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Varennes-sur-Loire

Varennes-sur-Loire est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Varennes-sur-Loire
Varennes-sur-Loire
Moulin cavier, Le Champ-des-ÃŽles.
Blason de Varennes-sur-Loire
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire
Maire
Mandat
Gilles Talluau
2020-2026
Code postal 49730
Code commune 49361
Démographie
Gentilé Varennais
Population
municipale
1 859 hab. (2020 en diminution de 0,38 % par rapport à 2014)
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 14′ 21″ nord, 0° 03′ 17″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 32 m
Superficie 22,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saumur
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Longué-Jumelles
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Varennes-sur-Loire
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Varennes-sur-Loire
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Varennes-sur-Loire
Liens
Site web Site de Varennes-sur-Loire

    Géographie

    Varennes-sur-Loire sur la carte de Cassini.

    Cette commune est située dans la vallée de l'Authion, en bordure de Loire sur la rive gauche, en limite du département d'Indre-et-Loire[1].

    Elle est traversée par le méridien de Greenwich.

    Le bourg est implantée sur un monticule insubmersible en retrait de la levée et sur un axe nord sud perpendiculaire à la Loire. Cette levée a été construite aux XIIe et XVe siècles à la suite d'une charte d’Henri II Plantagenêt faisant état d’un système de digues pour endiguer les crues de la Loire.

    Les inondations de la Loire sont des inondations de plaine régulières et progressives, plus ou moins rapides en fonction de la topographie et des aménagements du bassin versant, par suite de pluies importantes et durables provoquant le débordement du cours d’eau. Les inondations qu'a connues le Val d’Authion relèvent du type « crues mixtes », c'est-à-dire une conjonction de crues d’origine atlantique et de crues d’origine cévenole (amont du bassin). Les espaces situées derrière des levées sont exposés à des inondations par submersion ou par risque de ruptures brutales de la levée. La dernière rupture de la levée de l'Authion date de 1856. Les dernières crues les plus importantes du fleuve sont celles de 1910 et . La crue de référence qui a servi à l’élaboration du plan de prévention du risque inondation (PPRi) est celle de , reconnue comme événement historique.

    La commune de Varennes-sur-Loire étant exposée au risque naturel d'inondation sur tout ou partie de son territoire, un plan de prévention des risques technologiques et naturels[2] (PPRT) a été élaboré le par arrêté préfectoral (révision no 2006-148 du ).

    Arrêtés portant reconnaissances de catastrophes naturelles

    Catastrophe Début Fin Arrêté du Paru au
    Journal officiel
    Inondation :
    * Par ruissellement et coulée de boue
    * Par une crue (débordement de cours d’eau)
    Inondation :
    * Par ruissellement et coulée de boue
    * Par une crue (débordement de cours d’eau)
    Mouvement de terrain - Tassements différentiels
    Inondation :
    * Par ruissellement et coulée de boue
    * Par une crue (débordement de cours d’eau)
    Mouvement de terrain
    Inondation :
    * Par ruissellement et coulée de boue
    * Par une crue (débordement de cours d’eau)
    Source : Arrêté préfectoral

    Communes voisines

    Les communes les plus proches sont (classées selon la distance orthodromique du centre du bourg)[3] :

    • Montsoreau ~ km
    • Turquant ~ km
    • Candes-Saint-Martin ~ km
    • Parnay ~ km
    • Souzay-Champigny ~ km
    • Chouzé-sur-Loire ~ km
    • Saint-Germain-sur-Vienne ~ km
    • Fontevraud-l'Abbaye ~ km
    • Allonnes ~ km
    • Villebernier ~ km
    • Brain-sur-Allonnes ~ km
    • Saint-Nicolas-de-Bourgueil ~ km
    • Savigny-en-Véron ~ km

    Écologie

    La commune, ayant approuvé la charte du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine, a été classée appartenant au parc naturel régional par décret du .

