Chouzé-sur-Loire
Chouzé-sur-Loire est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Chouzé-sur-Loire | |||||
Le Quai de la Loire | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chinon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Chinon, Vienne et Loire | ||||
Maire Mandat |
Gilles Thibault (d) 2020-2026 |
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Code postal | 37140 | ||||
Code commune | 37074 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Chouzéens | ||||
Population municipale |
2 085 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 74 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 14′ 14″ nord, 0° 07′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 25 m Max. 36 m |
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Superficie | 28,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Langeais | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | chouze-sur-loire.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune est située dans la Touraine angevine, anciennement province d'Anjou jusqu'à la Révolution française.
Hydrographie
La commune est bordée par la Loire sur son flanc sud sur une longueur de 4,186 km. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 37,82 km, comprend trois autres cours d'eau notables, l'Authion sur une toute petite section (0,358 km) au nord-ouest du territoire communal, le Lane (5,247 km) et le Petit Lane, et neuf petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].
Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Langeais. Le débit mensuel moyen (calculé sur 34 ans pour cette station) varie de 142 m3/s au mois d'août à 753 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 060 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 4,89 m le [4] - [5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le 27 septembre 1856 avec 6,80 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].
L'Authion, d'une longueur totale de 99,8 km, prend sa source à 86 m d'altitude près de Bourgueil, à Hommes, à la fontaine de la Favrie[8] et se jette dans la Loire près d'Angers à Sainte-Gemmes-sur-Loire, à 15 m d'altitude[9], après avoir traversé 29 communes[10]. Sur le plan piscicole, l'Authion est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].
Le Lane, d'une longueur totale de 27,8 km, prend sa source dans la commune de Coteaux sur Loire et se jette dans l'Authion à Varennes-sur-Loire (Maine-et-Loire), après avoir traversé 10 communes[11]. Sur le plan piscicole, le Lane est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].
Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la prairies humides du Lane » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[12] - [13].
Urbanisme
Typologie
Chouzé-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,4 %), prairies (25,9 %), terres arables (8 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,8 %), forêts (3,3 %), cultures permanentes (1,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Chouzé-sur-Loire est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Authion, le Lane et la Loire. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Angers-Authion-Saumur, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23] - [24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999 et 2016[25] - [21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 139 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1139 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2004 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].
En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre réflexe de 2 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[29].
Histoire
En 1003, « Chozacius » indiquait une idée de sélection, ici « Terre de Choix ».
En 1050, les frères Lovo et Rahier firent don à l'abbaye de Bourgueil de Chozacum et ses dépendances ; la justice qui appartenait également à l'abbaye, avait son siège dans le prieuré du Plessis-aux-Moines. Elle était rendue par un sénéchal nommé par l'abbé de Bourgueil[30]
À la fondation de l'abbaye de Fontevraud, Maison-mère de l’ Ordre de Fontevraud des terres sont données à Robert d'Arbrissel (mort en 1116).
François Rabelais (1483-1553) mentionne déjà « Chozé » dans le chapitre 47 de Gargantua.
Ce fut François Ier qui, par lettres patentes, donna à Chozacius le titre et les privilèges de ville. Le nom de « Chouzé » apparaît dans la carte de France de Cassini (XVIIIe siècle).
Avant la Révolution, Chouzé dépendait du tribunal de Saumur (querelles liées aux impôts), du diocèse d'Angers, et de la généralité de Tours pour la levée des impôts.
Partie intégrante de la province d'Anjou et de son histoire, Chouzé et la région de Bourgueil (y compris le domaine du château de Gizeux et jusqu'à Château-la-Vallière) furent rattachées en 1790 au tout nouveau département d'Indre-et-Loire.
En 1343, le sel devient un monopole d'État par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L'Anjou fait partie des pays de « grande gabelle » et comprend seize tribunaux spéciaux ou « greniers à sel », dont celui de Bourgueil.
Le 24 mai 1589, Duplessis-Mornay gouverneur de Saumur (1589-1621) ne commande pas seulement la ville de Saumur, il prend la tête d'un gouvernement spécial qui est détaché de l'Anjou. Cette sénéchaussée de Saumur, englobe au nord de la Loire le pays de Bourgueil.
Chouzé et le pays bourgueillois (s'étendant jusqu'à Ingrandes vers l'est et jusqu'au château de Gizeux au nord) dépendront de la sénéchaussée de Saumur jusqu'à la Révolution française.
Lors de la création des départements, Chouzé fut rattaché au district de Langeais.
La batellerie et la meunerie ont joué un rôle très important dans le développement de la commune, par ailleurs bourg agricole aux multiples cultures. Vers 1830, la commune comptait de nombreux navigateurs, pêcheurs et mariniers. le trafic était important : voyageurs sur des embarcations légères, coches de Loire, et marchandises sur chalands.
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[31].
Population et société
Ses habitants sont appelés les Chouzéens et Chouzéennes[32].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2020, la commune comptait 2 085 habitants[Note 4], en diminution de 0,24 % par rapport Ă 2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Chouzé-sur-Loire se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.
L'école primaire Des Moulins et l'école primaire privée Notre-Dame de Lourdes accueillent les élèves de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les Quais de la Loire : ancien port important, très connu à l’époque de la marine de Loire, Chouzé-sur-Loire a conservé son quai de 800 m de long. Agrandi au XIXe siècle, il a été restauré en 1999. Ce quai dessert une route de randonnée qui vous mène au fil de la Loire jusqu’au port de Varennes avec sa vue imprenable sur la confluence, sur le château de Montsoreau, et sur la collégiale de Candes-Saint-Martin.
