Écouflant
Écouflant est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Écouflant | |||||
Vue d'Écouflant depuis la rive de la Sarthe. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Angers Loire Métropole | ||||
Maire Mandat |
Denis Chimier 2020-2026 |
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Code postal | 49000 | ||||
Code commune | 49129 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Écouflantais | ||||
Population municipale |
4 454 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 262 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
245 518 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 31′ 48″ nord, 0° 31′ 47″ ouest | ||||
Altitude | 32 m Min. 12 m Max. 50 m |
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Superficie | 17,02 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Angers (banlieue) |
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Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Angers-5 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Géographie
La commune d'Écouflant est bordée au nord et à l'ouest par la confluence du Loir et de la Sarthe, tout juste au nord d'une autre confluence qui donne naissance à la Maine. C'est cette situation naturelle particulière qui a donné son nom au bourg. Une bonne partie du territoire écouflantais est donc constitué de prairies inondables, notamment au nord ce qui explique que les inondations de 1995 avaient encerclé le bourg. Cette commune est située entre celles de Saint-Sylvain d'Anjou (à l'est), d'Angers (sud), de Cantenay-Épinard (ouest) et de Briollay (nord).
C'est un territoire qui se situe à la limite nord d'Angers, il fait partie de son agglomération. Si la population écouflantaise se chiffre à plus de 3 700 habitants, ceux-ci se répartissent pour moitié chacun sur deux pôles :
- le bourg périurbain d'Écouflant (au centre-ouest) bordé par la Sarthe, il est essentiellement résidentiel et à l'écart des grands axes routiers (cadre agréable et paisible) ;
- le quartier pavillonnaire et urbain d'Éventard (au sud-est) qui est une « excroissance » de la ville d'Angers. Éventard possède une zone d'activités en expansion, un hippodrome renommé et va s'étendre ces prochaines années avec la construction du futur quartier de Provins (autour de l'hippodrome).
Ces deux pôles sont séparés l'un de l'autre par deux lignes de rupture (l'autoroute A11 et la ligne chemin de fer Angers-Le Mans) et par un espace rural constitué de cutures horticoles (rosiers), de prairies exploitées par des éleveurs qui représentent les cultures spécialisées de la commune et des alentours.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 693,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à 76 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 12 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Écouflant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[17] et 245 518 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,6 %), zones urbanisées (11,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,4 %), terres arables (4,7 %), cultures permanentes (2,5 %), eaux continentales[Note 7] (1,4 %), forêts (0,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de « Villa conflentis », cité dans un document du Xe siècle (mentionnée vers 996-1010), semble indiquer ensuite un ancien domaine gallo-romain, le XIe siècle paraissant être la période de fondation du bourg, qui s'est successivement appelé Terra ad Conflens, Conflans, Escouflant et enfin Écouflant.
Du latin confluentes, donc confluent, se trouve en effet sur l'ancien confluent de la Sarthe et la Mayenne, aujourd'hui « Vieille Maine ». Le É- initial est un reste de ès (en les), donc littéralement le nom du bourg signifie : « près des eaux qui s'unissent ».
Histoire
Le bourg d'Écouflant
Le territoire d'Écouflant était déjà occupé à l'époque préhistorique comme l'atteste la découverte d'outils en silex.
Un établissement agricole gaulois, puis gallo-romain a été identifiée sur le territoire de la commune[24].
Une chapelle, dédiée à sainte Catherine, est fondée en 1218 sur le domaine de Beuzon ; elle sera reconstruite au XVIe siècle.
Aux XIIe et XVIIIe siècles, la proximité d'Angers fait sortir de terre nombre de maisons bourgeoises, pêcheurs et laboureurs vivant alors tant bien que mal.
De fait, il y a 150 ans, Écouflant était un village de pêcheux et de teilleux. Le chanvre est la principale culture, dont on extrait les fibres que l'on vend à l'usine Bessonneau d'Angers.
Le XIXe siècle voit de nombreux changements : construction de la mairie-école (1847-1849), de l'hospice (1873), de l'église (1877 à 1883) ; création de la gare, de la Poste ; aménagement de routes, levées et ponts ; établissement d'un port au bas du bourg en 1852.
Pendant la 1re moitié du XXe siècle, l'économie de la commune repose toujours sur l'agriculture, l'industrie étant pratiquement réduite à l'extraction de graves et à l'usine d'assainissement.
La création du quartier d'Éventard en 1970 provoque un véritable bouleversement humain et sociologique, la petite commune rurale d'Écouflant voyant sa population plus que tripler en deux ans (981 habitants en 1969 et 3 100 en 1971).
Le quartier d'Éventard
La réalisation, dans les années 1970, de la ZAC (Zone d'Aménagement Concerté) d'Eventard sur le reste des terrains initialement prévus pour l'industrialisation, bouleverse les données humaines et sociales de la commune.
Situé pour partie sur Angers, mais pour les 2/3 sur Ecouflant, le quartier d'Eventard crée aussi une situation atypique d'une commune ayant deux pôles d'habitat distincts et distants de 5 km.
C'est alors un quartier sans écoles, sans services, sans équipements ni transports en commun. Mais l'émergence d'une vie associative très forte, avec un travail militant considérable, permet à ce quartier de s'organiser et de se transformer avec l'ouverture du groupe scolaire George-Sand en 1977 puis l'implantation de commerces et d'équipements, dont le centre socioculturel Simone-Signoret en 1982 et la salle des sports en 1991.