    L'ilôt de Parnay, en bordure de Loire, constitue un site de nidification important pour plusieurs espèces d’oiseaux protégés, en particulier la sterne naine, la sterne pierregarin, le pluvier petit-gravelot. Le site fait l'objet d’un suivi ornithologique.

    Un sentier des Mariniers relie Chouzé-sur-Loire à Varennes-sur-Loire en longeant la Loire en rive droite, du confluent de la Loire et de la Vienne en direction du pont de Montsoreau, formant des circuits pédestres de quatre, huit ou douze kilomètres.

    Un parcours cycliste traverse la commune : le projet « La Loire à vélo », lancé en 1995, comptera à terme 800 km — dont 600 km de parcours déjà aménagé, sécurisé et signalé —, 300 aires d'arrêt ainsi que l'accessibilité des gares aux vélos.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 620 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savigny - Veron », sur la commune de Savigny-en-Véron, mise en service en 1988[10] et qui se trouve à huit kilomètres à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 647,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 57 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[14], à 11,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Varennes-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,4 %), terres arables (21,6 %), prairies (10,7 %), eaux continentales[Note 7] (7 %), zones urbanisées (4,2 %), cultures permanentes (3,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie et blasonnement

    Toponymie

    Le nom actuel de Varennes a une consonance géographique. En effet, une varenne désignait un monticule insubmersible qui se formait dans le lit de la Loire et où se réfugiaient les animaux durant les crues (d'où la présence d'un « lapin de garenne » sur le blason de Varennes).

    Le nom de la commune a largement évolué au cours des siècles[24] - [25] - [26] : Varennœ en 931, Varena en 1150, Parochia Sancti Martini de Varennis en 1243, Varenna-in-Valeya en 1348, Varennes-sous-Montsoreau en 1414, Varennes en 1496, Varennes-sous-Bourgueil en 1685, Varannes-sous-Montsoreau jusqu'à la Révolution avec l'orthographie Varennes-sous-Montsoreau ; durant la Révolution, la commune porte le nom de Varennes-sur-Loire[27] - [28], son nom actuel, puis reprend le nom de Varennes-sous-Montsoreau jusqu'en 1892, et de nouveau Varennes-sur-Loire après cette date[29].

    Blason

    Trois tours d'or sur champ de gueules[30] représentent les trois fiefs dont dépendait Varennes : la Motte, Chavigny et Chanfreau.
    L'écusson de sable[30], chargé d'un lapin de garenne arrêté d'argent[30], évoque le vieux mot varenne.
    La ligne ondulée blanche représente la « Levée », digue construite vers 1160.
    La partie bleue symbolise la Loire.
    La cloche posée sur vagues d'azur[30] est celle des mariniers, symbole de la marine de Loire.

    Histoire

    Des vestiges préhistoriques et antiques attestent d'une présence protohistorique. Le village est mentionné au Xe siècle.

    La commune porte le nom de Varennes-sous-Montsoreau jusqu'en 1892, et de Varennes-sur-Loire après cette date ; à partir de 1791 elle fait partie du canton de Brain-sur-Allonnes, depuis 1797 du canton d'Allonnes et désormais (décret du ) du canton de Longué-Jumelles.

    Les premiers rails de chemin de fer arrivèrent dans le département de Maine-et-Loire en 1848 à Varennes-sur-Loire. Ces rails seront les premiers de la région des Pays-de-la-Loire[31] pour assurer un débouché maritime à la Compagnie du PO par l’intermédiaire de sa filiale la Compagnie de Tours à Nantes avec laquelle elle fusionnera le . En , la construction de la ligne de Tours à Saumur représente un des maillons de la radiale Paris-Nantes et au-delà. Depuis, la gare de Varennes a été fermée et le bâtiment vendu.

