Transports en Maine-et-Loire
Le réseau de transport du département français de Maine-et-Loire est en grande partie organisé autour de sa préfecture et agglomération principale, Angers. L'axe de communication majeur formé par la vallée de la Loire tend à être supplanté à l'est d'Angers depuis le XXe siècle par un axe vers Le Mans et Paris, qui raccourcit de quelques dizaines de kilomètres le trajet entre l'Île-de-France et la basse Loire par rapport à l'itinéraire par Orléans et Tours.
Autoroutes | 194 km[1] | A11 A85 A87 |
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Routes nationales | 47 km[1] | N 162 N 249 |
R.D. et V.C. | 16 523 km[1] | |
Autocars interurbains | Aléop |
Principales gares de voyageurs | Angers Saint-Laud, Saumur, Cholet |
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Services voyageurs | Aléop en TER (TER Pays de la Loire), Rémi Train (TER Centre-Val de Loire), TER Nouvelle-Aquitaine, Interloire, Intercités, TGV inOui, Ouigo, Ouigo Train Classique |
Principaux ports |
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AĂ©roports | Angers Loire AĂ©roport |
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Réseaux de transport en commun | Irigo (Angers), Saumur Agglobus (Saumur), Choletbus (Cholet), Mooj ! (Mauges Communauté) |
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Transport routier
Infrastructures routières
L'axe principal du département est formé par l'autoroute A11, construite dans les années 1980, qui relie Paris et Le Mans à Nantes en desservant notamment l'agglomération d'Angers. Jusqu'en 2008, l'A11 s'interrompait au niveau d'Angers, qui était traversée par une voie rapide passant en pleine ville sur les berges de Maine ; le contournement Nord d'Angers permet aujourd'hui aux flux routiers de transit d'éviter le centre-ville. L'autoroute A85 et l'autoroute A87, ouvertes entre 1997 et 2003 et moins fréquentées, relient Angers respectivement à Saumur, Tours et le sud-est de la France, et à Cholet et la Vendée.
Au sud-ouest du département, la route nationale 249 relie à 2x2 voies Nantes à Bressuire, en desservant Cholet ; le prolongement de la voie rapide jusqu'à Poitiers est projeté. La route départementale 775, qui relie Angers à Segré et Rennes, et la route départementale 761 qui relie Angers à Doué-la-Fontaine et Poitiers, sont partiellement aménagées en 2x2 voies.
Parmi les autres axes principaux, on peut citer la route départementale 160, la route départementale 323 et la route départementale 723 qui formaient les axes principaux entre Angers et Cholet, Le Mans et Nantes avant la construction d'autoroutes sur les mêmes axes, la route nationale 162 vers Laval, la route départementale 960 entre Cholet et Saumur et la route départementale 752 qui unit Varades à Cholet.