- L'église Saint-Pierre[37]. imposante par ses dimensions, cette église s'inspire des basiliques paléochrétiennes (VIe siècle), avec sa vaste nef plafonnée bénéficiant d'un éclairage direct, ses arcades retombant sur de simples piliers rectangulaires et l'austérité de ses lignes. À l'extérieur, les deux éléments notables sont la rose de la façade principale, allégeant le caractère massif du parement nu, apparaillé avec soin, et le clocher, dont l'implantation à l'est du chœur est assez inattendue. Il s'agit d'une des rares églises de style "classique" élevée en Touraine au début du XIXe siècle, correspondant au renouveau de la foi catholique apparu sous les règnes de Louis XVIII et de Charles X.Les importantes dimensions de cette église évoquent l'intense activités des mariniers de Loire, transitant par le port et transportant diverses marchandises sur leurs gabarres: denré de bouche (vin, etc.) mais aussi matériaux de constructions (ardoises d'Angers, pierre de taille de Saumur, etc.), tissus, etc.
- Gare de Port-Boulet
- Six constructions sont inscrites aux monuments historiques : une maison à tourelles, le moulin de Lecé, le moulin à vent des Pelouses, les moulins-caviers, le prieuré du Plessis-aux-Moines et
- Le château des Réaux[38] : classé monument historique en 1930, il a appartenu, au XIVe siècle, à Amaury Péau, puis à Jeanne de Montejean, comtesse de Sancerre, Antoine de Bueil et à Gilles de Brye en 1455[39]. En ruine au XVe siècle[40] - [41], il est acquis par le grand-père Jean Briçonnet, premier maire de Tours[42]. Le château actuel a été construit sur l'emplacement de l'ancien château fort par le petit-fils Jean Briçonnet, fils de Guillaume Briçonnet, seigneurs des lieux[43] appelés alors Plessis-Rideau. Il fut également habité par Thibaut de Longuejoue[Note 5], puis leurs descendants, la famille Taveau[44]. Un mariage en 1595 apporte dans la famille La Béraudière le domaine, dont François de La Béraudière hérite[40], et vend cent quinze mille livres[45], vers 1650, à l'écrivain et poète Tallemant des Réaux, dont le château devient sa demeure et porte désormais son nom[46] le , par autorisation sur lettres-patentes du roi[47].
- La maison à Tourelles ou Maison du Bailli : élégante demeure du XVIe siècle, ornée de deux tourelles coiffées de poivrières. C'est dans cette maison que mourut le 1er septembre 1464 Marie d'Harcourt, épouse de Dunois, le "bâtard" d'Orléans, compagnon de Jeanne d'Arc et artisan du rapprochement de la Normandie et de l'Aquitaine.
- Les moulins caviers de la rue des pelouses et de lecé : Les moulins à vent de types caviers sont une spécificité du Val de Loire. Dans cette région viticole, le moulin cavier permettait de stocker le vin et d'éviter les incendies dus au réchauffement des meules.Ils ont été construits vers la fin du XVIIe siècle pour le plus ancien et vers 1860 pour le plus récent.
- L'ancien prieuré du plessis-aux-moines : Ce prieuré appartenait à l'abbaye de Bourgueil. Il fut fondé au XIe siècle. Il était entouré de douves dont l’une subsiste encore. Le logis du prieur présente, sur la cour, une porte surmontée d'armoiries qui ont été bûchées et, au premier étage, deux fenêtres dont l'une a son encadrement mouluré et décoré d'angelots. Il possède une chapelle à l'angle. Au sud du couvent subsiste la grange à dîmes.
Personnalités liées à la commune
- François-Pierre Chaumeton (1775 - 1819), médecin et botaniste.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Fils de Mathieu de Longuejoue, et marié à Madeleine Briçonnet, fille de Jean.
Références
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Chouzé-sur-Loire », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
- « Station hydrométrique K6830020, la Loire à Langeais », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Source de l'Authion » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
- « Confluence de l'Authion dans la Loire » sur Géoportail (consulté le 24 janvier 2019)..
- « Fiche Sandre - l'Authion », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Lane », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- clochers.org, « Église Saint-Pierre - 37074 - Chouzé-sur-Loire » (consulté le ).
- « Le Château des Réaux » (consulté le ).
- Mémoires de la Société archéologique de Touraine Société archéologique de Touraine. Série in 80, Volumes 31 à 32, 1883. (p. 268)
- Tallemant au château des Réaux
- L'intermédiaire des chercheurs et curieux Volume 87, 1924. (p. 603)
- Les RĂ©aux sur Histoire de France, 1996
- Châteaux "brique et pierre" en France Par Josiane Sartre (p. 82)
- Le Grand dictionnaire historique Par Louis Moréri, vol. 6, 1759. (p. 383)
- Les historiettes de Tallemant des Réaux, mémoires pour servir à l'histoire du XVIIe siècle Par Gédéon Tallemant des Réaux, Louis-Jean-Nicolas de Monmerqué, Hippolyte de Châteaugiron. Vol. 1, 1834. (p. XXV)
- [PDF] Étude des paysages d'Indre et Loire Direction régionale de l'Environnement. Décembre 2000, p. 12 (43)
- Manoirs et gentilshommes d'Anjou André Sarazin, 1965. (p. 85)