    Politique et administration

    Maires successifs

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1788 Alain Nicolas - -
    1790 Alain Nicolas - -
    1792 Bruneau - -
    An V Félix Morry - -
    1er Messidor an VIII Louis Champneuf - -
    1808 Jacques-Clément Bonnemère - -
    1813 Jacques-Clément Bonnemère - -
    Pierre Bouilly - -
    Jacques-Clément Bonnemère - -
    Pierre Bouilly - -
    Pierre Bruneau - -
    1832 Joseph-Claude Bonnemère - -
    Pierre-René Jean Bouilly - -
    ? Léon Niverlet - -
    Louis-Pierre Hervé - -
    Léon Niverlet - -
    Urbain Rousse-Milsonneau - -
    Courtois - -
    Jean Gauchais - -
    Camille Courtois - -
    Albert Marsille - -
    Alfred Terrien - -
    Jean Meynard - Maçon
    André Gaignard - Agriculteur
    Marcel Bietrix - Mécanicien
    Pierre Constantin - Vétérinaire
    Jacques Saint-Cast DVD Capitaine au long cours retraité
    Gilles Langé - Enseignant
    Gérard Bornes - Militaire retraité
    En cours
    (au 25 mai 2020)
    Gilles Talluau[32] - [33] DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Participations aux élections

    Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.
    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
    Année Élu Battu Participation
    2002 872 - 82,89 % Jacques Chirac RPR 180 - 17,11 % Jean-Marie Le Pen FN 1118 - 81,84 % [34]
    2007 688 - 61,70 % Nicolas Sarkozy UMP 427 - 38,30 % Ségolène Royal PS 1162 - 85,07 % [35]
    2012 420 - 39,29 % François Hollande PS 649 - 60,71 % Nicolas Sarkozy UMP 1143 - 81,18 % [36]
    2017 530 - 54,41 % Emmanuel Macron EM 444 - 45,59 % Marine Le Pen FN 1083 - 78,42 % [37]
    2022 % Emmanuel Macron LREM % Marine Le Pen RN % [38]
    Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    Année Élu Battu Participation
    Varennes-sur-Loire est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    Avant 2010, Varennes-sur-Loire est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    2002 % % % [39]
    2007 % % % [40]
    Après 2010, Varennes-sur-Loire est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .
    2012 % % % [41]
    2017 % % % [42]
    2022 % % % [43]
    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 % % 527 - 39,12 % [44]
    2009 % % 502 - 36,22 % [45]
    2014 % % % [46]
    2019 % % % [47]
    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 % % % [48]
    2010 % % % [49]
    2015 % % % [50]
    2021 % % % [51]
    Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    Année Élu Battu Participation
    Varennes-sur-Loire est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
    2001 % % % [52]
    2004 % % % [53]
    2008 % % % [54]
    2011 % % % [55]
    Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    Année Élus Battus Participation
    Varennes-sur-Loire est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
    2015 % % % [56]
    2021 % % % [57]
    Référendums.
    Année Oui (national) Non (national) Participation
    1992 397 - 45,01 % (51,04 %) 485 - 54,99 % (48,96 %) 915 - 71,21 % [58]
    2000 230 - 70,77 % (73,21 %) 95 - 29,23 % (26,79 %) 396 - 29,57 % [59]
    2005 413 - 44,79 % (45,33 %) 509 - 55,21 % (54,67 %) 954 - 71,51 % [60]

    Nombre d'inscrits aux différentes élections, abstentions, blancs et nuls, exprimés :

