Langeais
Langeais est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. Sa devise est Alae gaviae vicus.
Langeais | |||||
La rue Gambetta et le chĂąteau. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chinon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Pierre-Alain Roiron 2020-2026 |
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Code postal | 37130 | ||||
Code commune | 37123 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Langeaisiens | ||||
Population municipale |
4 349 hab. (2020) | ||||
Densité | 67 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 19âČ 36âł nord, 0° 24âČ 25âł est | ||||
Altitude | Min. 36 m Max. 109 m |
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Superficie | 64,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Langeais (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Langeais (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | langeais.fr | ||||
La commune est née le sous le statut administratif de commune nouvelle de la fusion de l'ancienne commune de Langeais et de la commune des Essards qui a pris alors le statut de commune déléguée[1].
GĂ©ographie
Localisation
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six autres communes :
Hydrographie
La commune est bordĂ©e sur son flanc sud par la Loire (2,733 km). Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 56,83 km, comprend deux autres cours d'eau notables, la Roumer (10,895 km) et le Breuil (2,525 km), et divers petits cours d'eau dont l'Ătang CrĂ©mille (3,573 km)[2] - [3].
Le cours de la Loire sâinsĂšre dans une large vallĂ©e quâelle a façonnĂ©e peu Ă peu depuis des milliers dâannĂ©es. Elle traverse d'est en ouest le dĂ©partement d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'Ă Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire prĂ©sente des fluctuations saisonniĂšres de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-NĂ©gron et la confluence de la Vienne[4], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă Tours [aval pont Mirabeau]. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă 622 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 5,78 m ce mĂȘme jour[5] - [6]. La hauteur maximale historique a Ă©tĂ© atteinte le avec une hauteur inconnue mais supĂ©rieure Ă 6,20 m[7]. Sur le plan piscicole, la Loire est classĂ©e en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[8].
La Roumer, d'une longueur totale de 27,3 km, prend sa source dans la commune d'Ambillou et se jette dans la Loire sur le territoire communal aux abords de la gare, aprÚs avoir traversé 6 communes[9]. Sur le plan piscicole, la Roumer est également classée en deuxiÚme catégorie piscicole[8].
Le Breuil, d'une longueur totale de 14,6 km, prend sa source dans la commune d'Ambillou et se jette dans le Roumer sur le territoire communal, comme la Roumer aux abords de la gare, aprÚs avoir traversé 4 communes[10]. Sur le plan piscicole, le Breuil est également classé en deuxiÚme catégorie piscicole[8].
Dix zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin », « la vallée de la Roumer de Pont Boutard à Langeais », « la vallée de la Roumer de Saint-Symphorien-les-Ponceaux à Pont Boutard », « la vallée du Breuil aux Tronchées », « la vallée du Ruisseau de l'l'étang de Crémille », « les étangs des Renfermés et de la FoucaudiÚre », « l'étang de la HerpiniÚre », « l'étang de la Monnerie » et « l'étang de la RenaudiÚre et l'étang des Bournais »[11] - [12].
Urbanisme
Typologie
Langeais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Langeais, une unité urbaine monocommunale[16] de 4 666 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].
Voies de communication et transports
Encadrée par le coteau au nord et la Loire au sud, la commune est desservie par la ligne de chemin de fer Tours - Saint-Nazaire et la route nationale 152 reliant Tours à Angers. Le contournement autoroutier de Langeais par l'autoroute A 85 (Angers-Tours) fit l'objet de vives polémiques.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Langeais est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Roumer, la Loire et le Breuil. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1991, 1994, 1999 et 2006[23] - [21].
Pour anticiper une remontĂ©e des risques de feux de forĂȘt et de vĂ©gĂ©tation vers le nord de la France en lien avec le dĂ©rĂšglement climatique, les services de lâĂtat en rĂ©gion Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont rĂ©alisĂ© en 2021 un atlas rĂ©gional du risque de feux de forĂȘt, permettant dâamĂ©liorer la connaissance sur les massifs les plus exposĂ©s. La commune, Ă©tant pour partie dans le massif de Bourgueil, est classĂ©e au niveau de risque 1, sur une Ă©chelle qui en comporte quatre (1 Ă©tant le niveau maximal)[24].
La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 97,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 079 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 2032 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 98 %, Ă comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et 1996 et par des mouvements de terrain en 1995 et 1999[21].
Risques technologiques
En cas dâaccident grave, certaines installations nuclĂ©aires sont susceptibles de rejeter dans lâatmosphĂšre de lâiode radioactif. La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre immĂ©diat de 5 km autour de la centrale nuclĂ©aire de Chinon, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. Ă ce titre les habitants de la commune ont bĂ©nĂ©ficiĂ©, Ă titre prĂ©ventif, d'une distribution de comprimĂ©s dâiode stable dont lâingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroĂŻde dâune exposition Ă de lâiode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nuclĂ©aire, des consignes de confinement ou d'Ă©vacuation peuvent ĂȘtre donnĂ©es et les habitants peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă ingĂ©rer, sur ordre du prĂ©fet, les comprimĂ©s en leur possession[28].