Identifiant | Origine | Principales agglomérations desservies dans le département | Fin | Remarques |
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Autoroute A11 | Péage de Saint-Arnoult (Paris) | Durtal, Angers | Nantes | Autoroute concédée à 2x2 voies et à péage, sauf dans l'agglomération d'Angers, où elle est gratuite et à 2x3 voies. |
Autoroute A85 | Corzé (Angers) | Longué-Jumelles, Saumur | Theillay (Vierzon) | Autoroute concédée à 2x2 voies et à péage. |
Autoroute A87 | Écouflant ((Angers) | Mûrs-Érigné, Chemillé, Cholet | La Roche-sur-Yon | Autoroute concédée à 2x2 voies et à péage, sauf dans l'agglomération d'Angers, où elle est gratuite et partiellement à 2x3 voies. |
Route nationale 23 | Chartres (Paris) | Durtal, Angers, Ingrandes | Nantes (Paimboeuf jusqu'en 1972) | Déclassée en RD 323 et RD 723 en 2005 hors agglomération d'Angers, et en RD 523 en 2007 dans l'agglomération d'Angers. Les berges de Maine, à 2x2 voies au cœur de l'agglomération d'Angers, font l'objet d'un projet de réaménagement pour redonner aux piétons l'accès aux berges. |
Route nationale 23bis | Pré-en-Pail | Segré, Candé | Ancenis | Déclasssée en 1972 en RD 923. |
Route nationale 138 | Rouen | Baugé, Longué-Jumelles, Saumur, Montreuil-Bellay | Saintes | Déclassée en 1972 en RD 938 dans le département. La RN 138 a ensuite relié Rouen à Tours ; cet itinéraire a été déclassé à son tour en 2006 à l'exception d'une courte section à Rouen. |
Route nationale 147 | Limoges | Longué-Jumelles, Saumur, Montreuil-Bellay | Angers | Déclassée en 2006 dans le département en RD 347. Avant 1972, cette route nationale passait par Fontevraud-l'Abbaye plutôt que Montreuil-Bellay entre Loudun et Saumur, et se terminait à Saumur ; cet itinéraire originel a été déclassé en RD 947. La RN 147 existe toujours entre Limoges et Poitiers. |
Route nationale 149 (ancienne route nationale 148bis) | Nantes | Poitiers | Devenue RN 149 en 1972 lors du déclassement de la RN 149 originelle. Déclassée en RD 949 en 2006 dans le département. | |
Route nationale 152 | Angers | La Ménitré, Saumur | Briare (avant 1972) / Fontainebleau (après 1972) | Déclassée en RD 952, en 1972 entre Angers et Saumur et en 2006 à l'est de Saumur. |
Route nationale 152A | Varennes-sur-Loire | Montsoreau | Déclassée en 1972 en RD 952A. | |
Route nationale 159 | Tours | Laval | Déclassée en 1972 en RD 959. Le numéro 159 a ensuite été repris par une route nationale des Vosges et du Bas-Rhin. | |
Route nationale 159bis | Durtal | Châteauneuf-sur-Sarthe | Craon | Déclassée en 1972 en RD 859. |
Route nationale 160 | Angers | Mûrs-Érigné, Chemillé, Cholet | Les Sables-d'Olonne | Déclassée en 2006 en RD 160. Avant les déclassements de 1972, la RN 160 débutait à Saumur, et la section d'Angers à Cholet appartenait à la RN 161 ; l'itinéraire de Saumur à Cholet (par Doué-la-Fontaine et Vihiers) a été déclassé en 1972 en RD 960. |
Route nationale 161 | Angers | Mûrs-Érigné, Chemillé | Cholet | Itinéraire repris en 1972 par la RN 160 (voir-ci-dessus). Le numéro 161 a ensuite été repris jusqu'en 2006 par une courte route nationale de l'agglomération de Carcassonne. |
Route nationale 161bis | Segré | Bécon-les-Granits, Chalonnes-sur-Loire | Chemillé | Déclassée en 1972 en RD 961. |
Route nationale 162 | Le Lion-d'Angers (avant 2006 : Angers) | Mayenne (avant 1972 : Caen) | Déclassée en 2006 en RD 775 entre Angers et Le Lion-d'Angers. | |
