Accueil🇫🇷Chercher

Brain-sur-Allonnes

Brain-sur-Allonnes est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Brain-sur-Allonnes
Brain-sur-Allonnes
L'église Saint-Maurille.
Blason de Brain-sur-Allonnes
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire
Maire
Mandat
Yves Boucher
2020-2026
Code postal 49650
Code commune 49041
Démographie
Gentilé Brainois
Population
municipale
2 046 hab. (2020 en augmentation de 3,28 % par rapport à 2014)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 18′ 11″ nord, 0° 03′ 58″ est
Altitude 46 m
Min. 23 m
Max. 111 m
Superficie 33,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saumur
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Longué-Jumelles
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Brain-sur-Allonnes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Brain-sur-Allonnes
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Maine-et-Loire
Brain-sur-Allonnes
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Brain-sur-Allonnes
Liens
Site web brain-sur-allonnes.fr

    Géographie

    Commune angevine du val d'Authion, Brain-sur-Allonnes se situe au nord-est d'Allonnes, sur la route D 85, La Breille-les-Pins / Varennes-sur-Loire, et à proximité de l’autoroute A85[1].

    La commune est traversée par l'Authion et se situe dans le parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 668 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saumur », sur la commune de Saumur, mise en service en 1950[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 614,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 54 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Brain-sur-Allonnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,5 %), zones agricoles hétérogènes (30,3 %), terres arables (10,7 %), prairies (8,7 %), zones urbanisées (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), cultures permanentes (0,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Histoire

    Pendant la Première Guerre mondiale, 40 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux habitants sont tués[22].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1801 Louis Allain
    1808 Joseph-Marie Gigault de Marconnay propriétaire du château de La Coutancière
    1824 Louis Gigault de Marconnay
    1852 Eugène Sincère Ségris
    1896 1900 Anatole de Marconnay
    Les données manquantes sont à compléter.
    1956 1989 Louis Dudé[23] Maire honoraire
    1989 1995 Georges Chevé
    1995 mars 2008 Robert Taveau Secrétaire de mairie retraité
    mars 2008 En cours
    (au 24 mai 2020)
    Yves Boucher[24] - [25] DVD Retraité de l'industrie

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Brain-sur-Allonnes fait partie du canton d'Allonnes et de l'arrondissement de Saumur[26]. Ce canton compte alors sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[27].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 2 046 habitants[Note 7], en augmentation de 3,28 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5001 5611 4641 5351 5651 6041 5741 5331 538
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4711 4801 4051 3451 3341 2601 2931 3021 224
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2801 2951 1861 0761 0991 0841 0511 1461 270
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 2891 3661 4851 7081 8011 7931 8181 8482 010
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 9812 0392 046------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,5 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 997 hommes pour 1 024 femmes, soit un taux de 50,67 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2
    90 ou +
    1,3
    7,9
    75-89 ans
    11,6
    17,8
    60-74 ans
    19,2
    20,2
    45-59 ans
    18,1
    17,0
    30-44 ans
    16,4
    14,6
    15-29 ans
    12,7
    21,4
    0-14 ans
    20,8
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Économie

    Sur 147 établissements présents sur la commune à fin 2010, 36 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 15 % du secteur de la construction, 35 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.
    • La Chevalerie de Sacé
      Le long du circuit pédestre GR 36, passant vers l'ouest à environ km du centre de Brain-sur-Allonnes s'élèvent les ruines de la Chevalerie de Sacé, sise sur la forêt communale de Courcy, au lieu-dit les Six Allées.
      En 1961, à la suite d'un concours de jeunesse, une équipe de jeunes de 15 à 17 ans, fut amenée à effectuer des recherches historiques sur la commune. L'existence de la Chevalerie de Sacé était seulement signalée dans la notice de M. Bruas et le dictionnaire de M. Célestin Port, sans toutefois apporter de renseignements concernant ses origines, destructions et habitants. Seules les ruines, en gardant le souvenir, pouvaient éventuellement aider à résoudre ces énigmes.
      Sur place, ils ne virent qu'un taillis touffu et roncier d'où émergeait un bloc de construction scellé à la chaux d'environ m de haut sur une base de m. À peu de distance de celui-ci, apparaissait une entrée voûtée donnant l'accès à des souterrains comblés dans presque leur totalité.
      De ce jour date la naissance des fouilles du site d'une maison forte des XIIIe-XIVe siècles.
    • Musée d'histoire et archéologie
      Renferme une collection de carreaux de pavage du XIVe siècle ainsi que de nombreux objets de la préhistoire jusqu'à nos jours.
    • Jardin botanique médiéval
      Avec plus de 700 espèces et variétés cultivées à l'époque médiévale, ce jardin est non seulement un Conservatoire des plantes anciennes mais aussi un regard sur la vie rurale du peuple avant le XVIe siècle. Il essaie de reprendre l'agencement ainsi que le mode de mise en culture des jardins médiévaux.
      Les plantes sont classées selon leur utilisation et portent des étiquettes explicatives.
      Le jardin est subdivisé en différentes zones : une partie florale : "La Roseraie des Chevaliers" et le "Jardin bouquetier", une partie légumière : "Hortus", le "Jardin de la sorcière", les arbres fruitiers : "Vergier" ou "Pomarium", les plantes médicinales ou condimentaires : "Herbularius", le rucher médiéval : "Apiarium", et plusieurs stands thématiques comme "l'apothicaire", "la maison du repas paysan"...
    • Site archéologique de la Cave Peinte.
    • Église Saint-Maurille.
    • Château de La Coutancière.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 496-498.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail Brain-sur-Allonnes (49), consulté le 21 août 2012.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saumur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Brain-sur-Allonnes et Saumur », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saumur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Brain-sur-Allonnes et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Port 1965, p. 496.
    23. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    24. « Brain-sur-Allonnes. Yves Boucher élu maire pour la troisième fois », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    25. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Brain-sur-Allonnes, consultée le 15 février 2015.
    26. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brain-sur-Allonnes (49041) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    33. Insee, Statistiques locales du territoire de Brain-sur-Allonnes (49), consultées le 9 décembre 2012
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.