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Durtal

Durtal est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Durtal
Durtal
Le centre-bourg de Durtal avec en arrière-plan, le château.
Blason de Durtal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe
Maire
Mandat
Pascal Farion
2020-2026
Code postal 49430
Code commune 49127
Démographie
Population
municipale
3 343 hab. (2020 en diminution de 1,01 % par rapport à 2014)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 22″ nord, 0° 14′ 24″ ouest
Altitude 34 m
Min. 21 m
Max. 94 m
Superficie 60,58 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Durtal
(ville isolée)
Aire d'attraction Durtal
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Tiercé
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Durtal
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Durtal
Liens
Site web Ville de Durtal

    Géographie

    Localisation

    Commune angevine du Baugeois, Durtal se situe à l'ouest de La Fléche, sur les routes D 59, D859 et D 323 (N 23)[1]. Le Loir traverse la partie sud de son territoire.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 662 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marcé », sur la commune de Marcé, mise en service en 1999[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 703,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à 49 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13], à 12 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Durtal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Durtal, une unité urbaine monocommunale[19] de 3 343 habitants en 2020, constituant une ville isolée[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Durtal, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,5 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), terres arables (15,4 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), cultures permanentes (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie et héraldique

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées (Castrum) Duristalli en 1030[26], Duristallum (sans date)[27].

    Il s'agit d'un des rares composés germaniques dans cette partie de la France, témoignage d'un établissement des Francs ou des Saxons. Il est issu du germanique stall « Ã©curie Â» ou « auberge Â»[26] ou encore « Ã©tablissement Â»[27], précédé d'un élément indéterminé[26].

    Homonymie avec Durstel (Bas-Rhin)[26] - [27] et même élément dans Herstal (Belgique, Haristallio VIIIe siècle)[27].

    Héraldique

    Armes de Durtal

    Les armes de Durtal se blasonnent ainsi :

    Écartelé, au premier et au quatrième de gueules au pal d'or, au deuxième et au troisième d'azur à la barre d'argent.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Plusieurs découvertes font état d'une occupation préhistorique et celtique du territoire de la commune : plusieurs haches en pierre polie, des haches en bronze à douilles, à talons et à ailerons, des fragments de haches, d'épées et d'une pointe de lance, un bracelet et un cerf en bronze de la période de La Tène III. Le lieu-dit la Grande Pierre pourrait désigner un ancien site mégalithique. L'occupation ancienne du lieu aurait pu être en lien avec un point de passage sur le Loir[28].

    Moyen Âge

    Vers 1050, sous le comte d'Anjou Geoffroy Martel, un premier château est créé à Durtal. Le site, avec son promontoire sur la rive droite du Loir, est favorable à une installation défensive et la construction d'un pont, peu de temps après le château, y concentre les circulations. Le premier château est probablement une construction en bois sur motte, mais munie d'une large enceinte. Le premier seigneur, Hubert Le Rasoir, y fait construire une chapelle et Geoffroi Martel en fait une paroisse indépendante[29].

    Le développement des échanges, grâce à la construction du pont, a pour conséquence la création d'un premier bourg, peut-être à l'intérieur de la première enceinte, puis d'un second près de l'ancienne église paroissiale de Gouis à partir de 1056/1060, donné à l'abbaye Saint-Aubin d'Angers et enfin d'un troisième, à partir de 1096, confié à l'abbaye Saint-Serge d'Angers[29].

    Au Moyen Âge, Durtal dépend de la sénéchaussée de Baugé. La seigneurie (baronnie) est longtemps associée à celle de Matheflon.

    Ancien régime

    Sous l'Ancien Régime et jusqu'à la Révolution française, Durtal dépend du Pays d'élection de La Flèche.

    Époque contemporaine

    Entre 1790 et 1794, Durtal fusionne avec les communes voisines de Gouis et de Saint-Léonard-de-Durtal[30].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Émile Poirier
    Victor Soulard
    Raphaël Devaux Retraité de la Gendarmerie

    (démission)
    René Schaeffer Centriste Ancien responsable d'entreprise arboricole
    [32] Jean Tardif MRG Retraité
    André Logeais DVG Professeur d'allemand retraité, président de la CC Portes de l'Anjou
    mai 2020 Corinne Bobet[33] DVG Responsable d'association d'insertion, vice-présidente de la CC Anjou Loir et Sarthe
    mai 2020 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Pascal Farion[34]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-même membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou.