Route nationale 163 | Saint-Jean-de-Linières (Angers) | Bécon-les-Granits, Candé | Rennes | Déclassée en 1972 en RD 963. |
Route nationale 163bis | Le Lion-d'Angers | Segré | Rennes | Déclassée en 1972 en RD 863, puis renumérotée en RD 775 en 2006 entre Le Lion-d'Angers et Segré. |
Route nationale 171 | Laval | Pouancé | Le Croisic | Créée en 1972 sur cet itinéraire et déclassée en 2006 en RD 771 dans le département. |
Route nationale 249 | Nantes | Cholet | Bressuire | Route nationale créée récemment, doublement à 2x2 voies de la RN149 par Cholet. |
Route nationale 260 | Angers | Mûrs-Érigné | Déclassée en 2006 en RD 260 d'Angers à Sorges ; intégrée à l'autoroute A87 de Sorges à Mûrs-Érigné. | |
Route nationale 323 | Saint-Jean-de-Linières | Beaucouzé | Courte bretelle, probablement créée dans les années 1980 après la création de l'autoroute A11, et déclassée en 2006 en RD 323. | |
Route nationale 347 | Vivy | Saumur | Distré | Rocade Ouest de Saumur créée en 1982 et déclassée en 2006 en RD 347. |
Route nationale 748 | Mûrs-Érigné (Angers) | Brissac-Quincé, Vihiers | Érigné (Niort) | Déclassée en 1972 en RD 748. |
Route nationale 751 | Pointe Saint-Gildas (commune de Préfailles, près de Pornic) | Champtoceaux, Saint-Florent-le-Vieil, Chalonnes-sur-Loire, Mûrs-Érigné, Gennes, Saumur | Les Fouchards (communes de Boulleret et Bannay, près de Cosne-Cours-sur-Loire) | Déclassée en 1972 en RD 751. |
Route nationale 751B | Les Rosiers-sur-Loire | Gennes | Déclassée en 1972 en RD 751B. | |
Route nationale 751C | Oudon | Champtoceaux | Déclassée en 1972 en RD 751C. | |
Route nationale 752 | Varades | Beaupréau, Cholet | Cheffois (La Châtaigneraie) | Déclassée en 1972 en RD 752. |
Route nationale 753 | Cholet | Saint-Jean-de-Monts | Déclassée en 1972 en RD 753. | |
Route nationale 756 | Tournebride (commune de La Haie-Fouassière, près de Nantes) | Beaupréau, Chemillé | Le Bourneau (commune de Vihiers) | Déclassée en 1972 en RD 756. |
Route nationale 761 | Brissac-Quincé | Doué-la-Fontaine, Montreuil-Bellay | Loudun | Déclassée en 1972 en RD 761 entre Brissac-Quincé et Montreuil-Bellay, reprise par la RN 147 entre Montreuil-Bellay et Loudun. En partie aménagée à 2x2 voies aujourd'hui. |
Route nationale 762 | Chalonnes-sur-Loire | Beaupréau | Gétigné (Clisson) | Déclassée en 1972 en RD 762. |
Route nationale 763 | Ancenis | Saint-Laurent-des-Autels | Belleville-sur-Vie (La Roche-sur-Yon) | Déclassée en 1972 en RD 763. |
Route nationale 766 | Seiches-sur-le-Loir (Angers) | Baugé, Noyant | Blois | Déclassée en 1972 en RD 766. |
Route nationale 767 | Arnage (Le Mans) | Noyant, Vernantes | Vivy (Saumur) | Déclassée en 1972 en RD 767. |
Route nationale 768 | Le Mans | Champigné | Avrillé (Angers) | Déclassée en 1972 en RD 768. |
Route nationale 770 | Châteauneuf-sur-Sarthe | Le Lion-d'Angers | Candé | Déclassée en 1972 en RD 770. |
Route nationale 817 | Beaugency (Orléans) | Baugé | Déclassée en 1972 en RD 817. |
Transport collectif de voyageurs
Le Maine-et-Loire est desservi par le réseau régional de transport routier Aléop, qui exploite 33 lignes dans le département. Angers possède une gare routière à proximité de sa gare ferroviaire.
Covoiturage et autopartage
La région Pays de la Loire subventionne le covoiturage domicile-travail réalisé via des applications en ligne[2].
