Seine, secrétaire de la Fédération C. G. T. des cuirs et peaux. Son corps a été transféré dans le cimetière parisien du Père Lachaise.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules au croissant accompagné de six molettes d'éperon, trois en chef, deux aux flancs, une en pointe, le tout d'argent.
    Commentaires : Blason de Geoffroy de Syon, reproduit dans les chartes des Blancs-Manteaux, sur le manuscrit dit de « L'Arsenal ». Blason (délibération municipale du ) enregistré le .

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 mars 1977 Roger Daguin[Note 7] RPF puis
    Rad. puis SE
    Médecin
    Conseiller général de Derval (1945 → 1979)
    mars 1977 mars 1989 Francis Lemaitre[Note 8]
    mars 1989 mars 2001 Yves David[Note 9] Agriculteur
    mars 2001 novembre 2005
    (démission)
    Maryse Hélion DVG
    novembre 2005 mars 2008 Claude Bouron
    mars 2008 mars 2014 Joseph David DVG Retraité de l'agriculture
    mars 2014 En cours
    (au 24 octobre 2022)
    Bruno Debray[Note 10] DVD Exploitant agricole

    Lieux et monuments

    • Une maison de maître de la forge des Hunaudières.
      Une maison de maître de la forge des Hunaudières.
    • La chapelle Saint-Eloi de la forge des Hunaudières.
      La chapelle Saint-Eloi de la forge des Hunaudières.

    Culture

    Du 22 au 28 mars 2023, une équipe de tournage dirigée par Frédéric Berthe a investi le château du docteur Daguin, dans la commune, pour les besoins d’une nouvelle série télévisée : Mlle Holmes avec Lola Dewaere et Tom Villa[34].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Réélu en 1947, 1953, 1959, 1965 et 1971.
    8. Réélu en 1983.
    9. Réélu en 1995.
    10. Réélu en 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Derval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sion-les-Mines et Derval », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Derval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sion-les-Mines et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sion-les-Mines (44197) », (consulté le ).
    26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    27. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    28. (br) Théophile Jeusset, « Anoiou Lec'hiou Breiz-Uhel », SAV,‎ , p. 92 (lire en ligne [PDF])
    29. « Menhir de Briangault », notice no PA00108827, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Menhir dit de la Grée à Midi », notice no PA00108829, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Menhir de Pierre-Pin ou Pierre des Huguenots », notice no PA00108828, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Monument mégalithique dénommé La Roche à la Bergère », notice no PA00108830, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Forge de la Hunaudière (ancienne) », notice no PA00108826, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/sion-les-mines-44590/reportage-silence-on-tourne-une-serie-tf1-dans-un-manoir-a-sion-les-mines-392daafe-d7ec-11ed-9036-01ba03dc3813
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