    • Référendum 1992 : 1285, 370 (28,79 %), 33 (3,61 %), 882 (96,39 %)
    • Référendum 2000 :1 339 , 943 (70,43 %), 71 (17,93 %), 325 (82,07 %)
    • Présidentielle 2002 : 1366, 248 (18,16 %), Blancs/Nuls = 66 (5,90 %), 1052 (94,10 %)
    • Européenne 2004 : 1347, 820 (60,88 %), 17 (3,23 %), 510 (96,77 %)
    • Référendum 2005 : 1334, 380 (28,49 %), 32 (3,35 %), 922 (96,65 %)
    • Présidentielle 2007 : 1366, 204 (14,93 %), 47 (4,04 %), 1115 (95,96 %)
    • Municipale 2008 (19 sièges à pourvoir) : 1378, 361 (26,20 %), 36 (3,54 %), 981 (96,46 %)
    • Européenne 2009 : 1386, 884 (63,78 %), 26 (5,18 %), 476 (94,82 %)
    • Présidentielle 2012 : 1408, 265 (18,82 %), 74 (6,47 %), 1069 (93,53 %)

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire. La commune était précédemment membre de la communauté d'agglomération de Saumur Loire Développement[61].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Varennes-sur-Loire fait partie du canton d'Allonnes et de l'arrondissement de Saumur[62]. Ce canton compte alors sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[63].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[65].

    En 2020, la commune comptait 1 859 habitants[Note 8], en diminution de 0,38 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7922 1442 2562 5002 4162 6052 5962 5962 536
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 4072 2052 2092 0001 9341 8071 7461 7341 642
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5781 5361 4491 3781 3921 3951 4061 5591 674
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 7661 7261 6551 8401 8471 8001 8961 8841 829
    2020 - - - - - - - -
    1 859--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,2 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 897 hommes pour 938 femmes, soit un taux de 51,12 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[67]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,8
    8,4
    75-89 ans
    11,3
    23,5
    60-74 ans
    20,8
    20,0
    45-59 ans
    19,8
    16,5
    30-44 ans
    15,2
    13,2
    15-29 ans
    11,7
    17,7
    0-14 ans
    19,5
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[68]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Structures communales

    Varennes a disposé d'une compagnie de sapeurs-pompiers, depuis la création des « gardes-pompiers » par Napoléon, jusqu'à sa dissolution le .

    Varennes dispose également d'un camping, le camping de la Brêche, situé à proximité de l'étang de la Brêche.

    Santé

    Une maison de santé pluridisciplinaire a ouvert en .

    Sports

    Le club de football a fusionné avec celui de la commune de Villebernier. L'USV, en fusionnant, a donné l'ESVV, dont les résultats sont partagés entre les juniors et les seniors.

    Culture

    Depuis le , la commune a une fanfare, l'Harmonie musicale de Varennes-sur-Loire, qui anime régulièrement les fêtes villageoises.

    Médias

    Le central téléphonique desservant la commune est situé à Montsoreau, de l'autre côté de la Loire. Il comporte environ 2 500 lignes. Bien qu'équipé des offres ADSL, ADSL Max et ADSL2+ du réseau France Télécom, il n'est pas possible pour nombre d'abonnés de bénéficier de ces offres.

    Outre l'accès par satellite, l'attribution d'une licence WiMAX a une délégation de service public permettant d'installer un réseau hertzien utilisant cette technologie, a offert des connexions internet haut-débit aux internautes situés en zone blanche ADSL.

    Le déploiement de la fibre optique est en cours.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Vide-greniers : dernier dimanche de mai ;
    • Grande tablée Varennaise : samedi soir, mi-juin ;
    • Fête des battages : dernier dimanche de juillet ;
    • Visites du moulin du Champ des Isles.
    • Grande tablée des petits-champs.

    Économie

    Sur 116 Ã©tablissements présents sur la commune à fin 2010, 38 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 36 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[69]. Fin 2015, sur les 117 établissements actifs, 27 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 48 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[70].