Transport ferroviaire
Historique
La première ligne de chemin de fer du département est la ligne de Tours à Saint-Nazaire, ouverte en 1848 jusqu'à Saumur, en 1849 jusqu'à Angers et en 1851 jusqu'à Nantes. Jusqu'à la création de la SNCF en 1938, l'axe principal entre Paris et Nantes, exploité par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, était celui passant par Orléans et Tours[3]. Cette ligne du P.O. s'est retrouvée enclavée entre les réseaux de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest au nord et de l'Administration des chemins de fer de l'État au sud lorsque ces derniers se sont développés dans la deuxième moitié du XIXe siècle. À la fin du siècle, le réseau d'intérêt général exploité par ces compagnies atteignait notamment Baugé, Cholet, Doué-la-Fontaine et Segré. L'Administration des chemins de fer de l'État met bout à bout plusieurs petites lignes et les équipe pour constituer la ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean, alternative à la ligne du Paris-Orléans entre Paris et le Bordelais passant notamment par Saumur, mais cette ligne sera progressivement démantelée après la création de la SNCF.
Le Maine-et-Loire a également été desservi à partir de 1893 par le réseau de chemins de fer d’intérêt local du « Petit Anjou ». Ce réseau a totalement disparu en 1948.
Les lignes de Tours à Saint-Nazaire et du Mans à Angers sont électrifiées en 25 kV – 50 Hz en 1983. Depuis 1989, le TGV relie le Maine-et-Loire à Paris.
Quelques gares désaffectées : Gare d'Angers-Saint-Serge, Gare de La Pointe - Bouchemaine, Gare de Saint-Clément-des-Levées, Gare de Saint-Georges-sur-Loire, Gare de Saint-Martin-de-la-Place, Gare de Varennes-sur-Loire.
Situation actuelle
La gare d'Angers Saint-Laud, desservie par la plupart des TGV et Ouigo circulant entre Paris-Montparnasse et Nantes et reliée par des trains directs à Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille ou encore Montpellier, est la principale gare de voyageurs du département, avec 5 740 000 voyaageurs en 2019[4]. Les gares de Saumur et Cholet sont beaucoup moins importantes, avec une fréquentation annuelle respective de 722 000 et 500 000 voyageurs en 2019[4]. Les autres gares et haltes ferroviaires du département sont, en ordre alphabétique, Angers-Maître-École, Chalonnes-sur-Loire, Champtocé-sur-Loire, Chemillé, Écouflant, Étriché - Châteauneuf, Ingrandes-sur-Loire, La Bohalle, La Ménitré, La Possonnière, Le Vieux-Briollay, Les Rosiers-sur-Loire, Montreuil-Bellay, Morannes, Saint-Mathurin, Savennières - Béhuard, Tiercé, Torfou - Le Longeron - Tiffauges et Trélazé : ces gares sont desservies par le réseau régional Aléop (TER Pays de la Loire).
Les principales lignes ferroviaires traversant le département sont la ligne de Tours à Saint-Nazaire et la ligne du Mans à Angers-Maître-École, électrifiées et à double voie. Entre Angers et Nantes, la ligne de Tours à Saint-Nazaire est proche de la saturation en raison de l'intense trafic de trains à grande vitesse, de TER semi-directs et omnibus et occasionnellement de fret. En revanche, cette ligne est nettement moins fréquentée entre Tours et Angers, la majorité du trafic entre Paris et la basse Loire arrivant aujourd'hui par la ligne du Mans à Angers-Maître-École.
Aux côtés de ces axes principaux, trois lignes secondaires à voie unique desservent le département. La ligne de La Possonnière à Niort (fermée entre Cholet et Niort) et la ligne de Clisson à Cholet relient la gare de Cholet respectivement à Angers et Nantes. La ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean n'est plus que l'ombre d'elle-même : si elle est encore parcourue par quelques TER entre Saumur et Thouars (section qui a même été électrifiée en raison de son important trafic de fret), elle n’accueille plus de rares trains que sur quelques kilomètres au nord de Saumur.