Son évolution s'est poursuivie ces dernières années :
- En 2000, la place d'Éventard a été remodelée et une fontaine en schiste créée avec, en son centre, un cheval en inox sculpté par Gérard Garnier (Gari), artiste Écouflantais.
- En 2001-2003, le quartier a été entièrement requalifié en concertation avec les habitants à l'occasion de l'enfouissement des réseaux (traitement des espaces verts, des voies piétonnes et routières).
- Enfin, une nouvelle voie composée du boulevard de l'Epervière et de la route de la Confluence relie depuis 2001 le Bourg à Éventard en passant par la zone industrielle de Beuzon (extension du parc d'activités communautaire d'Angers-Écouflant). Cet axe permet aujourd'hui d'accéder directement aux voies structurantes de l'agglomération.
À noter que depuis 2003, la « Fête d'Éventard » a lieu chaque année le 1er week-end de septembre autour d'amicales rencontres sportives, suivies d'un pique-nique convivial et d'une soirée dansante à la Grange (voir rubrique Culture, sport, loisirs).
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[27], elle-même membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[28].
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, Écouflant fait partie du canton d'Angers-Nord-Est et de l'arrondissement d'Angers[29]. Ce canton compte alors quatre communes et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton d'Angers-5, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[30].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2020, la commune comptait 4 454 habitants[Note 8], en augmentation de 15,9 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,1 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 065 hommes pour 2 184 femmes, soit un taux de 51,4 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Tissu économique
Sur 275 établissements présents sur la commune à fin 2010, 6 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 16 % du secteur de la construction, 57 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[37].
La zone industrielle d'Écouflant
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abbaye du Perray-aux-Nonnains ;
- Église Saint-Jean-Baptiste ;
- Logis de Bellebranche ;
- Chapelle de Beuzon, dans le château de Beuzon ;
- La Grange d'Eventard ;
- Centre socio-culturel Simone-Signoret ;
- Hippodrome d'Eventard.
Personnalités liées à la commune
Laura Tanguy, Miss Pays de Loire 2007, 2e dauphine de Miss France 2008, Miss France par intérim, représentante de la France aux élections de Miss Univers et Miss Monde.
Jules Mougin, facteur-poète.
Nature
La commune d'Écouflant est située dans les Basses vallées angevines (BVA) et possède de fait une faune riche et diversifiée. Même la zone industrielle, largement arborée, est habitée d'un nombre non négligeable d'espèce[38].
Mammifères
Les mammifères sont bien présents sur la commune. À ce jour 27 espèces ont été recensées dont une partie par l'analyse des pelotes de réjection des rapaces nocturnes (campagnols, lérots…). Le ragondin, espèce invasive, est très présent et facile à observer au contraire du castor, espèce protégée, présent sur la commune mais très discret. Les mustélidés difficiles à observer sont peu représentés bien qu'ils soient certainement présents. Le hérisson est l'espèce la plus représentée parmi les animaux écrasés par les véhicules. Enfin six espèces de chauve-souris ont été détectées par l'enregistrement de leurs ultra-sons[38].
Oiseaux
La commune d'Écouflant est un site de nidification, d'hivernage et de passage pour de nombreux oiseaux. Ainsi 190 espèces et sous-espèces y ont été répertoriées. Les ardéidés sont particulièrement présents puisque 8 espèces de "hérons" ont été observées : fréquemment comme le héron cendré, l'aigrette garzette, la grande aigrette, le héron garde-bœufs, plus rarement le héron pourpré et le bihoreau gris, et une fois pour le butor étoilé et le crabier chevelu. Les prairies inondables sont un site de nidification important pour des espèces rares au niveau national comme le râle des genêts, le tarier des prés et la caille des blés. Elles abritent également entre autres espèces le bruant des roseaux, le bruant proyer, le bruant jaune, la bergeronnette printanière, la phragmite des joncs, la rousserolle effarvatte et sont des zones de passages pour les anatidés et d'autres migrateurs l'hiver. Les zones bocagères et les bois abritent de nombreuses autres espèces dont quatre de picidés : pic vert, pic épeiche, pic épeichette, pic noir[38].
Libellules
Sur la commune d'Ecouflant 45 espèces de libellules (odonates) ont été répertoriées, les plus rares étant le leste dryade et l'oxycordulie à corps fin[38].
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876), 491 p. (BNF 34649310, lire en ligne), p. 100-101
- Association Pages d'Histoire, Ecouflant, la vie dans les années 1930, 1997
- Municipalité & Pages d'Histoire, Ecouflant, à travers le XXe siècle, 2000
- Association Pages d'Histoire, Eventard, des Gaulois à nos jours, 2002
- Association Pages d'Histoire, Ecouflant, Ã travers les conflits, 2004
- Association Pages d'Histoire, Objets d'antan, objets d'Ecouflant, 2008
- Association Pages d'Histoire, Ecouflant, Figures, rues et lieux-dits, 2011, 189 pages
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Beaucouzé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Écouflant et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Beaucouzé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Écouflant et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Une ferme et un ouvrage hydraulique d’époque gallo-romaine à Écouflant, inrap.fr, 15 octobre 2019.
- Ouest-France, « Travail, rigueur, transparence » pour le nouveau maire, article du 31 mars 2014.
- « Écouflant. Le maire Denis Chimier réélu pour un second mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Écouflant, consultée le 15 mars 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écouflant (49129) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Écouflant (49), consultées le 31 mars 2013.
- LPO Anjou, « Les espèces de votre commune », sur faune-anjou.org (consulté le ).