    Culture locale et patrimoine

    Architecture inscrite aux Monuments historiques

    • Église Saint-Martin-de-Vertou des XIIe, XVe et XVIe siècles, inscrite aux MH par arrêté du :
      • voûte d'ogives au-dessus de l'autel, voûte qui est le seul reste de la première église de Varennes (fin XIIe siècle),
      • cloche en bronze, fondue en 1547 (porte la date) pour être installée dans la chapelle du manoir de Lece à Chouzé-sur-Loire (Indre-et-Loire) ; après la vente nationale du manoir, en 1796, la cloche est transférée dans une maison de Gaure à Varennes-sur-Loire ; en 1952 elle est donnée par le propriétaire de cette maison, à la commune de Varennes-sur-Loire qui la fait installer dans le clocher de l'église paroissiale,
      • lutrin massif du XVIIe siècle,
      • tableau[71] peint par Claude Musy le père, au XVIIe siècle, issu de l'Abbaye de Fontevraud. On y voit Saint François prêchant en présence de Louis XIII et de son épouse Anne d'Autriche,
      • portail du XIXe siècle ;
    • Moulin cavier « Le Champ-des-ÃŽles », construit de 1822 à 1826, en fonction jusqu'en 1911, restauré en 1992, inscrit aux MH par arrêté du ;
    • Moulin à vent de La Croix-des-Noues, inscrit aux MH par arrêté du .
    • Ferme de Mongeville, à colombage du XVIe siècle, en brique rouge, inscrite aux MH en totalité par arrêté du ;
    • Manoir de Chanfreau (XVe et XVIe siècles) : tours, tourelles, grange dîmière ;
    • Ancienne gentilhommière de Chavigny (XVe et XVIe siècles) ayant appartenu à Rabelais ;
    • Cadran lunaire (inscrit à l'inventaire général) en ardoise gravée de 1661.
    • Gare, construite en 1848, inscrite aux MH par arrêté du ;

    Église paroissiale

    Façade de l'église de Varennes-sur-Loire.

    L'église paroissiale Saint-Martin-de-Vertou à Varennes-sur-Loire est située sur la place du Jeu-de-Paume. Elle est construite selon un plan en croix latine.

    Son clocher date du XIIe siècle ; les 4e et 5e travées du bas-côté nord sont du dernier quart du XVe siècle (on y distingue une date incomplète : 149.) ; le bas-côté sud est construit en 1515 (dates gravées dans la 5e travée et au-dessus de la porte sur la façade ouest, seules les 4e et 5e travées paraissent avoir été voûtées à cette date ; les trois autres travées sont couvertes provisoirement jusqu'en 1560, date à laquelle elles reçoivent des voûtes (portant la date) ; le chœur et la travée le précédant sont commencés en 1516, achevés en 1518 (porte la date) ; la nef est couverte d'un lambris en 1520 permettant ainsi la bénédiction de l'église le ; suit alors la construction des 1re, 2e et 3e travées du bas-côté nord en 1531 (porte la date) ; en 1880 a lieu la réfection des piliers de la nef (porte la date), avec destruction du lambris et construction de voûtes de style XVIe siècle ; en même temps, il y a réfection des charpentes et de la toiture de la nef, puis reconstruction des trois pignons de la façade ouest.

    Sur les clefs de la voûte de la nef centrale, sont représentées les armes du pape Léon XIII et de monseigneur Freppel, évêque d'Angers.

    Tableau peint par Claude Musy

    Il représente la famille royale agenouillée au pied de saint François d'Assise prêchant la dévotion au scapulaire. D'une largeur de 80 cm sur une hauteur de 45 cm, il est signé Claude Musy pinxit invenit. Claude Musy l'aurait peint dans le 2e quart du XVIIe siècle, probablement vers 1636. Propriété de la commune et protégé depuis le , il est désormais classé au titre des objets classés Monuments historiques depuis le .

    Moulins à vent

    La position géographique de Varennes étant dans un couloir de vents de deux vents dominants, il y a eu jusqu'à neuf moulins à vent[72] à Varennes-sur-Loire, dont sept de type cavier, partiellement conservés ou détruits ; tous cessèrent de fonctionner avant ou pendant la Première Guerre mondiale.