Ligne de Tours à Saint-Nazaire | Double voie électrifiée aux tracé et profil excellents, dont certaines sections permettent des vitesses de 220 km/h. |
Ligne du Mans à Angers-Maître-École | Double voie électrifiée aux tracé et profil excellents, dont certaines sections permettent des vitesses de 220 km/h. |
Ligne de La Possonnière à Niort | Voie unique non électrifiée, non-exploitée et partiellement déclassée au-delà de Cholet. |
Ligne de Clisson à Cholet | Voie unique non-électrifiée. |
Ligne de Chartres Ă Bordeaux-Saint-Jean | Ancienne double voie, aujourd'hui :
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Ligne de La Flèche à Vivy | Déclassée de La Flèche (Sarthe) à Longué-Jumelles, voie unique exploitée uniquement pour des trains de fret de Longué-Jumelles à Vivy (vers Saumur). |
Ligne de Sablé à Montoir-de-Bretagne | Entièrement déclassée dans le département. |
Ligne d'Angers-Saint-Laud à La Flèche | Entièrement déclassée. |
Ligne de Laval à Pouancé | Entièrement déclassée. |
Ligne de Loudun à Angers-Maître-École | Entièrement déclassée sauf deux très courtes sections à Angers et Montreuil-Bellay, conservées pour du trafic fret. |
Ligne de Vouvant - Cezais à Saint-Christophe-du-Bois | Entièrement déclassée. |
Ligne de Perray-Jouannet aux Fourneaux | Entièrement déclassée. |
Ligne de Segré à Nantes-État | Entièrement déclassée dans le département. |
Ligne de Segré à Angers-Saint-Serge | Entièrement déclassée. |
Transport fluvial
La Mayenne, l'Oudon, la Sarthe et le Maine sont navigables, mais en pratique, le trafic fluvial est aujourd'hui très faible sur ces voies d'eau accessibles seulement à la navigation de plaisance (classe 0 CEMT[5]). La Loire a un gabarit un peu plus important en aval de Bouchemaine (classe II), mais l'absence de liaison avec d'autres bassins fluviaux ne lui permet pas d'avoir un trafic important.
Transport aérien
L'aéroport d'Angers-Loire n'accueille plus aucune ligne aérienne régulière. L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Nantes-Atlantique.
Le département compte en outre plusieurs aérodromes à Châteaubriant - Pouancé, Cholet - Le Pontreau et Saumur - Saint-Florent.
Transports en commun urbains et périurbains
Angers Loire Métropole, l'Agglomération du Choletais, la Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire et Mauges Communauté sont autorités organisatrices de la mobilité sur leur territoire et organisent des services de transport dans leur ressort territorial[6].
Les transports en commun angevins (réseau Irigo) se composent de 29 lignes de bus et, depuis 2011, d'une ligne de tramway. Deux autres lignes de tramway sont projetées. L'ancien tramway d’Angers avait déjà roulé dans les rues de la ville entre 1896 et 1949.
Les agglomérations de Saumur (qui avait également connu un petit réseau de tramway de 1894 à 1929) et Cholet assurent un service de bus à la fois urbain et rural sur leurs vastes territoires. Le réseau de Mauges Communauté, en revanche, est restreint et s'appuie essentiellement sur les lignes routières régionales Aléop.
Modes doux
L'itinéraire très fréquenté de La Loire à vélo, l'EuroVelo 6 ainsi que plusieurs voies vertes, véloroutes et sentiers de grande randonnée traversent le département.
La ville d'Angers a mis en place un système de vélopartage baptisé VéloCité.
Notes et références
- INSEE, « Réseau routier au 31 décembre 2018 : comparaisons départementales », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Aléop, c’est aussi le covoiturage ! », sur aleop.paysdelaloire.fr (consulté le )
- Henri Lartilleux, Géographie des chemins de fer français, vol. 1 : La S.N.C.F. [détail des éditions], p. 204
- SNCF, « Fréquentation en gares », sur data.sncf.com (consulté le )
- [PDF] « Les voies navigables du bassin de la Seine », sur VNF.fr, (consulté le ).
- Cerema, « Liste et composition des Autorités Organisatrices de la Mobilité au 1er janvier 2021 », sur cerema.fr, (consulté le ).
Voir aussi