Accueil🇫🇷Chercher

La Ménitré

La Ménitré est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

La Ménitré
La Ménitré
La mairie.
Blason de La Ménitré
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté de communes Baugeois Vallée
Maire
Mandat
Tony Guéry
2020-2026
Code postal 49250
Code commune 49201
Démographie
Gentilé Ménitréen
Population
municipale
2 043 hab. (2020 en diminution de 2,99 % par rapport à 2014)
Densité 118 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 12″ nord, 0° 16′ 02″ ouest
Altitude 22 m
Min. 17 m
Max. 25 m
Superficie 17,37 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Ménitré
(ville isolée)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Angers-7
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Ménitré
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Ménitré
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Voir sur la carte topographique de Maine-et-Loire
La Ménitré
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
La Ménitré
Liens
Site web Site de La Ménitré

    Géographie

    Localisation

    Commune angevine implantée sur la rive nord de la Loire[1], La Ménitré est située dans le Val de Loire, entre Angers et Saumur, à mi-distance des deux villes en longeant la levée du fleuve.

    Vue aérienne de La Ménitré.
    Vue aérienne de La Ménitré.

    Communes limitrophes

    Géographie physique

    La région a été très remembrée, néanmoins subsistent :

    • un certain nombre de boires, comme la boire Girard ;
    • une zone bocagère, celle du Fraubert ;
    • des prairies inondables sur le bord de Loire.

    Transports

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressortit au même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 622 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blaison-Gohier », sur la commune de Blaison-Saint-Sulpice, mise en service en 1992[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 670,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à 75 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13], à 12 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    La Ménitré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Ménitré, une unité urbaine monocommunale[19] de 2 043 habitants en 2020, constituant une ville isolée[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), zones urbanisées (8,3 %), eaux continentales[Note 7] (2,7 %), prairies (2,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    La Ménistré de Beaufort en 1346[26].

    Histoire

    La Ménitré est créée en 1824 à partir de territoires des communes de Beaufort-en-Vallée, les Rosiers-sur-Loire et Saint-Mathurin-sur-Loire[27].

    Le 22 décembre 1870, le ballon monté Lavoisier, monté par Raoul de Boisdeffre, s'envole de la gare d'Orléans à Paris alors assiégé par les Prussiens et termine sa course à La Ménitré après avoir parcouru 290 kilomètres[28].

    Le , alors que les sept autres communes membres de la communauté de communes de la Vallée-Loire-Authion votaient favorablement à la création d'une commune nouvelle, le conseil municipal de La Ménitré rejette cette option[29], et lors de son conseil municipal le 1er octobre suivant, décide de rejoindre la communauté de communes de Beaufort-en-Anjou le [30].

    À partir du , à la suite de regroupements, elle devient membre de la communauté de communes Baugeois Vallée.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1824 1829 Jacques Métivier
    1829 1832 Etienne Normand
    1832 1870 René Pelé
    1870 1871 François Delaunay
    1871 1880 André Pelé
    1880 1884 Pierre NormandD-Bougiau
    1884 1905 André Pelé
    1905 1920 Emile Normand
    1920 1925 Auguste Rochoux
    1925 1945 Albert Rrchard
    1945 1965 Pierre Coulon
    mars 1965 mars 2001 Gérard Nicolas Employé des ressources humaines
    mars 2001 Claude Mainguy
    mars 2014 mai 2020 Jackie Passet[31] - [32] DVD Pharmacien retraité
    9e vice-président CC Baugeois-Vallée
    mai 2020 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Tony Guéry[33] DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La Ménitré fait partie :

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 2 043 habitants[Note 8], en diminution de 2,99 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    2 1172 2432 3782 3592 4122 4322 2972 2792 136
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    2 1151 9711 9531 8611 7651 6831 5961 5511 350
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    1 3361 3191 2661 2861 2681 2431 1791 5031 708
    1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020 - -
    1 7801 8992 0532 0892 1022 0562 043--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,5 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 011 hommes pour 1 045 femmes, soit un taux de 50,83 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    2,8
    8,3
    75-89 ans
    10,1
    18,0
    60-74 ans
    19,0
    20,0
    45-59 ans
    19,5
    18,4
    30-44 ans
    17,0
    15,1
    15-29 ans
    12,7
    19,5
    0-14 ans
    18,8
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Activités culturelles

    Les fêtes du village

    • La fête des Coiffes, en juillet[39].

    Artistiques

    Sport local

    Économie

    Sur 120 établissements présents sur la commune à fin 2010, 24 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 48 % de celui du commerce et des services et 18 % du secteur de l'administration et de la santé[41].

    On trouve plusieurs entreprises sur la commune, et notamment Vilmorin et une fabrique des bières d'Anjou[42]. On y trouve aussi le CNPH (Centre national de promotion horticole)[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le port Saint-Maur.
      Le port Saint-Maur.
    • La médiathèque.
      La médiathèque.
    • Vue de l'abbaye de Saint-Maur.
      Vue de l'abbaye de Saint-Maur.

    Personnalités liées à la commune

    • Le roi Louis XI (1423-1483) arrivait très fréquemment à la Ménitré, afin d'aller à Angers ainsi qu'aux Ponts-de-Cé. En effet, le roi possédant plusieurs bateaux savait parfaitement que le voyage en bateau était plus efficace que celui sur la terre. Il commença à débarquer à la Ménitré à partir du lundi , au moins, tandis que sa dernière arrivée fut enregistrée le lundi . Il est probable qu'en 1480, il y séjourna, car les dates 14 ainsi que 15 septembre se trouvent dans ses itinéraires. En bénéficiant des fleuves, notamment la Loire, le roi considérait que le transport dans le royaume soit amélioré par ce moyen[48].
    • Marc Leclerc (1874-1946), surnommé le barde de l'Anjou.
    • Alphonse Vétault (1843-1898), né à La Ménitré, écrivain et historien.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 441-442.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN, Géoportail La Ménitré (49), consulté le 8 juin 2014.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Blaison-Gohier - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre La Ménitré et Blaison-Saint-Sulpice », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Blaison-Gohier - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre La Ménitré et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de La Ménitré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 110.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Toussaint Coppolani, « Ballon N° 47 : « Le Lavoisier » », sur coppoweb.com, 2000-2004 (consulté le ).
    29. La Menitré Les élus disent non à une commune nouvelle - Le Courrier de l'Ouest du 7 juillet 2015.
    30. La Ménitré Le conseil municipal décide de rejoindre Beaufort-en-Anjou - Le Courrier de l'Ouest du 2 octobre 2015.
    31. Mairie de La Ménitré, Jackie Passet, élu maire de La Ménitré, consulté le 8 avril 2014.
    32. Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
    33. « La Ménitré. Tony Guéry est le quatorzième maire de la commune », sur Ouest-France, (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Ménitré (49201) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    39. Bienvenue sur le site de la fête des coiffes à la Ménitré :)
    40. « Manhattan sur Loire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    41. Insee, Statistiques locales du territoire de La Ménitré (49), consultées le 21 avril 2013.
    42. Fabrique Des Bieres D'Anjou
    43. École horticulture, formations diplômantes. Promotion des métiers horticoles : cours production vente, formation continue. CNPH
    44. « Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Manoir (ancien Grenier aux Rentes) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. Moulin de Goislard - La Ménitré (49)
    47. ;/pepiniere.php?target=espritMinier Les pépinières Minier
    48. Joseph Vaesen et Étienne Charavay, Lettres de Louis XI tome XI "Itinéraire", p. 3-236, Librairie Renouard, Paris 1909 ainsi que Jacques Heers, Louis XI p. 151, Perrin, Paris 2003.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.