    L'histoire de la paroisse de Varennes indique qu'un moulin à vent fut détruit en 1617 par la foudre.

    La Croix-des-Noues

    Le moulin à vent de La Croix-des-Noues, inscrit aux MH, a été construit en 1852 ; les virants et les tournants provenaient d'un moulin situé à Bonneveau, sur la commune de Brain-sur-Allonnes ; il était équipé d'ailes Berton ; il a cessé de fonctionner en 1914 ; un nouveau logis est élevé alors au sud du massereau, à l'emplacement de deux caves détruites. Dans la partie inférieure maçonnée du moulin, ne subsistent que deux caves voûtées en plein-cintre de part et d'autre de la tour du massereau, les deux autres ayant été détruites lors de la construction du nouveau logis sud.

    Moulin Beilloire-Hersard

    Le seul moulin cavier du Champ-des-Îles encore existant —et visitable—, inscrit aux MH, a été construit de 1822 à 1826 (indiqué dans le cadastre de 1840). Il fut équipé d'ailes Berton et cessa de fonctionner en 1915. Restauré par le couple Nicole Granier-Claude Vinatier à partir de 1977, il a été remis au vent le [73]. Le , en fin de soirée, la tête de l’arbre s’est brisée au ras de la hucherolle et les quatre ailes sont tombées sur la masse et la toiture des bâtiments voisins.

    Propriétaires successifs[74] :

    • : vente par M. Robidat, vétérinaire à Varennes-sur-Loire, à M. Patrice Fouricau ;
    • : vente par M. Fouricau à M. Louis-Honoré Borien, meunier-boulanger à Varennes ;
    • : vente à M. François Nicolas Beilloire, marinier, et sa femme Louise Cholet ;
    • Désiré Urbain Beilloire (1849-1911), hérite de ses parents ; à son mariage () avec Ernestine Hersard, leurs initiales B et H sont gravées sur la maison ;
    • : Mort de Désiré Beilloire, sa veuve cède l'exploitation du moulin en 1913 à Lechat, meunier voisin ;
    • : Mort d'Hernestine Hersard-Beilloire ; le moulin revient en héritage à Mathilde, Désirée, Ernestine Beilloire (1881-1964) ;
    • : M. et Mme Granier reçoivent en héritage par donation de Mathilde Beilloire, moulin, maison et terres ;
    Moulins Gaignard

    Deux autres moulins sur la propriété Gaignard sont désormais entièrement détruits dont celui sur lequel était fixé un cadran lunaire sur lequel est écrit en vieux français[75] :

    « Le passage de l'ombre c'est un temps
    Ce n'est pas ô mortels cette ombre qui se passe
    Sont vos ans, sont vos jours qui ne font que passer
    L'ombre passe et repasse tous les ans, tous les jours.
    Mais vos ans et vos jours passent sans repasser. »

    C'est le que les voûtes du moulin Gaignard s'effondrent. Marguerite Tortu l'apprend à sa mère Mathilde :

    « ...ce moulin et celui dont les pierres ont servi à construire la maison des Gaignard appartenaient aux seigneurs du château de Champhroux. Parmi les décombres du moulin, un cadran lunaire en ardoise daté de 1661 est retrouvé, détail fourni le par Marguerite. Il y a une photographie de celle-ci tenant le cadran lunaire entre ses mains que Mathilde fait reproduire sous forme de cartes postales... »

    — Sylvie Estrade, La terre, le père et le moulin, p. 180.

    Moulin Marsille

    Il reste encore le massereau (l'assise) du moulin de la propriété Marsille.

    Moulin Lechat

    Le moulin est construit en 1818 par Pierre Beaufils sur la parcelle « d 962 ».

