Vivy
Vivy est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Vivy | |||||
Panneau d'entrée à Vivy par l'ex-Route nationale 147. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
BĂ©atrice Bertrand 2020-2026 |
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Code postal | 49680 | ||||
Code commune | 49378 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Vétusien | ||||
Population municipale |
2 545 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 110 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 492 hab. (2020) | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 19âČ 38âł nord, 0° 03âČ 11âł ouest | ||||
Altitude | 29 m Min. 20 m Max. 47 m |
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Superficie | 23,17 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Allonnes (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saumur (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Longué-Jumelles | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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GĂ©ographie
Commune angevine du Val d'Anjou, Vivy se situe au sud-ouest de Neuillé, sur la route D 347 (ex-N 138), Longué-Jumelles / Saumur, et à proximité de l'autoroute A 85, Angers / Tours[1].
LâAuthion passe au sud de la commune. Son territoire se trouve sur l'unitĂ© paysagĂšre du Val d'Anjou[2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saumur », sur la commune de Saumur, mise en service en 1950[9] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 614,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le dĂ©partement d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et Ă 62 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Vivy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Allonnes, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[19] et 5 492 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (84,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (39,4 %), forĂȘts (12,3 %), zones urbanisĂ©es (3,7 %), eaux continentales[Note 7] (2,3 %), prairies (1,2 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[25].
Histoire
Autrefois, le bourg s'Ă©levait sur le bord mĂȘme de l'Authion (Vieux Vivy).
En 1832, la commune transfĂ©rera la mairie au hameau des Deux SĆurs (ainsi nommĂ© Ă l'enseigne d'une hĂŽtellerie fondĂ©e en 1793), sur le bord de la route nationale Angers/Tours, (Route d'Or de Calais Ă Bayonne).
Le 17 octobre 1843, s'éleva l'église neuve en style néo-roman, simple nef avec chapelle. Le presbytÚre s'y ajouta en 1851 et le cimetiÚre fut transféré tout prÚs du chemin de Neuillé.
L'Ă©cole laĂŻque de garçons, une partie de la maison de la mairie, l'Ă©cole des filles (SĆurs de la Salle de Vihiers) datent de cette Ă©poque.
C'est un bourg nouveau avec des édifices communaux renouvelés qui s'est ainsi élevé tout entier et a imposé son nom au village.
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, Vivy fait partie du canton d'Allonnes et de l'arrondissement de Saumur[29]. Ce canton compte alors sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[30].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 2 545 habitants[Note 8], en diminution de 0,39 % par rapport Ă 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 35,2 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 25,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 264 hommes pour 1 295 femmes, soit un taux de 50,61 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
- La société de l'avenir de Vivy, sur la route de Saumur.
- L'harmonie de Vivy. FondĂ©e en 1864 par Elie Charles Baumont, elle a fĂȘtĂ© ses 150 ans d'existence en 2014.
Ăconomie
Sur 177 établissements présents sur la commune à fin 2010, 28 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 44 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[37]. Fin 2015, sur les 172 établissements actifs, 17 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 55 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[38].
On trouve sur la commune le marchĂ© d'intĂ©rĂȘt national (MIN) pour la production maraĂźchĂšre du « Jardin de la France ».
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Ă©glise Saint-Paul, construite en 1846 ;
- Le Vieux-Vivy sur la rive droite de l'Authion : ancien site du village ;
- La Ronde est un petit chĂąteau. Il a donnĂ© son nom Ă un carrefour routier important oĂč s'est installĂ© l'Office de tourisme du Saumurois ;
- L'Ă©olienne de la ronde ;
- Le chĂąteau des Coutures du XIXe siĂšcle ;
- Le chùteau de Nazé ;
- « Ar(t)cheval » le Cheval de Saumur : statue métallique sur le bord de l'autoroute A85 ;
- Les Monteaux, Ă©tang et aire de loisirs ;
- L'ancien pont du Gué d'Arcy.
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Vivy (49), consulté le 21 novembre 2012.
- DĂ©partement de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Ăditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 72.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saumur - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Vivy et Saumur », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saumur - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vivy et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Allonnes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- CĂ©lestin Port 1996, p. 812, liste des maires jusqu'en 1995.
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Vivy. BĂ©atrice Bertrand, maire, se succĂšde Ă elle-mĂȘme », sur Le Courrier de l'Ouest, (consultĂ© le ).
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Vivy, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vivy (49378) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Vivy (49), consultées le 17 juin 2013
- « Dossier complet - Commune de Vivy (49378) », sur Insee, (consulté le ).