Toponymie
Les premiĂšres mentions du lieu se trouvent dans les Ă©crits de GrĂ©goire de Tours (Histoire des Francs, X) oĂč Langeais, sous le nom d'Alingavia, est citĂ©e comme l'une des premiĂšres paroisses rurales fondĂ©es en Touraine par Martin de Tours dans le dernier quart du IVe siĂšcle[29]. Plusieurs hypothĂšses sont Ă©mises quant Ă l'origine du toponyme. Pierre-Henri Billy propose un dĂ©rivĂ© de l'indo-europĂ©en *sÄlo- (hydronyme faisant rĂ©fĂ©rence Ă la proximitĂ© de la Loire) et du suffixe gaulois -inco, Ă©voluant en *Alingo puis *Aling-au-ia[30]. Ernest NĂšgre suggĂšre une origine germanique avec Adalingus[31]. Albert Dauzat et Charles Rostaing envisagent, pour leur part, un dĂ©rivĂ© du nom du peuple celtique des Lingons avec le radical Aling- et le suffixe -avus[32].
Le nom de la commune déléguée des Essards est une évolution du vieux français essart désignant un lieu défriché, ici dans le bois de Bifomont[33].
Histoire
Les informations relatives Ă l'histoire de cette commune avant 2017 sont Ă consulter dans les articles de l'ancienne commune de Langeais et de la commune des Essards.
Politique et administration
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (derniÚre pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Langeais (siĂšge) | 37123 | CC Touraine Ouest Val de Loire | 60,38 | 4 248 (2013) | 70
|
Les Essards | 37102 | CC Touraine Ouest Val de Loire | 4,17 | 156 (2014) | 37 |
Le , le maire des Essards devient « maire délégué » jusqu'au prochain renouvellement général des conseils municipaux[1].
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[35].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 4 349 habitants[Note 4].
Enseignement
Langeais se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.
La commune compte 3 établissements scolaires : une école maternelle, une école élémentaire et le collÚge Champ de la Motte.
Ăconomie
Tissu Ă©conomique
Au début du XXe siÚcle Langeais avait une activité trÚs diversifiée : briques réfractaires, faïence, corderie, boutonnerie, tannerie[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La description des lieux et monuments de la commune reprend les descriptions des deux anciennes communes de Langeais (ancienne commune) et des Essards.
- Les jardins du chĂąteau
- Vue de la cour du chĂąteau
- ChĂąteau de Langeais
Personnalités liées à la commune
- Charles de Boissimon, (1817- 1879) Ă Saint-ClĂ©ment-des-LevĂ©es, fondateur dâune faĂŻencerie active de 1839 jusqu'Ă la PremiĂšre Guerre mondiale.
- Ămile Claveau (1892-1974), nĂ© Ă Langeais, est un concepteur et constructeur d'automobiles, crĂ©ateur de la Claveau Descartes.
- Jean Schubnel (1894-1987), artiste peintre naĂŻf, est mort Ă Langeais.
- Gaby Montbreuse (1895-1943), née à Langeais, est une artiste lyrique.
- Andrée Colson (1924-2020), morte à Langeais, est une cheffe d'orchestre et violoniste.
- Jacques Tillier (1947-) journaliste, a vécu à Langeais, lieu-dit les Liziers.
- Jean-Hugues Anglade (1955-), acteur, réalisateur, scénariste, a vécu à Langeais.
- Pascal Rabaté (1961-), Auteur de bande dessinée, scénariste et réalisateur, a grandi à Langeais.
HĂ©raldique
Blason | D'or (de gueules) Ă la mouette d'argent, volant et plongeant en bande, tenant dans son bec un poisson du mĂȘme (accompagnĂ©e en pointe de trois melons de sinople); au chef de sable (d'azur) chargĂ© de trois tours crĂ©nelĂ©es d'argent essorĂ©es et girouettĂ©es de gueules[39]. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la rÚgle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (argent sur or). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour en savoir plus
Bibliographie
- Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. III, Société archéologique de Touraine, , 419 p. (lire en ligne).
- Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. IV, Société archéologique de Touraine, , 430 p. (lire en ligne).
- Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lĂšs-Tours, C.L.D., , 967 p. (ISBN 2-85443-136-7).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Langeais (ancienne commune) » (voir la liste des auteurs). (voir aussi la page de discussion)
Notes
- DâaprĂšs lâarticle L. 211-1 du Code de lâenvironnement, « on entend par zone humide les terrains, exploitĂ©s ou non, habituellement inondĂ©s ou gorgĂ©s dâeau douce, salĂ©e ou saumĂątre de façon permanente ou temporaire ; la vĂ©gĂ©tation, quand elle existe, y est dominĂ©e par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de lâannĂ©e ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « ArrĂȘtĂ© portant crĂ©ation de la commune nouvelle « Langeais » » [PDF], sur le site des services de l'Ătat en Indre-et-Loire, (consultĂ© le ), p. 494.
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du SystÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Langeais », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- RÚglement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
- « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- RÚglement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - la Roumer », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Breuil », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Langeais », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Langeais », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Atlas du risque de feux de forĂȘt en Centre â Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
- Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 133.
- Pierre-Henri Billy, Dictionnaire des noms de lieux en France, Paris, Errance, , 638 p. (ISBN 978-2-87772-449-4), p. 308.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, GenÚve, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), n° 15246..
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p., p. 385.
- Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 116.
- « P.-A. Roiron maire du « nouveau » Langeais », La Nouvelle RĂ©publique du Centre-Ouest,â (lire en ligne).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Langeais, consultée le 26 octobre 2017
- Ville de Langeais, « Loisirs, animations : Jumelage », sur langeais.fr (consulté le ).
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Présentation de la vie économique - Langeais - Site officiel de la commune », sur www.langeais.fr (consulté le ).
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).