    En 1847, il est propriété de René Beaufils, fils du précédent qui le vend en 1862 à Toussaint Mitonneau, marchand de grains[76]. Il est revendu le à Louis Soyer et sa femme Joséphine Malecot pour la somme de douze mille cinq cent cinquante francs[77] ; il est transmis par héritage en 1883 à Marie-Joséphine Soyer, épouse d'Auguste Lechat[78] ; le il est à nouveau transmis par héritage à Louis-Xavier Lechat ; le [79] il est retransmis à Jean-Paul Lechat, propriétaire actuel.

    Le moulin s'est arrêté de fonctionner en 1915 et les ailes démontées pour échapper à une imposition de l'époque. Différentes pièces de l'intérieur ont servi à la reconstruction du moulin bleu à Bourgueil (Indre-et-Loire) ; les chandelles qui soutenaient les meules sont maintenant sous l'autel dans l'église de Varennes. La hucherolle qui devenait dangereuse a été démontée en 1965 et il ne reste maintenant que le massereau.

    Mongeville

    À Mongeville, un moulin à vent cavier a été construit en 1846 dont ne subsiste que la partie inférieure en terre et maçonnerie ; les tournants et virants en charpente ont été détruits ; le logis est construit à la même époque à l'écart du moulin.

    Manoir de Mongeville

    Le manoir de Mongeville à Varennes-sur-Loire est une maison d'habitation de plan rectangulaire en pan de bois construite dans la première moitié du XVIe (une cheminée aujourd'hui disparue portait la date 1517). Cette maison inscrite aux MH, inhabitée depuis fort longtemps, est dans un état de conservation archéologique exceptionnel. Faute d'entretien, ce bâtiment, classé MH en 1997, menace ruine.

    Manoir de Chanfreau

    Le manoir de Chanfreau date du XVe siècle ; son logis a été en partie détruit au XIXe siècle. De ce fait, sa toiture a été abaissée en 1924 (datation par travaux historiques) et les percements de la façade sud ont été modifiés au cours des années 1950-60. L'entrée comprend un pigeonnier, et les vestiges d'une enceinte, avec une grange et des logements au nord-est. L'un de ces derniers a été remanié en 1706 (porte la date). Le logement sud construit en 1728 (porte la date), est actuellement en ruine. Les combles du logis primitif (détruit en 1924) étaient desservis par un escalier dans une tour située sur la façade sud[80] et détruite au XIXe siècle.

    Maisons de maîtres

    Il subsiste de nombreuses maisons de maîtres, construites en tuffeau et couvertes d'ardoises comme celle située aux « Grandes Gourdes » dont le corps de bâtiment côté est du logis date du XVe siècle, celui du rez-de-chaussée à l'ouest, de la 2e moitié du XVIe siècle, rehaussé d'un étage et de combles au cours de la 2e moitié du XVIIe siècle ainsi que les parties agricoles au sud et le logement des domestiques. Ces derniers, remaniés et agrandis au XIXe siècle, ont été vendus au début du XXe siècle pour former une propriété distincte. Le logis de ferme a été allongé vers l'est en 1943 (porte la date). Une magnifique girouette est située sur le bâtiment sud-est des parties agricoles.

    Monument aux morts

    Monument aux morts de Varennes-sur-Loire.

    Le monument aux morts de Varennes-sur-Loire est situé sur la place du Jeu-de-Paume, face à l'église. Construit en 1921, son décor représente un buste de femme figurant la république, encadré de chutes de laurier, surmonté d'une palme.

    Ports sur la Loire

    En allant vers Villebernier, au lieu-dit Gaure, un port datant de la 2e moitié du XIXe siècle est constitué de quatre cales étagées sur deux niveaux : les deux cales inférieures, partant du lit de la Loire rejoignent un plateau intermédiaire d'où s'élèvent les deux cales supérieures pour atteindre le niveau de la RN 152 au sommet de la levée. C'est de là que partait et arrivait le bac permettant la traversée de la Loire, bac remplacé par la construction plus à l'est d'un pont en 1901.