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Durtal fait partie du canton de Durtal, dont elle est le chef-lieu, et de l'arrondissement d'Angers[35]. C'est l'un des quarante et un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Tiercé, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[36].

    Jumelages

    La ville de Durtal est jumelée[37] avec :

    La commune d'Obernkirchen en Allemagne

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2020, la commune comptait 3 343 habitants[Note 7], en diminution de 1,01 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 7623 1073 5413 2853 4653 4073 4523 5403 553
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 5273 5283 5123 2843 1703 2923 2203 1773 065
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 1553 1743 2182 8542 9592 6322 7952 9552 886
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3 1023 1613 2513 2403 1953 2243 3193 3103 349
    2015 2020 - - - - - - -
    3 3713 343-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 670 hommes pour 1 702 femmes, soit un taux de 50,47 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    2,9
    8,9
    75-89 ans
    10,8
    16,1
    60-74 ans
    16,8
    20,4
    45-59 ans
    18,6
    17,9
    30-44 ans
    18,2
    15,5
    15-29 ans
    13,0
    20,5
    0-14 ans
    19,7
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Vie locale

    On y trouve plusieurs clubs sportifs : handball, volley-ball, cyclisme, football, tennis, tennis de table, tir, moto, badminton, pétanque, etc[43].

    La société des courses de Durtal est représentée sur l'hippodrome de la Carrière, situé sur la commune des Rairies, distante de quelques kilomètres.

    Économie

    Sur 295 établissements présents sur la commune à fin 2010, 18 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[44].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Durtal a été récompensée de trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2011)[45].

    Monuments :

    • Le château de Durtal vu depuis le pont.
      Le château de Durtal vu depuis le pont.
    • Porte Verron.
      Porte Verron.
    • Le Loir.
      Le Loir.
    • Ancien lavoir.
      Ancien lavoir.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 88-93.
    • Dr. Émile Poirier, Histoire de Durtal de l'an 1000 à nos jours, Le livre d'histoire/Lorisse (Paris), 1999.
    • Abbé J. Grosbois, Durtal et ses environs, Rassorts Lorisse (Paris), 2006.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail Durtal (49), consulté le 2 septembre 2012.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Marcé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Durtal et Marcé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Marcé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Durtal et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Durtal », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 256b.
    27. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
    28. Port 1978, p. 90.
    29. Noêl-Yves Tonnerre, « Les bourgs angevins. Quelques exemples », dans André Chédeville et Daniel Pichot (dir.), Des villes à l'ombre des châteaux. Naissance et essor des agglomérations castrales en France au Moyen Âge, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Archéologie & Culture », , 239 p. (ISBN 978-2-7535-1144-6), p. 79-87.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. [PDF] 19 hommes et 1 femme comme premier magistrat, L'info n°90, été 2014, p. 4
    32. « Un nouveau maire à Durtal : Jean Tardif, radical de gauche », Ouest-France,‎ .
    33. Mairie de Durtal, Corinne Bobet, nouveau maire de Durtal, consulté le 7 avril 2014.
    34. « Durtal. Élections municipales. Pour Corinne Bobet : « Aucun élu ici présent est légitime » », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    35. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Durtal, consultée le 28 février 2015.
    36. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    37. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des affaires étrangères et européennes (consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Durtal (49127) », (consulté le ).
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    43. « Associations durtaloises (annuaire) », sur Mairie de Durtal (ville-durtal.fr), 2021-2022 (consulté le ).
    44. Insee, Statistiques locales du territoire de Durtal (49), consultées le 31 mars 2013.
    45. « Journal municipal L'infos n°80 », sur le site de la ville de Durtal (consulté le ).
    46. « Château-Bosset ou château Bocé », notice no PA00109091, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Château (Durtal) », notice no PA00109090, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Château de la Motte-Grollier », notice no PA00109433, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Manoir d'Auvers », notice no PA00109092, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Manoir de Serrain », notice no PA00109093, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105), p. 215.
    52. Hommage à Claude Bernard Aubert, sur Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD).
    53. Hommage. Durtal se souvient avec émotion de Michel Rocard, 7 juillet 2016, sur Le Courrier de l'Ouest.
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