    Du lieu-dit Le port de Varennes, encore plus à l'est, on a une vue sur Montsoreau, Candes-Saint-Martin et le confluent de la Loire et de la Vienne. Ce lieu est actuellement utilisé en espace de loisirs (parcours pédestre).

    Pont de Varennes-Montsoreau

    Construit en 1901, il franchit la Loire entre les communes de Varennes-sur-Loire et de Monsoreau. C'est un pont-route en poutres en treillis[81].

    Durant la Seconde Guerre mondiale, le pont fut détruit par la Résistance, qui l'a bombardé depuis les hauteurs de la rive sud pour s'opposer aux Allemands qui avaient envahi Varennes.

    Gare SNCF

    La gare de Varennes-sur-Loire est inscrite à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du .

    Dans une scène du film La Cage aux rossignols, tourné dans les studios des Buttes-Chaumont puis à Varennes et l‘abbaye de Fontevraud en 1944, on peut voir le comédien Noël-Noël entrer dans la gare en courant avant que le tournage du film soit interrompu par l'offensive américaine qui a suivi le débarquement du 6 juin 1944.

    Elle est actuellement fermée à tout trafic (voyageurs ou marchandises).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 660-665.
    • Sylvie Estrade et Claude Rivals, La terre, le père et le moulin : ou les carnets de Mathilde, femme chrétienne en Anjou, Le Coudray-Macouard, Cheminements, coll. « Les Gens d'ici », , 356 p. (ISBN 2-914474-05-9, lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

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    2. Loi Bachelot.
    3. Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Varennes-sur-Loire (49), consulté le 9 juin 2014 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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    11. « Orthodromie entre Varennes-sur-Loire et Savigny-en-Véron », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    24. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874-1878.
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    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Travail de l'Assemblée et productions du roi et des ministres. Renvoi au comité de Division de la demande de la commune de Varenne-sous-Montsoreau (Maine-et-Loire) à changer de nom, lors de la séance du 4 frimaire an III.
      « Le conseil général de la commune de Varennes-sous-Monferrant [Montsoreau] [Maine-et-Loire] félicite la Convention sur ses travaux. Honteux, ajoutent-ils de porter un nom qui nous rappelle que nous avons été serfs, nous demandons de changer le nom de la commune de Varenne-sous-[Montsoreau], en celui de Varennes-sur-Loire. »
    29. Décret N° 25978 du président de la République française (contre signé par le président du Conseil, ministre de l'Intérieur) portant que la commune de Varennes-sous-Montsoreau (canton nord-est de Saumur, arrondissement de Saumur, département de Maine-et-Loire) portera, à l'avenir, le nom de Varennes-sur-Loire. Paris, .
    30. Couleurs : gueule = rouge ; azur = bleu ; sable = noir ; argent = blanc argenté
    31. Évelyne et Jean-Pierre Rigouard, Gares et tortillards des Pays de la Loire, Turquant, Cheminements, 260 p. (ISBN 978-2-84478-713-2).
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    65. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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    72. Inventaire général Pays de la Loire, 1979, notice N° IA00114161
    73. Jean Guilbaud, Au temps des moulins à vent, collection Mémoire en Images, p. 125.
    74. Sylvie Estrade, La terre, le père et le moulin, p. 335-340.
    75. Reportage paru dans Le Courrier de l'Ouest du 12 octobre 1961
    76. Vente le : acte notarié devant Maître Baudry, notaire à Varennes-sous-Montsoreau pour la somme de dix mille francs
    77. acte notarié devant Maître Baudry
    78. acte notarié devant Maître Breton, notaire à Varennes-sur-Loire
    79. acte devant Maître Picard, notaire à Brain-sur-Allonnes
    80. visible sur une représentation en élévation datée de 1791
    81. Serge Vannier, Les ponts de la Loire, Romorantin-Lanthenay (France), CPE - Communication-Presse-Edition, , 319 p. (ISBN 2-84503-170-X), p. 253-255.
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